Covid-19 : pourquoi des experts lancent-ils un appel pour distribuer de la vitamine D ?

Covid-19 : pourquoi des experts lancent-ils un appel pour distribuer de la vitamine D ?

 

Un certain nombre d’études scientifiques sont parues, proclamant les bienfaits de la vitamine D sur les formes graves de la Covid-19. Lundi 18 janvier, c’est au tour d’un comité d’experts francophones d’émettre des recommandations. 

Leur demande : distribuer de la vitamine D aux Français

Le but de la vitamine D serait de protéger la population des formes graves de la Covid-19, mais aussi de la prévenir. C’est ce que pensent 73 experts de la santé ainsi que 6 sociétés du monde savant, qui lancent un appel pour donner un supplément de cette vitamine à l’ensemble des Français. L’effet est protecteur pour la santé. Pour autant, elle ne remplace en aucun cas le vaccin et n’empêche pas les personnes de respecter les gestes barrières. Ce n’est pas un remède miracle, mais les experts ont regroupé toutes les connaissances relayées dans la littérature scientifique, qui commencent à se multiplier sur le sujet. C’est ainsi qu’ils ont constaté que la vitamine D possède des bénéfices pour l’organisme dans le cadre de la Covid. Les chercheurs d’une étude menée en Norvège et une autre, réalisée par l’Académie de Médecine avaient notamment recommandé de donner de la vitamine D aux personnes âgées et vulnérables, pour prévenir de la maladie. Selon le Dr Gérald Kierzek, le médecin urgentiste qui intervient au journal télévisé, « on observe simplement que les patients en réanimation et ayant des formes graves du Covid-19 avaient un déficit en vitamine D, et que ceux au contraire qui avaient une bonne dose de vitamine D, faisaient moins de formes graves ». Attention toutefois, cela ne veut pas dire que le risque est nul.

La vitamine D, quel rôle pour la santé ?

Selon le Professeur Cédric Annweiler, chef du service de Gériatrie au CHU d’Angers (l’une des six sociétés savantes) et spécialiste en vitamine D, cette substance a plusieurs impacts positifs sur la Covid-19. Parce que c’est une hormone sécostéroïde, elle est capable « d’activer ou de réprimer plusieurs dizaines de gènes » et par conséquent, prévenir et/ou améliorer les formes graves de Covid-19. Elle parvient à réguler la synthèse des protéines, notamment le récepteur ACE2, qui sert de porte d’entrée au coronavirus. D’autre part, elle permet à l’immunité innée (première ligne de défense) de s’adapter et d’activer une action anti-inflammatoire. Enfin, d’après le Professeur, « l’hypovitaminose D semble constituer un facteur de risque indépendant de forme grave de COVID-19 », sur lequel il est possible d’agir grâce à une supplémentation médicamenteuse. De plus, c’est une mesure simple, sans effets secondaires et peu onéreuse, puisqu’elle est remboursée par l’Assurance-maladie. La vitamine D doit être prescrite par un médecin et les doses doivent être respectées.

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Kayali, des parfums à fortes personnalités

Des millions d’abonné(e)s sur les réseaux sociaux, au moins autant d’utilisatrices à l’affût de chaque nouvelle actu make-up de la marque. Huda Kattan s’est érigée en quelques années au rang de grande prêtresse de la beauté. Avec Kayali, elle ajoute une corde supplémentaire à son arc et ça sent déjà le succès à plein nez.

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Le confinement a-t-il fait exploser la balance des Français ?

Véritable épreuve psychologique, le confinement a-t-il bouleversé les habitudes alimentaires et fait exploser la balance des Français ? À moins d’une semaine du déconfinement, une enquête de l’Ifop lève le voile sur l’impact que le huit clos imposé aux Français a eu sur leur corpulence, leur équilibre alimentaire et la manière dont les couples confinés ensemble se sont répartis la charge liée la préparation des repas.

Le confinement a-t-il fait exploser la balance des Français ?

