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Vaccination contre les papillomavirus : les jeunes filles auraient des relations sexuelles plus tardives

Vaccination contre les papillomavirus : les jeunes filles auraient des relations sexuelles plus tardives

Le 18 octobre 2018.

Le vaccin Gardasil, mis en circulation en 2006, et qui protège contre les papillomavirus, fait l’objet de nombreuses réticences de la part de parents qui s’inquiètent de voir leur fille avoir des rapports sexuels plus tôt. Or, une nouvelle étude canadienne prouve exactement le contraire. 

Le vaccin contre les papillomavirus inquiète les parents

Alors que des virus sexuellement transmissibles sont responsables de 4.200 nouveaux cancers ano-génitaux chaque année et de 1.450 cancers ORL en France, beaucoup de parents refusent encore de faire vacciner leurs filles. Ils craignent en effet que ces dernières aient des rapports sexuels plus tôt ou non protégés. 

Or une nouvelle étude publiée dans le Canadian Medical Association Journal, s’est basée sur la sexualité de près de 300.000 jeunes filles canadiennes en 2003, en 2008 (année où toutes les jeunes filles furent vaccinées contre le papillomavirus) et en 2013. Les résultats sont probants : les rapports sexuels avant l’âge de 14 ans sont passés de 21% en 2003 à 18% en 2013. Quant à la prise d’une contraception orale pour les filles sexuellement actives, elle a également augmenté de 9% pour la même période.

Les rapports sexuels diminuent avant 14 ans

Les conclusions de l’étude sont claires : la vaccination contre le papillomavirus (HPV) n’a pas provoqué de comportements sexuels négatifs chez les adolescentes. A contrario, ce vaccin les a incitées à se protéger et à prendre davantage conscience du risque.

« Nous pouvons affirmer que le vaccin HPV n’augmente pas les comportements à risque chez les adolescents », conclue Elizabeth Saewyc, l’un des auteurs de l’étude. « En fait, les jeunes font aujourd’hui de meilleurs choix pour leur santé qu’ils ne l’on jamais fait ». 

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Les papillomavirus

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Cancers : 4 cas sur 10 auraient pu être évités

Cancers : 4 cas sur 10 auraient pu être évités

Le 25 juin 2018.

 

Sur les 346.000 cas de cancer diagnostiqués chez les adultes en 2015, 142.000 cas (41%) auraient pu être évités si les premiers intéressés ne fumaient pas, ne buvaient pas trop d’alcool, ne s’exposaient pas aux UV et avaient une activité physique suffisante, révèle le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) dans son rapport annuel sur les cancers évitables.

UV, expositions professionnelles, infections… : de nombreux cas de cancers sont évitables

Les diagnostics de cancers se multiplient ces dernières décennies, mais selon les chercheurs du Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC), 41% des cas auraient pu être évités si les personnes atteintes de cette maladie menaient un mode de vie plus sain avant de tomber malades. 3% du total des diagnostics positifs prononcés au cours de l’année 2015 étaient attribuables aux UV, 0,9% à une activité physique insuffisante, 0,7% aux radiations ionisantes d’origine médicale (examens diagnostiques), 0,6% aux hormones exogènes (pilules contraceptives par exemple) et 0,5% à une durée d’allaitement de moins de six mois.

 

À ces 3% des diagnostics s’ajoutent 4% qui sont attribuables aux agents infectieux, 3,6% qui sont liés aux expositions professionnelles, 1,2% au radon dans l’air intérieur, 0,4% à la pollution atmosphérique et 0,1% à une exposition à des substances chimiques dans l’environnement général (arsenic dans l’eau de boissons et benzène dans l’air intérieur).

Le tabac et l’alcool : les femmes aussi !

Le CIRC note tout particulièrement que beaucoup de femmes peuvent éviter de tomber malades, puisque le tabac et l’alcool sont respectivement la première et la deuxième cause de cancer chez elles. Et l’influence de ces mauvaises habitudes sur le fait d’avoir un cancer ne fait que s’accentuer : en comparant au précédent rapport du CIRC sur l’année 2000, la proportion de cancers liés au tabac est passée de 6,1% à 8% et la proportion des cancers liés à l’alcool est passée de 4,5% à 7,3%.

