Archives de catégorie : DOSSIERS

Rhume de printemps : 4 solutions pour s’en débarasser rapidement

Le bain de pieds aux plantes est un remède efficace dès les premiers signes de rhume. Il aide à combattre l’infection et à fluidifier et éliminer le rhume.

Les ingrédients de votre bain de pieds anti-rhume:
3 cuillerée à café de fleurs fraîches (ou 2 cuillerées à café de fleurs séchées) de : menthe poivrée, échinacée, millefeuille, ail et capucine.
Versez 1,25 litre d’eau bouillante sur les plantes et laissez infuser pendant 30 mn au moins pour obtenir une infusion forte. Filtrez.
Versez cette infusion dans une bassine et baignez vos pieds dedans pendant 15 mn. Répétez l’opération 2 à 3 fois par jour.

>> A découvrir aussi : les 3 remèdes naturels contre le rhume des foins


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La pensée positive pour vieillir en santé

Une étude sur le vieillissement confirme le pouvoir de la pensée positive sur l’organisme. Ceux qui croient que la pensée n’a aucun pouvoir sur la matérialisation des choses risquent d’être abasourdis par cette nouvelle étude sur le vieillissement.

Rapportée par Santé Log, cette nouvelle recherche parle de l’importance de ne pas «s’imaginer vieux et fragile», puisque le corps pourrait bien transposer ces pensées en une triste réalité.

Ainsi, les chercheurs de l’Exeter Medical School, qui présentaient ces conclusions au début du mois lors de la conférence de la British Psychological Society, croient qu’il faut plutôt voir l’avenir avec optimisme et chasser les idées préconçues voulant que vieillir se fait inévitablement dans la douleur et la maladie.

C’est après avoir analysé les comportements et les réactions subséquentes de 29 personnes âgées que les chercheurs ont pu tester et confirmer leur théorie.

«En se voyant vieux et fragile, on agit comme si l’on était vieux et fragile», croit l’un des sujets de l’étude en question.

Cette étude est révélatrice en ce qui concerne la force de la pensée sur le corps, et montre à quel point un comportement enthousiaste et optimiste peut soulever des montagnes. Tout porte à croire que cette façon de voir la vie est payante à tout âge!

La musique sera-t-elle bientôt prescrite aux malades ?

La musique adoucit les mœurs, mais aussi les maux si l’on en croit une étude québécoise qui a démontré qu’elle pouvait stimuler le système immunitaire et réduire l’anxiété.

Votre médecin vous prescrira-t-il bientôt un opéra de Verdi ou un menuet de Mozart ? On savait que la musique permettait de se relaxer mais nous n’avions pas encore d’explication scientifique sur ce phénomène. Une équipe de chercheurs de l’Université McGill au Québec ont donc mené des recherches sur les bienfaits de la musique sur la diminution du stress en analysant plus de 400 documents et études.

Les chercheurs ont découvert que le cortisol, l’hormone responsable du stress, diminuait à l’écoute d’une musique relaxante. Ainsi, les patients ayant écouté de la musique avant une chirurgie serait moins anxieux que les personnes ayant pris des anxiolytiques comme le Valium. De plus, la musique accroît la motivation et le plaisir, diminue le stress et l’excitation, renforce le système immunitaire et consolide l’appartenance sociale et la confiance en soi.

Le type de musique a évidemment son importance et écouter du Metallica aura forcément un effet moins relaxant qu’une berceuse pour bébé… Mais, par exemple, l’une des études analysées met en évidence que le chant en groupe permet de libérer l’ocytocine, une hormone qui favorise le sentiment de connexion sociale.

Bien que les éléments avancés par les deux chercheurs ne constituent pas des preuves scientifiques irréfutables, il s’agit de pistes intéressantes à creuser pour soigner certaines maladies comme l’anorexie ou la dépression.

Coup de pot pour la science, les hommes préhistoriques faisaient mal la vaisselle

Les hommes préhistoriques faisaient mal la vaisselle, et c’est tant mieux. Car les chasseurs-cueilleurs vivant au Japon voici 12.000 à 15.000 ans nous ont ainsi laissé la preuve qu’ils utilisaient déjà leurs poteries pour cuisiner et qu’ils aimaient le poisson.

