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Vaccins : les Français toujours aussi méfiants

Vaccins : les Français toujours aussi méfiants

Le 10 février 2017.

De nombreuses études révèlent que la défiance des Français à l’égard des vaccins ne cesse d’augmenter. Mais comment y remédier ?

Des scandales sanitaires à l’origine de la défiance

Les parents qui cherchaient désespérément des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP), administrables sans le vaccin contre la coqueluche, l’hépatite B et l’Haemophilus influenzae de type B, un germe responsable des méningites, vont être heureux d’apprendre que le Conseil d’Etat a demandé au gouvernement de prendre des mesures pour rendre disponibles, d’ici à six mois, ces vaccins DTP indépendamment des trois autres.

Mais cela va-t-il redonner confiance aux parents qui se méfient des vaccins ? C’est une étape. Il se trouve que depuis des années, les Français ont été confrontés à trop de scandales sanitaires liés aux vaccins pour leur faire à nouveau totalement confiance. Le vaccin DTP n’avait-il pas été suspendu en 2008 en raison de « complications allergiques » ? Quant au vaccin contre l’hépatite B n’a-t-il pas été suspendu en 1998 parce qu’il était associé à des cas nouveaux ou à des rechutes de scléroses en plaques ?

Le vaccin sauve la vie de 2 à 3 millions de personnes chaque année

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a beau rappeler que 2 à 3 millions de décès sont évités chaque année dans le monde grâce à la vaccination, les Français ne sont pas plus convaincus que cela. Selon deux études menées par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), près de 4 Français 10 avaient une opinion défavorable de la vaccination en 2010. 5 ans plus tôt, ils étaient moins de 10 %.

En mai 2015, le Pr Henri Joyeux dénonçait la pénurie des vaccins ne protégeant que contre les maladies à vaccination obligatoires, dans une pétition adressée au ministère de la Santé. La pétition avait réuni plus d’un million de signatures. Entre temps, il a été radié de l’ordre des médecins en 2016, parce qu’il avait expliqué que l’Infanrix hexa contenait de l’aluminium et du formaldéhyde, « deux substances dangereuses », ainsi que le vaccin contre l’hépatite B. Il n’en fallait pas plus pour convaincre les parents.

À lire aussi : Que contiennent les vaccins ?

Marine Rondot.

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La charcuterie n’est pas aussi cancérogène qu’on le pensait

Le 4 novembre 2016.

Il y a un an, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l’agence cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), classait la viande transformée, essentiellement la charcuterie, dans la catégorie des agents « cancérogènes pour l’homme ». Ne faut-il plus toucher au saucisson pour autant ?

Bien comprendre la classification de l’OMS

La charcuterie et toutes sortes de viande transformée avaient rejoint le camp des produits « cancérogènes pour l’homme », comme le tabac, en octobre 2015, par le Centre international de recherche sur le cancer. Une classification qui avait fait polémique à l’époque. « Pour un individu, le risque de développer un cancer colorectal en raison de sa consommation de viande transformée reste faible, mais ce risque augmente avec la quantité de viande consommée », avait expliqué le Dr Kurt Straif, du CIRC.

Un avertissement que le Pr Dana Loomis, qui avait participé à l’évaluation en 2015, a souhaité expliquer, à l’occasion du Congrès mondial contre le cancer qui se tient actuellement à Paris. « Nos classements (groupe 1, 2a, 2b, 3…) n’indiquent pas le niveau de risque associé à un agent carcinogène, mais le niveau de preuve scientifique montrant qu’il est carcinogène », a-t-il avancé.

Le tabac reste bien plus dangereux que la charcuterie

Cela veut dire que si le tabac et la charcuterie se trouvent dans la même catégorie, ce n’est pas parce que ces produits sont autant dangereux, mais parce que les preuves de leur dangerosité sont aussi fiables. En effet, 34 000 personnes meurent chaque année à cause d’une alimentation riche en viandes transformées, quand près de 6 millions de personnes meurent à cause du tabac.

