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Comment la pollution de l’air fait baisser notre quotient intellectuel

Comment la pollution de l’air fait baisser notre quotient intellectuel

Le 3 septembre 2018.

La pollution de l’air fait chaque année des millions de morts. Et avant cela, elle serait responsable d’une baisse importante des capacités intellectuelles des populations qui y sont fortement exposées.

Des chercheurs découvrent des liens entre pics de pollution et baisse du QI

Les dizaines d’études menées sur les effets de la pollution de l’air sur l’organisme n’en finissent pas d’alerter sur l’urgence de mettre en place des moyens efficaces pour lutter contre ce fléau. Reconnue responsable de l’apparition de cancers ou encore de maladies cardiovasculaires, la pollution atmosphérique pourrait également provoquer une baisse importante du quotient intellectuel (QI) des personnes qui vivent dans un environnement très pollué.

C’est à cette conclusion que sont parvenus des chercheurs chinois, dont l’étude a été publiée récemment dans la revue PNAS. Entre 2010 et 2014, ils ont observé les performances intellectuelles de 20.000 personnes exposées régulièrement au dioxyde d’azote et au dioxyde de soufre. Ils ont ensuite comparé ces premières données aux différents pics de pollution observés dans les villes dans lesquelles ils vivaient.

Des millions de personnes meurent chaque année de la pollution

En recoupant ces informations, les chercheurs ont observé que chaque pic de pollution provoquait une baisse du quotient intellectuel des participants qui en avaient été victimes. Selon l’un des auteurs de cette étude, interrogé par The Guardian, pour une population donnée, fortement soumise à la pollution, la perte de quotient intellectuel correspondrait même à « plusieurs années d’éducation ».

Selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2016, on estimait à 91% la part de la population mondiale vivant dans des endroits où les lignes directrices de l’OMS relatives à la qualité de l’air n’étaient pas respectées. Cette même année, on estimait à 4,2 millions le nombre de décès prématurés provoqués par la pollution de l’air extérieur.

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Les boîtes de nuit, festivals et concerts doivent baisser le son

Les boîtes de nuit, festivals et concerts doivent baisser le son

Le 10 août 2017

Un récent décret impose désormais aux discothèques et aux organisateurs de festivals et de concerts de réduire leur niveau sonore, afin de protéger l’audition du public et la santé des riverains. À quoi faut-il s’attendre ?

De nouvelles normes réduisent les décibels autorisés

Un nouveau Décret, en date du 7 août 2017, « relatif à la prévention des risques liés aux bruits et aux sons amplifiés », a été publié au Journal officiel le 9 août. La nouvelle réglementation réduit le volume autorisé dans les boîtes de nuits, festivals de musique ou concerts à 102 décibels, mesuré sur 15 minutes, alors qu’il était fixé depuis 1998 à 105 décibels. Dans les établissements ou lors d’événements accueillant des enfants âgés de 6 ans ou moins, la limite sonore est fixée à 94 décibels.

Par ailleurs, le Décret comporte plusieurs mesures de prévention : les lieux concernés devront « informer le public sur les risques auditifs »,  « mettre à disposition du public à titre gratuit des protections auditives » du type bouchons d’oreilles et « créer des zones de repos auditif ou, à défaut, ménager des périodes de repos auditif » durant lesquelles le niveau sonore ne dépassera pas 80 décibels. 

1 500 euros d’amende en cas d’infraction

En cas d’infraction, les sanctions ne changent pas : les contrevenants s’exposeront à une amende de 1 500 euros, 3 000 euros en cas de récidive, ainsi qu’à la confiscation du matériel de sonorisation. Le Décret impose également aux établissements un affichage « en continu à proximité du système de contrôle de la sonorisation les niveaux sonores en décibels (…) auxquels le public est exposé ».

La France compterait aujourd’hui près de 15 % de personnes souffrant de problèmes d’audition, selon l’association JNA, qui organise tous les ans à l’occasion de la Journée nationale de l’audition une campagne de prévention sur les risques liés au bruit. La lutte engagée contre les mauvaises habitudes sonores imposait donc des changements dans la législation française, mais beaucoup de travail reste à faire pour sensibiliser les jeunes, notamment aux risques d’écouter trop longtemps de la musique avec des écouteurs dans les oreilles.

Aurélie Giraud

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Discothèques, concerts et festivals devront baisser le son en France

Un décret publié le 9 août au Journal Officiel détaille une nouvelle réglementation imposant à tous les lieux qui diffusent de la musique amplifiée, discothèques, salles de concert et festivals, une baisse du niveau maximal de décibels.

Les sites soumis à cette réglementation devront aussi fournir des bouchons d’oreilles gratuits et des zones de « repos auditif » ou, à défaut, ménager des périodes de repos auditif » où le niveau sonore n’excédera pas 80 décibels

Ces mesures découlent d’un article de la loi Santé de janvier 2016, qui stipule que les activités « impliquant la diffusion de sons à un niveau sonore élevé » doivent être exercées « de façon à protéger l’audition du public et la santé des riverains », rapporte Le Figaro.

