Depuis 2013, date de lancement de la gamme Xeracalm par Avène, les peaux les plus sèches et les plus atopiques ont trouvé un soutien sans faille pour leur apporter soulagement et confort tout au long de l’année. La marque revient avec une nouveauté flacon, pour faciliter l’utilisation de ses produits phares et un pain surgras pour nettoyer la peau dans le plus grand respect de celle-ci.
Coronavirus : quelle situation dans les établissements scolaires ?

Les établissements scolaires continuent d’accueillir les élèves, grâce à la mise en place d’un protocole sanitaire renforcé. Cependant, au vu de la circulation du coronavirus, les mesures sont ajustées.
Des écoles fermées
En cette période épidémique, le Ministère de l’Éducation détaille les procédures à appliquer en cas de suspicion ou de contamination confirmée à la Covid-19. Une salle de classe peut être fermée à partir de 3 cas de Covid. Lorsque la circulation du coronavirus est très active et localisée, le ministère préconise de fermer l’établissement scolaire. C’est le cas de l’école Louisette Wattiez du Plessis-Belleville, sur ordre de la préfecture de l’Oise, du 18 au 26 janvier 2021. En effet, 27 cas de Covid-19 ont été détectés, dont 22 élèves et 5 adultes. Ce n’est pas la seule structure éducative fermée en France. A ce jour, le 20 janvier :
- 22 structures scolaires sont fermées sur 61 500, soit 0,03 % des établissements, dont 20 écoles, 1 collège et 1 lycée ;
- 138 classes sur 528 400 sont fermées dans des structures scolaires ouvertes, soit 0,02 %.
Sur les sept derniers jours :
- 7 782 cas de Covid-19 chez les élèves sont confirmés sur 12 400 000 élèves, soit 0,06 % (+ 1 238 en 24h) ;
- 1 136 personnes ont contracté sur 1 162 500 personnels éducatifs, ce qui représente 0,09 % (+ 198 en 24h).
Le protocole dans les établissements et les cantines
Le protocole sanitaire dans les établissements scolaires est en application depuis plusieurs mois déjà. Il repose sur de grands principes :
- respect des gestes barrière ;
- port du masque pour les adultes et les élèves dès le CP ;
- hygiène des mains ;
- nettoyage et aération des locaux ;
- limitation du brassage.
Depuis jeudi dernier, de nouvelles règles sont en vigueur également dans les cantines scolaires, pour éviter la fermeture des établissements, comme lors du premier confinement en France. La cantine est considérée comme « le maillon faible », favorisant le mélange des élèves de différentes classes. C’est pourquoi les enfants d’une même classe doivent désormais prendre leur repas chaque jour ensemble, sur la même table. Pour ce faire, le temps de service du déjeuner est allongé dans les écoles et pourra l’être dans les collèges. Par ailleurs, les activités sportives extra-scolaires et scolaires en intérieur sont suspendues pour quelques semaines.
Les tests de dépistage renforcés
Pour faciliter le dépistage de la Covid-19, les élèves et le personnel peuvent bénéficier d’un accès prioritaire aux tests RT- PCR en laboratoire de biologie médicale. Aussi, les tests antigéniques peuvent être réalisés au sein des structures scolaires ainsi que des campagnes, en cas d’apparition de cas, grâce à 1 million de tests qui leur sont dédiés. Le gouvernement a pour objectif de faire 300 000 tests par semaine pour les élèves et le personnel et d’arriver à 1 million d’ici la fin du mois de janvier.
Une peau qui rayonne de la tête aux pieds avec Cattier
Pionnière de la cosmétique bio, la marque Cattier n’en finit pas de nous surprendre saison après saison. Pour bien démarrer 2019, elle nous invite à goûter au plaisir d’un nouveau rituel corps dédié aux peaux fragilisées et à mettre plus que jamais notre visage à l’abri des méfaits de l’hiver.
Horaires atypiques : le stress accru expliqué par une théorie
Une étude québécoise a vérifié si le stress accru vécu par les personnes qui ont des horaires de travail atypiques, travaillant dans des quarts de travail de soir, de fin de semaine ou rotatifs, pouvait être bien compris au moyen de la théorie de la conservation des ressources, l’une des principales théories du stress psychologique.
Plus du quart de la main-d’œuvre est soumis à des horaires de travail atypiques dans les pays occidentaux, indiquent les chercheurs.
