Archives par mot-clé : Boire

Et si boire trop de lait n’était pas bon pour la santé

Et si boire trop de lait n’était pas bon pour la santé ? C’est ce que suggère une étude publiée la semaine dernière dans la très sérieuse revue médicale britannique The BMJ.

Selon cette étude menée sur plus de 100 000 individus âgés de plus de 39 ans, une consommation trop excessive de lait (supérieure à 3 verres de lait/jour) aurait pour conséquence d’augmenter le risque de décès mais aussi de fracture de la hanche.

Et ce sont les femmes qui seraient les plus touchées. Ainsi, et par rapport à celles qui ne boivent qu’un verre de lait par jour, le risque relatif de décès serait supérieur de 90% et le risque de fracture de la hanche de 60%.

Chez les hommes, un lien entre une grande quantité de lait et le risque de décès a bien été observé mais dans une moindre mesure que chez les femmes. Par contre aucun lien n’a été observé au sujet des fractures.

Et si les auteurs de l’étude appellent à la prudence en précisant qu’il ne s’agit que d’un travail d’observation – en clair que d’autres études seront nécessaires – ils tentent de justifier ce résultat par la présence trop importante de lactose et D-galactose, des sucres qui sont peu présents dans les produits fermentés. Et de citer en exemple le D-galactose qui, une fois injecté chez des souris, a accéléré leur vieillissement.


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Alcool: boire un petit peu trop, c’est quoi?

Dans l’imaginaire collectif, l’alcool reste associé à des mots et des sensations positives alors que l’alcoolisme à des mots et des situations négatives. Et pourtant l’un se nourrit de l’autre.

L’alcool, une drogue dure

Culturellement intégré à notre mode de vie et totalement légale, l‘alcool est pourtant classé en drogue dure par les experts en toxicologie et addictions.
S’il est très difficile de placer des curseurs dans la dépendance, et que chacun d’entre nous est inégal devant ce problème, il peut être intéressant de se poser quelques questions avant de passer « de l’autre coté ».
L’OMS recommande, pour une consommation d’alcool sans dommages ni physiques ni psychiques, de ne pas dépasser plus deux verres par jour pour une femme. Pas plus de trois pour un homme (les femmes sont plus sensibles à l’alcool que les hommes) avec au moins un jour sans alcool par semaine. On évite également de consommer plus de quatre verres en une seule occasion. En n’oubliant pas qu’il y a la même quantité d’alcool dans un demi de bière, une coupe de champagne, un verre de vin ou de vodka…

L’alcool, une perte de liberté

D’après le docteur Béatrice Lapierre, médecin au CCAA (Centre de cure ambulatoire en alcoologie) du Creuzot depuis 20 ans, la définition la plus simple et la plus parlante de l’alcoolisme est la suivante « est alcoolique celui ou celle qui a perdu la liberté de s’abstenir de l’alcool ». Est alcoolique celui qui a besoin de l’alcool pour accomplir des tâches particulières ou supporter des moments spécifiques (aussi ordinaire que de parler dans une fête, se relaxer, appréhender un moment nouveau ou difficile).
Il est d’ailleurs fortement recommandé de e jamais utiliser l’alcool comme un psychotrope ou comme un remède ou une béquille car, l’alcool est « l’antidépresseur qui déprime le plus ».

De l’alcool à l’alcoolisme : où est la limite ?

La dépendance à l’alcool se crée en deux temps. La première étape est d’ordre psychologique, ce pourquoi il faut s’interroger sur le rôle que joue l’alcool dans votre vie. Et toujours se méfier (…) Lire la suite sur Topsanté

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Boire light, c’est manger plus

Les Américains en surpoids qui consomment des boissons «light» mangent plus que les autres, selon une nouvelle étude publiée dans l’American Journal of Public Health. Le débat sur le rôle des sodas allégés en sucres est loin d’être terminé aux Etats-Unis… 

Des chercheurs de l’Université Johns Hopkins, rapporte Reuters, ont analysé les données d’une étude nationale sur la santé et la nutrition des Américains, menée sur 24.000 personnes entre 1999 et 2010. Les personnes en surpoids ou obèses adeptes des boissons light ont absorbé plus de calories par la nourriture que les autres, même si le total par jour est comparable à celui des personnes en surpoids ou obèses consommant des boissons sucrées. 

