Archives par mot-clé : Assurance

Une nouvelle assurance santé collaborative

Le courtier Amalfi, via sa marque commerciale Otherwise, veut « réinventer » la complémentaire santé avec une assurance santé dites « collaborative » explique l’Argus de l’Assurance. Une nouvelle vision de ce secteur pour faire face à un marché de plus en plus réglementé.

Quels avantages à cette complémentaire santé nouvelle version ?

Les assurés observant un comportement responsable peuvent se voir restitué un bonus collaboratif pouvant atteindre 50 % des cotisations (HT), explique Raphael Berger, cofondateur et président d’Otherwise (qui signifie « autrement » en Français).

Parmi 3 niveaux de garanties  («Budget», «Equilibre» ou «Optimum»), l’assuré rejoint une communauté d’assurés au profil similaire. Les cotisations vont dans une tirelire commune pour les petites dépenses de santé, dont le suivi est possible via une plateforme dédiée.

Selon les remboursements effectués à l’ensemble de la communauté, les assurés peuvent récupérer jusqu’à 50 % de leur cotisation initiale.

Regardez cette vidéo pour comprendre le fonctionnement :

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Assurance maladie : comment réduire les cas de lombalgie ?

Un Français sur deux souffre du dos et c?est trop !

Les lombalgies sont des maux qui touchent bien trop de Français. Actuellement, l’Assurance maladie cherche à tout prix à faire des économies et se verrait bien diminuer la part importante des frais liés à cette maladie. Une campagne est lancée pour informer les Français.

Lombalgie : un mal profond

La lombalgie est une maladie du dos dont la douleur peut descendre jusqu’aux cuisses et même les genoux. Elle se situe à l’origine au niveau des vertèbres lombaires. Il existe deux types de lombalgies : la lombalgie symptomatique qui découle d’une maladie ou celle qualifiée de « commune ».

3 milliards d’euros par an pour les malades de lombalgies

Les lombalgies représentent une part importante du budget annuel de la Sécurité sociale, bien trop à son goût même. En effet, un Français sur deux souffre du dos. Parmi eux, un cas sur cinq est placé en arrêt de travail. Résultat, les coûts explosent pour prendre en charge cette maladie.

En chiffres, ces malades en arrêt de travail coûtent 3 milliards d’euros et représentent 6 700 individus soit 24% des indemnités quotidiennes que la Sécu verse annuellement. Les mutuelles aussi sont concernées par ce fléau car elles prennent souvent en charge une partie des soins.

L’Assurance maladie conseille de consulter rapidement un spécialiste

Pour contrer le phénomène, l’Assurance maladie lance une campagne de prévention qui vise à éviter que les lombalgies deviennent une maladie chronique c’est-à-dire qui dure dans le temps.

Le but est donc, dès les premiers symptômes, de conseiller les patients à aller voir un spécialiste comme un rhumatologue dont le cœur du métier demeure les pathologies des os et des articulations. Si le squelette du patient manifeste une quelconque gêne dans son fonctionnement, c’est alors lui qui intervient. Pour combattre les lombalgies, il vaut donc mieux s’y prendre tôt. En plus de ce conseil, « Le livre du dos » pourra aussi être distribué aux patients pour mieux faire passer l’information.

Via Leparisien.fr

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Que faire en cas de morsure de tiques ? (Assurance maladie, France)

Le site de l’Assurance maladie de France a publié, en février 2016, une page d’information sur la conduite à tenir en cas de morsure de tique.

« Toutes les tiques ne sont pas porteuses de maladie. Mieux vaut cependant les retirer au plus vite pour éviter les risques d’infection. En cas de problème ou d’inflammation dans les jours suivant l’extraction, consultez un médecin. »

« Il est important d’extraire les tiques le plus vite possible ». Car « si la tique est porteuse de la bactérie Borrelia, le risque de transmission de cette bactérie augmente avec la durée d’attachement de la tique à la peau ».

