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Optimiser le bien-être futur à différents âges de la vie

Des chercheurs ont utilisé l’intelligence artificielle pour explorer, à partir des données d’une grande étude nationale américaine, le bien-être psychologique à différents âges de la vie avec l’objectif de générer des recommandations personnalisées pour chaque étape de la vie.

Leurs travaux sont publiés en juin 2022 dans la revue Aging-US.

Ils ont développé des algorithmes d’apprentissage automatique qui ont analysé les données de l’étude Midlife in the US dans laquelle les profils de bien-être de près de 4000 participants ont été établis en 1995 et en 2004.

Le bien-être était évalué selon le modèle des six composantes de la psychologue Carole Ryff : l’autonomie, la maîtrise de l’environnement, la croissance personnelle, les relations positives avec les autres, les buts dans la vie et l’acceptation de soi.

Fedor Galkin et ses collègues (1) de la société Deep Longevity (Hong Kong), en collaboration avec Nancy Etcoff du Département de Psychiatrie de la Harvard Medical School, ont ainsi créé « deux modèles numériques de la psychologie humaine ».

Le bien-être psychologique au cours de la vie

Le premier modèle est issu d’algorithmes qui ont analysé les données afin de déduire les caractéristiques du bien-être psychologique qui ont tendance à correspondre à chaque âge et de pouvoir prédire le bien-être 10 ans plus tard à partir du bien-être actuel à un âge donné.

Ce modèle « illustre les trajectoires de l’esprit humain liées au vieillissement ». Il montre par exemple que :

  • la capacité à établir des relations significatives augmente avec l’âge, tout comme l’autonomie mentale et la maîtrise de l’environnement ;
  • l’importance accordée à l’épanouissement personnel diminue régulièrement ;
  • le sentiment d’avoir un but dans la vie diminue après 40-50 ans.

Ces résultats, soulignent les auteurs, « contribuent à la discussion sur la théorie de la sélectivité socio-émotionnelle et l’adaptation hédonique dans le contexte du développement de la personnalité adulte ».
Le postulat central de cette théorie est que les horizons temporels (le nombre estimé d’années qu’il reste à vivre) exercent une forte influence sur les objectifs et la motivation.

Des recommandations personnalisées

Le deuxième modèle est une carte des caractéristiques du bien-être dans différents groupes qui s’élabore automatiquement et sert de support à un moteur de recommandations personnalisées qui peut être utilisé dans des applications de santé mentale.

Les répondants ont été divisés en groupes en fonction de leur risque de développer une dépression et, pour chaque utilisateur, le logiciel identifie le chemin le plus court pour atteindre les caractéristiques d’un groupe ayant une stabilité mentale. Alex Zhavoronkov, directeur de Deep Longevity, explique : « Les applications de santé mentale existantes offrent des conseils génériques qui s’appliquent à tout le monde mais ne conviennent à personne. Nous avons construit un système qui est scientifiquement solide et qui offre une personnalisation supérieure. »

Par exemple :

  • Les cinq principales attitudes qui ne sont généralement pas partagées par les personnes mentalement stables, mais qui sont répandues chez les personnes déprimées sont : des activités quotidiennes qui ne sont pas utiles pour la communauté ; des relations proches difficiles ; ne pas voir d’utilité à penser au passé parce que rien ne peut être fait ; le sentiment que la société ne s’améliore pas pour elles et que les gens ne se soucient pas des problèmes des autres.
  • Les cinq principales attitudes qui sont répandues chez les personnes mentalement stables, mais qui ne sont généralement pas partagées par les personnes déprimées sont : des processus inhérents à leur vie d’apprentissage, de changement et de croissance ; faire les choses qui leur plaisent ; donner et partager du temps ; être sociable ; se fixer des buts pour le futur proche.

Pour démontrer le potentiel de ce système, Deep Longevity a publié le service web FuturSelf, une application en ligne gratuite qui permet aux utilisateurs de passer le test psychologique qui est décrit dans la publication originale. À la fin de l’évaluation, les utilisateurs reçoivent un rapport contenant des informations visant à améliorer leur bien-être mental à long terme et peuvent s’inscrire à un programme d’orientation qui leur fournit un flux constant de recommandations choisies par l’IA (intelligence artificielle). Les données obtenues sur FuturSelf seront utilisées pour développer davantage l’approche numérique de Deep Longevity de la santé mentale.

