Archives par mot-clé : américains

Risque de piratage sur des milliers de pacemakers américains

Risque de piratage sur des milliers de pacemakers américains

Le 4 septembre 2017.

Les pacemakers du fabriquant américain Abbott souffriraient d’un défaut de sécurité et seraient potentiellement piratables. Un défaut de mise à jour qui devrait être rapidement résolu.

Les pacemakers fabriqués par St. Jude Medical

Une équipe de chercheurs de l’université de Louvain, en Belgique, a fait une étonnante découverte. Ils ont en effet révélé que les pacemakers fabriqués par St. Jude Medical, une entreprise acquise par Abbott, pouvaient être piratés. Des personnes malintentionnées pourraient en effet contrôler le rythme ou vider la batterie de ces appareils qui sont destinés aux personnes atteintes de bradycardie, c’est-à-dire qui ont un rythme cardiaque trop lent.

Cette découverte a poussé la Food and Drug Administration (FDA), la plus haute autorité sanitaire américaine, à demander aux professionnels de santé concernés et aux porteurs de ces pacemakers de mettre à jour leurs appareils. Au total, près de 460 000 pacemakers pourraient être concernés par ce défaut de sécurité. « Cette mise à jour sera lancée en France après validation locale », a assuré la société Abbott à nos confrères de L’OBS.

Risque d’épuisement rapide de la batterie

Selon la FDA, si ces failles de sécurité étaient exploitées, elles pourraient « permettre à un utilisateur non autorisé – c’est-à-dire autre que le médecin – d’accéder au dispositif en utilisant des équipements disponibles dans le commerce ». Et d’ajouter que « cet accès pourrait être utilisé pour modifier les commandes de programmation sur le stimulateur cardiaque implanté, ce qui pourrait entraîner des dommages pour le patient ».

Le risque est en effet suffisamment important pour être signalé. Les patients porteurs des appareils suivants doivent donc entrer en contact avec leur médecin : Accent SR RF™, Accent MRI™, Assurity™, Assurity MRI™, Accent DR RF™, Anthem RF™, Allure RF™, Allure Quadra RF™, et Quadra Allure MP RF™. Il n’est pas nécessaire de changer de pacemaker pour autant, une simple mise à jour suffit.

Marine Rondot

En savoir plus sur les troubles cardiaques

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

De lucratifs traitements non prouvés dans de grands hôpitaux universitaires américains

De grands hôpitaux universitaires font la promotion de thérapies dites alternatives non prouvées, selon un long reportage de la revue de journalisme médical STAT que résume la revue Pharmacy & Therapeutics (P&T).

Ils offrent ainsi, est-il notamment rapporté, le venin d’abeille homéopathique pour le traitement de la fibromyalgie et des remèdes à base de plantes contre la maladie d’Alzheimer.

Les hôpitaux affiliés aux universités Yale, Duke, Johns Hopkins, de Californie et d’autres centres de recherche de haut niveau font une promotion de thérapies alternatives avec peu ou pas de support scientifique.

Ils offrent aussi le « traitement énergétique » pour la sclérose en plaques et l’acupuncture pour l’infertilité. Un forum public hébergé par l’Université de l’hôpital de la Floride promet même d’expliquer comment la thérapie à base de plantes peut inverser la maladie d’Alzheimer.

Les auteurs ont examiné 15 centres de recherche académique de prestigieux hôpitaux et écoles de médecine à travers les États-Unis.

Certains hôpitaux ont construit des « centres de bien-être » luxueux, de type spa, offrant des services de « guérison spirituelle », d’homéopathie et autres pour un large éventail de conditions de santé dont la dépression, les maladies cardiaques, le cancer et la douleur chronique.

L’université Duke propose un programme pédiatrique suggérant sur son site Web que des médecines alternatives, dont des « programmes de désintoxication » et des « médicaments botaniques », peuvent aider les enfants souffrant de troubles allant de l’autisme à l’asthme et au trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité.

