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L’ocytocine pourrait aider les autistes à mieux interagir avec leur entourage

Egalement appelée hormone de l’amour, l’ocytocine pourrait aider les personnes autistes à mieux comprendre les émotions et les expressions faciales.

Un « pschitt » d’ocytocine pourrait aider les personnes autistes à mieux identifier le caractère des personnes qui les entourent à travers les émotions et les expressions faciales. Ce qui leur permettrait de mieux interagir dans diverses situations sociales.

Des chercheurs de l’Université de Tokyo ont en effet découvert qu’une dose d’ocytocine, administrée sous forme de spray nasal, stimulait une zone du cerveau qui traite l’émotion et l’empathie.

Des essais avaient déjà été menés auprès d’enfants autistes au cours de leurs thérapies comportementales. L’utilisation de sprays d’ocytocine immédiatement avant la thérapie avaient pour effet d’en accroître les effets bénéfiques.

D’autres essais avaient été menés auprès d’adultes souffrant d’une forme d’autisme de haut niveau (comme le Syndrome d’Asperger), c’est-à-dire une forme d’autisme où la personne est capable d’interaction sociale à des degrés divers et pour lesquelles la coupure avec le monde n’est pas totale.

Mais cette fois, les chercheurs japonais ont administré un pschitt d’ocytocine à des autistes de bas niveau, qui s’appuient plus facilement sur les indices non verbaux et les expressions faciales. Un scan du cerveau effectué 90 mn après avoir reçu l’ocytocine, a révélé que l’activité de la zone du cerveau responsable du traitement des émotions avait augmenté considérablement.

« Par conséquent, les personnes autistes présentant des déficits dans la communication non verbale et l’interaction pourraient bénéficier de l’administration d’ocytocine », avance le co-auteur de cette étude Hidenori Yamasue.

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Films porno : les jeunes hommes complexent sur la taille de leur pénis

Un tiers des hommes de moins de 25 ans ont été complexés par la taille de leur sexe en regardant un film X. Une tendance largement influencée par la consommation croissante de pornographie en ligne.

Alors que la deuxième édition du concours du plus petit pénis se tiendra à New York le 14 juin prochain, l’institut de sondages Ifop publie une étude selon laquelle les sexes surdimensionnés des films X auraient un effet anxiogène sur les jeunes hommes. Près d’un Français sur deux a déjà visionné un film porno. Résultat : de plus en plus de jeunes filles optent pour l’épilation intégrale, et les jeunes hommes se posent des questions sur la taille de leur sexe. Plus d’un tiers (34%) des moins de 25 ans admet avoir été complexé sur la taille de son pénis en regardant un film pour adulte.

Un phénomène de masse

Environ 61% des jeunes hommes sont également convaincus que la taille du pénis joue un rôle essentiel dans le plaisir féminin, alors que la majorité des hommes (56%) et des femmes (63%) pensent l’inverse. Les films X influencent de plus en plus le comportement de la nouvelle génération. Près de 60% des moins de 25 ans, garçons et filles confondus, ont déjà reproduit une position vue dans un film pornographique.

« La consommation de pornographie en ligne est devenue un phénomène de masse dont l’impact sur la sexualité des Français ne se limite pas qu’au visionnage passif d’images pornographiques », observe l’Ifop. En effet, près de 11% des Français avouent avoir filmé leurs ébats pour pimenter leur vie de couple, face à 6% en 2009.

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Ce qui se passe quand mes patientes font une fausse-couche alors que leur fœtus est quasi viable

J’ai su que la grossesse de la patiente était terminée en entendant mes collègues en parler au téléphone. A l’étage d’obstétrique, ma tournée des patientes post-partum touchait à sa fin et j’étais en train de terminer la mise à jour de leurs dossiers. A l’autre bout de l’hôpital, on m’attendait en chirurgie.

La patiente avait été admise pour des problèmes mineurs –de légers saignements vaginaux, quelques crampes– à 19 semaines de gestation, mais au matin, les choses avaient empiré. «Le col est ouvert, c’est un avortement inévitable», avait dit ma collègue, usant d’un terme médical et vaguement poétique pour parler d’une grossesse concrètement terminée. La grossesse était pré-viable –moins de 24 semaines, en gros–, et il n’y avait donc aucun moyen de maintenir le fœtus à l’extérieur du corps de la patiente. Ma collègue avait eu les urgences au téléphone et tout le monde s’était mis d’accord pour faire monter la patiente en obstétrique. «On pourra la surveiller, avait-elle dit. Si c’est nécessaire, on pourra s’occuper de la fausse couche.»