« Chaque portion de 50 grammes de viande transformée consommée tous les jours augmente le risque de cancer colorectal de 18 % », avait expliqué le Dr Kurt Straif. On est loin des ravages du tabac. Le tabagisme actif est la première cause de mortalité évitable en France et responsable de 90 % des cancers du poumon et de 73 000 décès prématurés chaque année en France. Un plateau de charcuterie n’est pas aussi dangereux.

À lire aussi : Réduire sa consommation de viande : pourquoi ?

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La dépression, un mal profond qui touche aussi les enfants

Le 28 octobre 2016.

Selon les données de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), 1 Français sur 5 vivra ou a vécu une dépression au cours de sa vie. Mais les adultes ne sont pas les seuls concernés par le problème.

Une maladie difficile à diagnostiquer

Selon les chiffres officiels, la prévalence des troubles dépressifs est estimée entre 2,1 % à 3,4 % chez l’enfant et à 14 % chez l’adolescent. Souvent mal connue, cette maladie est pourtant à prendre au sérieux car plus tôt elle est diagnostiquée, mieux elle peut être accompagnée. Ce qui pose le plus souvent problème, c’est la difficulté à poser le bon diagnostic. Un enfant replié sur lui-même est-il forcément en dépression ?

« Les symptômes sont difficiles à repérer : le fait qu’un enfant soit agité ou triste n’est pas forcément un signe de dépression », explique le Dr Myriam Szejer, pédopsychiatre et psychanalyste, dans les colonnes de 20 minutes. « Chez les enfants, plus que chez les adultes, le syndrome de la dépression masquée est très présent. »

L’environnement familial ou scolaire souvent en cause

La dépression chez l’enfant est souvent due à l’environnement familial ou scolaire. Elle se manifeste par un changement de comportement, de l’agressivité, de la colère ou une grande timidité. Après un divorce, un déménagement, un décès, ou s’il se fait harceler à l’école, l’enfant peut tomber dans une grosse déprime qui se transformera en dépression si elle n’est pas accompagnée par les parents ou par un pédopsychiatre.

L’enfant peut aussi perdre son appétit, avoir des maux de ventre ou de tête à répétition, il peut devenir extrêmement sensible et se mettre à pleurer à la moindre contrariété, ou avoir des troubles du sommeil. Ce qui doit alerter les parents, c’est le changement de comportement. En cas de doute, n’hésitez pas à en parler à votre médecin traitant ou directement à un pédopsychiatre.

À lire aussi : Faites-vous une dépression ?

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Plus personne ne pourra vivre aussi longtemps que Jeanne Calment

Le 7 octobre 2016.

Selon une étude menée une équipe de chercheurs de l’Albert Einstein College of Medicine, à New York, l’espérance de vie maximum a certes augmenté au long du XXe siècle, mais la durée maximale de la vie humaine pourrait déjà avoir été atteinte.

La durée maximale de la vie n’augmentera pas

Le record de la vie la plus longue revient à une Française, la très célèbre Jeanne Calment, qui est morte le 4 août 1997,à l’âge de 122 ans. Mais selon les chercheurs Xiao Dong, Brandon Milholland et Jan Vijg, plus personne ne pourra vivre aussi longtemps sur terre.

« Démographes et biologistes ont fait valoir qu’il n’y avait aucune raison de penser que l’espérance de vie maximum arrêterait de progresser », a fait savoir Jan Vijg, dans la revue scientifique britannique Nature. « Mais notre étude démontre que cet âge maximum a déjà été atteint et que ce pic l’a été dans les années 1990. ».

Selon lui, « de nouveaux progrès dans la lutte contre les maladies infectieuses et chroniques pourraient encore augmenter l’espérance de vie moyenne de la population mais pas la durée maximale de la vie. »

Plus de centenaires, mais personne n’atteint les 122 ans

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs se sont penchés sur l’âge maximal dans plus de 40 pays. En France, par exemple, le nombre de personnes toujours vivantes après 75 ans est passé de plus de 950 000 au début du précédent siècle, à 1,6 million en 1949 et à près de 6 millions en 2016. Sur cette période, le nombre de centenaires est passé de 100 à plus de 20 000.