Au cours de la dernière année, l’hôpital universitaire relié à l’Université de Floride a commencé à offrir aux patients atteints de cancer des consultations en homéopathie et en médecine traditionnelle chinoise à base de plantes.

L’Université Thomas Jefferson de Philadelphie a lancé un institut dont les offres incluent des thérapies intraveineuses de vitamines et de minéraux. Et l’Université de l’Arizona, une pionnière dans le domaine, a reçu un don de 1 million $ pour stimuler la formation des praticiens dans les techniques de guérison naturelle et spirituelle.

Duke Health a refusé les demandes répétées d’entrevues de STAT sur son centre de « médecine intégrative », qui coûte 1 800 $ par année pour un abonnement de base, l’acupuncture et d’autres traitements étant facturés séparément.

Le centre MedStar Georgetown a retiré de son site Web le reiki comme traitement énergétique pour le cancer du sang après qu’un journaliste ait posé des questions.

La Cleveland Clinic a eu du mal à trouver quelqu’un de son personnel qui défendrait le programme de « médecine énergétique » de l’hôpital, pour finalement déclarer que le service répond « aux besoins et aux demandes des patients ».

La hausse des thérapies alternatives a suscité des tensions dans certains hôpitaux, est-il rapporté, des médecins accusant ouvertement leurs pairs de vendre de l’huile de serpent et de miner la crédibilité de leurs institutions.

Le Dr Steven Novella, professeur de neurologie à la Yale School of Medicine, estime qu’en faisant la promotion de telles thérapies, les médecins perdent « toute prétention que nous devrions être une science ».

« Les patients ne veulent les médecines alternatives que parce qu’on leur dit qu’ils devraient les vouloir. Ils voient un hôpital prestigieux qui les offre, alors ils pensent que c’est légitime », dit-il.

Un consortium national de promotion de la « santé intégrative » compte désormais plus de 70 centres universitaires et systèmes de santé en tant que membres, comparativement à 8 en 1999, rapporte STAT.

Psychomédia avec sources : P&T, STAT.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Lyme, Zika,Nil occidental… : un insectifuge naturel à base de pamplemousse efficace selon les CDC américains

La société de biotechnologie suisse Evolva a annoncé, le 5 avril, avoir obtenu des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) une licence exclusive pour le développement et la commercialisation du nootkatone comme insecticide et insectifuge.

Les CDC détiennent le brevet de ce produit qui est un composé naturel présent dans la peau du pamplemousse, l’huile essentielle du cèdre jaune de l’Alaska et certaines herbes.

Des chercheurs des CDC ont montré que le nootkatone est un insectifuge et un insecticide efficace contre les moustiques, les tiques, les poux de tête et les punaises de lit, a-t-il été rapporté lors du congrès de l’American Chemical Society (ACS) en 2013. Ils ont notamment montré qu’il repousse et élimine le moustique aedes aegypti, vecteur de la fièvre jaune, de la dengue, du chikungunya et du virus Zika, et la tique ixodes scapularis qui transmet la maladie de Lyme.

Evolva utilise un procédé de fermentation pour produire le nootkatone à échelle industrielle.

Evolva avait déjà obtenu une license des CDC pour le nootkatone dans la lutte contre la maladie de Lyme, grâce à l’acquisition du californien Allylix en 2014. La société effectue actuellement les études de sécurité et d’efficacité nécessaires pour obtenir l’approbation du nootkatone par l’Environmental Protection Agency des États-Unis, d’abord comme répulsif contre les tiques à pattes noires, les moustiques et d’autres insectes des États-Unis.

À la fin mars, Evolva a annoncé qu’elle élargissait ses travaux avec les CDC, qui portaient sur le contrôle des tiques qui transmettent la maladie de Lyme, pour inclure également des travaux sur les moustiques, incluant ceux qui transmettent le virus du Nil.

