Boostez la plasticité de votre peau avec Eneomey

Perte d’élasticité et de tonicité arrivent avec l’âge mais aussi par l’inflammation chronique des cellules due aux agressions quotidiennes qui dégrade la qualité de l’élastine, du collagène et de l’acide hyaluronique dans le derme. Pour aider la peau à réagir et à retrouver une nouvelle plasticité, Eneomey a créé tout spécialement la gamme Plasticité Rejuv, un duo de produits redensifiants dont les textures ont été travaillées avec précision pour offrir aussi une sensorialité unique.

Plasticité Rejuv ou toute l’expertise formulatoire d’Eneomey

Le Laboratoire Eneomey est spécialisée dans l’élaboration de programmes de cosmétologie dynamique mis au point avec l’expertise de dermatologues, de chirurgiens et de médecins esthétiques. Au coeur de chaque soin, une parfaite concentration en principes actifs pour une efficacité optimale sans jamais oublier la sensorialité et le confort. Le programme Plasticité Rejuv ne fait pas exception à la règle avec son nouveau duo de soins qui garantit une remise en forme de la peau grâce à des dosages précis d’actifs notamment d’acide hyaluronique de haut et bas poids moléculaire, et un bien-être profond de la peau grâce à des textures, émollientes et nourrissantes, ultra confortables.

Plasticité Rejuv, un duo gagnant pour une peau plus ferme, repulpée et gorgée de jeunesse

Le programme Plasticité Rejuv offre ainsi une synergie d’actifs qui redonne du tonus aux cellules, relance la production de collagène, d’acide hyaluronique et d’élastine tout en améliorant la qualité des fibres élastiques. Avec sa texture ultra fine et fondante, le Sérum Rejuv Elixium pénètre immédiatement au contact de la peau pour augmenter l’activité cellulaire. Son plus ? Son pack de haute technologie qui garantit une protection parfaite des formules. Quant à la crème anti-âge redensifiante Rejuv Silk, elle est gorgée d’un puissant concentré nutritif et hydratant pour un confort optimal. Et grâce à l’IA Control et Time Cell, des complexes d’actifs d’origine végétale qui combattent l’inflamm’aging et la sénescence cellulaire, elle augmente la capacité naturelle des cellules à se régénérer. A la clé, c’est une peau plus ferme, plus lisse, un ovale du visage remodelé.

(Programme Plasticité Rejuv, Eneomey. Disponible dans les points de vente agréés Eneomey et sur le e-shop www.eneomey.com. Sérum Rejuv Elixium, flacon airless 15 ml prix indicatif : 46 €. Rejuv Silk, pot 50ml, prix indicatif : 58 €)

Sous le sapin : six risques pour les enfants à prévenir

Le magazine 60 Millions de consommateurs de l’Institut national français de la consommation rappelle d’être vigilants face à différents risques graves pour les enfants que peuvent représenter certains cadeaux.

Les jouets et livres à piles boutons

« Ces petites piles plates et rondes, présentes dans les livres musicaux et divers jouets électroniques, sont normalement enfermées dans des compartiments sécurisés, fermés par des vis ou nécessitant deux manœuvres pour les ouvrir.

Mais malgré les obligations réglementaires et les contrôles effectués, ces piles peuvent s’avérer facilement accessibles. Ce fut le cas en 2017 avec des toupies lumineuses hand spinner ou, plus récemment, avec une lampe citrouille vendue chez Gifi pour Halloween.

Avant d’offrir un cadeau comportant des piles boutons, soyez donc vigilants : avalées, elles entraînent rapidement des lésions potentiellement mortelles, comme le rappelle l’Agence de sécurité sanitaire (Anses). »

« En cas d’ingestion, appelez immédiatement votre centre antipoison. »

Les produits imitant des aliments

« Un produit ressemblant à un aliment est dangereux s’il est susceptible d’être ingéré par un enfant. Parmi les produits souvent rappelés figurent les savons en forme de cupcakes ou de chocolats, qui non seulement en ont l’apparence, mais souvent aussi le parfum.