Victor Haines, de l’École de relations industrielles de l’Université de Montréal, et ses collègues (1) ont analysé des données issues d’entrevues et de questionnaires auxquels 9150 parents d’enfants âgés de 0 à 5 ans et ayant un emploi rémunéré ont répondu en 2015. Parmi ceux-ci, 29 % travaillaient selon un horaire atypique.
La théorie de la conservation des ressources, formulée en 1989 par le psychologue américain Stevan Hofbol, stipule que le stress psychologique résulte de la menace d’un manque de ressources ou du manque effectif de ressources telles que le réservoir d’énergie et le soutien pour faire face aux facteurs de stress.
« Du point de vue de cette théorie, les horaires de travail atypiques sont considérés comme une situation d’emploi qui menace l’état mental des individus et les ressources psychologiques dont ils ont besoin pour relever des défis ou obtenir des ressources supplémentaires
», explique le chercheur.
L’étude montre de quelle façon l’horaire de travail atypique est associé à une insuffisance de ressources qui provoque une séquence suscitant des tensions et des conflits.
Les personnes qui ont des horaires de travail atypiques bénéficient de moins ressources liées aux politiques d’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Elles disposent aussi de moins de soutien social.
« Les parents avec un horaire de travail atypique ont moins accès à des mesures de conciliation travail-famille dans leur milieu professionnel. Ces personnes rapportent aussi un moins grand soutien social à l’extérieur de leur milieu de travail
», indique M. Haines. « Cela entraîne davantage de conflits travail-famille et des tensions plus graves, dont découlent une qualité moindre du rôle de parent et plus de problèmes de santé.
»
Cette séquence s’est avérée prédictive même en contrôlant l’effet de plusieurs variables, dont le genre, l’âge, le niveau d’études, le revenu, le nombre d’enfants, le type de famille et le nombre d’heures travaillées.
« L’information recueillie nous a surtout permis de mesurer la qualité relationnelle, les tensions ressenties et la qualité du rôle parental
», explique le chercheur. « Ce dernier point était évalué selon divers comportements parentaux reflétant soit le soutien et l’engagement, soit l’hostilité et la coercition.
»
« Du point de vue de cette théorie, les horaires de travail atypiques sont considérés comme une situation d’emploi qui menace l’état mental des individus et les ressources psychologiques dont ils ont besoin pour relever des défis ou obtenir des ressources supplémentaires
», explique le chercheur.
« Les employeurs doivent songer à mettre en place des mesures de soutien pour les gens dont les horaires de travail sont atypiques afin qu’ils puissent planifier leurs temps et ainsi réduire le risque de conflit, soutient-il. En outre, ces travailleuses et travailleurs doivent pouvoir compter sur leur famille et leurs amis pour obtenir davantage de soutien.
»
« Nous avons une économie qui fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7… Les horaires atypiques comportent des coûts pour la société, la communauté et les familles. Il est peut-être temps de réfléchir au-delà du spectre économique pour penser au bien-être des individus soumis à ces horaires et de redéfinir le cadre du travail et des horaires
», conclut-il.
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
(1) Pascal Doray-Demers, Sylvie Guerrero, Emilie Genin.
Psychomédia avec sources : Université de Montréal, International Journal of Stress Management.
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Angleterre : une personne sur huit a déjà été infectée par la Covid-19

Alors que l’Angleterre fait face à l’apparition du nouveau variant entraînant une troisième vague de l’épidémie de Covid-19 sur le territoire, le Bureau des statistiques nationales du Royaume-Uni vient d’annoncer, ce mardi 20 janvier, une personne sur huit a déjà été infectée par le nouveau coronavirus en décembre dernier. Passeport Santé fait le point sur la situation.
Des tests anticorps réalisés au hasard dans la population
Selon le Bureau des statistiques nationales du Royaume-Uni (Office for National Statistics), une personne sur huit en Angleterre a déjà été infectée par le nouveau coronavirus en décembre 2020. Pour parvenir à ces résultats, les analystes ont mené une enquête en partenariat avec l’Université d’Oxford, l’Université de Manchester, Public Health England et Wellcome Trust, sur les infections à coronavirus pour chaque pays du Royaume-Uni. Des tests anticorps (ou sérologiques) ont ainsi été réalisés au hasard sur un échantillon des populations du Royaume-Uni afin d’identifier à la fois les personnes testées positives à la Covid-19 mais également celles ayant contracté une forme asymptomatique de la maladie.