Pixabay

Commandée par Darwin Nutrition, un site d’information et de conseil consacré à l’alimentation saine, cette étude permet pour la première fois de mesurer sur la base d’un échantillon conséquent (3000 personnes) les répercussions que la crise a eu à la fois sur l’alimentation des Français et le partage des tâches relatives à l’activité culinaire entre hommes et femmes. Riche en enseignements, cette enquête permet de tirer plusieurs leçons de la période de confinement :

1) Le poids des Français a évolué durant le confinement mais pas forcément dans le même sens

Déplacements moins fréquents, baisse de l’activité physique, grignotages accentués par l’anxiété liée à une situation générale incitant à la recherche d’aliments sucrés (biscuits, chocolat, gâteaux…) qui « rassurent » … Le confinement a indéniablement favorisé une prise de poids chez une majorité des Français (57%) : ces derniers rapportant avoir pris en moyenne 2,5 kilos depuis le 17 mars. Et alors même que l’excès de poids affecte beaucoup plus la gent masculine (58%) que féminine (41% [1]), le nombre de kilos pris durant le confinement s’avère sensiblement plus élevé chez les hommes (+ 2,7 kilos) que chez les femmes (+ 2,3 kilos).

Cependant, le poids n’a pas évolué dans le même sens pour tous. Ainsi, 14% des Français rapportent que leur poids « n’a strictement pas changé » durant la période de confinement. De même, 29% d’entre eux déclarent avoir perdu des kilos pendant cette période, notamment dans les rangs de ceux vivant seuls (33%) et ayant pu faire du sport tous les jours (43%).

Le point de vue de Quentin Molinié de Darwin Nutrition : “La prise de poids n’est pas un problème en soi, et était prévisible dans un contexte de stress et de dépense énergétique limitée. Plus de temps à la maison signifie plus de temps consacré à la préparation des repas mais aussi plus d’occasions de grignoter.”

2) Les kilos en trop s’avèrent une préoccupation beaucoup plus féminine que masculine

Dans un pays comme la France où le sous-poids des femmes est plus valorisé que dans le reste de l’Europe [2], l’évolution de la masse pondérale liée au confinement s’accompagne d’un dénigrement de sa corpulence plus prononcée dans la gent féminine que masculine.

En effet, alors même qu’après plusieurs semaines de confinement, la proportion de personnes en surpoids est plus faible dans la gent féminine (46%) que masculine (59%), les Françaises s’avèrent beaucoup plus nombreuses (61%) que leurs homologues masculins (47%) à être mécontentes de leur poids, sachant que leur insatisfaction est d’autant plus forte qu’elles ont pris du poids durant le confinement : 69% chez les femmes ayant pris des kilos depuis le 17 mars, contre 50% chez celles n’en ayant pas pris.

Si elle va dans le sens de précédentes enquêtes ayant mis en lumière une plus grande insatisfaction des Françaises à l’égard de leur poids [3], cette étude montre en tous que la « contrainte pondérale » pèse toujours plus sur les femmes que sur les hommes et ceci indépendamment de l’évolution récente ou du niveau réel de leur corpulence.

3) La lutte contre le surpoids : un effort qui passe plus un meilleur équilibre alimentaire que par un régime au sens strict

Quelle repose sur des éléments objectifs ou subjectifs, cette mésestime de sa masse pondérale incite sans doute les Français à envisager de manger plus équilibré à partir du 11 mai : une majorité de Français (56%) déclarent envisager de manger plus sain et équilibré lorsque le déconfinement aura lieu, sachant que cette proportion monte à 61% chez les personnes ayant pris du poids durant le confinement.

Sensiblement plus fort chez les femmes (60%) que chez les hommes (51%), ce désir de « faire attention » tient donc moins à la corpulence réelle des individus – qui reste plus problématique dans la gente masculine que féminine – qu’à leur désir de correspondre aux normes de minceur en vigueur. Le fait que plus d’un tiers des femmes trop maigres (35%, contre 10% des hommes) envisagent de manger plus équilibré à partir du 11 mai est d’ailleurs le signe que la minceur constitue toujours un enjeu féminin tant elle reste un critère étroitement associé à la beauté féminine.

En revanche, la proportion de Français ayant l’intention de suivre un véritable régime alimentaire, c’est-à-dire exercer une surveillance particulière de leur alimentation, est beaucoup plus limité (18%) tout en restant assez genré : 21% des femmes en envisagent un, contre 15% des hommes.