Le nootkatone pourrait « jouer un rôle important dans la réponse mondiale contre la prolifération du virus Zika », a souligné Evolva dans un communiqué.

Psychomédia avec sources : Evolva, CDC, ACS.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Top 10 des peurs des Américains en 2015

Des chercheurs en sociologie et en science politique de l’Université Chapman (1) ont interrogé plus de 1500 personnes, choisies au hasard à travers les États-Unis pour être statistiquement représentatives de la population, sur 88 peurs dans plusieurs domaines : crime (viol, vol…), rejet romantique, réchauffement climatique, surpopulation, pollution, drones, contrôle des armes, immigration, discrimination, catastrophes causées par l’homme (guerre biologique, terrorisme, attaques nucléaires…), catastrophes naturelles, espaces restreints, parler en public, vaccins, mort, maladie, manque d’argent, chômage, intelligence artificielle, robots, cyberterrorisme…

Parmi toutes ces peurs potentielles, celles pour lesquelles le plus de répondants ont indiqué avoir peur (3) ou très peur (4) étaient :

  1. Corruption des représentants gouvernementaux : 58,0 %
  2. Cyberterrorisme : 44,8 %
  3. Collecte d’informations personnelles par les entreprises : 44,6 %
  4. Attaques terroristes : 44,4 %
  5. Collecte d’informations personnelles par le gouvernement : 41,4 %
  6. Guerre biologique : 40,9 %
  7. Vol d’identité : 39,6 %
  8. Effondrement économique : 39,2 %
  9. Manque d’argent dans l’avenir : 37,4 %
  10. Fraude de carte de crédit : 36,9 %

L’enquête incluait aussi des items sur les croyances paranormales qui peuvent être à l’origine de peurs.

  • la croyance la plus courante (41,4 % des répondants) est que les lieux peuvent être hantés par des esprits ;
  • plus du quart (26,5 %) croient que les vivants et les morts peuvent communiquer ensemble ;
  • et près d’un cinquième (20,9 %) croient que les rêves peuvent prédire l’avenir ;
  • une personne sur 7 (13,9 %) croit que les astrologues, diseurs de bonne aventure et médiums peuvent prévoir l’avenir ;
  • la moitié (49.7 %) n’avait pas de croyances paranormales.

(1) Christopher Bader, Edward Day et Ann Gordon.

Psychomédia avec source : Chapman University.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Les américains raffolent de l’équipement de protection anti-Ebola pour Halloween

Il s’en vend « des centaines », « on les écoule tous », assure la marque. L’équipement anti-Ebola fait partie des déguisements qu’on peut acheter cette année aux Etats-Unis pour fêter Halloween vendredi 31 octobre.

Tout y est: la combinaison blanche, les bottes en caoutchouc, les gants, le masque et les lunettes couvrantes. Brands on Sale a vendu, à 79,99 dollars (63 euros) pièce, « des centaines » de ces déguisements pour hommes qui imitent la tenue de protection contre la maladie. La semaine dernière, Brands On Sale a ajouté une version « sexy » pour femme, avec une mini-robe blanche d’infirmière sexy au lieu de la combinaison, pour 59,99 dollars mais seulement une dizaine ont été vendus jusqu’à présent.

Alors que les Etats-Unis et le monde s’inquiètent de l’épidémie qui a fait quelque 5 000 morts en Afrique de l’Ouest, l’initiative était âprement critiquée sur les réseaux sociaux. Le magazine Mother Jones (lien en anglais) parle du costume d’infirmière comme « le sommet du stupide ».