Des chercheurs sont en effet parvenus pour la première fois à analyser des dépôts calcinés découverts dans une centaine de fragments de poteries, datant du début de l’ère Jômon (« poterie cordée » par référence aux impressions de cordes utilisées pour les décorer).

Verdict: la plupart de ces dépôts sont des résidus de graisse provenant de poissons et autres produits aquatiques, indique une étude publiée mercredi dans la revue britannique Nature.

Autrement dit, il s’agit ni plus ni moins des restes de repas consommés par les premiers Japonais à la fin du dernier âge de glace!

Pendant très longtemps, les archéologues ont considéré que l’invention de la poterie avait nécessairement accompagné celle de l’agriculture et la sédentarisation qui en découle. Comment des chasseurs-cueilleurs nomades auraient-ils pu accomplir l’un des sauts technologiques les plus importants de l’Histoire, prendre conscience que le feu peut transformer de l’argile molle en une céramique imperméable? Et surtout, à quoi une telle invention aurait-elle bien pu leur servir avec leur mode de vie rudimentaire et mobile?

Simples ustensiles ou argenterie préhistorique?

Grâce à la datation au carbone radioactif, on a appris relativement récemment que la céramique est apparue bien avant l’agriculture, donc chez des nomades ou semi-nomades. Des tessons retrouvés dans une caverne du Jiangxi (sud-est de la Chine) seraient âgés de 19.000 à 20.000 ans, soit quelque 10.000 ans avant l’apparition de la culture du riz dans cette province.

Les spécialistes ignoraient cependant toujours à quoi ces poteries pouvaient bien servir.

Les lipides (graisses) extraits des tessons de céramique Jômon « sont typiques des huiles aquatiques dégradées (…) et fournissent une preuve convaincante que de la nourriture provenant de l’eau douce et/ou de la mer a été préparée dans ces récipients », répondent Oliver Craig, archéologue à l’université britannique d’York, et son équipe.

« Nous estimons que ces produits aquatiques étaient ceux les plus fréquemment préparés dans ces poteries du Jômon primitif, sous une grande variété de climats et d’environnements, de Hokkaido au nord à Kyushu au sud », poursuivent les chercheurs.

« La disponibilité et l’abondance de nourriture le long des côtes et des rivières pourraient très bien avoir été l’élément déclencheur de cet investissement dans la production de récipients en céramique. Peut-être pour utiliser au mieux les surplus saisonniers ou dans le cadre de repas cérémoniels élaborés, et cela pourrait être lié à une réduction de la mobilité », suggère Oliver Craig dans un communiqué.

Quant à savoir si les Japonais préhistoriques se servaient de ces poteries comme de simples ustensiles de cuisine ou si, « comme le suggère leur rareté », elles jouaient plutôt le rôle de l’argenterie de grand-maman qu’on ne sort que pour les grandes occasions, « cela reste sujet à débat », estiment les chercheurs.

La calvitie de la tonsure serait associée à un risque accru de maladies coronariennes