Symptomatique d’une volonté de se maintenir en bonne santé, le suivi d’un régime s’avère un indicateur précieux de l’intérêt porté à l’alimentation qui apparaît ainsi particulièrement élevé chez les mères de famille avec des enfants (30%).

4) La charge liée à la préparation des repas : une source de tensions conjugales plus forte que la question de l’alimentation équilibrée

Globalement, le caractère équilibré de la nourriture à acheter ne semble pas avoir été un sujet de tensions important au sein des couples – à peine plus d’un tiers d’entre eux s’est disputé à ce sujet depuis le 11 mai – même s’il semble sensiblement plus conflictuel chez les jeunes (45%) que chez les seniors (27%).

En revanche, le temps de préparation culinaire arrive en tête des sujets de tensions au sein des couples (42%), en particulier dans les générations les plus jeunes : 53% chez les personnes en couple de moins de 35 ans, contre 31% chez les seniors.

Cette plus forte tension tient sans doute au fait que le huit clos favorise une plus forte contestation de l’inégale répartition observée généralement en matière de temps de préparation culinaire : 1h12 par jour pour les femmes contre 22 minutes pour les hommes (toutes journées confondues) d’après la dernière enquête emploi du temps de l’INSEE en France (Nabli & Ricroch, 2012).

Tout d’abord, le confinement ne permet plus à certains hommes d’échapper à cette tâche en se prévalant d’une indisponibilité liée à l’exercice d’un travail rémunéré ou encore de déplacements en dehors du domicile pour des activités liées au foyer (ex : entretien de la voiture, transport des enfants, etc.). Ensuite, le nombre plus élevé de repas à préparer et l’augmentation fréquente du nombre de personnes par foyer s’est traduit par une surcharge globale de travail culinaire qui a rendu cette inégale répartition d’autant plus lourde à supporter qu’il était plus difficile à externaliser ou à alléger via des substituts marchands (ex : livraison de repas, achats de plats préparés…). Enfin, l’explosion du temps à consacrer aux enfants (ex : activités de soins, aide aux devoirs, loisirs…) à partir dès la fermeture des écoles a joué aussi un rôle dans la mesure où le travail éducatif et l’accompagnement scolaire revenant le plus souvent aux mères, celles-ci n’étant plus en mesure d’effectuer un travail qu’elles prenaient habituellement en charge…

5) Même en période de confinement, l’activité culinaire reste inlassablement une affaire de femmes…

Un des principaux enseignements de l’étude est que l’égal temps de présence des hommes et femmes au domicile n’a pas égalisé le temps consacré à la préparation des repas…

En effet, en ce qui concerne la préparation des repas, 71% des femmes estiment que cette tâche leur incombe le plus souvent, contre 21% qui considèrent que cette répartition est égalitaire entre les deux membres du couple et à peine 8% que c’est leur conjoint qui en fait le plus. Et si les regards croisés entre femmes et hommes ne sont pas complètement symétriques (par exemple 22% des hommes estiment qu’ils en font plus), il n’y en a pas moins une certaine convergence pour reconnaître que les femmes préparent davantage les repas au sein des foyers confinés.

Ainsi, cette étude confirme l’une des grandes constantes repérées concerne la division sexuelle des tâches relatives à l’alimentation (Warde et al., 2007), à savoir que l’activité culinaire reste inlassablement une affaire de femmes… La comparaison avec une enquête menée en 2017 montre que chez les couples hétérosexuels, la charge repose même un peu plus sur les épaules des femmes en période de confinement (60%) qu’auparavant (58%).

Une autre question de l’enquête montre d’ailleurs que peu d’hommes vivant en couple participent plus à l’élaboration des repas qu’avant le confinement : 21%, soit moins que le nombre de femmes (25%) mettant plus la main à la patte en période de confinement.

S’il a fortement baissé durant les dernières décennies, le temps de préparation culinaire reste en période de confinement une activité majoritairement féminine alors même qu’il appelle un ensemble de tâches qui pourraient être partagé (planification des menus, achats alimentaires, transport des achats, stockage des denrées alimentaires, anticipation et préparation des repas, service, vaisselle, rangement, etc.). En outre, les femmes conservent la « charge mentale » (Haicault, 1984) d’un approvisionnement anticipé qui n’est pas quantifié dans cette enquête.