Vingt minutes plus tard, je suis toujours dans le bureau des infirmiers à essayer d’en finir avec mes notes quand j’entends beaucoup de bruit dans le couloir. Une femme, sur un brancard, se tord de douleur. L’ambulancier fait tout ce qu’il peut pour l’emmener au plus vite dans une chambre libre. La mère de la patiente hurle sur l’ambulancier, sur les infirmières qui affluent autour du brancard, sur moi. 

Je ne suis pas censée être son médecin, mais comme je suis là, je le deviens. Je lui parle. Je la mets dans un lit plus confortable et je lui explique ce qu’on lui a déjà dit. Je lui propose de la morphine; je l’avertis que cela pourrait jouer sur sa mémoire, mais elle me remercie et accepte. Dix minutes plus tard, elle accouche d’un petit fœtus cireux, sa translucide proto-peau est recouverte de bleus, puis d’un minuscule placenta. Le fœtus ne manifeste aucun mouvement spontané et n’a pas le moindre pouls.

J’emmaillote le fœtus dans une couverture et je lui mets un bonnet –c’est l’usage. Comme ça, il a l’air plus grand, il ressemble davantage à un bébé né à terme. La chose reste toujours minuscule, les yeux à peine formés ont toujours l’air d’appartenir à un extraterrestre, mais avec la couverture, sa forme est plus familière, elle donne l’impression d’un peu plus de substance. Je mets le petit paquet dans les bras de la patiente. Sa mère, désormais abattue, est au téléphone, les épaules basses, comme recroquevillée sur elle-même. «Elle a perdu le bébé», dit-elle dans un sanglot. «Le bébé… il est parti.»

* * *

Au pays du deuil, il n’y a pas de monnaie. Il n’y a pas d’égalité non plus, et il n’y en aura jamais. Ma tragédie est différente de la vôtre. Même si les événements sont les mêmes, nous sommes des personnes différentes, dans des contextes différents, avec des réactions et des choix différents. Au pays du deuil, il n’y a pas d’échange possible –pas parce que c’est physiquement impossible, mais parce que même si c’était le cas, les tragédies ne seraient pas les mêmes. Ma tragédie est différente de la vôtre.

Est-ce tout particulièrement vrai des fausses-couches survenant au second-trimestre? Elles ont toujours semblé si limites, si surréalistes; une tragédie tellement différente selon la réalité de la personne qui la traverse. La grossesse est assez avancée pour que la femme ait parfois senti des mouvements fœtaux à l’intérieur de son corps. Elle peut même croire que les risques de fausse-couche sont derrière elle –elles surviennent principalement au cours du premier trimestre. La grossesse est aussi suffisamment établie pour que, contrairement aux fausses-couches du premier trimestre, il y ait un organisme identifiable. Parfois, il a même un rythme cardiaque, des mouvements, et il met du temps à nous quitter.

Mais tout cela se déroule avant 24 semaines. Avant même 23 semaines, ou 22 semaines et demie, avant les limites de viabilité toujours fluctuantes fixées par la bioéthique et la science. A ce jour, nous ne pouvons rien faire pour que cette grossesse se poursuive à l’extérieur de l’utérus maternel. A ce stade, il n’a jamais eu la moindre chance.

Au pays du deuil, les chemins sont nombreux, et une fausse-couche au second trimestre fait incontestablement partie des plus horribles. Mais, à mon avis, c’est aussi là que son caractère incontestable trouve sa fin. Comme beaucoup de choses liées à la grossesse, cette chose dépasse la réalité physique, que ce soit en faiblesse ou en puissance. Il s’agit d’un potentiel, d’une réflexion, d’une aspiration, d’un vide.

Ce qui ne veut pas dire que le fœtus n’était pas l’enfant de quelqu’un ou que la patiente n’était pas une mère.

Parfois, l’incontestable, c’est de croire que ces choses sont vraies. Et c’est une vérité absolue.

Parfois, l’incontestable, c’est de croire que ces choses ne sont pas vraies. Et il s’agit, là aussi, d’une vérité absolue.

Pour y avoir passé un long moment, je sais que le pays du deuil ne connaît que les lois de ses habitants.

* * *

Plusieurs années auparavant, j’étais en train de conclure une nuit difficile aux urgences. Mon biper a sonné juste au moment où ma garde allait prendre fin. Une femme de 29 ans, avec un historique de grossesse sans complication, vient d’arriver. Elle en est à 15 semaines et elle a mal. Le médecin chef est inquiet.