Le niveau sonore dans les lieux concernés ne pourra plus dépasser 102 décibels, en moyenne mesurée sur 15 minutes. La limite était fixée depuis 1998 à 105 décibels dans les discothèques et les salles de concert, tandis que les événements en plein air n’étaient jusqu’ici pas concernés.

« Une différence sensible, car l’échelle des décibels n’est pas linéaire : retirer 3 décibels correspond à diviser l’intensité sonore par deux », précise Le Figaro.

Pour les événements et établissements accueillant des enfants âgés de six ans et moins, la limite est fixée à 94 décibels.

Si cela ne devrait pas poser de difficulté dans les discothèques, où « il suffit de baisser le potentiomètre », c’est « beaucoup plus complexe » pour les concerts, selon Angélique Duchemin, coordinatrice nationale d’Agi-son, structure créée par les acteurs du spectacle.

Selon le Centre d’information et de documentation sur le bruit, « notre oreille commence à souffrir sans que nous le sachions à partir d’une exposition à 85 décibels pendant 8 heures », tandis que le seuil de la douleur est à 100 décibels.

Musique sur smartphone : 7 conseils pour préserver l’audition

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Le Figaro, Journal officiel
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Le prix du paracétamol devrait baisser début 2015, annonce Marisol Touraine

La ministre de la Santé a déclaré mercredi que le prix du paracétamol non générique (Doliprane, Dafalgan…) devrait baisser « pour le début de l’année 2015 ».

Le prix du paracétamol non générique (Doliprane, Dafalgan…) devrait baisser « pour le début de l’année 2015 », a déclaré la ministre de la Santé Marisol Touraine à l’Assemblée nationale mercredi. « Je souhaite (…) qu’une baisse des prix, dans le contexte général des économies qui sont demandées, soit réalisée mais qu’elle intervienne pour le début de l’année 2015 puisque les entreprises nous ont dit qu’elles avaient besoin de temps pour s’adapter », a déclaré la ministre lors des questions au gouvernement.

Le sujet du paracétamol est sensible depuis que l’Agence du médicament (ANSM) étudie la possibilité d’inscrire le paracétamol 500 et 1 000 mg dans le répertoire des génériques, ce qui permettrait de faire des économies à l’Assurance maladie. L’inscription dans cette liste signifie que les pharmaciens devront délivrer un médicament générique, moins cher, lors de la présentation d’une ordonnance mentionnant du paracétamol, sauf si le médecin inscrit la mention « non substituable ».

« Un travail va s’engager »

Les industriels craignent une perte massive de chiffre d’affaires et font planer la menace de destructions d’emplois dans les usines françaises. S’ils baissent leurs prix, l’intérêt économique de la substitution par un générique s’amenuisera.

« Un travail va s’engager » à partir des observations des industriels déposées à l’Agence du médicament début février, a indiqué la ministre, ajoutant que « dans le cadre du Conseil stratégique pour la réduction de la dépense publique, nous allons examiner cela à partir d’éléments structurels pour garantir à la fois une politique de santé publique et une politique de production industrielle qui soit efficace ».

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L’avocat permet de faire baisser l’envie de grignoter

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Un demi avocat intégré au menu permettrait de faire baisser de 40 % l’envie de grignoter jusqu’au repas suivant, selon une étude de Dre Joan Sabate de l’Université Loma Linda de Californie.

L’avocat permettrait de lutter contre la tentation de manger entre les repas, selon les résultats d’une étude publiée dans le Nutrition Journal et rapportée dans le Daily Mail. Ce fruit, qui contient un grand nombre de nutriments excellents pour la santé, donnerait un sentiment de satiété qui conduirait à éviter les écarts.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs de l’équipe du Dre Joan Sabate ont travaillé auprès de 26 adultes en surpoids et en bonne santé. Ils ont proposé à un groupe de manger une portion (un demi avocat) pendant le dîner tandis qu’un autre groupe n’avait pas ce surplus alimentaire et ont observé le comportement alimentaire des volontaires à l’étude jusqu’au repas suivant.

Les résultats montrent que la portion d’avocat a permis de diminuer de 40 % l’envie de manger entre deux repas pour le groupe qui en avait consommé. Selon les observations des chercheurs, les effets de la consommation du demi-avocat serait perceptible jusqu’à trois heures, et même parfois 5 après le dîner.

Les bénéfices de ce fruit observés au cours de l’étude pourrait s’expliquer en partie par le fait qu’une portion d’avocat qui contient 150 calories serait riche en fibres, mais également en gras. Les scientifiques ont également analysé le taux de sucre chez les personnes ayant consommé l’avocat en surplus et ont constaté que les taux de sucre n’avaient pas augmenté.

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