Le professeur Vadim Gladyshev de la Harvard Medical School, expert en biogérontologie, commente le potentiel de FuturSelf :

« Cette étude offre une perspective intéressante sur l’âge psychologique, le bien-être futur et le risque de dépression, et démontre une nouvelle application des approches d’apprentissage automatique aux questions de santé psychologique. Elle élargit également la façon dont nous considérons le vieillissement et les transitions à travers les étapes de la vie et les états émotionnels. »

Les auteurs prévoient de poursuivre l’étude de la psychologie humaine dans le contexte du vieillissement et du bien-être à long terme. Ils travaillent à une étude de suivi sur l’effet du bonheur sur les mesures physiologiques du vieillissement.

La société Deep Longevity est détenue par Endurance Longevity (Hong Kong) qui développe des systèmes d’intelligence artificielle explicables (2) pour suivre le rythme du vieillissement aux niveaux moléculaire, cellulaire, tissulaire, organique, systémique, physiologique et psychologique.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

(1) Kirill Kochetov, Michelle Keller, Alex Zhavoronkov.

(2) L’intelligence artificielle explicable est un ensemble de processus et de méthodes qui permettent aux utilisateurs humains de comprendre les résultats produits par les algorithmes d’apprentissage automatique (par opposition à des systèmes où les computations numériques constituent une « boîte noire » qui ne peut être interprétée par l’humain).

Quel bien-être 10 ans après une dépression ?

Est-il possible de connaître un « bien-être optimal » et s’épanouir après une dépression majeure (ou clinique) ?

Une étude américaine publiée en février 2019 dans la revue Clinical Psychological Science a examiné le bien-être chez des personnes en dépression suivies pendant 10 ans.

En épidémiologie, la dépression est généralement considérée comme un état récurrent dont le pronostic est plutôt sombre, soulignent les auteurs.

« Alors que la pratique clinique actuelle met l’accent sur la réduction des symptômes et du stress, les données probantes indiquent que les patients accordent la priorité à d’autres mesures du bien-être. » (Rétabli(e) d’une dépression ? La réponse des patients n’est pas celle des médecins)

Pour estimer la prévalence du bien-être et de l’épanouissement après une dépression, Jonathan Rottenberg, professeur de psychologie à l’University of South Florida, et ses collègues (1) ont analysé les résultats d’une étude menée avec un échantillon représentatif des personnes d’âge moyen de la population américaine. Parmi les participants, 239 rencontraient les critères diagnostiques de la dépression majeure au début de l’étude.

Neuf facettes du bien-être étaient évaluées : le sentiment d’autonomie, la maîtrise de l’environnement, la croissance personnelle, les relations positives avec les autres, le sens à la vie et les buts, l’acceptation de soi, la satisfaction par rapport à la vie et les affects positifs et négatifs. (Plus d’informations ici)

Après 10 ans, environ la moitié n’avaient plus de symptômes de dépression (48,5 %). L’autre moitié avaient connu un épisode de dépression dans la dernière année ou rapportaient des symptômes résiduels.

Une personne sur cinq qui était déprimée au début de l’étude et qui ne rapportait aucun symptôme de dépression au moment du suivi répondait aux critères de l’épanouissement.

Une personne sur 10 qui était déprimée au début de l’étude connaissait un « bien-être » optimal, c’est-à-dire que ses résultats étaient aussi élevés que le quart (25 %) de la population générale obtenant les meilleurs résultats aux 9 mesures de bien-être.

Pour plus d’informations sur la dépression et le bien-être, voyez les liens plus bas.

Comment les traits de personnalité influencent les valeurs et le bien-être

Les traits de personnalité et les valeurs sont deux aspects qui ont tendance à être stables au fil du temps et qui contribuent à définir qui nous sommes, souligne Art Markman (1) de l’Université du Texas dans Psychology Today.

Les traits de personnalité sont des caractéristiques qui se rapportent à notre système motivationnel, souligne-t-il. Ils déterminent ce que nous avons tendance à faire en l’absence d’une forte influence de la situation.

Les valeurs sont ce que nous trouvons important. Les recherches de Shalom H. Schwartz et de ses collègues suggèrent qu’il existe un ensemble universel de valeurs. (Les 19 valeurs [priorités] qui guident les choix et comportements, selon le modèle psychologique de Schwartz)

Des chercheurs, rapporte-t-il, ont mené une étude pour déterminer si ces deux sources de stabilité chez une personne sont interreliées et si des changements dans l’une créent des changements dans l’autre. Leurs résultats ont été publiés en août dans le Journal of Personality and Social Psychology,

Velichko H. Fetvadjiev de la Victoria University of Wellington (Nouvelle-Zélande) et Jia He de la Tilburg University (Pays-Bas) ont analysé les données d’une enquête menée auprès de plus de 10 000 personnes aux Pays-Bas entre 2008 et 2015.