Le point de vue de Quentin Molinié de Charlotte Jean : “Contrairement à ce que l’on aurait pu espérer, le confinement est loin d’avoir allégé la charge mentale – et la charge tout court – des femmes en matière de préparation des repas.”

6) Quel est l’impact du confinement sur les habitudes alimentaires des Français ?

Le “fait maison” a le vent en poupe : 42% d’entre eux consacrent plus de temps qu’avant à la préparation des repas, et 29% font plus d’aliments maison, comme le pain et les yaourts. Par ailleurs, 21% des Français déclarent avoir moins recourt aux livraisons à domicile. Consommer des produits locaux n’a jamais été aussi important : 35 % des sondés déclarent accorder plus d’importance au caractère local de leurs aliments depuis le 17 mars. La Ruche Qui dit Oui ! (réseau d’achat direct aux producteurs), par exemple, a ainsi vu son nombre de commandes tripler partout en France.

7) Vers une alimentation plus saine et respectueuse de l’environnement après le confinement ?

29% des français déclarent qu’ils accorderont plus d’importance à l’impact de leur alimentation sur l’environnement après le 11 mai. Sans surprise, les nouvelles générations sont particulièrement concernées : les jeunes, et notamment les étudiants, déclarent qu’ils accorderont plus d’importance à l’équilibre de leur alimentation post-confinement (42% des étudiants contre 33% toutes catégories confondues), et à l’impact de celle-ci sur l’environnement (37% des étudiants contre 29% toutes catégories confondues

POUR LIRE LES RESULTATS DE L’ETUDE, CLIQUEZ SUR LE LIEN CI-DESSOUS :

https://www.darwin-nutrition.fr/actualites/alimentation-francais

«  Étude Ifop pour Darwin Nutrition réalisée par internet du 24 au 27 avril 2020 auprès d’un échantillon de 3 045 Français âgés de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine »

[1] Santé Publique France – Bulletin épidémiologique hebdomadaire – 25 octobre 2016
[2] Thibaut De Saint Pol. Surpoids, Normes et jugements en matière de poids : comparaisons européennes. Population et sociétés, INED, 2009, 4 p.
[3] Thibaut de Saint Pol, « Surpoids, normes et jugements en matière de poids : comparaisons européennes », Population et sociétés, INED, n°455, 2009.
[4] Solenn Carof, « Le régime amaigrissant : une pratique inégalitaire ? », Journal des anthropologues, 140-141 | 2015, 213-233.

News Santé

Comment la pandémie a-t-elle impacté la démographie française ?

Comment la pandémie a-t-elle impacté la démographie française ?

Mardi, l’Insee a publié son bilan démographique annuel. Sans surprise, la pandémie a eu un impact majeur sur la démographie française. 

La croissance de la population ralentit

Malgré la pandémie, la population française a continué de croître, mais moins vite que les années précédentes. Au 1er janvier 2021, la France comptait 67 422 241 habitants, soit 0,25 % de plus qu’en 2019. Mais entre 2017 et 2018, la hausse était de 0,48 % et de 0,35 % entre 2018 et 2019. Cette baisse de la croissance, entre 2019 et 2020, s’explique en partie par l’épidémie de coronavirus.

L’espérance de vie a reculé

En 2020, l’espérance de vie a reculé de plusieurs mois en France. Un recul qui s’explique notamment par l’excès de mortalité due au Covid-19, bien qu’il ne s’agisse pas de la seule donnée. Les hommes ont perdu davantage d’espérance de vie moyenne (0,5 an) que les femmes (0,4 an). Ce qui fait passer l’espérance de vie moyenne des femmes à 85,2 ans et à 79,2 ans pour les hommes. 