Retrouvez cet article sur Francetv info

Ebola : un membre de l’équipe cubaine en Guinée est mort de paludisme
VIDEO. En plateau, Marie-Pierre Courtellemont revient sur le financement de l’hôpital de Cerdagne
Hôpital sans-frontière : découverte de l’hôpital de Cerdagne
Pour stopper les poux, arrêtez les selfies, conseille une agence russe
Ebola : une infirmière américaine raconte son « inacceptable » mise en quarantaine


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

Le Nobel de Chimie attribué à 2 Américains et 1 Allemand

Share Button

Le Nobel de Chimie a été attribué cette année à deux Américains, Eric Betzig du Howard Hughes Medical Institue d’Ashburn et William E.Moerner de l’Université Stanford ainsi qu’à un Allemand Stefan W.Hell du Max Planck Institute à Heidelberg. Ils sont récompensés pour avoir mis au point des instruments permettant d’observer l’univers au niveau nanoscopique, à savoir l’infiniment petit.

Ces chercheurs se sont ainsi vu décernés ce titre prodigieux pour avoir développé un microscope à fluorescence à très haute résolution, un microscope permettant d’observer avec une très grande précision le niveau nanoscopique, à savoir en dessous du millième de mètre.

Les cellules vivantes peuvent aujourd’hui, grâce à ces trois Lauréats, être observés au niveau des molécules. En utilisant des lasers et des molécules fluorescentes, ils ont inventé la microscopie monomoléculaire, qui permettra de mieux comprendre certaines maladies comme Parkinson, Alzheimer ou encore la maladie de Huntington.

Une révolution puisque sans avoir besoin de couper ou de congeler certaines structures, la visualisation de l’infiniment petit devient possible.

Google+

Commentaires


Top Actus Santé

Grippe : un nouveau virus mortel mis au point par les Américains

Pour améliorer le vaccin contre la grippe, un virologue américain a fabriqué une souche de grippe H1N1 contre laquelle l’homme n’est pas immunisé. Une manipulation génétique qui lui vaut d’être très critiqué par ses confrères.

Pour améliorer le vaccin contre la grippe, un virologie de l’Université du Wisconsin (Etats-Unis) a manipulé génétiquement le virus de la grippe H1-N1, jusqu’à ce qu’il crée une version mutante, mortelle, et contre laquelle l’homme n’est pas immunisé. « Ces recherches pourraient permettre le développement de vaccins capables de lutter contre les formes les plus mortelles de la grippe » a souligné le Pr Yoshihiro Kawaoka, pour répondre aux vives critiques de ses confrères.

Ceux-ci ne critiquent pas l’objectif de la recherche : en manipulant le virus de la pandémie de 2009, l’idée est de voir comment il peut muter (ce que les virus en circulation font tous les 3 à 5 ans), afin ensuite de créer des vaccins plus efficaces. Mais de nombreux scientifiques estiment que le Pr Kawaoka a pris de nombreux risques en transformant un virus capable d’être combattu par le système immunitaire en un virus invincible que l’homme ne peut combattre.

Les résultats préliminaires de ces travaux ont été soumis à un comité d’expert de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Ce n’est pas la première fois que le virologue américain crée la polémique. Déjà, en mai dernier, il était parvenu à récréer un virus proche de la grippe espagnole qui avait fait près de 100 millions de victimes au début du XXe siècle.

Retrouvez cet article sur Topsanté

Grippe espagnole : des chercheurs trouvent l’origine du virus
Epidémie de grippe : l’intensité diminue doucement
Grippe A : le virus H10N8 a touché une seconde personne
Le ginseng, le remède « phyto » pour prévenir la grippe
Virus de la grippe: bientôt un vaccin universel?


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

Seconde Guerre mondiale: quand les Etats-Unis affamaient des Américains, pour la science

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des chercheurs américains ont affamé pendant six mois des compatriotes volontaires au cours d’une étrange expérience pour déterminer la meilleure manière de soigner les victimes de famine en Europe, rapporte le magazine du site BBC News.

Pendant la guerre, les objecteurs de conscience, ces hommes refusant de partir au combat pour des raisons religieuses ou philosophiques, se voyaient proposer d’autres moyens de servir leur pays. L’université du Minnesota a ainsi lancé une campagne de recrutement de volontaires pour une expérience médicale autour de la faim.

