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3 femmes sur 4 touchées par une mycose vaginale au moins une fois dans leur vie

3 femmes sur 4 touchées par une mycose vaginale au moins une fois dans leur vie

Le 5 mars 2018

Démangeaisons ? Brûlures vulvaires ? Pertes blanches abondantes ? Vous faites peut-être partie des ces 75 % de femmes touchées au moins une fois dans leur vie par la mycose vaginale. Si l’infection est en général sans gravité, elle peut vite devenir très incommodante et il convient de la traiter rapidement.

La mycose vaginale, une affection bénigne aux causes multiples

Les infections vaginales, autrement appelées mycoses vaginales, sont causées 9 fois sur 10 par des champignons microscopiques appelés candida albicans, qui peuvent affecter n’importe quelle partie de l’organisme. L’origine de la mycose est complexe et résulte la plupart du temps d’une modification de la flore vaginale. C’est par exemple le cas lors de traitement antibiotique prolongé ou de port trop fréquent de serviettes hygiéniques. Le diabète, la grossesse, l’acidité vaginale, une contamination de l’intestin ou encore l’agression chimique par des savons trop acides sont autant de facteurs qui peuvent favoriser le développement d’une mycose vaginale.

Les symptômes de la mycose vaginale sont principalement des démangeaisons permanentes de l’entrée du vagin et de la vulve, qui est le plus souvent rouge et gonflée, des pertes blanches épaisses et crémeuses et parfois même des rapports douloureux ou des brûlures lors des mictions. Interrogé par nos confrères du Figaro, le Docteur Jean-Marc Bohbot, infectiologue spécialisé dans les infections urogénitales à l’Institut Fournier à Paris, précise que si elles sont très gênantes, les mycoses ne provoquent pas de complication. « Contrairement à certaines idées reçues, elles n’augmentent pas le risque de cancer du col ni celui de devenir stérile »

Un simple traitement local suffit en général à traiter la mycose vaginale

Si les symptômes de la mycose sont sans gravité, ils peuvent vite devenir très incommodants et l’infection ne disparaîtra que très rarement spontanément. Il existe des traitements sans ordonnance en pharmacie, mais il est toujours préférable de consulter un médecin, pour s’assurer qu’il s’agit bien d’une simple mycose. Consultez donc toujours votre médecin traitant ou votre gynécologue en cas de symptômes spécifiques.

Pour venir à bout de cette infection vaginale, un traitement local suffira dans la majorité des cas. Votre médecin vous prescrira en général une ovule vaginale, à introduire le soir pendant 1 à 3 jours, ainsi qu’une crème à appliquer plusieurs fois par jour sur les muqueuses externes. Les femmes sujettes aux mycoses à répétition devront quant à elles suivre un traitement plus lourd, pouvant aller jusqu’à 6 mois.

Afin de limiter les risques de développer une mycose vaginale, certaines précautions peuvent être prises au quotidien, comme l’utilisation pour votre toilette intime de produits d’hygiène doux, sans savon ni antiseptique et surtout, d’éviter la douche vaginale.

Aurélie Giraud

À lire aussi : Quels sont les types de mycoses existants ?

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Quel succès chez 600 personnes ayant l’intention de réduire leur consommation d’alcool ?

Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Addiction, ont vérifié à quel point la motivation de réduire la consommation d’alcool se traduit effectivement par une réduction.

Frank de Vocht de l’Université de Bristol et ses collègues ont mené cette étude avec près de 3 000 buveurs à risque dont la consommation était en augmentation ou élevée.

De ce nombre, 20 % rapportaient avoir l’intention de réduire leur consommation. Les principales raisons étaient de perdre du poids, d’améliorer la forme physique, d’économiser de l’argent et d’éviter les problèmes de santé.

Six mois plus tard, l’ensemble des participants avaient, en moyenne, légèrement réduit leur consommation. Ceux qui avaient une motivation initiale étaient trois fois plus susceptibles d’avoir fait une tentative, mais leur réduction n’a pas été plus grande que celle des participants qui ne rapportaient pas d’intention initiale.