Dans la salle d’examen, la patiente me dit qu’elle est enceinte et qu’elle se fait en général suivre en centre-ville. Si elle est dans le quartier, avec son mari, c’est que leur fils de 4 ans est hospitalisé en pédiatrie pour un cancer rarissime du cerveau. Aujourd’hui, il vient d’être opéré, on lui a posé un Port-a-Cath. Rien de bien méchant, mais son fils est toujours pris de panique quand il se réveille d’anesthésie. Alors il faut qu’elle y retourne, quand bien même la douleur, intense, se lit sur son visage. 

Je l’examine. Le col est complètement effacé: elle est sur le point de faire une fausse-couche. Je le lui dis et elle hoche la tête. Elle s’en doutait. Je lui parle de l’âge gestationnel, de la viabilité, lui explique qu’on ne pourra rien faire. Encore une fois, elle hoche la tête. Je lui propose de la morphine, qu’elle refuse. Je lui dis qu’une ou deux poussées seront sans doute suffisantes.

Le fœtus émerge d’entre ses jambes. Il est coiffé, la poche des eaux est encore intacte, et c’est une structure nacrée, translucide, qui tombe sur le bassin en plastique du brancard. Je n’ai encore jamais rien vu de tel à un âge gestationnel aussi avancé. Le globe est complet, parfait. J’aperçois l’ombre du fœtus au pôle sud. La patiente saigne à peine.

Je ne sais pas quoi faire. Percer la membrane? Emmailloter le fœtus comme d’habitude? Est-ce qu’elle veut le voir, passer du temps avec lui, pleurer?

«Docteur, je suis désolée», me dit-elle.

«Il faut… si c’est possible, je dois partir. Je dois redescendre en pédiatrie. A l’heure qu’il est, je peux encore arriver avant qu’il se réveille et panique. Je dois aller rejoindre mon bébé.»

Chavi Eve Karkowsky
Chavi Eve Karkowsky est une spécialiste des grossesses à haut risque, ou médecine foeto-maternelle. Elle exerce à New York.

Traduit par Peggy Sastre


A votre santé! – Slate.fr

Les pères aussi ont leur rôle à jouer pour faire des bébés en bonne santé

«Hommes et femmes contribuent de façon égale à la reproduction.» Voilà ce que l’on peut lire dans un article publié par le journal Gender and Society sur la façon dont le rôle des hommes dans la fabrication des bébés a été culturellement diminué.

C’est une phrase douloureusement évidente, qui pourtant supporte encore la répétition, tant nous sommes obbsédés par la santé et le comportement des femmes avant la conception et pendant la grossesse. Par exemple, l’article le plus partagé du site du New York Times au moment où je tape ces lignes traite de comment l’alimentation des femmes peut affecter le bébé qu’elles portent. Alors qu’on mentionne à peine comment les comportements masculins peuvent affecter la qualité du sperme.

L’étude, intitulée «Plus ou moins plutôt qu’égaux: comment les hommes influent sur l’équation reproductive», constate que depuis 2004 le Centre pour le contrôle des maladies et la prévention (CDC) a recommandé aux personnes des deux sexes qui envisagent d’avoir un enfant de surveiller leur santé de plus près –mais en pratique, cette recommandation est généralement adressée aux seules femmes, qui se voient maintenant conseillées d’envisager leur grossesse sur douze mois. Cela signifie ne plus boire d’alcool et prendre des vitamines prénatales avant même d’avoir conçu.

Une étude encore récente a démontré que le comportement des hommes avant la conception a un impact. D’après le CDC, le tabac et la consommation excessive d’alcool peuvent endommager l’ADN des spermatozoïdes, et on commence à peine à comprendre comment l’âge du père peut affecter sa progéniture. La seule situation où la santé pré-conceptionnelle des hommes est examinée, pointent les auteurs, est en cas de don à une banque de sperme, où la semence masculine est scrutée comme nulle part ailleurs.

Les auteurs de l’étude, Rene Almeling (Yale) et Miranda Waggoner (Princeton), arguent que l’hyper-attention portée au corps des femmes avant et pendant la reproduction a mené à un manque de recherches sur la contribution masculine à la conception. Il devrait y avoir plus de recherches sur le comportement des hommes avant la conception, mais sur un plan plus individuel, les médecins devraient demander à leurs patients masculins s’ils envisagent d’avoir des enfants, de la même façon qu’on le demande aux femmes lors de leur visite annuelle chez le gynécologue. Au niveau des polices d’assurance, Almeling et Waggoner suggère que la loi sur l’assurance maladie puisse rembourser des visites pré-conception aux hommes, comme cela se fait actuellement pour les femmes.