Des décorations en forme de fruits sont présentes également sur des savons ou des bougies. L’Anses cite encore des boules effervescentes imitant des bonbons ou des crèmes dépilatoires imitant des compotes à boire. Si ces produits sont rarement offerts à de jeunes enfants, évitez d’en offrir à leur entourage.

Attention aussi aux perles d’eau, ces objets de décoration ayant entraîné plusieurs accidents graves dont un mortel, il y a environ un an. »

Les peluches à sequins

« Les sequins, ces petites décorations brillantes largement employées sur les t-shirts pour enfants, ornent également désormais des peluches.

Or, comme on peut le constater sur le site européen de rappel de produits Rapex, ces sequins peuvent parfois se détacher et être avalés par un jeune enfant.

Non seulement ces brillants sont peu écologiques, mais ils présentent donc un réel risque d’étouffement. »

« En soi, ils sont sans danger, mais à condition d’être lavés avant le premier porter. Si vous savez que vous allez offrir le vêtement que l’enfant voudra immédiatement enfiler, n’hésitez pas à le laver avant de l’empaqueter. Vous pourriez lui éviter des allergies ou des irritations cutanées liées à des produits chimiques tels que les nonylphénols ou le formaldéhyde. »

Les slimes et pâtes à prout maison

« Pour les autorités sanitaires françaises, c’était la mise en garde de Noël en 2018 : la manipulation de pâtes à prout, ou slimes, était susceptible d’entraîner des réactions cutanées (irritations, brûlures, eczéma, démangeaisons…). Si les incidents liés à ces pâtes gélatineuses colorées semblent s’être raréfiés, la vigilance reste de mise. Certains slimes ont d’ailleurs été rappelés courant 2020.

Attention surtout aux préparations pour fabriquer ses propres pâtes : si vous souhaitez offrir de quoi faire une pâte personnalisée, préférez les kits vendus dans des magasins de jouets et présentant le marquage CE. »

Les jouets vintage

« Aujourd’hui, beaucoup de jouets d’antan ne sont plus “réglementaires” : risques de pincement, risques d’étouffement par des petites pièces, risques liés aux matériaux utilisés…

Une étude américaine parue en 2015 a ainsi mis en évidence des taux de métaux lourds importants dans une série de jouets datant des années 70 et 80, comme des poupées Barbie. »

Les vieux jouets en plastique sont plus toxiques que les neufs (plomb, cadmium…)

Covid-19 : 10 règles pour passer des fêtes de fin d’année en toute sécurité

Le SARS-CoV-2, virus responsable de la Covid-19, circule toujours fortement sur notre territoire et dans le monde entier. Alors, comment fêter Noël sans prendre le risque de contaminer ses proches ? Dans une interview accordée au quotidien La Voix du Nord, le Professeur Daniel Camus, de l’Institut Pasteur de Lille, dévoile ses 10 commandements pour protéger ses proches et se protéger soi-même pendant les fêtes.

Les masques qui permettent le mieux de se faire entendre

Des chercheurs américains, dont les travaux ont été publiés en octobre 2020 dans le Journal of the Acoustical Society of America, ont évalué les effets acoustiques des masques sur la parole.

Ryan M. Corey, de l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign, et ses collègues ont testé des masques médicaux, des masques chirurgicaux jetables, des masques avec des fenêtres en plastique transparent et des masques en tissu faits maison et achetés en magasin, faits de différents types de tissu et de différents nombres de couches.

En plus de recueillir des données à partir de la parole d’un humain portant les masques, ils ont mis les masques sur un haut-parleur spécial qui permettait que le son se diffuse comme s’il provenait d’une bouche humaine. Ils ont également placé le haut-parleur sur un plateau tournant pour ajouter une composante directionnelle.« Même si ces deux ensembles de données étaient un peu différents, ils montrent tous deux quelles fréquences sonores sont les plus affectées et quels masques ont les effets les plus importants », rapporte le chercheur.

Tous les masques atténuent le son à haute fréquence généré lorsqu’une personne prononce des consonnes. « Ces sons sont déjà un défi pour les personnes malentendantes, avec ou sans masque, et deviennent même un défi pour les personnes non malentendantes avec les masques », indique le chercheur.