« Malheureusement, bien que les gens commencent avec de bonnes intentions, nos résultats suggèrent qu’il faut quelque chose de plus pour que ces intentions fassent une différence », conclut le chercheur.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : University of Bristol, Addiction.
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L’odeur de leur conjoint réduit le stress des femmes

L’odeur de leur conjoint réduit le stress des femmes

Le 8 janvier 2018.

Les femmes sont sensibles aux odeurs, et celle de leur conjoint leur offrirait un réconfort immédiat, réduisant considérablement leur niveau de stress. Une équipe de chercheurs canadiens vient de le prouver dans une récente étude.

Les femmes sont plus sensibles que les hommes aux odeurs

Les femmes ont généralement un odorat plus sensible que les hommes et cette étude vient une nouvelle fois de le prouver, tout en apportant une information nouvelle : les odeurs familières, et notamment celles de leur conjoint, peuvent faire baisser les niveaux d’anxiété des femmes soumises à une situation potentielle stressante.

Pour parvenir à cette conclusion, ces chercheurs ont demandé à 96 couples de participer à une expérience. Au cours de cette dernière, des hommes ont dû, pendant 24 heures, porter un tee-shirt pour qu’il s’imprègne de leur odeur corporelle. Chaque vêtement a ensuite été donné à l’une des 96 femmes. Certaines se sont vu attribuer le tee-shirt de leur conjoint, d’autres celui d’un homme qu’elles ne connaissaient pas, et le dernier groupe, un tee-shirt propre et sans odeur.

Les odeurs étrangères provoquent un stress plus important

Ces femmes ont été invitées à sentir ce tee-shirt avant d’être soumises à une situation stressante matérialisée en une simulation d’un entretien d’embauche et des exercices de calcul. Durant toute la durée de cette épreuve, des scientifiques ont procédé à des prélèvements de salive afin de mesurer les taux de cortisol, l’hormone liée au stress, des participantes. Des questions relatives à leur anxiété leur ont par ailleurs été posées à l’issue de ce test.

En recoupant toutes ces données, les chercheurs se sont aperçus que les femmes qui avaient senti l’odeur de leur conjoint juste avant leur entretien avaient un taux de cortisol bien moins élevé que les autres. Les femmes qui avaient senti l’odeur d’un inconnu montraient, au contraire, des niveaux de stress plus importants. Un constat qui fait dire aux auteurs de cette étude que nous pourrions avoir hérité de nos ancêtres de la Préhistoire un réflexe de protection et de défense face à une odeur inconnue.

Gaëlle Latour

À lire aussi D’où viennent les odeurs corporelles ?

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Cyberpharmacies : quelles sont les règles de leur fonctionnement ?

Cyberpharmacies : quelles sont les règles de leur fonctionnement ?

Le 27 décembre 2017

Le 12 décembre 2017, l’association Familles rurales affirmait que deux tiers des sites Internet vendant des médicaments n’étaient pas dans les clous. Alors, quelles sont les règles auxquelles ces « cyberpharmacies » doivent se tenir ?

Vente de médicaments via Internet : des règles très précises

Les médicaments, on le sait, ne sont pas une marchandise comme une autre. Seules les pharmacies sont habilitées à en délivrer. Et ce n’est pas pareil qu’acheter une bouteille d’eau dans un supermarché. Le Code de la santé confère aux pharmaciens plusieurs missions lors de la dispensation d’un médicament : « l’analyse pharmaceutique de l’ordonnance médicale si elle existe, la préparation éventuelle des doses à administrer et la mise à disposition des informations et des conseils nécessaires au bon usage des médicaments ». Lorsque le médicament est commandé via Internet, les mêmes principes s’appliquent, et la marche à suivre est très encadrée par la loi.

Sur leurs sites Internet, les pharmacies sont tenues de proposer les produits sous forme de catalogue électronique avec des rubriques (sevrage tabagique, diabète, grossesse etc.). Une recherche par mot-clé peut également être offerte, mais n’est pas obligatoire. Lorsque le client met un médicament dans le panier, le site est tenu d’afficher sa notice, que le client doit lire et attester de sa bonne compréhension en cochant une case. En cas de doute, il doit pouvoir poser sa question au pharmacien via un formulaire (messagerie instantanée ou mail).