Cinq fois au cours de cette période, les participants ont rempli des questionnaires portant sur cinq grands traits de personnalité (ouverture, tendance à être consciencieux, extraversion, amabilité et neuroticisme) selon le modèle du « Big Five ») ainsi qu’un questionnaire sur les valeurs.

Ils ont aussi répondu à un questionnaire sur leur satisfaction par rapport à leur vie et sur leurs émotions positives et négatives. Ces trois éléments correspondent au bien-être subjectif selon un modèle psychologique classique.

Comme prévu, les réponses à l’inventaire de personnalité et à l’échelle des valeurs n’ont pas beaucoup changé avec le temps. Mais la personnalité changeait moins que les valeurs.

Certains traits de personnalité et certaines valeurs étaient liés. Le trait d’amabilité était corrélé à la valeur de prosociabilité (vouloir s’engager dans des actions positives pour la société). La tendance à être consciencieux était corrélée à la tendance à la conformité (vouloir suivre les règles). L’extraversion était liée à l’importance accordée au plaisir. L’ouverture était corrélée à la valeur d’autodétermination. Il n’y avait pas de forte corrélation entre le neuroticisme et les valeurs.

Les changements de personnalité à un moment donné étaient de meilleurs prédicteurs des valeurs dans l’avenir que l’inverse, ce qui suggère que les traits de personnalité ont une plus grande influence sur les valeurs que l’inverse.

Les traits de personnalité semblaient aussi influer sur diverses mesures du bien-être. Les personnes très aimables, consciencieuses, extraverties ou ouvertes avaient tendance à montrer des mesures du bien-être plus élevées alors que celles ayant des scores élevés de neuroticisme avaient des mesures de bien-être moins élevées.

Les changements de personnalité à un moment donné prédisaient mieux les mesures futures du bien-être que l’inverse.

Les valeurs liées le plus fortement au niveau des émotions positives n’étaient pas fortement liées à la mesure de la satisfaction dans la vie. Étonnamment, les changements dans les mesures du bien-être étaient un meilleur prédicteur des changements futurs des valeurs que l’inverse. Ce qui donne à penser que les changements dans le sentiment général de bien-être (et en particulier les émotions positives) peuvent avoir une plus grande influence sur les valeurs que les valeurs n’en ont sur le bien-être.

Les changements de personnalité peuvent précéder les changements de bien-être, et il semble que les changements de bien-être peuvent avoir un impact sur les valeurs des gens, conclut Markman.

Pour plus d’informations sur la psychologie de la personnalité, la psychologie des valeurs et sur le bien-être voyez les liens plus bas.

(1) Auteur de : Brain Briefs: Answers to the Most (and Least) Pressing Questions about Your Mind.

Psychomédia avec sources : Journal of Personality and Social Psychology, Psychology Today.
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Plus de bien-être et meilleure santé mentale chez les lève-tôt, montre une grande étude génomique

Une grande étude génomique révèle certains mécanismes de l’horloge biologique, jetant un nouvel éclairage sur ses liens avec la santé mentale.

L’étude, publiée dans la revue scientifique Nature Communications, suggère qu’être génétiquement programmé pour se lever tôt peut mener à un plus grand bien-être et à un risque moindre de schizophrénie et de dépression.

Les résultats ne montrent toutefois pas de liens avec des maladies comme le diabète ou l’obésité.

L’étude a été menée dans le cadre d’une collaboration internationale dirigée par l’Université d’Exeter et le Massachusetts General Hospital (Université Harvard).

Elle met en évidence le rôle clé de la rétine de l’œil pour aider le corps à garder le temps. Elle augmente également de 24 à 351 le nombre de zones du génome connues pour influencer le chronotype (être lève-tôt ou couche-tard).

Mike Weedon de l’Université d’Exeter et ses collègues ont analysé des données provenant de 250 000 clients de 23andMe, une entreprise privée américaine d’analyse génomique, et de 450 000 personnes participant à l’étude britannique Biobank.

Les participants ont indiqué s’ils étaient une « personne du matin » ou une « personne du soir » (TEST : Quel est votre chronotype ?). Ces données ont été mises en relation avec celle de l’analyse du génome.