Les masques bloquent également les indices visuels comme les expressions faciales et le mouvement des lèvres, de sorte que la lecture de la parole n’est plus possible. Or, presque tout le monde utilise la lecture labiale dans une certaine mesure, avec ou sans perte d’audition, ajoute-t-il.

« C’est pourquoi nous avons aussi testé les masques à fenêtre transparente qui sont devenus très populaires », dit-il. « Malheureusement, le compromis est que vous pouvez voir à travers, mais ils bloquent plus le son que tous les autres masques testés. »

Les masques chirurgicaux jetables offraient la meilleure performance acoustique.

Les masques 100 % coton tissés non serrés sont également très performants mais, comme le montre une étude menée par d’autres chercheurs de l’Université de l’Illinois, ils peuvent ne pas être aussi efficaces que les masques chirurgicaux pour bloquer les gouttelettes respiratoires.

Cette étude montrait que le coton tissé serré et les tissus mélangés peuvent bloquer plus de gouttelettes, mais l’équipe de Corey a découvert qu’ils bloquent également plus de sons.

Sur la base de l’étude des gouttelettes, Corey suggère que les masques multicouches en coton tissé lâchement pourraient offrir un compromis raisonnable entre l’efficacité de blocage des gouttelettes et la performance acoustique.

Noël : gare aux cadeaux anti-covid !

Noël : gare aux cadeaux anti-covid !

En pleine pandémie, les cadeaux anti-covid ont le vent en poupe. Une bonne idée pour aider ses proches à se protéger du virus ? Pas si sûr. Certains seraient même dangereux. 

Une lampe ou un boîtier à U.V

Depuis le début de l’épidémie de coronavirus, les lampes et boîtiers à U.V défilent sur les réseaux sociaux. Ils promettent de tuer 99,9% des virus sur nos téléphones, clefs et autres objets du quotidien. Pourtant, la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) mettait déjà en garde sur ces produits en mai dernier. Le problème, c’est qu’il n’existe aucune norme permettant de démêler le vrai du faux. « Il convient de se méfier des offres de ventes d’appareils germicides sur Internet, en particulier quand leur l’efficacité est très prometteuse et que le vendeur ne justifie pas des performances de son appareil ni n’indique les conditions et précautions d’utilisation », peut-on lire dans sa FAQ du 20 mai 2020. D’autant plus que les propriétés destructrices de ces produits s’appliquent aussi sur les cellules humaines, notamment en causant des brûlures de la peau ou de la cornée. De manière générale, les UV sont considérés comme cancérigènes.

La plante Artemisia annua

Disponible  sous forme de plante sèche, décoction, tisane ou gélules, la plante Artemisia annua est présentée comme une solution thérapeutique qui permettrait de prévenir et guérir l’infection à Covid-19. Or, dans un communiqué du 4 mai 2020, l’ANSM pointait du doigt ces fausses informations. « Ces allégations sont fausses et dangereuses : elles pourraient retarder une prise en charge médicale nécessaire en cas d’infection confirmée. En effet, les produits à base d’Artemisia annua n’ont jusqu’alors pas fait la preuve de quelconques vertus thérapeutiques ». Non seulement cette infusion est assez amère mais en plus, elle n’est d’aucune utilité contre le coronavirus alors épargnez ce cadeau à l’un de vos proches ! En fin de compte, le meilleur moyen de se protéger contre le virus, c’est de respecter les gestes barrières (port sur masque, lavage des mains, friction des mains avec du gel hydroalcoolique, distance sociale, aération des pièces) demeurent les seuls moyens efficaces de se protéger contre la Covid-19. 

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Partout dans le monde, les couleurs évoquent les mêmes émotions, ou presque

Partout dans le monde, les gens associent les couleurs à des émotions. On « voit rouge », on « a les bleus » ou on « devient vert de jalousie ».

Ces associations sont-elles universelles, ou sont-elles des créations culturelles apprises par le biais des langues et des traditions ? Pour répondre à ces questions, des chercheurs ont testé les associations émotionnelles avec les couleurs chez 4 598 participants de 30 nations parlant 22 langues maternelles.