Conseils :

  • « après une promenade en forêt, en zone broussailleuse ou en zone humide, pensez à inspecter minutieusement tout votre corps pour trouver les tiques éventuelles. Regardez notamment les aisselles, les plis du genou, les organes génitaux, le cuir chevelu, où sont habituellement localisées les piqûres ; examinez également vos enfants ; les morsures de tiques ne doivent pas passer inaperçues ;

  • si vous constatez la présence de tiques, n’appliquez aucun produit (ni d’éther ni autre produit). Cela pourrait faire régurgiter les tiques. La bactérie Borellia, présente dans la salive des tiques et responsable de la maladie de Lyme serait alors libérée ;

  • retirez toutes les tiques le plus rapidement possible, en utilisant un tire-tique (vendu en pharmacie) ou à défaut, une fine pince à épiler. Agrippez délicatement les insectes au plus près de la peau et tirez-les doucement mais fermement. Pour ne pas casser l’appareil buccal (le rostre), faites un mouvement circulaire ;

  • si vous n’avez pas réussi à retirer tout le rostre du premier coup, ne recommencez pas et ne cherchez pas à compléter l’extraction. Une petite grosseur pourra persister pendant plusieurs semaines mais elle finira par disparaître ;

  • une fois les tiques retirées, désinfectez soigneusement la peau avec par exemple de l’alcool modifié ou un antiseptique à base de chlorhexidine, d’hexamidine ou de povidone iodée ;

  • une petite plaque rouge peut apparaître immédiatement ou dans les 24 premières heures après la morsure. Il s’agit d’une réaction normale à la salive de la tique et cela ne veut pas forcément dire qu’il y a eu contamination par la bactérie ;

  • en revanche, il faut bien surveiller la zone mordue pendant 30 jours. Si vous voyez apparaître une plaque rouge inflammatoire entre trois à trente jours après la morsure, vous devez consulter un médecin car c’est un symptôme de la maladie de Lyme. Un traitement antibiotique est alors nécessaire. »

Consultez un médecin si :

  • « vous avez été mordue par une tique et vous êtes enceinte (chez la femme enceinte, toute morsure de tique fait l’objet d’un traitement antibiotique préventif) ;

  • votre enfant de moins de 8 ans a été mordu ;

  • une plaque rouge se développe autour d’une piqûre ancienne et s’étend (dans ce cas, ne tardez surtout pas) ;

  • la tique est restée implantée plus de 36 heures ;

  • vous avez eu des piqûres multiples ;

  • vous ne savez pas depuis quand la tique était présente mais, au moment de l’extraction, elle était gorgée de sang ;

  • vous êtes immunodéprimé (traitement immunosuppresseur, VIH…) ;

  • Après examen, votre médecin traitant pourra vous prescrire, si nécessaire, un traitement par antibiotiques. »

Prévenir les morsures de tiques :

  • « Lors de vos promenades en forêt ou en zone rurale, portez des vêtements longs, qui couvrent les bras et les jambes, serrent les poignets et les chevilles, de couleur claire de préférence de façon à repérer plus facilement la présence de tiques. Mettez des chaussures fermées.

  • Vous pouvez également appliquer des répulsifs sur les parties découvertes. Mais attention, ceux-ci sont contre-indiqués chez la femme enceinte et le petit enfant. Leur efficacité n’est par ailleurs pas formellement démontrée. Il existe aussi des répulsifs vestimentaires qui ont les mêmes contre-indications. »

Psychomédia avec source : ameli-sante.fr.
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Vers l’auto assurance pour contrer les tarifs de mutuelles ?

Alors que les salariés du privé vont bientôt bénéficier de la généralisation de la complémentaire santé dès le 1er janvier 2016, (les seniors dès 2017), les autres vont continuer à payer une mutuelle individuelle, bien plus onéreuse. Le site l’Express Votre Argent, propose de passer par l’auto assurance.

Qu’est-ce que l’auto-assurance ?