Moins de naissances et plus de décès

En 2020, 740 000 bébés sont nés en France, soit 13 000 naissances de moins qu’en 2019, et 79 000 de moins qu’en 2014. Mais ce phénomène ne peut pas encore être directement imputable à la pandémie. Parallèlement, la pandémie a fait grimper le nombre de décès : 658 000 personnes sont décédées en France en 2020, toutes causes confondues, soit 7,3 % de plus qu’en 2019, selon l’estimation de l’Insee. La baisse des naissances et la hausse des décès entraînent donc un solde naturel très bas, à 82 000 contre 140 000 en 2019. Le plus faible depuis 1945.

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Les 20 races de chiens les plus populaires en France en 2020

Voici les 20 races de chiens préférées des Français selon les inscriptions à Société Centrale Canine (SCC), dans la mesure où celles-ci peuvent être représentatives de la population totale qui compterait sept millions de chiens.

La SCC, fondée en 1881, a pour but d’assurer l’amélioration et la reconstitution des races de chiens et de fédérer les Sociétés et les Clubs qui œuvrent dans le domaine.

En 2020, le nombre d’enregistrements a augmenté de manière significative avec 245 553 inscriptions, contre 233 802 en 2019.

Pour la 3e année consécutive, le berger australien, un chien « affectueux et énergique » dont les origines lointaines sont en France, vient en tête.

Des tendances constatées en 2019 se poursuivent, le Staffordshire bull terrier dépasse le berger belge et prend la deuxième place alors que le berger allemand continue sa perte de vitesse avec une baisse d’environ 2 % tout en restant dans le top 5.

Voici le top 20 des races avec leur nombre d’inscriptions.

  1. Berger australien, 16 782
  2. Staffordshire Bull Terrier, 12,221
  3. Berger belge, 12 144
  4. Golden Retriever, 12 060
  5. Berger allemand, 9 785
  6. American Staffordshire Terrier, 8,206
  7. Labrador, 7,813
  8. Cavalier King Charles, 6,827
  9. Beagle, 6,536
  10. Setter anglais, 6 046
  11. Cocker Spaniel, 6,036
  12. Bouledogue français, 5 572
  13. Epagneul breton, 5 198
  14. Chihuahua, 5 185
  15. Cane Corso, 5 055
  16. Husky de Sibérie, 4 129
  17. Teckel, 3 664
  18. Yorkshire, 3 555
  19. Shih Tzu, 3 488
  20. Spitz allemand, 3 428

Le succès du groupe I et du groupe V

« Les chiens de berger (Groupe I) séduisent toujours autant les amateurs de chien de race, en particulier ceux au morphotype proche de celui du berger australien, tels que le berger américain miniature et le border collie, souligne la Société Centrale Canine.

Il en va de même, dans le Groupe III, pour le Staffordshire bull terrier, l’american Staffordshire terrier, le bull terrier et le bull terrier miniature, des races qui plaisent toujours toujours autant depuis plusieurs années maintenant

Cependant, il faut souligner également l’intérêt croissant pour les chiens de type spitz et primitif (Groupe V) : le groupe comptabilise un total de 18 588 inscriptions, contre 17 056 en 2019. Une hausse qui s’explique par le succès du husky de Sibérie, mais aussi par la percée spectaculaire d’autres races comme le shiba (+13 % d’inscriptions en 2020), l’eurasier (+22 %) et l’akita (+12 %). Une expansion qui ne semble pas près de s’arrêter et qui pourrait bien chambouler le Top 20 d’ici quelques années. »

Les races de chiens sont regroupées en 10 groupes :

  • Groupe 1 : chiens de berger et bouviers (sauf bouviers suisses)
  • Groupe 2 : chiens de type Pinscher et Schnauzer (molossoïdes) chiens de montagne et bouviers suisses
  • Groupe 3 : terriers
  • Groupe 4 : teckels
  • Groupe 5 : chiens de type Spitz et de type primitif
  • Groupe 6 : chiens courants et races apparentées
  • Groupe 7 : chiens d’arrêt
  • Groupe 8 : chiens de rapport, chiens leveurs de gibier et chiens d’eau
  • Groupe 9 : chiens d’agrément et de compagnie
  • Groupe 10 : lévriers

Un 11e groupe réunit les races non reconnues par la Fédération Cynologique Internationale (FCI) ou qui sont en cours de reconnaissance. Près de 370 races sont reconnues par le FCI.

Pour plus d’informations sur les chiens, voyez les liens plus bas.

