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Covid-19 : pourquoi des experts lancent-ils un appel pour distribuer de la vitamine D ?

Covid-19 : pourquoi des experts lancent-ils un appel pour distribuer de la vitamine D ?

 

Un certain nombre d’études scientifiques sont parues, proclamant les bienfaits de la vitamine D sur les formes graves de la Covid-19. Lundi 18 janvier, c’est au tour d’un comité d’experts francophones d’émettre des recommandations. 

Leur demande : distribuer de la vitamine D aux Français

Le but de la vitamine D serait de protéger la population des formes graves de la Covid-19, mais aussi de la prévenir. C’est ce que pensent 73 experts de la santé ainsi que 6 sociétés du monde savant, qui lancent un appel pour donner un supplément de cette vitamine à l’ensemble des Français. L’effet est protecteur pour la santé. Pour autant, elle ne remplace en aucun cas le vaccin et n’empêche pas les personnes de respecter les gestes barrières. Ce n’est pas un remède miracle, mais les experts ont regroupé toutes les connaissances relayées dans la littérature scientifique, qui commencent à se multiplier sur le sujet. C’est ainsi qu’ils ont constaté que la vitamine D possède des bénéfices pour l’organisme dans le cadre de la Covid. Les chercheurs d’une étude menée en Norvège et une autre, réalisée par l’Académie de Médecine avaient notamment recommandé de donner de la vitamine D aux personnes âgées et vulnérables, pour prévenir de la maladie. Selon le Dr Gérald Kierzek, le médecin urgentiste qui intervient au journal télévisé, « on observe simplement que les patients en réanimation et ayant des formes graves du Covid-19 avaient un déficit en vitamine D, et que ceux au contraire qui avaient une bonne dose de vitamine D, faisaient moins de formes graves ». Attention toutefois, cela ne veut pas dire que le risque est nul.

La vitamine D, quel rôle pour la santé ?

Selon le Professeur Cédric Annweiler, chef du service de Gériatrie au CHU d’Angers (l’une des six sociétés savantes) et spécialiste en vitamine D, cette substance a plusieurs impacts positifs sur la Covid-19. Parce que c’est une hormone sécostéroïde, elle est capable « d’activer ou de réprimer plusieurs dizaines de gènes » et par conséquent, prévenir et/ou améliorer les formes graves de Covid-19. Elle parvient à réguler la synthèse des protéines, notamment le récepteur ACE2, qui sert de porte d’entrée au coronavirus. D’autre part, elle permet à l’immunité innée (première ligne de défense) de s’adapter et d’activer une action anti-inflammatoire. Enfin, d’après le Professeur, « l’hypovitaminose D semble constituer un facteur de risque indépendant de forme grave de COVID-19 », sur lequel il est possible d’agir grâce à une supplémentation médicamenteuse. De plus, c’est une mesure simple, sans effets secondaires et peu onéreuse, puisqu’elle est remboursée par l’Assurance-maladie. La vitamine D doit être prescrite par un médecin et les doses doivent être respectées.

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

L’EFS lance un grand appel aux dons de sang

L’EFS lance un grand appel aux dons de sang

Le 14 décembre 2017.

Avant les fêtes de fin d’année, qui sont souvent l’occasion pour les Français de partir en vacances, l’Établissement français du sang lance un grand appel aux dons, car les réserves en produits sanguins s’épuisent rapidement.

Les réserves de sang de l’EFS sont aujourd’hui trop faibles

Les réserves de sang s’épuisent et il est urgent de combler ce manque. À l’approche des fêtes, l’Établissement français du sang vient de lancer un appel national aux dons de sang, en rappelant que les fins d’années sont souvent marquées par une baisse de la collecte de sang.

« L’EFS en appelle à la générosité de toutes et tous en cette période de fêtes en les conviant dans l’un de ses 128 centres de collecte ou dans l’une des nombreuses collectes mobiles qui se tiennent en décembre », déclare l’organisme dans un communiqué. « Les réserves de sang sont en baisse depuis une dizaine de jours et sont désormais trop fragiles pour aborder en sécurité le début de l’année nouvelle ».

Un site Internet pour savoir où donner son sang

L’Établissement français du sang rappelle en effet que pour subvenir aux besoins de tous les hôpitaux français, les dons de sang doivent être réguliers et constants car la durée de vie des produits sanguins est limitée à 5 jours pour les plaquettes et 42 jours pour les globules rouges. 10 000 dons quotidiens sont alors nécessaires. « La mobilisation des donneurs est essentielle chaque jour », rappelle l’EFS.