Plusieurs centaines de jeunes hommes s’inscrivirent, et 36 furent sélectionnés et commencèrent l’expérience en novembre 1944. Après un régime normal de trois mois, les chercheurs commencèrent le rationnement sévère, avec une limite de 1.800 calories par jour, et pas de viande, comme la plupart des populations affamées en Europe, pour leur faire perdre 25% de leur poids.

«Le régime était dur: pendant les six mois où ils ont été affamés, les hommes devaient marcher ou courir 36 kilomètres chaque semaine, dépensant quotidiennement 1.000 calories en plus qu’il n’en consommaient», écrit la BBC, qui décrit les conséquences physiques et psychologiques de l’expérience sur les volontaires. Les photos de ces derniers, avec la peau sur les os et l’air exténués, rappellent tristement les images de la libération des camps de concentration nazis.

Le site io9, qui consacre aussi un article à l’expérience, écrit:

«D’abord, les participants se plaignaient simplement de faim, d’une incapacité à se concentrer et d’un mauvais jugement. […] Plusieurs membres furent hospitalisés pour des problèmes psychiatriques. Certains se mutilèrent.»

Encore aujourd’hui, l’expérience reste une référence pour les chercheurs étudiant la nutrition et les maladies nutritives, rapporte la BBC. Recontactés des années plus tard, beaucoup des participants ont affirmé que l’expérience était la chose la plus dure qu’ils aient jamais fait, mais étaient heureux de l’avoir fait et recommenceraient si on leur donnait le choix.

«Qui ici se porterait volontaire ne serait-ce qu’une fois?» conclut io9. 

À lire aussi sur Slate.fr

La science utilise-t-elle les recherches nazies?
Comment le cobaye en est venu à représenter la science?
Jeûne: comment le corps réagit-il à la privation de nourriture?


A votre santé! – Slate.fr

L’obésité recule chez les enfants américains

© Fotolia

© Fotolia

Alors que de très pessimistes prévisions tablent sur une obésité galopante aux Etats-Unis (voir « Près de la moitié des Américains obèses en 2050« ), un rapport des autorités sanitaires américaines démontre pour la première fois que l’obésité est en baisse chez les enfants américains.

Une tendance qui s’observe chez les très jeunes enfants (2-4 ans) issus de familles à bas revenus. Un recul certes modeste mais un recul quand même constaté dans 19 états, et ce après des décennies de hausse.

Pas de quoi pavoiser pour autant, ce recul n’étant que d’environ 1% en moyenne pour les états de Floride, de Géorgie, du Missouri, du New-Jersey, ou bien encore du Dakota du Sud avec des écarts variant de de 0,3 à 2,6 points.

Dans certains états, l’obésité infantile gagne encore un peu de terrain. C’est par exemple le  cas du Colorado, de la Pennsylvanie et du Tennessee.

Une baisse plus que modeste mais qui pour certains observateurs est un bon début. Rappelons que la lutte contre l’obésité infantile fait partie des priorités de la première Dame des Etats-Unis, Michelle Obama.

Il y a un peu plus d’un an, estimant que les efforts déployés depuis plusieurs années n’avaient  pas été suffisants, l’Institut de Médecine américain décidait de partir en lutte contre ce fléau rappelant que l’obésité est facteur important de  risque pour la santé (apparition de certains cancers, problèmes cardio-vasculaires, hypertension, diabète).

800 recommandations avaient ainsi été publiées. Parmi elles : une heure d’activité physique par jour à l’école, de nouvelles taxes sur les sodas qui pourraient être carrément interdits au sein des établissements scolaires,  des portions moins caloriques pour les enfants dans les fast-foods, des menus plus équilibrés dans les cantines mais aussi des crédits d’impôts en faveur des collectivités qui encourageront l’ouverture de magasins vendant des produits « sains ».

Pour autant le combat est loin d’être gagné puisqu’aujourd’hui encore un enfant américain sur 8 souffre de surpoids et/ou d’obésité.


News Santé