Domicele Jonauskaite et Christine Mohr de l’Institut de Psychologie de l’Université de Lausanne ont, avec de nombreux collègues internationaux, demandé aux participants d’indiquer leurs associations entre 20 émotions et 12 couleurs et de spécifier l’intensité de leur association. Les moyennes de chaque pays étaient calculées et comparées.

L’étude, dont les résultats ont été publiés en septembre 2020 dans la revue Psychological Science, montre que les gens de différentes parties du monde associent souvent les mêmes couleurs aux mêmes émotions.
« Les associations couleur-émotion sont étonnamment similaires dans le monde entier. Les résultats révèlent un consensus global significatif », rapporte Daniel Oberfeld-Twistel, coauteur.

« Par exemple, dans le monde entier, la couleur rouge est la seule couleur qui soit fortement associée à la fois à un sentiment positif, l’amour, et à un sentiment négatif, la colère. » Le brun, en revanche, est la couleur qui déclenche le moins d’émotions à travers le monde.

Mais, les chercheurs ont également relevé certaines particularités nationales. Par exemple, le blanc est beaucoup plus étroitement associé à la tristesse en Chine que dans d’autres pays, et il en va de même pour le violet en Grèce. « Ce qui peut s’expliquer par le fait qu’en Chine, les vêtements blancs sont portés lors des funérailles et le violet foncé est utilisé dans l’Église orthodoxe grecque pendant les périodes de deuil ».

Le climat peut également jouer un rôle. Selon les conclusions d’une autre étude de l’équipe, le jaune tend à être plus étroitement associé à l’émotion de joie dans les pays qui voient moins de soleil, alors que l’association est plus faible dans les régions qui y sont plus exposées.

« Il est difficile de déterminer exactement quelles sont les causes des similarités et des différences mondiales », explique Daniel Oberfeld-Twistel. « Il existe toute une série de facteurs d’influence possibles. De nombreuses questions sur les mécanismes des associations couleur-émotion doivent encore être clarifiées ».

« Cependant, grâce à une analyse approfondie qui a inclus l’utilisation d’une approche d’apprentissage automatique développée par Oberfeld-Twistel, un programme informatique qui s’améliore au fur et à mesure que la base de données s’agrandit, les chercheurs ont déjà découvert que les différences sont moins grandes entre les nations qui sont proches linguistiquement ou géographiquement », ce qui témoigne d’une influence culturelle.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Johannes Gutenberg University Mainz, Psychological Science, .
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Le masque, un facteur aggravant pour les migraines ?

Le masque, un facteur aggravant pour les migraines ?

Si aucune étude scientifique ne peut encore prouver les effets secondaires causés par le port du masque, plusieurs personnes atteintes de migraines ont témoigné avoir souffert de maux de tête après avoir porté un masque de manière prolongée. C’est le constat que fait Sabine Debremaeker, présidente de l’association La Voix des migraineux.

Le masque pourrait déclencher des maux de tête 

Selon Sabine Debremaeker, présidente de l’association La Voix des migraineux : « un port prolongé de masque peut déclencher une migraine, même dans une pièce confinée, avec de l’air renfermé ». Ayant reçu plusieurs témoignages de patients migraineux qui affirment avoir davantage de maux de tête lorsqu’ils portent le masque de manière prolongée, Sabine Debremaeker l’explique par plusieurs raisons. 

D’une part, les maux de tête peuvent être causés par un manque d’oxygène. Selon elle, « les migraineux ont besoin de bien respirer, et de l’air le moins vicié possible. Par exemple, être dans une pièce sans aération avec un air confiné est déclencheur. D’ailleurs, pouvoir respirer de l’air pur peut parfois enrayer une crise, sortir de la pièce peut suffire ». Autres facteurs déclenchant les maux de tête liés au masque : la chaleur (on respire de l’air chaud) et les odeurs (comme la lessive dans le cas de masques lavables).