Selon une étude japonaise, les hommes qui présentent une calvitie au niveau de la tonsure présentent 32% de risques supplémentaires de développer des maladies coronariennes.
Si la calvitie peut devenir un véritable complexe pour certains hommes, elle pourrait être associée à des conséquences plus sérieuses. C’est ce qu’affirment dans une étude des chercheurs de l’Université de Tokyo qui ont indiqué avoir découvert un lien entre la calvitie au niveau de la tonsure et un risque accru de maladies coronariennes.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé six études menées entre 1993 et 2008 aux États-Unis et en Europe auprès de 40.000 participants. Les résultats montrent que les hommes qui avaient perdu la plus grande partie de leur chevelure présentaient un risque statistique 32% plus élevé que les autres de souffrir d’obstruction des artères. Mais le niveau de risque semble dépendre de la sévérité de la calvitie et de sa localisation puisque seuls les patients perdant des cheveux au sommet de la tête (vertex) seraient concernés d’après les chercheurs. Ainsi, dans l’étude publiée par la revue scientifique en ligne BMJ Open, les auteurs expliquent que les hommes qui présentent une calvitie au niveau de la tonsure et au niveau de la tonsure seulement, présentent davantage de risques de développer des maladies coronariennes. En revanche, ceux qui, par exemple, voient leur front se dégarnir ne présentent aucun risque supplémentaire. « Ces résultats suggèrent que la calvitie de la tonsure est plus étroitement associée à de l’athérosclérose systémique que la calvitie frontale », précisent les chercheurs japonais.
Un facteur à surveiller ?
Selon eux, « les facteurs de risque cardiovasculaire devraient donc être suivis de près chez les hommes présentant une tonsure, en particulier les plus jeunes ». Pour les scientifiques, s’il existe bien une relation, les liens entre la calvitie et ces pathologies coronariennes restent mystérieux. Le rapport pourrait être plus subtil dans la mesure où des liens ont déjà été établis entre la calvitie et d’autres maladies, comme la résistance à l’insuline, le diabète, les inflammations chroniques et la sensibilité à la testostérone. Les auteurs de se veulent toutefois prudents sur les conclusions à tirer de leur analyse, jugeant nécessaire de les confirmer par d’autres études.

Éjaculation précoce : un homme sur deux serait concerné selon un sondage

« J’ai l’impression de faire ma vie en parallèle de ma partenaire », « Ce que ses lèvres disaient n’était pas ce que je voyais au fond de ses yeux »… Les mots sont forts, mais ils ne représentent qu’un échantillon des déclarations relevées par l’institut OpinionWay, dans son étude « Regards croisés sur la sexualité des Français ». Récemment publiées, les conclusions en disent long sur la place que joue l’éjaculation précoce dans l’Hexagone et les façons dont elle est traitée.

Le constat est édifiant. Selon une étude d’OpinionWay réalisée pour les laboratoires Menarini et dont Le HuffPost publie les résultats en exclusivité, 50% des hommes et 43% des femmes (en parlant de leur partenaire) disent être concernés par l’éjaculation précoce. Un chiffre qui atteint respectivement les 69% et 63% d’individus concernés lorsqu’on évoque les dix dernières années de l’activité sexuelle.

L’étude a été réalisée sur internet auprès d’un panel de 750 hommes et 750 femmes sexuellement actifs.

Mais l’ascension (au sens figuré) ne s’arrête pas là. Potentiellement, suppose l’étude, on atteindrait les 100% en augmentant encore le nombre des années. Alors, tous éjaculateurs précoces? Peut-être.

Conclusion sans appel: l’éjaculation précoce (EP) est, ou est devenu, le trouble sexuel le plus fréquent parmi la population masculine, devant la dysfonction érectile. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, l’EP s’accompagne en générale d’une ribambelle d’effets secondaires: gêne, culpabilité, tensions dans le couple, dépression, baisse du désir sexuel, etc.

Télécharger l’intégralité de l’étude en cliquant ici

Un mal peu connu

Pourtant, 67% des hommes et 81% des femmes confrontés à l’EP n’auraient jamais fait de recherches à son sujet. Et pour ceux qui cherchent, Internet est souvent la seule source d’information, avec l’efficacité qu’on lui connaît.

Quant à consulter un médecin, on en est encore loin: moins de 15% des personnes concernées ont déjà fait la démarche. Principale raison évoquée: l’EP est un sujet tabou dont on ne parle pas facilement à un tiers mais aussi très difficilement en couple. « 50% des hommes concernés déclarent n’en avoir jamais parlé avec leur partenaire », peut-on lire dans l’étude.

Au final, deux tiers des hommes interrogés ont avoué n’avoir aucune idée sur ce que pourrait être la prise en charge idéale. Les solutions sont pourtant nombreuses: préservatif retardant, gel anesthésiant, médicaments ou encore exercices de rééducation.

Il faut dire que les Français ont, semble-t-il, quelques difficultés à définir les symptômes.