Les chercheurs ont ensuite confirmé leurs résultats à l’aide d’informations provenant de traqueurs d’activité portés au poignet par plus de 85 000 personnes de la Biobanque britannique. Ces informations ont montré une différence de 25 minutes de l’heure de réveil naturel entre les personnes se situant dans les 5 % portant le plus de gènes liés au fait d’être matinal et celles se situant dans les 5 % portant le moins de ces gènes.

Les zones génétiques influençaient le moment du sommeil, mais pas la qualité ou la durée du sommeil.

Les régions génomiques identifiées incluent les régions centrales des horloges corporelles, aussi appelées rythmes circadiens, ainsi que les gènes exprimés dans le cerveau et dans le tissu rétinien de l’œil.

Les horloges biologiques sont influencées par les gènes et les facteurs liés au mode de vie, notamment l’alimentation, l’exposition à la lumière artificielle et les activités, soulignent les chercheurs. Elles affectent un large éventail de processus moléculaires, dont les niveaux d’hormones et la température corporelle, ainsi que les habitudes de réveil et de sommeil.

Pour plus d’informations sur les chronotypes, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : University of Exeter, Nature Communications.
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Test : évaluez six composantes de votre « bien-être psychologique »

Ce test, Échelles du bien-être psychologique de la psychologue américaine Carol Ryff (1), est l’un des plus utilisés pour mesurer le « bien-être psychologique ». Il a notamment été utilisé dans de grandes enquêtes nationales.

Le modèle de Ryff comporte six composantes issues de différentes théories du fonctionnement psychologique positif développées dans les courants de la psychologie humaniste, existentielle et développementale.

Des exemples de ces théories sont celles des stages psychosociaux d’Erik Érikson, de l’actualisation de soi d’Abraham Maslow et de la « personne fonctionnant pleinement » de Carl Rogers.

Le modèle de Ryff correspond à une conception dite eudémonique du bonheur (basée sur la croissance personnelle et le sens à la vie) plutôt qu’hédonique (basée sur les émotions positives et la satisfaction).

Voyez, au moyen de ce test de 42 questions, quelles sont ces composantes et comment vous vous situez pour chacune d’elles.

FAITES LE TEST (gratuit, sans inscription requise)

Si vous souhaitez prendre connaissance de ces composantes sans passer le test, ou avant de le passer, voyez : 6 composantes du bien-être psychologique.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

(1) Scales of Psychological Well-Being (PWB) : Ryff, C.D. (1989), Happiness is everything, or is it? Explorations on the meaning of psychological well-being, Journal of personality and social psychology ; Ryff, C. D., & Keyes, C. L. M. (1995), The structure of psychological well-being revisited. Journal of Personality and Social Psychology.Traduction libre de Psychomédia.

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Les relations sociales à 20 et 30 ans prédisent différemment le bien-être à 50 ans

La quantité de relations sociales à 20 ans et leur qualité à 30 ans prédisent le bien-être à 50 ans, selon une étude publiée dans la revue Psychology and Aging.

Les liens sociaux nécessitent des connaissances sociales et la capacité de cultiver l’intimité, soulignent les auteurs. Des théoriciens en psychologie du développement ont fait l’hypothèse que des objectifs de recherche d’informations sociales au début de l’âge adulte cèdent la place à des objectifs de proximité émotionnelle à des stades ultérieurs de l’âge adulte.

La psychologue Cheryl Carmichael de l’Université de Rochester et ses collègues (1) ont mené cette étude avec 222 participants qui, à l’âge de 20 ans, puis de 30 ans, ont enregistré dans un journal toutes leurs interactions sociales de plus de 10 minutes en évaluant leur niveau d’intimité et la satisfaction qu’ils en retiraient. Vingt ans plus tard, ils ont retracé 133 de ces participants, âgés de 50 ans, qui ont rempli différents questionnaires portant sur la qualité de leur vie sociale et leur bien-être.

Les résultats confirment l’hypothèse que la quantité des interactions sociales à 20 ans et la qualité à 30 ans prédisent le bien-être à 50 ans (non pas pour chaque individu, mais en moyenne).

« Les interactions sociales fréquentes à 20 ans aident à comprendre qui nous sommes », explique la chercheuse. « C’est souvent autour de cet âge que nous rencontrons des gens de divers horizons, avec des opinions et des valeurs qui sont différentes des nôtres, et que nous apprenons comment gérer au mieux ces différences ».