Encore peu d’études pour prouver les effets secondaires du masque

Si la présidente de l’association a déjà reçu de nombreux témoignages au sujet des maux de tête causés par le port du masque, il n’y a, pour l’heure, aucune étude qui démontre les effets indésirables du port du masque. Comme l’explique journal Alexandre Bellier, vice-président de Bibliovid , une association de veille scientifique sur le Covid-19 : « Le niveau de preuve reste assez faible et il manque de larges études bien conduites pour pouvoir avoir une meilleure idée de la fréquence de ces effets indésirables ». 

A ce jour, seul un article scientifique paru en juin dernier au ClinMed International Library y fait référence. L’article expose les résultats d’une étude menée aux Etats-Unis sur des soignants mobilisés lors de la crise du coronavirus. Sur 343 soignants, 245 avaient signalé souffrir de maux de tête après avoir porté des masques chirurgicaux de type FFP2 ou N95 (l’équivalent américain) de manière prolongée. Les maux de tête étaient d’ailleurs, l’effet secondaire le plus signalé.

Selon les chiffres de l’OMS, la migraine fait partie des trois premières maladies considérées comme invalidantes. Elle toucherait près de 20% de la population adulte en France d’après la Fédération française de neurologie. Pourtant, la migraine reste encore peu reconnue. 

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Surmonter la procrastination : une stratégie à emprunter aux personnes consciencieuses

Une étude a exploré l’utilisation des listes de choses à faire en relation avec la procrastination, rapporte le chercheur en psychologie Timothy A. Pychyl de l’Université de Carleton (Ottawa, Canada) sur le site Psychology Today.

Shamarukh Chowdhury, doctorante dans le groupe de recherche de Pychyl a recueilli des données auprès de 300 étudiants universitaires de premier cycle.

Ils ont rempli des questionnaires qui portaient sur les raisons, le moment et la manière dont ils créaient des listes de choses à faire, sur leur tendance à procrastiner et sur leur personnalité.

Plus de la moitié des participants (184) créaient des listes formelles et écrites de choses à faire, tandis que 51 créaient des listes plus aléatoires, par exemple sur une serviette de restaurant ou un bout de papier, et 65 ne faisaient que des listes mentales.

Les participants qui créaient des listes avaient tendance à moins procrastiner. Ceux qui créaient des listes formelles procrastinaient moins et avaient une plus grande tendance à être consciencieux que ceux qui utilisaient des listes aléatoires ou mentales.

TEST : Comment est votre tendance à la procrastination ?

De même, ceux qui utilisaient le plus souvent des listes ainsi que ceux qui faisaient des listes plus structurées, organisées et détaillées procrastinaient moins et étaient plus consciencieux.

« La tendance à être consciencieux (ou pas) est l’un des cinq “super traits” majeurs de la personnalité. » (Qu’est-ce que le modèle des cinq facteurs de la personnalité ?)

TEST : Quels sont vos grands traits de personnalité ?

« Du point de vue de la personnalité, c’est l’antithèse de la procrastination, car les personnes consciencieuses sont considérées comme disciplinées, organisées et non impulsives. C’est une véritable ressource de résilience lorsqu’il s’agit d’autorégulation. »

Ces résultats montrent une façon par laquelle la tendance à être consciencieux peut contribuer à réduire la procrastination, souligne Pychyl. Les listes de choses à faire pourraient bien être un mécanisme lié à la personnalité qui contribue à la poursuite fructueuse d’objectifs. Le fait de faire des listes, tout comme celui d’avoir une demeure bien rangée, pourrait être considéré comme un signe comportemental d’une tendance à être consciencieux, estime-t-il. (Une demeure encombrée est souvent le signe d’une tendance générale à la procrastination)

Les personnes peu consciencieuses pourraient avoir l’impression qu’utiliser des listes est une façon d’agir qui ne leur est pas naturelle.

L’étude montre que les femmes créent des listes plus souvent que les hommes et qu’elles créent des listes plus structurées, organisées et détaillées. Les hommes et les femmes ont pourtant tendance à être également consciencieux selon les tests de personnalité, ce qui suggère d’autres motifs. Le chercheur fait l’hypothèse, qui serait à vérifier, que l’anxiété pourrait pousser les femmes à faire plus de listes.