Une personne sur huit déjà infectée dans le pays par le nouveau coronavirus en décembre
Selon les résultats des analyses publiés ce mardi 19 janvier 2021, une personne sur huit avait été infectée dans le pays par le nouveau coronavirus en décembre, marquant une augmentation par rapport au mois précédent, où l’on en comptait une sur onze. Une hausse qui s’explique en partie par la propagation du nouveau variant anglais, plus contagieux. On apprend ainsi qu’en décembre dernier, 12,1% de la population en Angleterre auraient été testés positifs pour les anticorps anti-SRAS-CoV-2 à partir d’un échantillon sanguin.
L’analyse a également montré qu’il « existe une variation substantielle de la positivité des anticorps entre les régions, de 16,8% dans le Yorkshire et The Humber contre 4,9% dans le Sud-Ouest ». Les populations du sud et de l’est de l’Angleterre ont des taux de positivité inférieurs à la moyenne nationale anglaise avec moins d’une personne sur douze contaminée en décembre dans le Sud-Est et moins d’une personne sur 20 dans le Sud-Ouest contre une personne sur six à Londres.
Et pour le reste du Royaume-Unis ?
Dans le reste du Royaume-Uni, les chiffres tirent également à la hausse. En décembre 2020, environ 9,8% de la population du Pays de Galles auraient été testés positifs pour les anticorps anti-SRAS-CoV-2 à partir d’un échantillon sanguin, ce qui équivaut à une personne sur dix âgée de 16 ans et plus. Pour ce qui est de la situation de l’Irlande du Nord, en décembre 2020, environ 7,8% de la population d’Irlande du Nord auraient été testés positifs, soit une personne sur treize. Enfin, en Ecosse, les analyses ont montré que 8,9% de la population en Écosse aurait été testée positive en décembre dernier, ce qui représente une personne sur onze.
De jour comme de nuit, Dr Jackson’s veille sur notre peau
Après avoir sillonné la planète à la recherche des trésors de la nature les plus performants pour la peau, Dr Jackson’s nous offre sa vision du soin version jour et nuit pour une peau à la beauté tout aussi rare que les actifs renfermés dans ce duo de soins.
Un changement alimentaire pourrait aider à combattre la sclérose en plaques
L’activité anormale du système immunitaire qui provoque la sclérose en plaques (SEP) en attaquant et en endommageant le système nerveux central peut être déclenchée par l’absence d’un acide gras spécifique dans le tissu adipeux, selon une étude de l’Université Yale dont les résultats sont publiés en janvier 2021 dans le Journal of Clinical Investigation.
Cette découverte suggère qu’un changement dans l’alimentation pourrait aider à traiter certaines personnes atteintes de cette maladie auto-immune, selon le communiqué des chercheurs.
L’étude montre que les tissus adipeux des personnes atteintes de SEP n’ont pas des niveaux normaux d’acide oléique, un acide gras mono-insaturé qui se trouve à des niveaux élevés, par exemple, dans des huiles de cuisson, les viandes (bœuf, poulet et porc), le fromage, les noix, les graines de tournesol, les œufs, les pâtes, le lait, les olives et les avocats.
Ce manque d’acide oléique entraîne une perte des capteurs métaboliques qui activent des cellules T (ou lymphocytes T), qui jouent un rôle de médiateurs dans la réponse du système immunitaire aux maladies infectieuses, ont constaté les chercheurs. Sans les effets de suppression de ces cellules T régulatrices, le système immunitaire peut attaquer les cellules saines du système nerveux central et provoquer une perte de vision, la douleur, un manque de coordination et d’autres symptômes invalidants de la SEP.
Lorsque les chercheurs ont introduit des acides oléiques dans le tissu adipeux de personnes atteintes de la maladie lors d’expériences en laboratoire, ils ont constaté que les niveaux de cellules T régulatrices augmentaient.
« Nous savons depuis un certain temps que la génétique et l’environnement jouent un rôle dans le développement de la SEP
», explique David Hafler, professeur au département de neurologie. « Cette étude suggère que l’un des facteurs environnementaux impliqués est l’alimentation.
»
L’obésité déclenche des niveaux d’inflammation malsains et est un facteur de risque connu pour la SEP, souligne Hafler. Une observation qui l’a conduit à étudier le rôle de l’alimentation.
Des études plus approfondies sont toutefois nécessaires pour déterminer si une alimentation riche en acide oléique peut aider certains patients atteints de la maladie.
Hypertension : pourquoi les étirements sont efficaces ?

Selon une récente étude publiée dans le Journal of Physical Activity and Health, les étirements seraient davantage bénéfiques que la marche pour lutter contre l’hypertension.