Photo : berger australien

Psychomédia avec sources : Société centrale canine, Fédération cynologique française, Wikipédia.
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Pfizer : le vaccin est-t-il efficace contre le variant anglais ?

Pfizer : le vaccin est-t-il efficace contre le variant anglais ?

Selon deux études préliminaires, le vaccin développé par les groupes pharmaceutiques Pfizer et BioNTech serait efficace contre les nouveaux variants, surtout le variant britannique.

Le vaccin Pfizer/BioNTech, efficace contre les variants ?

Selon l’Inserm, le variant anglais du Covid-19 pourrait devenir « dominant » en France d’ici « fin février/mi-mars ». Une équipe internationale de chercheurs d’universités britanniques et néerlandaises a donc réalisé deux études préliminaires afin de déterminer si le vaccin est efficace contre les nouveaux variants, notamment le variant anglais. Pour la première fois, ils ont analysé la réaction du vaccin avec le plasma de 36 patients qui ont été contaminés par la Covid-19, quel que soit le niveau de gravité de la maladie. « La majorité des échantillons » a réussi à « neutraliser » le variant, malgré que sa « puissance » ait été réduite. « Nos résultats suggèrent que la majorité des réponses vaccinales devraient être efficaces contre le variant B.1.1.7 » indiquent les scientifiques. 

La seconde étude, réalisée sur 16 participants, atteste d’un niveau de neutralisation « équivalente ». Le plasma des participants est entré cette fois-ci en contact avec les nouveaux variants du SARS-CoV-2. Les chercheurs indiquent donc qu’il est « improbable » que le variant anglais « échappe à la protection » du vaccin. 

Adaptation aux nouveaux variants

Dans le cas contraire, le groupe Pfizer/BioNTech compte la « flexibilité » de la technologie de ce vaccin à ARN messager, adaptant le vaccin à de nouveaux variants. Selon les chercheurs de BioNTech/Pfizer, le vaccin est donc efficace pour lutter contre une « mutation clé » comme les nouveaux variants britannique, sud-africain et brésilien. Dans tous les cas, les scientifiques ont indiqué qu’il est « important de continuer à surveiller les variants et d’évaluer in vitro leur impact sur la neutralisation ».

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Huile d’argan : ses bienfaits et ses usages

L’huile d’argan également appelée huile d’argane ou d’arganier est utilisée depuis des siècles par les femmes berbères pour ses propriétés nourrissantes. Souvent considérée comme miraculeuse, on prête à cette huile de nombreuses vertus tant sur le plan de la beauté que de la santé. Mais qu’en est-il vraiment de l’huile d’argan ? Focus sur ce produit beauté aux multiples vertus.

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Cancers de la peau : les bons gestes à adopter

Déconfinement, vacances d’été qui approchent… vous allez être de plus en plus nombreux à vouloir profiter des rayons du soleil qui, s’ils sont nécessaires à notre bien être, sont aussi très dangereux pour notre santé si on ne respecte pas un certain nombre de règles. C’est pourquoi la Ligue contre le cancer tient à rappeler les bons gestes à adopter face au soleil, responsable de 80% des cancers de la peau.

PublicDomainPictures/Pixabay

Le soleil est responsable de 80% des cancers de la peau. Ces derniers sont liés à des expositions excessives, notamment pendant l’enfance. En constante augmentation depuis 50 ans, les mélanomes cutanés, les plus graves des cancers de la peau, ont été estimés à 15 400 nouveaux cas par an, entraînant 1 780 décès. A l’occasion de l’édition 2020 de la Semaine Nationale de la Protection Solaire (du 20 au 28 juin) et au lendemain d’une longue période de confinement après laquelle les envies d’activités en extérieur sont plus fortes que jamais, la Ligue contre le cancer rappelle les réflexes à adopter pour profiter du soleil sans danger. L’occasion aussi pour l’association de mener une opération de sensibilisation destinée plus particulièrement aux jeunes et adolescents à travers 2 jeux éducatifs en ligne.

