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La pollution de l’air fait 3 millions de morts chaque année dans le monde

Le 12 septembre 2016.

La pollution tue des millions de personnes chaque année. C’est la conclusion d’une récente étude, qui montre que ce fléau est devenu plus mortel que le sida et le paludisme réunis.

La pollution provoque maladies cardio-vasculaires et cancers

L’air que nous respirons est plus mortel qu’il ne l’a jamais été. C’est ce que suggère une nouvelle étude, qui montre que si l’Organisation mondiale de la Santé estime que trois millions de personnes meurent prématurément chaque année en raison d’une exposition prolongée à la pollution de l’air, ce chiffre pourrait monter jusqu’à 6,6 millions dans les années à venir.

L’exposition chronique à la pollution de l’air contribue largement au risque de développer des maladies cardio-vasculaires et respiratoires, ainsi que des cancers. « Le nombre total de décès dus au virus du sida et au paludisme est de 2,8 millions de personnes par an. C’est un demi-million de moins que le nombre de personnes qui meurent de la pollution atmosphérique », explique Jos Lelieveld, professeur à l’Institut Max Planck, en Allemagne, et principal auteur de cette étude.

La pollution coûte plus de 5 milliards de dollars à la planète chaque année

La pollution liée à l’industrie et au trafic automobile est loin d’être la première source de pollution, révèle encore cette étude, qui pointe du doigt les combustibles utilisés pour faire vivre les habitations et notamment pour la cuisson des aliments. Cette étude, publiée dans la revue Nature, montre également que le plus grand nombre de décès par habitant est observable dans la région du Pacifique occidental, ainsi qu’en Asie du sud-est et dans la Méditerranée.

Un récent rapport de la Banque mondiale estime à 5 110 milliards de dollars le coût de cette pollution et de son impact sur l’espérance de vie des populations pour l’année 2013. Selon les prévisions de l’organisme, et si rien n’est fait pour enrayer ce fléau, la pollution pourrait tuer de 6 à 9 millions de personnes par an en 2060.

À lire aussi : La pollution de l’air augmente bien le risque de cancers

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Les dépenses de santé des ménages en baisse cette année

Le 6 septembre 2016.

Selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), qui dépend du ministère de la Santé, publiée lundi 5 septembre, la Sécurité sociale prend de plus en plus en charge les dépenses de santé des Français.

En 2015, la Sécurité sociale a financé 76,8 % des soins

En quatre ans, les dépenses de santé des Français ont baissé. Ils ont toujours eu autant besoin de se faire soigner, mais la Sécurité sociale prend en charge une part croissante de ces dépenses. En 2015, elle a financé 76,8 % de l’addition totale, qui s’est élevée à 194,6 milliards d’euros, soit 0,2 point de plus que l’an passé.

Le ministère de la Santé précise que cette hausse s’explique par l’augmentation des affections de longue durée comme le diabète ou le cancer, qui sont prises en charge à 100 %. Depuis 2012, et l’arrivée de François Hollande au pouvoir, la part des dépenses de santé des Français n’a fait que reculer, elle est passée de 9,3 % à 8,4 %. Au total, ils consacrent en moyenne 1,21 % de leur revenu disponible brut à leur santé.

Pas de nouveaux déremboursements

Ce n’est pas une surprise quand on sait que la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a promis de ne pas mettre en œuvre de nouveaux déremboursements. Elle a par ailleurs tenu à ce que la Sécurité sociale prenne en charge un certain nombre de soins. Depuis le 1er avril 2016, par exemple, tous les actes liés à une interruption volontaire de grossesse (IVG) sont remboursés à 100 % par la Sécurité sociale. 

Les ménages ne sont pas les seuls à bénéficier de cette prise en charge des soins plus importante de la part de la Sécurité sociale. En deux ans, la part de financement des soins des organismes complémentaires est passée de 13,6 % à 13,3 %. En 2015, les Français ont dépensé près de 195 millions d’euros en consultations, analyses médicales, achats de médicaments et autres biens médicaux.

À lire aussi : Quel pays dépense le plus en matière de santé ?

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Présidentielle américaine : des niveaux de langage de 6e à 10e année selon les candidats

Des chercheurs du Carnegie Mellon University’s Language Technologies Institute ont analysé le niveau de langage des candidats à la présidentielle américaine.