 

L’obésité fait office de troisième grande famille de causes évitables chez les femmes (6,8% du total des diagnostics), tandis que 5,7% des diagnostics positifs chez les hommes auraient pu être évités si le premier intéressé s’alimentait correctement.

 

Anton Kunin

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Tabac : les industriels auraient menti sur la teneur réelle en goudron et nicotine des cigarettes

TABAC : Le scandale du « filtergate ». Les accusations sont particulièrement graves et sont aujourd’hui formulées par le Comité National contre la Tabagisme (CNCT, ndrl). Les industriels du tabac nous auraient en effet menti sur la teneur réelle en goudron et nicotine des cigarettes. Comment ? Grâce à de minuscules trous dans les filtres.

Aujourd’hui le Comité national contre le tabagisme accuse les quatre grands fabricants de cigarettes de fraude et indique avoir déposé plainte en ce sens pour “manipulation de leurs produits en vue de falsifier les tests requis par les autorités sanitaires relatifs aux goudrons, monoxyde de carbone et nicotine”

5arah/Pixabay

Pour le CNCT cette tromperie délibérée des pouvoirs publics et des consommateurs avec mise en danger aggravée de ceux-ci signifie concrètement qu’un fumeur qui pense fumer un paquet par jour en fume, en fait, l’équivalent de 2 à 10.

Et de préciser que tous les fabricants de tabac sont concernés et que des procédures similaires ont été lancées ou sont en cours dans d’autres pays, pouvant impliquer des associations de malades.

Tabac : communiqué du CNCT

Les produits du tabac sont particulièrement toxiques. La seule consommation d’une cigarette en moyenne par jour induit des risques immédiats sur le plan cardiovasculaire et avec la durée des risques de cancers et de maladies respiratoires, particulièrement invalidantes ou fatales.

Ces produits du tabac entraînent une dépendance rapide et massive et les scientifiques considèrent que le tabac est l’une des drogues les plus difficiles, voire la plus difficile, à arrêter.

Les pouvoirs publics s’efforcent de réglementer ces produits pour en dissuader la consommation, inciter les fumeurs à l’arrêt et contrôler autant que possible leur composition. Dans cette perspective, ils imposent aux industriels du tabac des limitations concernant différents composants particulièrement toxiques comme les goudrons ou le monoxyde de carbone ou qui sont associés à la dépendance : la nicotine.

De nombreuses investigations et procès, incluant la publication de millions de pages de documents internes, ont révélé au monde que l’industrie du tabac n’était en aucun cas une industrie comme les autres. Le scandale du filtergate vient encore le démontrer.

Le filtergate représente la manipulation des filtres par les fabricants de tabac via la perforation de ces filtres et l’existence de minuscules trous destinés à falsifier les tests des caractéristiques des cigarettes. Les fabricants de tabac ont ainsi modifié secrètement les propriétés techniques des cigarettes afin de tromper les laboratoires agréés en charge de mener les tests requis par le code de santé publique devant mesurer les taux de goudron, de nicotine, et de monoxyde de carbone contenus dans les émissions des cigarettes fumées.

Il s’ensuit que la mise en place de ce dispositif de micro-orifices dans le filtre des cigarettes empêche les autorités en charge de l’application de la loi de savoir si les seuils de goudron, de nicotine, et de monoxyde de carbone qu’elles ont fixés sont dépassés.

Un tel système de ventilation invisible trompe les fumeurs puisqu’ils ignorent l’ampleur réelle du risque qu’ils prennent en croyant, à tort, qu’ils inhalent une certaine quantité de produits dangereux alors que les doses qu’ils absorbent sont supérieures à celles qui leurs sont indiquées.

Être payé pour arrêter de fumer…

Et si vous proposait de l’argent pour arrêter de fumer ? Une méthode qui pourrait en choquer certains et qui pourtant existe déjà ! Elle est actuellement testée avec succès aux Etats-Unis, et plus précisément au centre médical de Boston.

Le deal est simple : un prime de 250 dollars est versée à une personne qui s’arrête de fumer 6 mois. Elle est doublée pour une personne qui tient 6 mois supplémentaires. Et les résultats sont assez encourageants puisque 12% des personnes qui se sont prêtées à l’expérience ont tiré un trait définitif sur la cigarette.

Des précédents..

Il y a un peu plus d’un an une étude suisse nous apprenait qu’une compensation financière parvenait à convaincre certaines personnes de mettre un terme à leur addiction favorite.