Pour ceux qui ne bénéficieront pas de la généralisation de la complémentaire santé, c’est à dire d’une mutuelle co-financée par le patron et le salarié, et donc moins chère, il reste la solution de la mutuelle individuelle. Pas simple lorsque l’on est étudiant, fonctionnaire ou à la recherche d’un emploi de se payer une bonne mutuelle à tarif raisonnable.

Pourquoi ne pas passer par l’auto-assurance ? L’auto-assurance, c’est le fait de ne pas souscrire d’assurance (hors assurance obligatoire) et de prendre la responsabilité d’assumer les frais soi-même face à un sinistre ou une dépense donnée. Comment ? En épargnant une somme mensuellement sur un compte épargne dédié. En cas de dépenses de santé, l’assuré peut y puiser la somme nécessaire.

Pourquoi passer à l’auto assurance ?

Combien pèse le budget « mutuelle » dans le budget total ? Voici une question importante car si le budget de la mutuelle santé atteint un certain seuil par rapport au budget global, ce n’est peut-être plus aussi intéressant. Les assurances santé et mutuelle augmentent chaque année à coup d’arguments imparables : taxes, augmentation de la consommation de médicaments, vieillissement de la population, etc.Chez les seniors, une mutuelle santé peut atteindre jusqu’à 8 % du revenu total.

Quel rapport entre les remboursements de santé reçus et le montant des cotisations ? Pour ce faire, il suffit de prendre les relevés de remboursement pour une période donnée. Il faut ensuite calculer le montant des remboursements reçus d’une part et additionner le montant des cotisations d’autre part. Selon le site votreargent.lexpress.fr, l’écart serait souvent en la défaveur des assurés.

La Sécurité Sociale, une vraie couverture pour les cas de maladies graves. Les risques de santé les plus couteux sont pris en charge à 100 % par la Sécurité Sociale. De la même façon les actes opératoires effectués à l’hôpital dont le cout dépasse les 120 euros, sont entièrement pris en charge par la Sécu (hors franchise de 18 euros). Une mutuelle prendrait en charge cette franchise et le forfait hospitalier de 18 euros.)

Hors coût d’hospitalisation, la Sécurité Sociale ne prend en charge qu’à hauteur de 50 %. Les mutuelles jouent bien leur rôle en matière de remboursement des consultations médicales et de pharmacie, elles sont en revanche moins généreuses en matière de remboursement dentaire et remboursement optique.

Cependant, les mutuelles santé restent le meilleur moyen de prévoir le risque de santé. Inutile de se mettre en danger financier.

Assurance obsèques : que faut-il savoir sur ces contrats ?

Publi-éditorial 

Organiser des obsèques requiert un budget conséquent. D’après la CPFM (Confédération des professionnels du funéraire et de la marbrerie), il faut compter pas moins de 4000en moyenne pour une inhumation et 3500€ pour une crémation.

Une somme conséquente à assumer pour l’entourage qui vient s’ajouter à la douleur de la perte.

Les contrats d’assurance obsèques ont pour but initial de protéger financièrement vos proches au jour de votre décès. Dans certains cas, ils permettent aussi d’anticiper l’organisation de vos funérailles. Nous vous guidons pour effectuer le bon choix.

Assurance obsèques : plusieurs formes de contrat 

Il existe deux types de contrats obsèques bien distincts qu’il est important de différencier. 

Contrat obsèques en capital : régler les frais funéraires

Les contrats en capital (ou « contrats de financement ») offrent la possibilité de prévoir un capital qui servira à financer ses obsèques.

Comme leur nom le laisse présager, ils se limitent à garantir, lors du décès du souscripteur, le versement du capital garanti (en moyenne entre 3500 et 5 500€) au bénéficiaire désigné et n’interviennent à aucun moment dans l’organisation des obsèques.

Représentant environ 75% des souscriptions selon la FFSA, ces contrats avant 2013, présentaient un inconvénient majeur : rien dans ses clauses n’obligeait le bénéficiaire à utiliser le capital pour les frais d’obsèques de l’assuré.  La personne désignée comme bénéficiaire pouvait donc utiliser la somme cotisée comme bon lui semblait. Grâce à la loi Sueur, ce souci est dorénavant réglé. 