Maxine Eskenazi et Elliot Schumacher ont comparé la grammaire et le vocabulaire utilisés par des candidats au cours de leur campagne à des données sur la fréquence d’utilisation des constructions grammaticales et du vocabulaire à chaque niveau scolaire.

Cette analyse linguistique suggère, rapportent-ils, que les 5 candidats étudiés – les républicains Donald Trump, Ted Cruz et Marco Rubio (qui a depuis suspendu sa campagne) et les démocrates Hillary Clinton et Bernie Sanders – utilisent un langage plus simple à mesure que la campagne avance.

La plupart des candidats utilisent des mots et une grammaire typiques des élèves de 6e à 8e année. Trump a tendance à être dernier, avec un niveau juste au-dessous de la 6e année. Comparativement, le président Bush employait un niveau de 5e année.

Les discours de Trump et Hillary Clinton présentent la plus grande variation, ce qui suggère, note Schumacher, qu’ils travaillent possiblement plus fort que les autres pour adapter leur niveau à des publics particuliers.

Une comparaison avec les présidents précédents montre que le président Lincoln les dépassait tous, utilisant une grammaire du niveau de la 11e année.

Pour ce qui est du vocabulaire, les discours des présidents passés et présent – Lincoln, Reagan, Bill Clinton, George W. Bush et Obama – étaient au moins du niveau de la 8e année, alors que ceux des candidats actuels vont de la 7e année pour Trump à la 10e année pour Sanders.

Psychomédia avec sources : Carnegie Mellon University.
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Insolite : des jumeaux qui ne naissent pas la même année

Le 8 janvier 2015, Les jumeaux californiens Jaelyn et Luis Jr ont su faire parler d’eux dès leur venue au monde ! En effet, ces bébés sont nés à quelques minutes d’intervalle, mais pas la même année ! Un phénomène extrêmement rare et des naissances qui n’étaient pas programmées !

Le premier bébé est une petite fille prénommée Jaelyn, elle est née le 31 décembre 2015 à 23h59 et elle est le dernier né de 2015 à naître dans le comté de San Diego. Le second bébé est un petit garçon prénommé Luis Jr, il est né le 01 janvier 2016 à 0h02 et il est le premier né de 2016 dans le comté de San Diego… Et ces deux enfants sont jumeaux !

Les bébés se portent à merveille, mais ce qui ravit les parents, c’est que pour une fois, des jumeaux ne fêteront pas leur anniversaire le même jour… Chacun aura droit à sa journée, de quoi éviter bien des jalousies !

Félications aux parents et belle vie à Jaelyn et Luis Jr qui ont su faire parler d’eux au monde entier dès leur naissance !

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Changement d’heure, la dernière année ?

Comme dans toute l’Europe, nous avons avancé nos montres d’une heure hier soir. Mais aujourd’hui, le passage à l’heure d’été est au coeur des débats. La ministre de l’Écologie, Ségolène a commandé un rapport sur l’efficacité de cette mesure adopté en 1976. À l’époque, en plein choc pétrolier, l’état français souhaitait faire des économies d’énergie
Aujourd’hui, le gain de ce changement d’heure porte principalement sur l’éclairage, mais avec l’arrivée des ampoules à faible consommation, il s’est considérablement réduit. En outre, son impact est jugé marginal par certains experts. « L’impact du changement d’heure est faible, globalement c’est moins d’un millième de l’ensemble de notre consommation d’énergie. Aujourd’hui,c’est beaucoup moins que ce que l’on peut faire par exemple en éteignant des appareils qui ne servent à rien » explique Yves Marignac, expert de l’énergie au micro de France 2.

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Le vaccin contre la grippe est moins efficace cette année

Près d’un million et demi de français ont été touchés par la grippe depuis le début de l’hiver. Selon les médecins, le vaccin contre la grippe est beaucoup moins efficace cette année.

« Fabriquer le vaccin contre la grippe, c’est un peu comme faire des défilés haute couture. On sait en janvier ou février quelle sera la tendance de l’hiver suivant », explique Jean-Daniel Flaysakier sur le plateau de France 2.

« En février 2014, on a regardé ce qu’il s’est passé dans l’hémisphère sud. On a vu qu’il y avait trois souches de virus prépondérantes : A H1N1, A H3N2, et B. On fait un cocktail du tout, on le met dans la seringue, on fabrique ça entre janvier et septembre », poursuit le spécialiste santé.