LE SAVIEZ-VOUS ? En France métropolitaine, les rayons UV du soleil sont très intenses de début mai jusqu’à fin août, et plus particulièrement en bord de mer ou en haute montagne. En atteignant la peau, les UVA et les UVB agressent les cellules cutanées et peuvent provoquer des dommages irréversibles dans les gènes des cellules exposées.

Cancers de la peau : les bons réflexes

La plupart des cancers de la peau sont évitables. Pour s’assurer de rester en bonne santé, il faut limiter les temps d’exposition et éviter à tout prix les coups de soleil, notamment lors de la petite enfance, car ils favorisent la survenue des mélanomes et des carcinomes basocellulaires. Les sujets blonds à peau claire ont un risque plus grand.

Il est possible de détecter des cancers de la peau dès leur apparition, en se faisant examiner régulièrement par un dermatologue :

– si vous présentez de nombreux grains de beauté,

– s’ils changent d’aspect et vous semblent avoir une coloration non homogène, être plus larges et

plus irréguliers que d’habitude

– si vous avez des antécédents familiaux de cancers de la peau.

La Ligue contre le cancer met en place des actions concrètes de prévention

La semaine de la protection solaire

Chaque année, les Comités départementaux de la Ligue contre le cancer organisent la Semaine de la protection solaire, pour sensibiliser aux risques et informer sur les gestes protecteurs, en particulier auprès des enfants. L’édition 2020, année particulière, sera synonyme de prévention, et d’information, pour ne pas oublier les bons gestes.

Le jeu “Good Ways Of Life”

La mission : aider Léo, Irène, Gary, Ugo et Elsa et leur entourage à éviter les pièges et les comportements les plus inconscients pour leur épargner un sort funeste. Good Ways Of Life, c’est 8 mini-jeux inédits à la dynamique haletante, des contenus humoristiques et intelligents, des dizaines de badges loufoques et fantaisistes.

Disponible sur Itunes, Google Play ou Youtube

Le jeu Cache-cache soleil

Un jeu gratuit en ligne et une application, pour apprendre aux enfants de 4 à 10 ans de manière ludique à bien se protéger du soleil et encourager les enfants à prendre des précautions simples pour éviter à la fois les coups de soleil et les problèmes à long terme.

Crédit/source : ligue contre le cancer

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Covid-19 : que sait-on du variant californien ?

Covid-19 : que sait-on du variant californien ?

Après les variants anglais, sud-africains et japonais, une nouvelle souche de SARS-CoV-2 a été détectée à Los Angeles, en Californie, et est en train de se propager à grande vitesse. 

Une flambée des cas à Los Angeles

Le New York Times rapporte qu’un nouveau variant du SARS-CoV-2, baptisé L452R, est en train de se propager aux États-Unis et notamment à Los Angeles, en Californie, où un foyer a été détecté. Le quotidien américain précise que 400 000 nouveaux cas de contaminations ont été enregistrés en seulement un mois, entre le 30 novembre et le 2 janvier 2021, un seuil qui avait été atteint au bout de dix mois d’épidémie auparavant. Pour l’heure, les États-Unis restent le pays du monde le plus touché par la pandémie avec plus de 24 millions de cas et plus de 400 000 décès. Le 19 janvier, 2572 personnes sont décédées de la Covid-19. 

« Un variant hautement transmissible »

Dans un communiqué du 17 janvier, le Département de la santé publique de Californie (CDPH), a annoncé, en coordination avec le comté de Santa Clara et l’Université de Californie à San Francisco (UCSF) qu’une variante du SARS-CoV-2 était de plus en plus identifiée par le séquençage génomique viral dans plusieurs comtés de l’État. Cette nouvelle souche inquiète parce qu’elle pourrait être « hautement transmissible ». « Ce variant comporte trois mutations, dont la L452R, contenue dans la protéine Spike, que le virus utilise pour se fixer et pénétrer dans les cellules, et qui est la cible des deux vaccins actuellement disponibles aux États-Unis », a déclaré le Dr Chiu » au CDPH. « Maintenant que nous savons que cette variante se propage sur notre territoire, nous l’étudions en priorité. Les chercheurs de l’UCSF et d’ailleurs vont l’analyser pour déterminer s’il est plus infectieux ou non, et s’il affecte la performance des vaccins », a-t-il précisé. 

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