Mais en comparaison avec les autres pays, les chercheurs ont pu constater que l’âge maximum avait augmenté rapidement entre 1970 et 1990, avant d’atteindre un plateau en 1995. Après cette date, l’âge maximum au décès a commencé à baisser doucement. Aujourd’hui, la probabilité qu’une personne dépasse les 125 ans serait de moins de un pour 10 000.

Vous aimerez aussi : Comment vivre mieux et plus longtemps ?

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Les jeunes aussi peuvent souffrir de douleurs articulaires

Le 7 octobre 2016.

Selon une enquête de l’Ifop pour l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), la fondation Arthritis et la Société française de rhumatologie, 1 jeune sur 3 souffre de douleurs articulaires.

1 Français sur 2 souffre de douleurs articulaires

Le 12 octobre se tiendra la journée mondiale contre les rhumatismes. Une occasion de faire le point sur un phénomène qui touche de plus en plus de personnes. Une étude menée par l’Ifop pour l’Inserm révèle en effet qu’un Français sur deux souffre de douleurs articulaires. Et trop peu nombreux sont ceux qui savent mettre des mots sur ces douleurs.

« La plupart d’entre eux n’associent pas leurs douleurs ostéo-articulaires avec la possibilité d’être soigné pour des rhumatismes », explique l’Inserm, dans un communiqué. Pourtant « les maladies articulaires sont des maladies dont l’impact sur la qualité de vie, le sommeil, mais aussi la mortalité est majeur. » La douleur articulaire est par ailleurs la cause principale d’arrêts maladie.

Les jeunes ne sont pas épargnés

Mais ce qui interpelle dans cette étude, c’est l’âge de plus en plus jeune des personnes qui souffrent de rhumatismes. Souvent associée aux grands-parents, une douleur articulaire « n’est pas forcément une problématique de personnes âgées », rappelle Lionel Comole, directeur de la fondation Arthritis. Selon l’étude de l’Ifop, 1 jeune sur 3, âgé de 18 à 24  ans, souffre de rhumatismes.

Et ces maux ne sont pas sans conséquences pour la santé. Saviez-vous, par exemple, que souffrir d’arthrose du genou augmente votre risque de mortalité cardiovasculaire de 50 % ? « Si on veut lutter contre la sédentarité, il ne faut plus considérer les rhumatismes comme bénins », explique Francis Berenbaum, président de la Société française de rhumatologie et chercheur à l’Inserm. « Il faut apprendre à préserver ses articulations comme on préserve son cœur ». Des traitements existent, demandez conseil à votre médecin.

Pour en savoir plus : Douleurs articulaires : ce qu’elles trahissent

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Sushi : aussi calorique qu’un…

Sushi : aussi calorique qu’un…

Attention à la manière de manger japonais

Avec le grand boom des restaurants japonais depuis quelques années en France, les premières rumeurs expliquaient que cette cuisine était plutôt bonne pour la santé, et surtout diététique. Or depuis, les études révèlent que la nourriture japonaise ne serait pas si diététique qu’elle en a l’air. Voici pourquoi…

Fast-food et sushi : même combat ?

L’impression de manger léger incite souvent les fans de sushi à en manger plus souvent, ou en plus grande quantité. Pourtant, ce ne serait qu’une impression, car manger des sushis japonais ne permettrait pas de manger de manière diététique.

Dans son livre « Eat to Lose, Eat to Win » (comprendre Manger pour perdre, manger pour gagner), Rachel Beller expliquait que les sushis pouvaient être plus caloriques d’un Big Mac. Comment est-ce possible ? A 50 calories le sushi, avec seulement une dizaine de pièces on arrive quasiment aux nombre de calorie dans un Big Mac (540 calories).

Comment bien manger les sushis ?

