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Senior : un complément riche en polyphénols pour améliorer la mémoire ?

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Une étude de chercheurs de l’université de Floride du Sud vient de montrer que l’utilisation de compléments alimentaires conçus à partir d’extraits de myrtilles, de thé vert, d’acides aminés et de vitamine D3, riche en puissants antioxydants augmenterait les fonctions cognitives des personnes de plus de 65 ans.

C’est à une équipe mixte de neuroscientifiques et de gérontologues qu’on doit la fabrication de ce produit, conçu comme modérateur de stress oxydatif et d’inflammation en lien avec l’âge. Riches en polyphénols, ces comprimés sont composés d’extraits de myrtilles, de thé vert, d’acides aminés et de vitamine D3.

Afin de vérifier l’efficacité de ce complément alimentaire, les scientifiques ont travaillé auprès d’adultes âgés de 65 à 85 ans. Après avoir donné les comprimés pendant deux mois, ils ont évalué les fonctions cognitives grâce à une batterie de tests qui mesurait la mémoire, la vitesse de processus cognitif ou encore les capacités verbales.

Les résultats du test ont permis de montrer que les 52 personnes qui ont consommé des comprimés avaient amélioré la vitesse de processus cognitif et leurs fonctions mentales. Comparativement au groupe de 53 volontaires sous placebo, les personnes sous comprimés aux polyphénols avaient obtenu de meilleures performances en rapidité de traitement de l’information.

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Le café, un allié pour améliorer sa mémoire ?

Selon une étude américaine qui vient de paraître, le café serait capable de stimuler la mémoire. La caféine serait en effet en mesure d’améliorer certains souvenirs sur une durée d’au moins un jour.

Si l’on savait déjà que le café présentait certains bienfaits, une récente étude vient une nouvelle fois de le confirmer. Publiée dans la revue britannique Nature neuroscience, celle-ci affirme que le café serait capable de stimuler la mémoire à long-terme et d’améliorer le processus de mémorisation de certains souvenirs.

Pour arriver à ce résultat, une équipe de l’Université Johns Hopkins de Baltimore dirigée par le Pr Michael Yassa a demandé à 44 volontaires, qui n’étaient pas de grands buveurs de café et qui n’en avaient pas bu au cours des dernières 24 heures, de regarder des images représentant des objets. Il leur était alors demander non pas de mémoriser les images mais de dire s’il s’agissait d’un objet que l’on trouve à l’intérieur ou à l’extérieur.

Cinq minutes après cette première tâche, la moitié des participants s’est vue administrée une gélule de 200 mg de caféine (l’équivalent d’environ deux tasses et demi d’expressos ou d’un grand café très fort) et l’autre moitié a reçu un placebo. Des prélèvements sanguins ont été réalisés avant la prise de la gélule, une heure après, trois heures après et 24 heures après, afin de contrôler le taux de caféine de chaque sujet.

Un souvenir plus précis avec la caféine

Le lendemain, une seconde série d’images a été présentée à tous les participants : certaines était identiques à celles de la première série, d’autres étaient proches mais présentaient quelques différences et d’autres encore étaient totalement nouvelles. Les chercheurs ont ainsi constaté que les deux groupes parvenaient aussi bien l’un que l’autre à différencier les anciennes images des nouvelles.

En revanche, les personnes qui avaient pris de la caféine distinguaient (…)
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Baisse de la fertilité masculine : un essai clinique pour mieux en comprendre le processus et améliorer le recours thérapeuti​que

claudiusregaudL’appareil d’imagerie TEP Scan (TDM) pourrait s’avérer un outil précieux dans la compréhension du processus d’infertilité masculine et la spermatogénèse : c’est ce que vient de montrer l’équipe de médecine nucléaire de l’Institut Claudius Regaud avec les médecins de la reproduction du CHU de Toulouse.

La production de spermatozoïdes chez l’homme français a diminué de 32% entre 1985 et 2005 (soit environ 2% par an). Sans que l’on sache pourquoi. Il est vrai que peu de travaux sont engagés sur ce sujet notamment en médecine nucléaire. Les premiers résultats obtenus par une équipe toulousaine ont retenu l’attention du ministère de la Santé ; lequel vient de lui attribuer une enveloppe de près de 350 000 euros (PHRCN)* pour lancer un essai clinique auprès de 150 hommes**.

Fertilité et fixation du FDG

La technique d’imagerie TEP Scan est utilisée pour le diagnostic, la réalisation des bilans d’extension et le suivi en cancérologie. Son principe est simple. Les médecins injectent un traceur isotopique, le FDG, à base de glucose qui va se fixer sur les cellules tumorales grandes consommatrices de sucre. La caméra TEP détecte ensuite les lésions cancéreuses où se concentre le produit. Depuis la mise au point de la technologie ‘TEP Scan’ dans les années 80, les médecins observent que les cellules testiculaires saines fixent aussi naturellement le FDG, tout comme les cellules cancéreuses.