Menée par des chercheurs de l’Université de Genève – les résultats complets de cette étude ont été publiés dans la revue spécialisée Journal of the American College of Cardiology – elle a consisté en la promesse d’une rémunération versée à des personnes s’engageant à arrêter de fumer.

Sommes promises : 92 € pour une abstinence de 7 jours, 138 € pour deux semaines et jusqu’à 1380 € pour une période d’au moins 6 mois sans cigarette. A noter, et c’est important de le préciser, qu’aucune autre aide, y compris médicamenteuse, ne leur était proposée.

Au terme de l’étude, 45% des personnes rémunérées avaient bien arrêter de fumer. Seul bémol, et une fois la rémunération oubliée, nombreux sont ceux qui avaient pris reprise leurs mauvaises habitudes. Ainsi 20% des personnes avaient réellement arrêter de fumeur au bout d’un an.

Comme quoi l’argent peut faire bien des miracles…

Être payé pour arrêter de fumer : en France aussi

Comment convaincre les femmes enceintes d’arrêter de fumer ? Un problème de santé publique alors que de nombreuses études ont déjà démontré que le tabagisme pouvait favoriser les grossesses extra-utérines, les fausses couches spontanées, les retards de croissance.. et même augmenter par 3 le risque du syndrome de mort subite du Nourrisson…

Et si le “shopping” était la solution ? Une étude mise en place par l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) et menée conjointement avec l’Inca dans 17 maternités françaises va peut-être finir d’en convaincre certains. Elle consiste à proposer à des femmes enceintes souhaitant s’arrêter de fumer des bons d’achat. Lancée au printemps 2016, elle a pour objectif “d’évaluer l’impact d’une incitation financière sur le taux d’abstinence tabagique chez les femmes enceintes fumeuses”

Histoire d’éviter certaines dérives, sachez que cette vaste étude s’étale sur 36 mois et prévoit de 3 à 5 consultations tabacologiques chez les femmes volontaires et ce jusqu’à leur accouchement. Est également prévu un rappel téléphonique dans les 6 mois qui suivent.

Sont concernées par cette étude des femmes enceintes de moins de 18 semaines, fumant au moins 5 cigarettes manufacturées ou 3 cigarettes roulées par jour et qui sont bien sûr fortement motivée à l’idée d’arrêter de fumer. Cigarettes électroniques et autres produits de tabac (pipe, cigare, tabac oral) sont bien sûr à proscrire.

L’occasion de vous rappeler que Tabac Info Services a lancé une application gratuite pour accompagner et aider ceux qui veulent en finir avec le tabac.

Cette application permet à tous ceux qui la téléchargent de bénéficier de conseils personnalisés de tabacologues et de suivre au quotidien ses progrès et les bénéfices d’un arrêt de la cigarette.

Comment ça marche ? Rien de plus simple :

On télécharge gratuitement l’application sur Google play ou App Store
On remplit son profil grâce à un simple questionnaire
On démarre son programme de coaching personnalisé
On pose ses questions à un tabacologue
On consulte les témoignages d’autres ex-fumeurs.
On bénéficie de conseils adaptés pour faire passer les envies de cigarettes.
On partage ses résultats pour encourager ses proches à nous suivre.

Note : Tabac info service est un dispositif d’aide à l’arrêt du tabac de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé et du Ministère de la santé.

News Santé

Tabac : les industriels auraient menti sur la teneur réelle en goudron et nicotine des cigarettes

TABAC : Le scandale du « filtergate ». Les accusations sont particulièrement graves et sont aujourd’hui formulées par le Comité National contre la Tabagisme (CNCT, ndrl). Les industriels du tabac nous auraient en effet menti sur la teneur réelle en goudron et nicotine des cigarettes. Comment ? Grâce à de minuscules trous dans les filtres.

Aujourd’hui le Comité national contre le tabagisme accuse les quatre grands fabricants de cigarettes de fraude et indique avoir déposé plainte en ce sens pour “manipulation de leurs produits en vue de falsifier les tests requis par les autorités sanitaires relatifs aux goudrons, monoxyde de carbone et nicotine”

5arah/Pixabay

Pour le CNCT cette tromperie délibérée des pouvoirs publics et des consommateurs avec mise en danger aggravée de ceux-ci signifie concrètement qu’un fumeur qui pense fumer un paquet par jour en fume, en fait, l’équivalent de 2 à 10.