La personnalité n’est pas le seul facteur à intervenir, souligne le chercheur. Des attitudes telles qu’un plus grand engagement envers les tâches, la valorisation de celles-ci, l’intention de les terminer et une attente de performance étaient liés à une moins grande procrastination.

« Bien que les personnes plus consciencieuses puissent avoir une longueur d’avance en ce qui concerne ces attributs, nous pouvons tous travailler à renforcer notre engagement envers les objectifs, la valorisation des tâches, l’attente de réussite et l’intention d’achever les tâches. La personnalité n’est pas une fatalité », souligne le chercheur.

Pour ceux d’entre nous qui luttent contre la procrastination et qui se décrivent comme peu consciencieux, il est peut-être temps d’adopter une stratégie qui semble hors du naturel, ajoute-t-il. La création de listes de choses à faire pourrait bien être une habitude fondamentale qui fera une différence pour réussir à ce que les choses soient faites.

Pour plus d’informations sur la procrastination, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Psychology Today.
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Fibromyalgie et autres douleurs chroniques : l’implication du microbiote

Les recherches indiquent de plus en plus que les bactéries intestinales pouvaient jouer un rôle dans la douleur chronique et plus particulièrement dans la fibromyalgie, ont rapporté Amir Minerbi et Mary-Ann Fitzcharles de l’Université McGill (Montréal, Canada) en février dans la revue Clinical and Experimental Rheumatology.

La composition de la communauté bactérienne intestinale est modifiée chez les personnes atteintes de fibromyalgie, avec une abondance modifiée d’un petit sous-ensemble d’espèces bactériennes.

Certaines de ces espèces, dont l’abondance est diminuée ou augmentée, « ont une activité métabolique établie qui pourrait avoir une pertinence dans l’expression des symptômes de la fibromyalgie ».

Les mécanismes potentiels qui pourraient permettre à ces espèces bactériennes d’agir sur la douleur, la fatigue, l’humeur et d’autres symptômes incluent la rupture de la barrière intestinale, l’activation immunitaire et la sensibilisation des neurones sensoriels.

Les chercheurs détaillent les recherches publiées à ce jour sur le sujet ainsi que les résultats de leurs propres travaux. (Fibromyalgie : le microbiote varie avec la sévérité de la douleur)

Bien qu’il ne s’agisse que des premières étapes dans la compréhension du rôle du microbiome intestinal dans la douleur chronique et plus particulièrement dans la fibromyalgie, il est possible d’envisager des perspectives d’avenir encourageantes pour une meilleure compréhension des mécanismes de la fibromyalgie, le développement d’aides objectives au diagnostic et éventuellement de nouvelles modalités de traitement, concluent les auteurs.

En attendant d’en connaître davantage, les auteurs suggèrent que consommer plus de fibres et moins de sucres et de gras ne peut faire de tort et peut contribuer à améliorer la santé du microbiote.

Pour plus d’informations sur la fibromyalgie et sur le microbiote et la santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Clinical and Experimental Rheumatology.
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Coronavirus : situation en France

Santé publique France a mis à jour, le 29 février, une page d’information sur la situation épidémiologique des infections au Covid-19 en France.

Alors qu’au 29/02/20, 85 203 cas étaient confirmés dans le monde dont 79 251 en Chine, à 13 heures, 73 cas étaient recensés dans 11 régions de la France métropolitaine :

Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté, Bretagne, Grand-Est, Hauts de France, Ile-de-France, Normandie, Nouvelle-Aquitaine, Occitanie, Pays de la Loire, Provence Côte d’Azur.

Deux décès ont été rapportés en France depuis le 14/02/20 : un homme de 81 ans qui était hospitalisé à Paris, et un homme de 60 ans diagnostiqué fin février 2020 et hospitalisé à Paris.

« La période de suivi pour une personne en contact avec un cas confirmé est de 14 jours à partir de la date de son dernier contact avec un cas confirmé », précise Santé publique France.

« Des mesures spécifiques (appel téléphonique pour évaluation des symptômes, prise de température) sont définies selon la conduite à tenir en vigueur tenant compte du niveau d’exposition (faible, modéré/élevé). »

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