Étonnamment, dit-elle, l’étude montre qu’à 30 ans, la quantité d’interactions sociales n’est pas liée à des bénéfices psychosociaux à 50 ans. Mais, les relations intimes et satisfaisantes le sont. L’engagement social significatif est bénéfique à tout âge, mais plus encore à 30 ans qu’à 20 ans. Les chercheurs ont également été surpris de constater que les jeunes socialement actifs à 20 ans ne réussissent pas nécessairement à avoir des relations de qualité à 30 ans.

« Compte tenu de tout ce qui se passe dans la vie de ces personnes sur 30 ans – mariage, famille, carrière – il est extraordinaire qu’il semble y avoir une relation entre les types interactions lorsque jeune adulte et la santé émotionnelle plus tard dans la vie », note la chercheuse.

« Il serait intéressant de voir si l’activité sociale bénéfique durant les années de collège et au début de l’âge adulte continue à avoir un effet, en termes de longévité, de mortalité, et d’autres résultats pour la santé, alors que ces participants vieillissent », ajoute-t-elle.

(1) Harry T. Reis et Paul R. Duberstein

Psychomédia avec sources : University of Rochester, Psychology of Aging.
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Bien-être et relaxation sous la douche avec Kneipp

Disponible à présent chez Monoprix, Kneipp élargit sa gamme pour le bain avec quatre nouveaux produits prenant soin des peaux sensibles tout en respectant l’environnement.

Car l’engagement Kneipp, c’est de proposer des formules aux actifs d’origine végatale, sans conservateurs, sans colorants artificiels, sans huiles minérales, paraffine ni silicones et sans ingrédients d’origine animale.

Pour profiter d’un moment de plaisir sous la douche, la Mousse de Douche Patchouli prend soin de la peau et l’enveloppe de son parfum captivant empreint de séduction.

Composée d’huile essentielle de patchouli maintenant la souplesse et l’élasticité de la peau et d’huile de graine de jojoba renforçant le film hydrolipidique, cette formule à la texture gel se transforme au contact de l’eau en une mousse dense et onctueuse qui offre une expérience sensorielle bienfaisante.

Pour prolonger cet instant de bien-être, la marque propose aussi le Lait Corps Patchouli qui apporte hydratation et protection tout en parfumant la peau de son sillage chaud et légèrement épicé.

Enrichi lui aussi en huile essentielle de patchouli, ce lait hydratant renferme aussi de l’huile d’amande douce et du beurre de karité aux propriétés adoucissante et réparatrice mais aussi des huiles de chanvre et de noix de coco aux vertus régénérante et revitalisante.

Pour une douche au parfum vitaminé, Kneipp lance également le Gel Douche Fleur d’Oranger-Mandarine, un gel sans savon qui insuffle un vent printanier dans la salle de bains.

Associé à l’extrait de fleur d’oranger tonifiant, un cocktail de quatre huiles essentielles d’agrumes libère ses vertus apaisante et régénérante pour une peau souple et hydratée. L’huile essentielle de mandarine calme et relaxe, celle d’écorce d’orange offre relaxation et bien-être tandis que celles d’écorce de pamplemousse et de citron apportent dynamisme et vitalité.

Enfin pour une peau veloutée et lumineuse, le Gommage Corps au Sucre Figue-Argan sublime quant à lui la peau en lui apportant douceur, nutrition et hydratation tout en la parfumant d’une enivrante fragrance méditerranéenne.

Ce gommage empreint de gourmandise contient du lait de figue aux vertus régénérante et protectrice, de l’huile d’argan aux propriétés émolliente, anti-oxydante et réparatrice et des grains de sucre assouplissants et émollients qui débarrassent la peau des cellules mortes.

(Nouveautés pour le bain, Kneipp. Disponibles en pharmacies, parapharmacies, chez Monoprix et sur www.kneipp.fr. Prix indicatif : à partir de 6,95 € les 200ml de Gel Douche Fleur d’Oranger–Mandarine)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

Une pause bien-être avec Naturado en Provence

Depuis plus de 10 ans, Le Comptoir Provençal des Argiles nous propose ses produits cosmétiques d’hygiène et de soins naturels et biologiques.

Avec sa marque Naturado en Provence, c’est le meilleur de la Provence Méditerranéenne dont il nous fait profiter à travers de soins formulés à partir d’ingrédients naturels de premier choix.

Après les savons, les gels douche ou les shampooings, Naturado en Provence lance aujourd’hui des huiles de massage certifiées bio.

Présentées dans des flacons bruns PET pour une très bonne protection contre les UV, ces quatre huiles de massage offrent un grand plaisir d’utilisation par la qualité de ses actifs et de ses parfums.