Pour savoir où donner votre sang, il vous suffit de vous rendre sur le site Internet de l’EFS, et de cliquer sur l’onglet « Où donner ? ». Après avoir renseigné votre ville, votre code postal où la date à laquelle vous souhaitez donner, une carte interactive s’affichera et vous offrira la possibilité de connaître tous les centres, mobiles ou fixes, de l’EFS.

Gaëlle Latour

À lire aussi 10 bonnes raisons de donner son sang

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Pénurie de sperme et d’ovocytes : l’Agence de la biomédecine lance un appel aux dons

Encore trop méconnu, le don d’ovocytes et de spermatozoïdes est un geste de solidarité qui peut apporter à un couple stérile le bonheur de fonder une famille. Sauf que le nom reste encore insuffsant malgré les différents appels aux dons lancés ces dernières années. Aujourd’hui il y a urgence, la France connaissant une situation de pénurie marquée et des délais d’attente de plus en plus longs pour les plus confrontés à une infertilité médicale.

Et si le nombre de dons de spermatozoïdes permet le plus souvent de répondre à la demande, il n’en est pas de même pour les dons d’ovocytes qui restent insuffisants

Pixabay

C’est pourquoi l’Agence de la biomédecine a décidé de lancer une nouvelle campagne nationale d’information et de recrutement sur le don d’ovocytes et le don de spermatozoïdes. Par cette démarche elle  souhaite mieux faire connaître ce geste de solidarité et sensibiliser la population sur cette démarche.

Il faut savoir que chaque année 3 500 nouveaux couples souffrant d’une infertilité médicale à s’inscrivent en France pour bénéficier d’un don de gamètes. Une démarche à la fois éprouvante et porteuse d’espoir qui, bien souvent, représente la dernière étape d’un long parcours d’assistance médicale à la procréation (AMP). Sauf qu’aujourd’hui on manque toujours cruellement de donneurs et de donneuses, notamment parce que le public ne connaît pas encore suffisamment l’existence du don de gamètes et ses modalités.

Pixabay/Creative Commons

Dons d’ovocytes et de spermatozoïdes : à propos de la campagne 2017

En 2015, 540 femmes ont donné des ovocytes (+8 % vs 2014) et 255 hommes ont donné des spermatozoïdes (+7 % vs 2014), permettant ainsi la naissance de 1 227 enfants1.
Cependant, il reste difficile de satisfaire tous les besoins et les délais d’attente sont parfois encore trop longs pour bénéficier d’un don. L’Agence de la biomédecine estime que pour atteindre l’équilibre et prendre en charge l’intégralité de ces couples infertiles, il faudrait au total chaque année 1 400 dons d’ovocytes et 300 dons de spermatozoïdes, tout en diversifiant les origines géographiques des donneurs.

La nouvelle campagne sur le don de gamètes, initiée par l’Agence de la biomédecine, a pour but de sensibiliser de potentiels donneurs avec la diffusion de 3 spots sur des radios nationales, une série de 10 chroniques sur des radios régionales, des bannières animées sur internet et la projection de 2 films d’animation en bandes-annonces au cinéma.

L’ensemble de ce dispositif oriente les donneurs potentiels vers les sites www.dondovocytes.fr et www.dondespermatozoides.fr qui indiquent les coordonnées du centre de don le plus proche et répondent aux principales questions qu’un futur donneur peut se poser.

Devenus parents grâce à un don d’ovocytes ou de spermatozoïdes, ils témoignent

20 couples devenus parents grâce à un don de gamètes se sont exprimés sur leurs parcours lors d’entretiens conduits entre 2015 et 2017 par l’Agence de la biomédecine.
Comment gérer le désir d’enfant, les échecs et l’attente d’un don ? Comment parler du don avec leurs proches, puis avec l’enfant ? Quels liens tisseront ils avec leur(s) enfant(s) ? Autant de questionnements et d’appréhensions pour ces hommes et ces femmes confrontés à l’infertilité qui laissent place à un très grand bonheur lorsque leur projet parental a la chance de se concrétiser.

Leur expérience du recours au don de gamètes est ponctuée par 3 étapes clefs :

– Une décision forte, un nouvel élan. Avant d’être une nouvelle étape, le don de gamètes vient clore un chapitre douloureux, celui de l’infertilité et de son acceptation. Il est donc perçu par ces couples comme un acte qui répare, une nouvelle chance. Pour autant, la phase de réflexion sur les implications d’un tel don demeure nécessaire à l’élaboration d’un nouveau projet parental. Celui-ci est vécu comme un moment fondateur de l’histoire du couple.