Le Dr Lawrence Dierickx, coordonnateur des travaux, remarque que lorsque les patients sont stériles (effet secondaire de certains traitements chimiothérapiques), cette hyperfixation diminue : « Il pouvait donc y avoir un lien entre fertilité et fixation du FDG, explique-t-il. Mais comment l’analyser ? Nous avons eu l’idée d’observer les images par TEP Scan d’une vingtaine de patients avant la chimiothérapie. Puis, nous avons corrélé les résultats de l’hyperfixation testiculaire par FDG avec l’analyse des données biologiques de leur sperme avant chimiothérapie (sperme issu de la cryoconservation). Personne n’avait auparavant publié sur l’intérêt de cette technique en andrologie. » Les premiers résultats ont confirmé l’existence d’un lien entre l’activité décelée par TEP Scan et les caractéristiques du sperme de ces hommes.

Un outil pour guider les biopsies

L’équipe pluridisciplinaire de l’ICR et du CHU impliquée dans les premiers travaux a donc décidé d’élargir le champ d’investigation en lançant un essai clinique sur un groupe de 150 patients stériles. En distinguant les différents niveaux de concentration de spermatozoïdes, les images TEP Scan pourraient permettre d’aider au diagnostic d’infertilité. Elles pourraient même guider les biopsies proposées en recours thérapeutique lors de désir d’enfant. Une fois prélevés par biopsie, les spermatozoïdes peuvent être congelés et par la suite être injectés directement dans l’ovocyte lors de la fécondation in vitro. Si les résultats sont à la hauteur des espérances, cela constituerait un progrès majeur car cet examen actuellement pratiqué « à l’aveugle » n’aboutit qu’une fois sur trois.

L’étude sera menée dans le service de médecine nucléaire du Pr Frédéric Courbon en collaboration avec l’équipe du Dr Eric Huyghe et du Pr Louis Bujan du CHU ( CECOS***et andrologie). A plus long terme, l’utilisation de cette technologie en andrologie donnerait la possibilité de visualiser les anomalies cliniques liées à l’infertilité et d’en mieux comprendre le mécanisme. Autre voie d’exploration, la cancérologie où l’examen pourrait servir en matière de prévention et de surveillance des risques d’infertilité liés aux traitements.

*PHRCN : programme hospitalier de recherche clinique national
** en collaboration avec les centres de lutte contre le cancer et les CHU de Bordeaux, Lille et Rouen
***CECOS : Centre d’étude et de conservation des oeufs et du sperme humain
Communiqué Institut Claudius Regaud


News Santé

Pr Lejoyeux : « Il faut améliorer le dépistage de l’alcoolisme »

Le professeur Michel Lejoyeux dirige le service de psychiatrie et d’addictologie de l’hôpital Bichat à Paris.

LE FIGARO.- L’alcool tue chaque année 49.000 personnes en France. Que vous inspire ce chiffre terrifiant?

Pr Michel LEJOYEUX. – Il ne fait que confirmer la réalité des quelques études conduites dans ce domaine et du ressenti des personnels hospitaliers. L’alcool est le déterminant majeur des maladies et des décès précoces dans notre pays, derrière le tabac avec lequel il est d’ailleurs souvent associé. Il y a un contraste saisissant entre la bonne image sociale de cette molécule et son impact sur la morbidité. Nous sommes piégés par notre ambivalence vis-à-vis de ce produit avec d’un côté son aspect terroir, culturel, hédoniste et de l’autre sa toxicité redoutable. Et comme il existe une consommation sans risque de l’alcool – car tout le monde ne sombre pas dans l’addiction!- on a tendance à escamoter ses dangers. Résultat: je ne connais pas de maladie aussi fréquente et aussi méconnue que la dépendance à l’alcool.

Comment expliquez-vous la forte hausse de l’alcoolisme, et notamment de l’ivresse, chez les jeunes?

Ils regardent ce que font leurs parents qui, du coup, se trouvent placés devant la difficulté d’interdire un produit dont ils sont eux-mêmes consommateurs! Il faut bien comprendre que pour les jeunes, l’alcool est le moyen le plus facile, le plus accessible et, en apparence le moins dangereux, de se «défoncer». Ils ont intégré l’idée que la fête c’est l’ivresse. L’alcool n’est plus seulement vécu comme un moyen de se désinhiber: on est passé de l’alcool festif à l’ivresse festive. La consommation alimentaire (le vin servi au moment des repas) disparaît au profit d’une consommation addictive et toxique qui explose.

Quelles sont, selon vous, les actions urgentes à mener?

J’en propose deux. La première consiste à se doter d’un baromètre du nombre de malades de l’alcool en France. Si incroyable que cela puisse paraître, on ne le connaît pas! (…)

Lire la suite sur Figaro.frLes jeunes découvrent la boisson avant la cigarette
Alcool: 49.000 morts par an en France
Cancer : des douleurs de mieux en mieux contrôlées
Faciliter l’accès des patients aux essais de médicaments
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Afrique du Sud – Recycler les excréments pour améliorer l’hygiène

«Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme», une célèbre formule que trois étudiants hollandais vont tenter de mettre en pratique. Ils sont les heureux gagnants du concours BrainsXchange, destiné à trouver des réponses innovantes aux mauvaises conditions de vie dans les townships du Cap …
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