La Cleveland Clinic explique comment bien manger les sushis, pour qu’un tel repas reste diététique :

  • choisir plutôt des menus à base de sashimis
  • opter pour le riz brun au lieu du riz blanc à la sauce sucrée
  • éviter les tempura, ces beignets souvent à base de crevette mais très gras et
  • éviter la sauce soja
  • choisir la soupe Miso ou les edamame plutôt que les nouilles sautées
  • manger avec les baguettes pour manger lentement 

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Le fromage aussi addictif que les drogues ?

Le 04 novembre 2015. Réunion de crise à la table des français. Une nouvelle étude américaine affirmerait que l’addiction aux fromages serait comparable à celle de l’alcool, du tabac et pire encore, à celle des drogues dures ! Du camembert au rail de coke, serions-nous tous des junkies ?

Un rapport au fromage passionnel

Les amateurs de fromage le savent, il est difficile de résister à la tentation quand on leur présente un plateau de fromages sous le nez. Tant de types, de saveurs et de textures différentes pour satisfaire les papilles et l’estomac… Pas facile de dire non et de tourner les talons. Et pour cause, la science explique qu’il existe une véritable addiction au fromage.

Selon une étude récente de l’Université du Michigan, certains types de nourriture deviennent addictifs par le biais de mécanismes chimiques et biologiques. Les comportements alimentaires de 500 étudiants ont été passés à la loupe avec un résultat étonnant : la pizza au fromage serait l’aliment qui rendrait le plus dépendant.

La caséine, grande responsable

Nos addictions alimentaires sont en réalité la conséquence de comportements inscrits dans nos gènes. Depuis la nuit des temps, l’homme, pour survivre, est forcé d’ingurgiter des quantités importantes de graisses d’origine animale. Le fromage comporte une protéine que l’on retrouve dans tous les produits laitiers : la caséine. Lors de la digestion, elle libère un composé chimique appelé casomorphine qui aurait les mêmes effets sur notre organisme que les opiacés. Le fromage étant un super concentré de lait, la caséine y est donc très présente.

Une drogue pas si méchante

L’agence européenne de protection alimentaire (EFSA) a analysé les effets de la casomorphine sur la santé, sans résultats probants. Si l’addiction au fromage est réelle, sa nocivité est beaucoup moindre que les addictions aux drogues, tabac et alcool. Il est par ailleurs une bonne source en vitamine A, en calcium et en phosphore. Cependant pas d’abus, on sait aussi que de sa richesse en matières grasses et en cholestérol, n’en fait pas un allié pour notre système vasculaire !

Pas de quoi s’alarmer pour le moment donc. Mais au moins, nous sommes au courant. Même si, on savait déjà qu’on était accro au fromage… N’est-ce pas ?

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On nourrit aussi son cerveau !

Parce que la fatigue physique est pesante, il est parfois nécessaire d’adapter notre alimentation. Mais saviez-vous que votre cerveau peut lui aussi être soumis à la fatigue ? Certains apports lui sont donc nécessaires.

C’est une réalité. Pour permettre au cerveau de donner le meilleur de lui-même, c’est-à-dire pour lui donner la capacité de doper nos performances intellectuelles (réflexion, mémorisation, concentration…), notre alimentation joue un rôle majeur. Du sucre, du fer, des oméga 3, des vitamines et minéraux…, en tout 40 substances « pro-QI » lui sont nécessaires à chaque instant. Et avec nos emplois du temps de ministre, des programmes scolaires bien chargés, nos neurones trop souvent sollicités s’épuisent vite. À moins de revoir un peu notre alimentation… Notamment, en veillant à confectionner des repas variés et équilibrés, autrement dit : pauvres en glucides simples (confiseries, biscuits, pâtisseries…) et en graisses saturées, et riches en glucides complexes, viandes maigres et poissons, fruits et légumes.

Le plus : boire de l’eau dès le réveil pour hydrater le cerveau.