– Un parcours médical qui éprouve et qui construit. Le temps des traitements est vécu différemment par les femmes, en fonction de la prise en charge médicale mise en œuvre et de leur parcours antérieur. Rétrospectivement, les couples interrogés évoquent une expérience qui renforce et qui fait évoluer en tant que couple et en tant que parent ; chacun trouvant sa place dans ce projet à deux.

– Une parole libératrice et porteuse d’espoir. Comment en parler, avec qui, à quel moment l’aborder avec l’enfant… La question de la parole autour du don est centrale dans les témoignages. Si le sujet est sensible et reste intime au début du processus, les couples ressentent ensuite le besoin d’intégrer leurs proches dans leur histoire. En parler avec l’enfant dès que possible devient, à terme, une évidence pour tous les parents interrogés. En parler, c’est aussi pour eux partager leur expérience et leur espoir avec d’autres couples éprouvés comme ils l’ont été.

Qui sont les potentiels donneurs ? Trentenaires et solidaires

Selon une enquête conduite par l’Agence de la biomédecine avec le soutien des centres de dons auprès de 455 candidat(e)s donneurs :

– La majorité est trentenaire : 61 % des femmes candidates sont âgées de 32 à 36 ans et 51 % des hommes de 32 à 38 ans.
– La solidarité est leur moteur : c’est l’empathie pour un proche touché par un problème d’infertilité qui les a conduit à vouloir donner (2/3 des femmes, 3/4 des hommes).
– Un acte de générosité « évident » pour 90 % des femmes et 81 % des hommes.
– Une démarche assumée : 79 % des femmes et 61 % des hommes ont informé leurs proches de leur démarche de don.

>>> Sur le même sujet : PMA pour toutes les femmes : risque de pénurie de sperme ?

Au mois de septembre dernier la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa a déclaré que l’extension de la PMA aux femmes célibataires et aux couples de femmes serait légalisée en 2018 dans le cadre de la révision de la loi de bioéthique.

Une annonce qui a été plus ou moins bien accueillie, certains redoutant une possible pénurie de sperme qui pourrait pousser les couples qui sont dans l’attente d’un don de sperme à aller voir ailleurs, et notamment à l’étranger.

Interrogé par RMC le professeur Fabrice Guérif, praticien au CHU de Tours et spécialiste de la reproduction, avait ainsi déclaré à ce sujet : « Si le délai d’attente s’allonge, l’âge auquel une grossesse pourra débuter pour une femme inscrite sur la liste d’attente va automatiquement augmenter. Et donc forcément si l’âge maternel augmente, les chances de succès diminueront. Les couples risquent d’être pénalisés en terme de chance de succès ».

Par voie de conséquence il craint de voir des couples et/ou des femmes se rendre dans d’autres pays. « On peut craindre des départs vers l’étranger s’il y a dès lors l’assurance d’un délai d’attente plus court avec des résultats plus probants. »

Cette nouvelle campagne s’inscrit dans le cadre du dispositif national d’information sur l’assistance médicale à la procréation (AMP) initié par l’Agence de la biomédecine en 2008. Il a deux objectifs : informer sur le don de gamètes en resituant cette activité dans le champ de l’AMP et en rappelant l’insuffisance des dons pour répondre à certaines formes d’infertilité et permettre de recruter de nouveaux donneurs

News Santé

Pénurie de sperme et d’ovocytes : un appel aux dons lancé par l’Agence de la biomédecine

Pénurie de sperme et d’ovocytes. L’Agence de la biomédecine a décidé de lancer une nouvelle campagne nationale d’information et de recrutement sur le don d’ovocytes et le don de spermatozoïdes. Par cette démarche elle  souhaite mieux faire connaître ce geste de solidarité et sensibiliser la population sur ce don méconnu.

Mais il s’agit aussi de faire face à un nombre de dons qui reste insuffisant, malgré de précédentes campagnes de prévention, afin de répondre aux besoins des couples confrontés à une infertilité médicale.

Il faut savoir que chaque année 3 500 nouveaux couples souffrant d’une infertilité médicale à s’inscrivent en France pour bénéficier d’un don de gamètes. Une démarche à la fois éprouvante et porteuse d’espoir qui, bien souvent, représente la dernière étape d’un long parcours d’assistance médicale à la procréation (AMP). Sauf qu’aujourd’hui on manque toujours cruellement de donneurs et de donneuses, notamment parce que le public ne connaît pas encore suffisamment l’existence du don de gamètes et ses modalités.