Et de préciser que tous les fabricants de tabac sont concernés et que des procédures similaires ont été lancées ou sont en cours dans d’autres pays, pouvant impliquer des associations de malades.

Tabac : communiqué du CNCT

Les produits du tabac sont particulièrement toxiques. La seule consommation d’une cigarette en moyenne par jour induit des risques immédiats sur le plan cardiovasculaire et avec la durée des risques de cancers et de maladies respiratoires, particulièrement invalidantes ou fatales.

Ces produits du tabac entraînent une dépendance rapide et massive et les scientifiques considèrent que le tabac est l’une des drogues les plus difficiles, voire la plus difficile, à arrêter.

Les pouvoirs publics s’efforcent de réglementer ces produits pour en dissuader la consommation, inciter les fumeurs à l’arrêt et contrôler autant que possible leur composition. Dans cette perspective, ils imposent aux industriels du tabac des limitations concernant différents composants particulièrement toxiques comme les goudrons ou le monoxyde de carbone ou qui sont associés à la dépendance : la nicotine.

De nombreuses investigations et procès, incluant la publication de millions de pages de documents internes, ont révélé au monde que l’industrie du tabac n’était en aucun cas une industrie comme les autres. Le scandale du filtergate vient encore le démontrer.

Le filtergate représente la manipulation des filtres par les fabricants de tabac via la perforation de ces filtres et l’existence de minuscules trous destinés à falsifier les tests des caractéristiques des cigarettes. Les fabricants de tabac ont ainsi modifié secrètement les propriétés techniques des cigarettes afin de tromper les laboratoires agréés en charge de mener les tests requis par le code de santé publique devant mesurer les taux de goudron, de nicotine, et de monoxyde de carbone contenus dans les émissions des cigarettes fumées.

Il s’ensuit que la mise en place de ce dispositif de micro-orifices dans le filtre des cigarettes empêche les autorités en charge de l’application de la loi de savoir si les seuils de goudron, de nicotine, et de monoxyde de carbone qu’elles ont fixés sont dépassés.

Un tel système de ventilation invisible trompe les fumeurs puisqu’ils ignorent l’ampleur réelle du risque qu’ils prennent en croyant, à tort, qu’ils inhalent une certaine quantité de produits dangereux alors que les doses qu’ils absorbent sont supérieures à celles qui leurs sont indiquées.

Être payé pour arrêter de fumer…

Et si vous proposait de l’argent pour arrêter de fumer ? Une méthode qui pourrait en choquer certains et qui pourtant existe déjà ! Elle est actuellement testée avec succès aux Etats-Unis, et plus précisément au centre médical de Boston.

Le deal est simple : un prime de 250 dollars est versée à une personne qui s’arrête de fumer 6 mois. Elle est doublée pour une personne qui tient 6 mois supplémentaires. Et les résultats sont assez encourageants puisque 12% des personnes qui se sont prêtées à l’expérience ont tiré un trait définitif sur la cigarette.

Des précédents..

Il y a un peu plus d’un an une étude suisse nous apprenait qu’une compensation financière parvenait à convaincre certaines personnes de mettre un terme à leur addiction favorite.

Menée par des chercheurs de l’Université de Genève – les résultats complets de cette étude ont été publiés dans la revue spécialisée Journal of the American College of Cardiology – elle a consisté en la promesse d’une rémunération versée à des personnes s’engageant à arrêter de fumer.

Sommes promises : 92 € pour une abstinence de 7 jours, 138 € pour deux semaines et jusqu’à 1380 € pour une période d’au moins 6 mois sans cigarette. A noter, et c’est important de le préciser, qu’aucune autre aide, y compris médicamenteuse, ne leur était proposée.

Au terme de l’étude, 45% des personnes rémunérées avaient bien arrêter de fumer. Seul bémol, et une fois la rémunération oubliée, nombreux sont ceux qui avaient pris reprise leurs mauvaises habitudes. Ainsi 20% des personnes avaient réellement arrêter de fumeur au bout d’un an.