Contrat obsèques en prestations personnalisées : payer et organiser ses funérailles

Appelé aussi convention obsèques, ces contrats offrent la possibilité, en plus de financer les funérailles, d’en gérer l’organisation.

Deux contrats en un :

  • Un contrat d’assurance géré par une compagnie d’assurance voué au financement ;
  • Ainsi qu’un contrat en prestations géré par un opérateur funéraire qui sera chargé d’organiser les obsèques.

Grâce à ce type de contrat, l’assuré peut choisir très précisément les prestations souhaitées lors de ses funérailles. Avec son conseiller funéraire, le souscripteur décide des options voulues et obtient un devis personnalisé précisant le montant du capital à garantir. Il peut alors choisir de signer le devis ou pas.

L’entourage et alors ainsi déchargé du coût des obsèques mais également de leur organisation. Il ne leur restera que le choix de la décoration, des lectures et des chants éventuels (si l’assuré n’en a pas déjà fait mention dans le contrat).

Choisir la bonne assurance obsèques parmi la grande quantité d’offre n’est pas toujours facile. Des sites spécialisés dans le secteur comme www.lassurance-obseques.fr vous guident dans votre choix et vous permettent de comparer les prix et les prestations des différents contrats. 

Conventions obsèques : quels types de prestations ?

Généralement, les prestations sont sensiblement les mêmes selon les différents opérateurs funéraires (liste non-exhaustive) :

  • Choix du type cercueil (prix, type, gravures, moulures…) ;
  • Choix entre inhumation ou la crémation ;
  • Le type de cérémonie (religieuse ou laïque) et son déroulement ;
  • Possibilité d’opter pour un soutien familial (psychologue, aide-ménagère…) ;
  • Prendre ou non une concession ;
  • Désigner des porteurs (combien, tenue…)
  • Le type de fleurs aux funérailles ;
  • Opter pour une pierre tombale personnalisée ;
  • Le rapatriement à domicile du défunt ;
  • Désigner un maître de cérémonie etc.

L’assuré peut donc choisir toutes les options relatives à ses funérailles en étant sûr que celles-ci seront respectées à la lettre.

Même si ces prestations ne sont réellement indispensables, plusieurs d’entre elles peuvent aider considérablement votre entourage durant cette douloureuse épreuve :

  • la prise en charge du trajet des proches au lieu des obsèques,
  • l’assistance psychologique pour faire face au deuil,
  • ou encore l’assistance administrative et juridique guidant toutes les marches à suivre.

A quel âge est-il le plus intéressant de souscrire ?

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, il n’est pas nécessaire d’attendre le « grand âge » pour souscrire une assurance obsèques. Il est d’ailleurs préférable d’y penser tôt (autour de 50, 55 ans) pour bénéficier de cotisations moins importantes.

Aussi, en optant pour des cotisations temporaires (généralement étalées sur 5,10 ou 15 ans), l’assuré peut alors cotiser au cours de sa vie active et ainsi être totalement affranchi de ses mensualités durant sa retraite.

À noter qu’en règle générale, l’âge limite de la souscription est de 80 ans. 

Où souscrire ?

La souscription peut se faire chez un assureur, une banque, une mutuelle ou un établissement funéraire. 

Ce qu’il faut retenir

  • Une assurance obsèques est souscrite pour deux raisons principales : soulager votre entourage des frais de vos funérailles et vous permettre, le cas échéant, d’anticiper l’organisation des obsèques.
  • Le contrat en capital convient parfaitement à ceux ne souhaitant gérer que l’aspect financier de leurs obsèques. Pour les autres, désireux d’anticiper aussi l’organisation, la convention obsèques est alors plus appropriée et conseillée.
  • Bien qu’il existe des solutions avantageuses et adaptée pour souscrire sur le tard, il est préférable de souscrire avant ses 75 ans.   
  • Le prix d’une assurance obsèques est très variable selon le profil, le budget et les souhaits du souscripteur. 

 

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