Mas pense que les victimes de PIP agissent « pour le fric »
PARIS (Reuters) – Jean-Claude Mas, président-fondateur du groupe Poly Implant Prothèse (PIP) au coeur d’un scandale d’implants mammaires non conformes, a jugé lors de sa garde à vue en 2010 que ses accusatrices étaient des personnes fragiles psychologiquement ou motivées par l’argent, selon le procès verbal de son audition dont a fait état jeudi TF1. « Il s’agit de personnes fragiles ou de personnes qui font ça pour le fric », a-t-il dit selon le procès verbal dressé par les gendarmes en novembre 2010. …
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