Commande de médicaments sur Internet : des garde-fous pour limiter les abus

Autre étape indispensable : comme lors d’une commande Internet le pharmacien ne voit pas le client, ce dernier doit remplir un court questionnaire en précisant son âge, son sexe, son poids, sa taille, ses traitements en cours, antécédents allergiques, contre-indications et, le cas échéant, son état de grossesse ou d’allaitement. Lors des commandes ultérieures, les réponses sont sauvegardées, il suffit de les mettre à jour en cas de besoin.

Une fois le questionnaire rempli et la commande validée, le pharmacien la prépare en s’assurant que les quantités de médicaments achetés ne dépassent pas celles qui ont été prescrites, ou, s’il s’agit de médicaments sans ordonnance, que les quantités commandées restent raisonnables.

Par ailleurs, pour éviter toute incitation à consommer des médicaments, les cyberpharmacies ne peuvent pas proposer des frais de port offerts à partir d’un certain montant, ni organiser des promotions de type « deux achetés, le troisième offert ».

Anton Kunin

À lire aussi : Les médicaments sont-ils moins chers sur Internet ?

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Deux psychologues seront jugés pour leur contribution à la torture de la CIA

Deux psychologues qui ont aidé à concevoir et à administrer le programme d’interrogatoire de la CIA après le 11 septembre subiront un procès en septembre.

Un tribunal fédéral de l’État de Washington a autorisé, le 7 août, la tenue d’un procès devant jury, rejetant ainsi les tentatives du gouvernement d’obtenir un règlement négocié afin d’empêcher un procès public.

La poursuite, engagée par l’American Civil Liberties Union (ACLU) au nom de trois anciens prisonniers, vise deux psychologues, James Mitchell et Bruce Jessen, recrutés par la CIA en 2002 pour concevoir et aider à mener des interrogatoires.

Les deux premiers prisonniers, le Tanzanien Suaniman Abdullah Salim et le Libyen Mohamed Ahmed Ben Soud, ont été libérés après plusieurs années de détention, alors que le troisième, Gul Rahman, est mort d’hypothermie dans une cellule de la CIA en 2002.

Les psychologues auraient reçu 80 millions de dollars pour leur travail, selon l’AFP.

« La décision du tribunal signifie que pour la première fois les personnes responsables du programme brutal et illégal de torture de la CIA seront confrontées aux conséquences judiciaires de leurs actes », a déclaré l’avocat de l’ACLU, Dror Ladin, dans un communiqué.

Les deux psychologues ont notamment souligné que la décision d’utiliser ces méthodes de torture a été prise par la CIA et approuvée par le ministère de la Justice et, qu’ils ne peuvent donc pas être tenus responsables.

Torture : après des années de mensonges, l’American Psychological Association s’excuse pour sa collaboration (2015)

Psychomédia avec sources : Le Devoir (AFP), Washington Post (Associated Press)
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Cancer : réparer l’horloge biologique des tumeurs pour ralentir leur développement

Agir directement sur l’horloge biologique d’une tumeur cancéreuse permettrait de ralentir son développement, selon une étude québécoise publiée dans la revue BMC Biology.

La plupart des cellules du corps ont une horloge interne qui rythme les activités des organes selon l’heure du jour. Les cellules tumorales ont souvent une horloge qui est déréglée ou non fonctionnelle.

« Des indices laissaient penser que cela contribuait à une croissance rapide des tumeurs, mais cela n’avait jamais été prouvé. Grâce à un traitement chimique ou thermique, nous avons réussi à “réparer” l’horloge de ces cellules et à lui faire retrouver un fonctionnement normal. Dans ces conditions, la croissance de la tumeur chute presque de moitié », explique Nicolas Cermakian, directeur du laboratoire de chronobiologie moléculaire de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas.

Cette démonstration a été faite sur des souris mais elle permet d’entrevoir de nouvelles façons de traiter le cancer chez l’humain.