Retrouvez cet article sur Topsanté

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Loi Santé : les orthophonistes appellent aussi à manifester

Logo FNO (DR)

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Médecins, infirmiers, dentistes, kinésithérapeutes… tous sont opposés à la loi Santé et appellent à manifester le 15 mars prochain à Paris. Ils sont aujourd’hui rejoints par les orthophonistes dont voici le communiqué de presse.

Depuis plusieurs semaines, la Fédération Nationale des Orthophonistes dénonce un projet de loi de Santé élaboré sans aucune concertation préalable avec les professionnels de santé ! Les groupes de travail créés en urgence par la ministre de la Santé il y a quelques jours, loin de calmer l’exaspération des orthophonistes devant le manque de dialogue du ministère, n’ont fait qu’augmenter leur colère !
A qui la ministre fera-t-elle croire que son projet a été soumis aux acteurs de la santé, en annonçant des délais impossibles pour une révision des textes de loi et en limitant la représentation des professionnels de santé aux seuls médecins ?

La FNO refuse ce projet de loi qui annonce le démantèlement programmé de notre système de soins jusqu’à présent solidaire et égalitaire.

La FNO dénonce la vision rétrécie et dépassée de la ministre de la santé qui ne perçoit le monde de la santé qu’à travers un prisme médical réducteur, méprisant ainsi les autres professionnels de santé, acteurs tout aussi importants de notre système de soins mais également les patients pour qui les soins délivrés par ces mêmes professionnels sont essentiels.

La FNO appelle tous les orthophonistes et les étudiants en orthophonie à venir manifester le 15 mars prochain, et à se joindre à l’initiative des internes en médecine, aux côtés de tous les autres professionnels de santé pour :

– défendre leur exercice professionnel,
– défendre les patients
– défendre notre système de soins garant de l’égalité des soins.

Les professionnels de santé, tous acteurs de soin et de la santé, loin de la division voulue par la ministre, se retrouveront ensemble le 15 mars prochain ! Plus d’informations sur www.fno.fr

Ceci est un communiqué de la Fédération Nationale des Orthophonistes


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Head & Shoulders prend soin aussi des femmes

Depuis plus de 60 ans, Head & Shoulders prend soin des cuirs chevelus et lutte efficacement contre les pellicules pour sublimer le cheveu.

Aujourd’hui, la marque numéro un des shampooings en France lance une édition limitée dédiée aux femmes à travers quatre shampooings et deux 2-en-1 aux packagings ultra girly. Quoi de plus logique quand on sait que près d’un utilisateur sur deux d’Head & Shoulders est une femme.

Imaginés par l’agence de design NiCE et une équipe de créateurs, ces six nouveaux flacons conservent la forme traditionnelle du célèbre flacon et s’habillent de looks glamour inspirés des tendances coiffure automne-hiver afin de se rapprocher davantage des codes féminins.

On retrouve ainsi le Shampooing Colour renforçant la brillance et apportant éclat aux cheveux colorés et le Shampooing Force et Densité, également disponible en 2-en-1, qui rend tous les types de cheveux plus forts dès le premier lavage.

Pour les cheveux secs, abîmés et rebelles, le Shampooing Lisse et Soyeux, lui aussi disponible en 2-en-1, donne un aspect plus lisse tandis que le Shampooing Réparation et Soin leur apporte vitalité et douceur.

Et pour incarner la campagne publicitaire de cette ligne de shampooings dédiés aux femmes, la marque a fait appel à la beauté de l’actrice et mannequin colombienne Sofia Vergara qui déclare :

« Les gens ont l’air surpris quand ils apprennent que j’utilise Head & Shoulders. En effet, c’est bien plus qu’un shampooing anti-pelliculaire, c’est un soin complet pour mes cheveux et la garantie d’un cuir chevelu en parfaite santé. »

(Editions limitées Head & Shoulders. Disponibles en GMS. En savoir plus sur www.headandshoulders.fr. Shampooing 300ml ; ppi : 4,50 € et 2-en- 270ml ; ppi : 4,60 €)


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