Véritable invitation au voyage dans la pure tradition orientale, l’Huile de Massage Esprit Riad qui associe huile d’argan, huile d’avocat et huile essentielle d’orange, est parfaite pour nous oublier le froid et le blues en hiver.

Le soir, après la douche, pour un retour au calme, il y a l’Huile de Massage Relaxante au parfum coco amande.

Après une séance de sport, pour en optimiser le effets, il y a l’Huile de Massage Minceur à la pomme et au thé vert. Et après une séance de shopping, pour alléger ses jambes, l’Huile de Massage Circulatoire est idéale avec sa composition 100% naturelle à base d’huile de macadamia, d’avocat et de pépins de raisin.

Au total, quatre huiles sur-mesure pour prendre son bien-être en mains.

(Huiles de massage, Naturado en Provence. Disponibles en magasins bio, parapharmacies, dans les magasins Alinéa et sur www.provence-argile.com. Flacons de 200ml, prix indicatif : 14,95 € chaque)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

Natura Ekos, toujours plus loin pour un bien-être responsable

Lorsqu’elle lance sa gamme Ekos au Brésil en 2000 puis en 2005 en France, Natura fait figure de pionnier par sa volonté déterminée de s’investir dans le développement durable et de valoriser la biodiversité brésilienne.

Innovante tant dans son concept que dans son modèle économique, la gamme Ekos relève un nouveau défi en 2013 avec une nature plus que jamais présente dans ses formules, des packagings au nouveau design, toujours plus recyclés et recyclables et des traditions toujours mieux respectées.

Le nouvel objectif de Natura est en effet de passer en un an de 78 à 147 tonnes d’ingrédients achetés aux communautés pour augmenter la proportion d’ingrédients dans chaque formule et générer ainsi plus de bénéfices à ces communautés.

Parmi ces ingrédients issus de la biodiversité brésilienne et apportant leurs bienfaits à la peau, on trouve la castanha aux vertus nourrissantes, le buriti protecteur ou encore le cacau et le maracuja dont les propriétés hydratantes exceptionnelles sont mises en valeur dans des produits de soin pour le corps.

A découvrir aussi dans cette nouvelle gamme Ekos : des eaux de toilettes Frescores, des huiles et des gels de douches mais aussi des soins pour les cheveux.

En conclusion, avec cette gamme Ekos version 2013, Natura propose une démarche responsable dans laquelle tout le monde est gagnant : la biodiversité est préservée, les cultures locales ne tombent pas dans l’oubli, les populations peuvent se remettre à rêver, les conseillères Natura gagner leur vie et les clients Natura prendre soin de leur peau tout en soignant la planète et ses populations.

(La gamme Ekos est disponible à la Maison Natura, 2 place Michel Debré, 75006 Paris, sur le site www.naturabrasil.fr et en ateliers Natura à domicile. Pour contacter une conseillère Natura, appelez le n°azur 0 810 62 88 72)


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Les instituts de bien-être trop chers ?

S’offrir une petite pause bien-être et détente c’est bien. Mais encore faut-il pouvoir se l’offrir. Car selon un récent sondage pour le site Balinea.com, les Français estiment que les instituts de bien-être sont encore trop chers.

93 % des Français estiment que les instituts sont trop chers selon l’étude « Les Français et le bien-être » réalisée par le site Balinea.com*. Pourtant, le bien-être semble être une préoccupation importante pour les sondés qui arrive juste après la volonté de faire du sport (60 %) et avant manger sainement (38 %).

Par ailleurs, les sondés estiment ne pas s’occuper suffisamment de leur corps, notamment par manque de temps (64 %) et ensuite pour des raisons financières (61 %). Des prix trop élevés seraient donc prohibitifs, surtout par temps de crise où le bien-être n’est malheureusement pas la priorité.

Autre cause de désaffection mise en lumière par les internautes de Balinea.com : un manque de présence sur le web. Les instituts sont selon eux (64 %) trop difficiles à choisir.

Des tarifs plus bas, une meilleure visibilité et des avis d’internautes pour pouvoir faire son choix semblent être les conditions sine qua non pour inciter les Français à se rendre un peu plus souvent en instituts pour prendre soin de leur corps et donc de leur esprit.

Vous cherchez un centre de beauté ou de bien-être près de chez vous ? Consultez l’annuaire des instituts de Beauté Addict.

* « Les Français et le bien-être », étude réalisée en ligne entre le 13 et le 24 octobre derniers, auprès d’une base de 1152 internautes membres de Balinea.com.


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