Pixabay/Creative Commons

Dons d’ovocytes et de spermatozoïdes : à propos de la campagne 2017

En 2015, 540 femmes ont donné des ovocytes (+8 % vs 2014) et 255 hommes ont donné des spermatozoïdes (+7 % vs 2014), permettant ainsi la naissance de 1 227 enfants1.
Cependant, il reste difficile de satisfaire tous les besoins et les délais d’attente sont parfois encore trop longs pour bénéficier d’un don. L’Agence de la biomédecine estime que pour atteindre l’équilibre et prendre en charge l’intégralité de ces couples infertiles, il faudrait au total chaque année 1 400 dons d’ovocytes et 300 dons de spermatozoïdes, tout en diversifiant les origines géographiques des donneurs.

La nouvelle campagne sur le don de gamètes, initiée par l’Agence de la biomédecine, a pour but de sensibiliser de potentiels donneurs avec la diffusion de 3 spots sur des radios nationales, une série de 10 chroniques sur des radios régionales, des bannières animées sur internet et la projection de 2 films d’animation en bandes-annonces au cinéma.

L’ensemble de ce dispositif oriente les donneurs potentiels vers les sites www.dondovocytes.fr et www.dondespermatozoides.fr qui indiquent les coordonnées du centre de don le plus proche et répondent aux principales questions qu’un futur donneur peut se poser.

Devenus parents grâce à un don d’ovocytes ou de spermatozoïdes, ils témoignent

20 couples devenus parents grâce à un don de gamètes se sont exprimés sur leurs parcours lors d’entretiens conduits entre 2015 et 2017 par l’Agence de la biomédecine.
Comment gérer le désir d’enfant, les échecs et l’attente d’un don ? Comment parler du don avec leurs proches, puis avec l’enfant ? Quels liens tisseront ils avec leur(s) enfant(s) ? Autant de questionnements et d’appréhensions pour ces hommes et ces femmes confrontés à l’infertilité qui laissent place à un très grand bonheur lorsque leur projet parental a la chance de se concrétiser.

Leur expérience du recours au don de gamètes est ponctuée par 3 étapes clefs :

– Une décision forte, un nouvel élan. Avant d’être une nouvelle étape, le don de gamètes vient clore un chapitre douloureux, celui de l’infertilité et de son acceptation. Il est donc perçu par ces couples comme un acte qui répare, une nouvelle chance. Pour autant, la phase de réflexion sur les implications d’un tel don demeure nécessaire à l’élaboration d’un nouveau projet parental. Celui-ci est vécu comme un moment fondateur de l’histoire du couple.

– Un parcours médical qui éprouve et qui construit. Le temps des traitements est vécu différemment par les femmes, en fonction de la prise en charge médicale mise en œuvre et de leur parcours antérieur. Rétrospectivement, les couples interrogés évoquent une expérience qui renforce et qui fait évoluer en tant que couple et en tant que parent ; chacun trouvant sa place dans ce projet à deux.

– Une parole libératrice et porteuse d’espoir. Comment en parler, avec qui, à quel moment l’aborder avec l’enfant… La question de la parole autour du don est centrale dans les témoignages. Si le sujet est sensible et reste intime au début du processus, les couples ressentent ensuite le besoin d’intégrer leurs proches dans leur histoire. En parler avec l’enfant dès que possible devient, à terme, une évidence pour tous les parents interrogés. En parler, c’est aussi pour eux partager leur expérience et leur espoir avec d’autres couples éprouvés comme ils l’ont été.

Qui sont les potentiels donneurs ? Trentenaires et solidaires

Selon une enquête conduite par l’Agence de la biomédecine avec le soutien des centres de dons auprès de 455 candidat(e)s donneurs :

– La majorité est trentenaire : 61 % des femmes candidates sont âgées de 32 à 36 ans et 51 % des hommes de 32 à 38 ans.
– La solidarité est leur moteur : c’est l’empathie pour un proche touché par un problème d’infertilité qui les a conduit à vouloir donner (2/3 des femmes, 3/4 des hommes).
– Un acte de générosité « évident » pour 90 % des femmes et 81 % des hommes.
– Une démarche assumée : 79 % des femmes et 61 % des hommes ont informé leurs proches de leur démarche de don.

>>> Sur le même sujet : PMA pour toutes les femmes : risque de pénurie de sperme ?

Au mois de septembre dernier la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa a déclaré que l’extension de la PMA aux femmes célibataires et aux couples de femmes serait légalisée en 2018 dans le cadre de la révision de la loi de bioéthique.

Une annonce qui a été plus ou moins bien accueillie, certains redoutant une possible pénurie de sperme qui pourrait pousser les couples qui sont dans l’attente d’un don de sperme à aller voir ailleurs, et notamment à l’étranger.