Baisse de l’hypertension : la marche rapide ou les étirements ?
Des chercheurs de l’Université de Saskatchewan (Canada) ont indiqué que les étirements permettaient de réduire plus efficacement sa tension artérielle en cas d’hypertension que la marche rapide. Les 40 participants, âgés de 60 ans en moyenne, souffraient de pression artérielle élevée, ou une hypertension de stade 1 (pression systolique entre 140-159 mmHg et/ou pression artérielle diastolique > 90-99 mmHg). Les scientifiques ont comparé les données collectées lors des deux activités effectuées : l’un des deux groupes a fait 30 min d’étirements 5 jours par semaine tandis que l’autre a effectué une marche rapide à la même fréquence hebdomadaire. La pression a été prise en position assise et allongée, sur plus de 24h.
L’étirement, un élément réduisant la pression artérielle
Au bout de 8 semaines, les chercheurs ont conclu que les étirements avaient permis de baisser la tension artérielle de façon plus nette que la marche rapide, même si la perte de poids est moindre. « Tout le monde pense que l’étirement consiste simplement à étirer les muscles. Mais lorsque vous étirez vos muscles, vous étirez également tous les vaisseaux sanguins qui alimentent le muscle, y compris toutes les artères. Si vous réduisez la raideur de vos artères, il y a moins de résistance à la circulation sanguine » souligne le Dr Phil Chilibeck, coauteur de l’étude et professeur de kinésiologie. Plus la circulation sanguine est bloquée, plus la pression artérielle et les risques cardiovasculaires sont importants. Le Dr Chilibeck conseille, pour ceux qui pratique la marche, d’ajouter des séances d’étirements. Alterner ces deux activités permettrait de lutter contre l’hypertension, car ce sont deux pratiques complémentaires.
Trois nouvelles destinations olfactives avec Le Couvent des Minimes
Le Couvent des Minimes enrichit son carnet de voyages olfactifs avec trois nouvelles escales aussi solaires qu’envoûtantes.
Antidouleur Tramadol : rappels des risques (ANSM)
Dans un communiqué publié le 22 janvier 2021, l’Agence française du médicament (ANSM) rappelle aux professionnels de santé que, depuis le 15 avril 2020, la durée maximale de prescription des spécialités à base de tramadol par voie orale est limitée à 12 semaines.
Au-delà de 3 mois, la poursuite du traitement nécessite une nouvelle ordonnance.
« Plusieurs enquêtes du réseau d’addictovigilance ont mis en évidence une augmentation du mésusage et de la dépendance liés au tramadol au cours des dernières années ainsi que les risques associés en cas d’abus, d’usage détourné et/ou de dépendance au tramadol
», indique l’ANSM.
L’agence rappelle que :
- Le tramadol est un antalgique opioïde indiqué uniquement dans le traitement des douleurs modérées à intenses ou sévères. (1)
- Il doit être prescrit pendant la durée la plus courte possible.
- Pour une douleur aiguë ou postopératoire, la nécessité de poursuivre le traitement doit être réévaluée rapidement.
- Il n’est pas recommandé dans le traitement de la migraine.
- Le risque de convulsions est majoré en cas de dépassement de la dose maximale recommandée.
- Pour éviter un syndrome de sevrage, la posologie doit être diminuée progressivement avant l’arrêt du traitement.
- Il doit être délivré dans les plus petits conditionnements possible, adaptés à la prescription.
En avril 2020, l’Agence faisait les rappels pour les suivants :
- Respectez la posologie indiquée sur l’ordonnance, ainsi que la durée de traitement.
- Si la douleur n’est pas suffisamment ou rapidement soulagée par votre traitement, consultez de nouveau votre médecin.
- Vous ne devez pas arrêter brusquement votre traitement : votre médecin ou pharmacien vous indiquera la démarche qui consiste à réduire progressivement les doses.
- Un surdosage en tramadol peut conduire au décès.
Les médicaments concernés sont les suivants :
– Tramadol seul : BIODALGIC, CONTRAMAL, MONOALGIC, MONOCRIXO, OROZAMUDOL, TAKADOL, TOPALGIC, ZAMUDOL, ZUMALGIC et TRAMADOL GENERIQUES.
– En association avec du paracétamol : IXPRIM, ZALDIAR, TRAMADOL/PARACETAMOL GENERIQUES.
– En association avec du dexkétoprofène : SKUDEXUM.
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec source : ANSM.
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