« Activer l’horloge biologique des tumeurs pourrait devenir une approche novatrice pour ralentir la croissance d’un cancer ou de métastases. Cela permettrait de donner plus de temps aux gens de recourir à des interventions plus traditionnelles comme la chirurgie ou la chimiothérapie, ajoute M. Cermakian. Il reste maintenant à montrer que nous pouvons agir de la même façon sur les horloges de tumeurs humaines. »

Silke Kiessling, stagiaire postdoctorale dans l’équipe de Nicolas Cermakian, et ses collègues « ont réussi à intervenir sur les horloges biologiques de deux types de cellules cancéreuses — peau et colon — et à les faire fonctionner correctement. Testée sur des souris ou en culture cellulaire, cette réparation a ainsi permis de ralentir la croissance de la tumeur cancéreuse. Après une semaine environ, la taille de la tumeur ainsi traitée était de 2/3 inférieure à celle de la tumeur témoin. »

Ce nouveau concept permettrait d’envisager à long terme une amélioration du traitement du cancer chez les humains, estiment les chercheurs.

Cancer : la chronothérapie qui tient compte des rythmes biologiques améliore le traitement

Psychomédia avec sources : Université McGill, BMC Biology.
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Les complémentaires ouvrent leur site pour faciliter la généralisation du tiers payant

Les complémentaires ouvrent leur site pour faciliter la généralisation du tiers payant

Avec le tiers payant, n'avancez plus d'argent à votre médecin

Afin de faciliter les échanges entre professionnels de santé et complémentaires santé, ces dernières ont créé le site Internet : www.tpcomplementaire.fr.

Simplification pour la gestion du tiers payant

Les professionnels de santé particulièrement réticents au passage de la généralisation du tiers payant vont pouvoir se réjouir : les complémentaires santé ont tenu leur promesse de simplifier la généralisation du tiers payant en créant un site Internet. Ce site a l’avantage de permettre la signature en ligne d’un contrat de tiers payant avec l’ensemble des complémentaires santé et des opérateurs de tiers payant adhérents à l’Association des complémentaires santé (90 % des assurés pourront ainsi bénéficier de ce service de tiers payant complémentaire).

En quoi c’est mieux ? Avant les professionnels de santé devaient signer des contrats avec chaque organisme séparément. Une vraie mesure de simplification qui rassurera surement les médecins, les auxiliaires médicaux (infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, orthophonistes, orthoptistes, podologues, pédicures, etc.), les sages-femmes et les centres de santé.

Seuls les pharmaciens et les biologistes bénéficient déjà du dispositif du tiers payant avec des outils efficaces, et ne seront ainsi pas sur le site des complémentaires santé.

Le site permet également d’accéder :

  • A une attestation de tiers payant harmonisée pour les assurés
  • A la vérification des droits des patients, pour assurer le paiement sur le part complémentaire
  • Au suivi des paiements automatisés

Pour toute question relative au tiers payant complémentaire, les professionnels de santé peuvent joindre le 0 806 800 206, (appel non surtaxé). Une aide peut également leur être apportée pour leur inscription.

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Entre la drogue et les écrans, les jeunes ont fait leur choix

Le 9 décembre 2016.

Selon le nouveau rapport de l’Observatoire français des Drogues et des toxicomanies (OFDT), les jeunes passent plus de temps devant les écrans et découvrent la drogue plus tard.

Addictions aux écrans

À tous les parents qui pensent que les écrans sont en train de prendre trop de place dans la vie des adolescents, sachez que cela peut les détourner de la drogue et de l’alcool, pendant un certain temps. Selon les données de l’OFDT, en 2014, en moyenne, les jeunes ont fumé leur première cigarette à l’âge de 14 ans (8 mois plus tard par rapport à 2014) et leur premier joint à 15,3 ans (4 mois plus tard).

Ce manque d’attrait pour l’alcool et les drogues s’expliquerait par une autre addiction : celle des écrans. De 2003 à 2015, la part des jeunes qui vont quotidiennement sur Internet est passée de 23 % à 83 %, selon le rapport. « La génération née entre 2000 et 2005 passe beaucoup plus de temps connectée aux écrans que la précédente, ce qui est de nature à éloigner ces jeunes d’un certain nombre d’opportunités de consommer, notamment hors du regard des adultes référents », souligne François Beck, directeur de l’Observatoire.

Changements de mode de vie

Mais ce n’est pas la seule explication. De plus en plus de parents ont décidé d’arrêter de fumer. Le jeune étant moins confronté à la cigarette au quotidien, il est moins tenté d’essayer. Cette modification du mode de vie se constate aussi avec l’alcool. De nombreuses campagnes de sensibilisation ont mis en lumière les dangers de ces comportements pour la santé. Si les parents ont été touchés, il semblerait que les jeunes aussi.