Il y a beaucoup de choses qu’on ignore concernant l’épigénétique deshommes et des femmes et je ne suggère certainement pas qu’on accable les hommes de l’obsession du comportement adéquat qu’on a malheureusement à l’endroit des femmes. Je pense que beaucoup d’hommes peuvent appliquer et même apprécier ce conseil. Après tout, les papas aussi veulent des bébés en bonne santé.

Jessica Grose

Traduit par Alice Bru

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Les fumeurs de crack sont capables de refuser une dose, si on leur propose une alternative rationnelle en échange

Les fumeurs de crack –une forme de cocaïne très addictive– ne sont pas les clochards incohérents et désespérés que l’on croit. La preuve, même le maire de Toronto en prend.

En fait, comme l’explique le docteur Carl Hart au New York Times, «entre 80% et 90% des gens qui consomment du crack et de la méthamphétamine ne sont pas accros. Et le peu d’entre eux qui deviennent dépendants sont loin des caricatures populaires».

Selon ce scientifique américain, qui a lui-même vu les ravages de la drogue dans sa famille et son entourage lorsqu’il était jeune, les consommateurs de crack et de méthamphétamine (la drogue fabriquée par Walter White dans Breaking Bad) font des choix rationnels.

Pour prouver sa théorie, il a rassemblé des volontaires, accros au crack, dans un hôpital pendant sept semaines. Chaque matin, une infirmière donnait aux drogués une certaine dose de crack, mais ces derniers avaient les yeux bandés, et ne voyaient pas quelle dose ils fumaient. Puis, au cours de la journée, l’infirmière proposait à nouveau à chaque patient soit de refumer, soit d’échanger cette dose contre une récompense (5 dollars), qu’ils ne pourraient récupérer qu’à la fin des sept semaines d’expérience.

Or, lorsque la dose attribuée le matin était perçue comme trop faible, les drogués préféraient se passer d’une deuxième dose dans la journée et choisissaient plutôt les 5 dollars.

«Ils ne correspondent pas au stéréotype du drogué qui ne peut pas s’arrêter après avoir pris la moindre petite dose. Quand on leur donne une alternative au crack, ils prennent des décisions économiques rationnelles», conclut le docteur Hart.

Si l’on en croit le scientifique, la meilleure lutte anti-drogue serait donc de ne pas se focaliser sur la drogue elle-même, mais plutôt sur l’environnement des drogués, leurs conditions sociales: s’ils ont plus d’opportunités économiques, il leur sera plus facile de ne pas devenir dépendants.

Mais cela ne veut pas pour autant dire que ces drogues sont inoffensives: en 2010, le professeur David Nutt a publié une étude permettant d’évaluer et de comparer les risques liés à différentes drogues. Il en est ressorti que le crack et la méthamphétamine étaient deux des trois drogues les plus dangereuses pour l’individu –l’autre étant l’héroïne.

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Oléo Color de Kéranove, les cheveux secs ont leur coloration

Même si les kits de colorations permanentes contiennent tous des soins post-coloration pour nourrir et hydrater la chevelure, l’ammoniaque contenu dans le produit colorant assèche la fibre, ce qui ne fait pas l’affaire des cheveux secs.

Or, 26 % des femmes qui se colorent les cheveux ont les cheveux secs et considèrent en effet que la coloration dessèche leurs cheveux*.

Pour répondre aux besoins spécifiques de ce type de cheveux, Kéranove lance Oléo Color, une nouvelle génération de coloration dont l’ammoniaque a été remplacée par une huile colorante.

A la place la traditionnelle ammoniaque, Kéranove a opté pour un complexe exclusif à base de kératine végétale et d’une huile initialement utilisée pour la coloration pro en salon. Un cocktail soin qui préserve les cheveux du dessèchement.

Mais attention, l’absence d’ammoniaque ne signifie pas que le résultat couleur soit moins bon. Au contraire. Oléo Color de Kéranove promet une couvrance à 100 % des cheveux blancs, de la brillance et de la douceur.

Douze nuances sont actuellement disponibles, de la plus sombre à la plus claire.

Avec Oléo Color de Kéranove, les cheveux secs n’ont plus à craindre la coloration permanente à domicile.

* Source Kéranove.

(Oléo Color, Kéranove. Disponible en GMS. Prix indicatif : 9,49 €)


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