Interrogé par RMC le professeur Fabrice Guérif, praticien au CHU de Tours et spécialiste de la reproduction, avait ainsi déclaré à ce sujet : « Si le délai d’attente s’allonge, l’âge auquel une grossesse pourra débuter pour une femme inscrite sur la liste d’attente va automatiquement augmenter. Et donc forcément si l’âge maternel augmente, les chances de succès diminueront. Les couples risquent d’être pénalisés en terme de chance de succès ».

Par voie de conséquence il craint de voir des couples et/ou des femmes se rendre dans d’autres pays. « On peut craindre des départs vers l’étranger s’il y a dès lors l’assurance d’un délai d’attente plus court avec des résultats plus probants. »

News Santé

Neurodon 2013 : appel à bénévoles

Comme chaque année depuis 2000, cette année aussi la collecte nationale du Neurodon, organisée par la Fédération pour la recherche sur le cerveau (FRC), se tiendra au mois de mars.

La campagne Neurodon permet aux Français de contribuer au financement de la recherche sur le cerveau, les maladies neurologiques (Parkinson, sclérose en plaques, Alzheimer, épilepsie, accidents vasculaires cérébraux, etc….) et les troubles psychiques (Autisme, troubles bipolaires, schizophrénie, etc…) en faisant une donation.

Collecte Neurodon 2013 : comment ça marche ?
La collecte se fera de différentes façons, et en particulier elle aura lieu dans les magasins Carrefour : lors de leur passage en caisse, les clients pourront présenter des coupons munis d’un code-barres valorisé 2 euros, un montant qui s’ajoutera à celui de leurs achats et sera réversé à Neurodon.

Recherche de bénévoles
La FRC recherche des bénévoles pour cette collecte qui se tiendra la semaine du 11 au 17 mars 2013. La FRC cherche plus particulièrement des bénévoles prêts à renforcer les équipes Neurodon le samedi 16 mars en Ile de France : tout le monde peut participer à partir de 15/16 ans !

Pour vous inscrire ou pour recevoir toute information complémentaire, envoyer un mail à :
[email protected]

Pour plus d’informations sur la recherche de benevoles, cliquez ici.
Pour savoir comment faire un don, connectez vous sur le site de Neurodon :
http://www.frc.asso.fr/Le-neurodon

A lire aussi :
> Le neurodon
> Quels progès dans les malaides du cerveau ?
> Quiz : comment muscler votre cerveau ?

Publié par Elide Achille
le 05/02/2013


News Sante AZ

Appel aux dons de lait pour les prématurés

Le lactarium d’Ile-de-France dirigé par le Docteur Virginie Rigourd, pédiatre, lance un appel à la générosité des jeunes mères souhaitant apporter leur contribution au don de lait.
Un don de lait spécifique destiné aux nourrissons prématurés.

Le lait de don anonyme collecté par les 18 lactariums en France au domicile des mamans ou dans les hôpitaux doit être pasteurisé et passer par une qualification avant d’être redistribué dans les services de néonatalogie.

Très important pour les prématurés

En France, chaque année, 10.000 nouveau-nés naissent avant 32 semaines et/ou pèsent moins de 1500 g. Le Docteur Rigourd confie que : « Ce don de lait de femme est très important, car il y a pas d’alternative pour l’alimentation de ces prématurés et nous en manquons. Le lait maternel permet de prévenir certaines complications de la prématurité, d’apporter des propriétés nutritionnelles spécifiques, de favoriser la croissance et le développement neurologique du prématuré et de participer à la prévention de certaines pathologies endocriniennes et métaboliques du futur adolescent et adulte qu’il sera ».

Un don simple à faire
Pour effectuer un don de lait, il suffit de contacter le lactarium le plus proche de chez vous, un questionnaire médical ainsi qu’une prise de sang (dépistage du VIH , Hépatite B…) seront effectués avant le don. Les femmes souhaitant donner leur lait, seront accompagnées et aidées dans leur démarche: le lactarium se chargera de leur fournir tout le matériel nécessaire, viendra chercher le lait à leur domicile.

Alors si vous allaité votre bébé et que vous souhaitez donner un peu de votre lait, n’hésitez pas,
donnez !

Contact :
> Contact :
> l’ADLF (Association des Lactariums de France) www.perinat-france.org

A lire aussi :
> Le bébé prématuré
> Risque d’un accouchement prématuré
> Lactariums : adresses, téléphones
> Le don de lait.

Publié par Marla Gulamo de Morais
le 27/01/2013


News Sante AZ