Comme quoi l’argent peut faire bien des miracles…

Être payé pour arrêter de fumer : en France aussi

Comment convaincre les femmes enceintes d’arrêter de fumer ? Un problème de santé publique alors que de nombreuses études ont déjà démontré que le tabagisme pouvait favoriser les grossesses extra-utérines, les fausses couches spontanées, les retards de croissance.. et même augmenter par 3 le risque du syndrome de mort subite du Nourrisson…

Et si le “shopping” était la solution ? Une étude mise en place par l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) et menée conjointement avec l’Inca dans 17 maternités françaises va peut-être finir d’en convaincre certains. Elle consiste à proposer à des femmes enceintes souhaitant s’arrêter de fumer des bons d’achat. Lancée au printemps 2016, elle a pour objectif “d’évaluer l’impact d’une incitation financière sur le taux d’abstinence tabagique chez les femmes enceintes fumeuses”

Histoire d’éviter certaines dérives, sachez que cette vaste étude s’étale sur 36 mois et prévoit de 3 à 5 consultations tabacologiques chez les femmes volontaires et ce jusqu’à leur accouchement. Est également prévu un rappel téléphonique dans les 6 mois qui suivent.

Sont concernées par cette étude des femmes enceintes de moins de 18 semaines, fumant au moins 5 cigarettes manufacturées ou 3 cigarettes roulées par jour et qui sont bien sûr fortement motivée à l’idée d’arrêter de fumer. Cigarettes électroniques et autres produits de tabac (pipe, cigare, tabac oral) sont bien sûr à proscrire.

L’occasion de vous rappeler que Tabac Info Services a lancé une application gratuite pour accompagner et aider ceux qui veulent en finir avec le tabac.

Cette application permet à tous ceux qui la téléchargent de bénéficier de conseils personnalisés de tabacologues et de suivre au quotidien ses progrès et les bénéfices d’un arrêt de la cigarette.

Comment ça marche ? Rien de plus simple :

On télécharge gratuitement l’application sur Google play ou App Store
On remplit son profil grâce à un simple questionnaire
On démarre son programme de coaching personnalisé
On pose ses questions à un tabacologue
On consulte les témoignages d’autres ex-fumeurs.
On bénéficie de conseils adaptés pour faire passer les envies de cigarettes.
On partage ses résultats pour encourager ses proches à nous suivre.

Note : Tabac info service est un dispositif d’aide à l’arrêt du tabac de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé et du Ministère de la santé.

News Santé

Certaines allergies auraient bien pour origine une mutation génétique

Selon une étude qui vient de paraître, de nombreuses allergies pourraient être dues à des mutations génétiques.

Les allergies sont des réactions anormales et excessives du système immunitaire lorsqu’il se trouve en contact avec une substance le plus souvent étrangère à l’organisme. Aujourd’hui, ces phénomènes sont bien connus mais les mécanismes qui en sont à l’origine restent assez mystérieux. Pourtant, les observations et certaines études ont révélé que les allergies pourraient avoir une base génétique. Une hypothèse que confirme une nouvelle étude.

Ces travaux parus dans la revue Science Transnational Medicine révèle en effet que de nombreuses allergies pourraient être dues à des mutations génétiques. Plus précisément, à des mutations touchant les gènes codant pour la protéine TGF-beta. Cette dernière est connue pour ses effets sur la croissance des cellules à leur communication entre elles. Lorsque cette protéine dysfonctionne, comme dans la maladie de Marfan ou de Loeys-Dietz, par exemple, on aboutit à des lésions artérielles associées à des anomalies morphologiques.

« Nous avons des indications que ces mêmes dysfonctionnements génétiques affectant la protéine TGF-beta et qui sont responsables de certaines manifestations cliniques observées dans les syndromes de Marfan et de Loeys-Dietz jouent également un rôle dans l’asthme, des allergies alimentaires et l’eczéma », indique le Dr Pamela Frischmeyer-Guerrerio, un des co-auteurs de cette recherche cité par l’AFP.

Une série de réactions en chaine

En effet, les scientifiques avaient constaté que les malades atteints des syndromes de Marfan et de Loeys-Dietz souffraient, plus que le reste de la population, d’allergies. « Le dysfonctionnement du codage génétique de la protéine TGF-bêta paraît déclencher la série même de réactions en chaîne qui finit par provoquer des maladies allergiques », détaille le Dr Harry Dietz, un cardiologue qui a participé à l’étude.

Par (…)

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