« Manque de chance cette année, à l’automne débarque un autre virus immatriculé A H3N2 aussi qui vient des États-Unis, mais qui est différent de celui qui se trouve dans le vaccin. Résultat, l’impact du vaccin cette année est très faible. Ce virus représente 60 à 70 % des cas de grippe, et on en a au moins jusqu’à la mi-mars », conclut Jean-Daniel Flaysakier.

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Grippe et gastro vous souhaitent une bonne année 2015 !!

INPES

En ce premier jour de l’année nouvelle, les virus de l’hiver ont décidé de jouer les troubles fêtes ! La gastro tout d’abord dont l’activité continue de progresser et qui pourrait atteindre le seul épidémique dès la semaine prochaine. Même topo pour la grippe dont l’activité reste faible certes mais en augmentation.

Dans le détail sachez qu’en ce qui concerne la gastro, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé la semaine dernière à 230 cas pour 100 000 habitants soit 147 000 nouveaux cas (France Métropolitaine).

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été notés en : Languedoc-Roussillon (516 cas pour 100 000 habitants), Limousin (487) et Auvergne (434).

Concernant les cas rapportés, l’âge médian des cas était de 26 ans (de 10 mois à 90 ans) et les hommes représentaient 45% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : aucune hospitalisation pour diarrhée aiguë n’a été rapportée.

Prévision : selon le modèle de prévision basé sur les données historiques, le niveau d’activité des diarrhées aiguës devrait continuer à augmenter, et pourrait dépasser le seuil épidémique la semaine prochaine. Un second modèle de détection des épidémies de gastroentérite repose sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health). La semaine dernière deux des quatre classes médicamenteuses surveillées avaient atteint leur seuil d’alerte, confirmant une augmentation de l’activité des gastroentérites.

Pour info : Les médecins Sentinelles surveillent le nombre de cas de diarrhées aiguës vus en consultation (défini par au moins 3 selles liquides ou molles par jour datant de moins de 14 jours motivant la consultation).

Gastro : pensez à vous laver les mains !

Comme chaque année l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) rappelle aux Français toute l’importance qu’il y a à se laver les mains afin de limiter les risques de propagation.

Pour la gastro, comme pour les autres virus de l’hiver, il est indispensable de se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon ou une solution hydroalcoolique. C’est aujourd’hui l’un des moyens les plus efficaces pour limiter la diffusion des germes

Ce geste est d’autant plus indispensable  si l’on s’occupe de personnes vulnérables (enfants ou  personnes âgées). L’INPES a d’ailleurs rappelé que 67% des français ne se lavaient pas les mains avant de s’occuper d’un nourrisson, 40% avant de préparer à manger.

Les virus se transmettent en effet par le contact direct des mains d’une personne infectée à une autre (par exemple en serrant la main) ou par le contact d’objets (jouets, doudous, tétines, boutons d’ascenseur, couverts, etc.) contaminés par une personne malade.

Il est impératif de se laver les mains après s’être mouché, avoir toussé ou éternué ou encore après avoir rendu visite à une personne malade, après chaque sortie à l’extérieur et bien sûr avant de préparer les repas, de les servir ou de les prendre.

La grippe progresse aussi

Pour la grippe, on est encore loin de l’épidémie mais les chiffres sont bel et bien orientés à la hausse.

Ainsi la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 121 cas pour 100 000 habitants , soit 78 000 nouveaux cas par rapport à la semaine précédente. On reste très en dessous du seuil épidémique fixé à 175 cas pour 100 000 habitants.

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Rhône-Alpes (341 cas pour 100 000 habitants), Haute-Normandie (277) et Poitou-Charentes (230).

Concernant les cas rapportés, la semaine dernière, l’âge médian était de 19 ans (6 mois à 89 ans), les hommes représentaient 50% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : le pourcentage d’hospitalisation a été estimé à 1,0%.

Prévision : selon les modèles de prévision reposant sur les données historiques [2] et sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health) [3], le niveau d’activité des syndromes grippaux devrait continuer d’augmenter et dépasser le seuil épidémique dans les prochaines semaines.

Pour info, les médecins Sentinelles surveillent le nombre de cas de syndromes grippaux vus en consultation (définis par une fièvre supérieure à 39°C, d’apparition brutale, accompagnée de myalgies et de signes respiratoires).


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