Pour 80% d’entre eux, une éjaculation peut être qualifiée de précoce si elle survient dans les deux premières minutes de la pénétration. Mais l’endurance ne fait pas tout. L’éjaculation précoce est un trouble de l’éjaculation persistant ou répété lors de stimulations sexuelles minimes. À cette rapidité de l’éjaculation, s’ajoute une sensation de manque de contrôle et une souffrance marquée pour l’homme.

Mais si les symptômes sont connus, les causes sont elles encore assez floues. Une des hypothèses les plus avancées: le facteur génétique. Comme il y a des hommes plus ou moins grands, il y a des hommes qui éjaculent plus ou moins rapidement.

Un site pour en parler

C’est justement pour faire face au fatalisme que le laboratoire lance, ce mois-ci, une campagne d’information nationale auprès du grand public, via la radio, la télé et surtout le web, avec le site internet garderlecontrole.fr.

Le but? Inciter les hommes et femmes concernés à briser le silence et les mettre en relation avec des praticiens. « Au-delà de la mise à disposition d’un médicament, notre investissement s’oriente aussi vers une meilleure connaissance de ce trouble et une diffusion plus large de l’information auprès des personnes concernées », a déclaré Thierry Poiraud, PDG de Menarini France, qui désire pour ainsi dire s’implanter sur le marché de l’éjaculation précoce.

Avis aux intéressés, le site sera pleinement opérationnel d’ici la mi-avril.

En attendant, haut les coeurs: l’étude d’Opinion Way révèle que 2/3 des hommes et 83% des femmes se déclarent satisfaits de leur vie sexuelle, et ce malgré les petits problèmes de tempo de ces messieurs. Par ailleurs, l’éjaculation précoce aurait peu d’influence sur la fréquence des rapports sexuels.

Car rappelons-le : depuis plusieurs années, les Français sont parmi les plus actifs au monde sur le plan sexuel. Cocorico!

On distingue deux grands types d’éjaculation précoce:

L’éjaculation primaire (innée) est très rapide et quasi systématique depuis le début de la vie sexuelle. Elle apparaît lors de tous les rapports sexuels, quelle que soit la partenaire. Elle peut survenir avant la pénétration ou juste au moment de la pénétration. Elle a tendance à persister tout au long de la vie chez 70% des hommes et peut même s’aggraver avec le temps. Elle concerne environ 2/3 des hommes qui souffrent d’éjaculation précoce.

L’éjaculation secondaire (acquise) se produit après une période de relations sexuelles à durée d’éjaculation normale. L’origine du changement peut être liée à une anxiété de la performance, des problèmes relationnels ou psychologiques, une dysfonction érectile, une hyperthyroïdie ou l’arrêt de prise de médicaments addictifs (opiacés).

Un couple heureux est un couple bien en chair

Plus vous êtes heureux dans votre mariage, plus vous risquez d’engraisser.

C’est du moins le constat auquel en sont arrivés des chercheurs de l’Université Southern Methodist, à Dallas, aux États-Unis, dans le cadre d’une étude portant sur 169 jeunes couples.

«Il est bien connu que le mariage est associé au gain de poids et le divorce avec la perte de poids, a indiqué la chercheuse principale, Andrea Meltzer, au magazine «Health». Ce qui est moins évident est le rôle de la satisfaction conjugale sur l’augmentation de poids.»

L’étude a suivi les 169 jeunes couples pendant quatre ans en mesurant leur degré de satisfaction et leur poids.

«La satisfaction est associée à la prise de poids, a indiqué la chercheuse. Les couples mariés et heureux dans leur relation ont tendance à engraisser tandis que les époux moins heureux gagnent moins de kilos.»

D’autres études ont tissé un lien entre le mariage et de meilleurs comportements en matière de santé, comme s’assurer de prendre ses médicaments et voir son médecin, mais il s’agit ici de la première étude qui porte spécifiquement sur le poids.

Le ménage du printemps cérébral

Des chercheurs parviennent à expliquer un phénomène méconnu, celui du ménage du printemps… cérébral!