« Les parents de ces jeunes-là sont eux-mêmes moins consommateurs que les générations précédentes », explique François Beck, sur France Info. « Or jusqu’à au moins 12-13 ans, le premier modèle des enfants, ce sont les parents. La prévention elle aussi fonctionne. Encore faut-il qu’on laisse les actions de prévention s’installer dans le temps. »

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Cancer : les seins ont leur propre microbiome

Le 11 octobre 2016.

On sait depuis des décennies que les grossesses, ainsi que l’allaitement, réduisent les risques de développer un cancer du sein, en particulier les grossesses avant l’âge de trente ans. Mais jusqu’ici, on ne savait pas pourquoi.

Des bactéries favoriseraient certains cancers du sein

Des chercheurs canadiens viennent de comprendre ce qui prédispose certaines femmes à développer un cancer, ou au contraire, les protège. En analysant des prélèvements tissulaires réalisés sur des femmes suivies pour des tumeurs soit bénignes, soit cancéreuses, et en les comparant à des prélèvements réalisés sur des femmes sans tumeur, ils ont découvert que les prélèvements contenaient tous plusieurs variétés de bactéries en quantité variable, comme dans la flore intestinale. 

Et évidemment, en creusant un peu, ils se sont rendu compte que les prélèvements des femmes atteintes d’une tumeur  contenaient significativement plus de staphylocoques et de bactéries enterobacter ou bacillus. Autant de bactéries connues pour leur capacité à endommager l’ADN humain, et donc, risquer de provoquer des cancers. 

À l’inverse, dans les prélèvements réalisés sur les femmes saines, le nombre de lactocoques et de streptocoques était significativement plus élevé. 

Cancer du sein : il serait possible de stimuler les bactéries protectrices

Leur conclusion est simple : non seulement des bactéries sont présentes naturellement dans les seins, chez toutes les femmes, mais la présence et le nombre de certaines protège, ou au contraire, favorise le développement de tumeurs. Et selon eux, il est possible de modifier cette répartition, en stimulant la présence de bactéries protectrices, notamment par la prise de probiotiques favorisant les lactobacilles notamment.  

Pour l’instant, il ne s’agit encore que d’hypothèses, mais il y a fort à parier que de nouvelles études viendront confirmer, ou infirmer, cette voie prometteuse, qui permettrait de prévenir les cancers du sein et de favoriser les bactéries pouvant en réduire le risque…

À lire aussi : 17 produits chimiques favorisent le cancer du sein

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Des jambes au top de leur forme avec Lytess

Spécialiste de la minceur depuis 2003, le savoir-faire de Lytess repose sur la dermotextile, l’alliance de la cosmétique microencapsulée et du textile, qui offre à chaque femme un amincissement sur-mesure.

Avec plus de 8 millions de pièces vendues en 10 ans, Lytess a largement fait ses preuves.

Ce qui ne l’empêche pas de continuer d’être à la pointe de l’innovation. La marque lance en effet une nouvelle solution amincissante high tech : le Collant Jambes Légères et Minceur.

A la fois accessoire de mode et soin beauté, ce collant en maille microfibre 70 deniers apporte un bien-être quotidien aux jambes et une action minceur en seulement 10 jours.

D’un côté, l’effet mécanique du tricotage à compression dégressive exerce un massage en continu de la cheville à la cuisse pour une action stimulante de la circulation sanguine. Une action complétée par la présence d‘actifs cosmétiques comme la vigne rouge, le petit houx et l’algue rouge reconnus pour leurs vertus drainantes.

Pour une action minceur, le Collant Jambes Légères et Minceur associe caféine et forskoline encapsulés avec différentes zones de tricotage sur le panty 140 deniers. Un plastron qui garantit un ventre plat et une structure push up qui galbe quant à elle joliment les fesses.

Résolument mode avec son allure délicatement opaque et résistant à toute épreuve, ce collant décliné en trois couleurs – noir, capuccino et gris – sera notre meilleure astuce pour nous faire de belles jambes, fines et légères, tout l’hiver.

(Collant Minceur Jambes Légères, Lytess®. Disponible en pharmacies, parapharmacies et sur www.lytess.com. Prix indicatif : 29,90 €)


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