C’est du moins ce que révèle une étude publiée dans la revue spécialisée Nature Neuroscience, qui dévoile un phénomène fascinant se déroulant au niveau cérébral à l’arrivée du printemps.

Ainsi, notre cerveau «effacerait» des cellules endommagées et préparerait les cellules souches capables de les remplacer à entrer en action. Le procédé est maintenant connu sous le terme d’autophagie.

C’est ce qu’ont constaté les chercheurs de l’Université du Michigan, aux États-Unis, qui sont à la tête de cette étude étonnante. Ils ont même trouvé que le phénomène de ménage printanier cérébral observé serait dû à la protéine FIP200, qui permet de procéder à cette véritable mise à jour centrale.

Par ailleurs, on note que ce processus semble ralentir avec l’âge, ce qui expliquerait en partie pourquoi les gens plus âgés sont enclins à développer des problèmes cognitifs ou de démence.

«Grâce à l’autophagie, les cellules souches neurales peuvent réguler les niveaux des espèces réactives de l’oxygène ou radicaux libres qui peuvent s’accumuler dans certaines régions du cerveau et dont des niveaux anormalement élevés peuvent déclencher leur différentiation», résume le professeur Jun-Lin Guan, de l’Université du Michigan.

Les fuites urinaires restent taboues

Sujet tabou, les fuites urinaires touchent pourtant de nombreuses Françaises. D’après un sondage réalisé par Ipsos pour Tena, rendu public mercredi 17 avril, 75% des femmes avouent avoir déjà été confrontées à ce type de problème.

Cette étude a été réalisée en ligne par Ipsos pour Tena, entre le 4 et le 11 mars derniers, auprès d’un échantillon de 2.055 femmes, représentatif de la population féminine française âgée de 18 ans et plus.

Un problème mal vécu par les femmes

Sans surprise, les problèmes de fuites urinaires sont perçus comme de façon très négative par les femmes interrogées. Près de neuf sondées sur dix (89%) estiment que c’est un problème très gênant au quotidien, et 81% vis-à-vis des autres. Un peu plus des trois quarts d’entre elles (77%) les voient comme un sujet difficile à aborder avec leurs proches.

Le sondage montre que plus d’un tiers des personnes interrogées (39%) a déjà été victimes d’une légère fuite urinaire au cours d’un effort physique ou sportif.

Seul constat positif, plus de huit femmes sur dix (81%) considèrent qu’il existe des solutions efficaces contre les fuites urinaires

Incontinence : des solutions existent !

On estime que 2 à 3 millions de femmes sont victimes d’incontinence. Face à ce problème, la rééducation, les médicaments et parfois la chirurgie permettent d’aider la majorité des patients. Mais lorsque le recours à ces techniques n’est pas possible ou pas souhaité par le patient, la solution la plus évidente repose sur l’utilisation de protections spécifiques. De plus en plus performantes, elles permettent d’allier efficacité et discrétion.
Alors si vous êtes victime d’incontinence, ne souffrez plus en silence ! Parlez-en à votre médecin, il saura vous aider à choisir la solution la plus adaptée à votre situation.

Source : Communiqué Tena – avril 2013

Ostéopathie : quand faut-il consulter un ostéopathe ?

L’ostéopathie se fonde sur une constatation : les différentes parties de l’organisme (articulations, muscles, ligaments, organes) sont interdépendantes. Tout mauvais fonctionnement entraîne donc un déséquilibre au niveau d’autres structures situées à distance. L’ostéopathe a une approche globale : il ne se contente pas d’agir au niveau du symptôme, mais il recherche la cause première du problème. Pour soulager une lombalgie, il peut ainsi être amené à traiter un pied ou l’estomac.

Second principe fondamental : pour fonctionner normalement, chaque partie du corps doit être dépourvue de lésions organiques, mais aussi correctement vascularisée, nourrie et débarrassée de ses déchets par le sang et la lymphe. Si des désordres empêchent ces liquides de circuler librement, des troubles apparaissent. L’ostéopathe recherchera donc toutes les pertes de mobilité des tissus, signes de blocages qu’il faudra lever.


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