Selon le Los Angeles Times, cette question des boissons light n’est pas négligeable, car «la consommation de boissons light est passée de 3% des adultes en 1965 à 20% aujourd’hui», les industriels de la boisson ayant développé ce marché en communiquant sur la lutte contre l’obésité…

Les personnes en surpoids buveuses de sodas light ont consommé en moyenne 1.965 calories par jour via la nourriture. Contre 1.874 calories dans l’assiette pour ceux qui boivent des boissons sucrées régulièrement. Pour les obèses, c’est 2.058 calories versus 1.897 calories, ce qui fait une différence assez significative. 

L’auteur principale de l’étude, Sara Bleich, explique à Reuters que «cette recherche, associée à d’autres études, montre que les édulcorants artificiels pourraient affecter le métabolisme ou les envies des gens, même si nous devons mener encore d’autres études».

Les critiques déclarent d’ailleurs déjà que les données de base sont erronées et qu’il est encore trop tôt pour parler du rôle positif ou négatif des boissons contenant des édulcorants dans la perte de poids. 

Pour Sara Bleich, il pourrait aussi s’agir d’une décision plus ou moins consciente de manger plus après avoir «économisé» des calories sur les boissons. Du coup, «aller vers les sodas light ne fait pas sens si on mange ensuite plus de calories solides. (…) L’adoption des boissons light devrait être couplée à d’autres changements dans l’alimentation». 

L’American Beverage Association, groupe d’industriels qui défend son business, a déclaré dans un communiqué: 

«Beaucoup d’études ont démontré les bénéfices des boissons light, tout comme les édulcorants (…) pour réduire l’absorption de calories. Perdre ou maintenir son poids, c’est un équilibre entre le total des calories consommées et celles brûlées par l’activité physique.»

Bonnie Liebman, directrice nutrition du Center for Science in the Public Interest, pense qu’il est «prématuré de conclure que tout cela se passe dans le cerveau» et qu’en attendant, pour les personnes en surpoids souhaitant mieux réguler leurs calories, «il sera toujours mieux de boire de l’eau, ou du thé ou du café sans sucre». 

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Boire en couple : le secret pour une relation durable

Des scientifiques américains ont constaté que le taux de divorce des couples de gros buveurs est le même que chez les couples sobres. Des résultats qui pourraient aider les thérapeutes spécialisés dans les problèmes conjugaux.

Mariage et alcool semblent ne pas être incompatibles selon une étude américaine menée par les chercheurs de l’université Buffalo Research Institute. Le secret, selon les scientifiques, est de boire ensemble. Car lorsqu’un seul des deux partenaires est un gros buveur, le couple a 50% de chances de divorcer dans les neuf premières années de mariage. Mais quand les deux membres du couple sont des gros buveurs, leur taux de divorce (30%) est le même que ceux qui boivent modérément ou pas du tout.

Pour cette étude, 637 couples ont été suivis pendant leurs premières années de mariage. Les facteurs tels que la consommation de marijuana et de tabac, la dépression et le statut socio-économique, pouvant influencer leurs relations, ont été pris en compte.

Des habitudes différentes

« Nos résultats indiquent que c’est la différence entre les habitudes de consommation d’alcool du couple, plutôt que la consommation en elle-même qui conduit à l’insatisfaction conjugale, la séparation et le divorce », explique l’auteur principal de l’étude, Kenneth Leonard.

Les chercheurs ont également constaté un taux de divorces légèrement plus élevé quand le gros buveur est la femme, plutôt que le mari. Mais cette différence ne repose que sur l’exemple de quelques couples qui ont participé à l’étude et ne serait donc pas statistiquement significative. « Nous espérons que ces résultats seront utiles aux thérapeutes qui s’occupent des problèmes de mariage et aux praticiens de la santé mentale qui peuvent aller chercher la source des conflits du couple dans leurs différentes habitudes de consommation de l’alcool », conclut le chercheur.

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Le secret d’un mariage qui dure: boire autant d’alcool l’un que l’autre

Selon les conclusions d’une étude de grande ampleur menée par l’institut de recherche sur les addictions de l’université de Buffalo, les couples mariés qui ont la même consommation d’alcool ont moins de chances de divorcer que ceux qui consomment des quantités différentes d’alcool.

Les chercheurs ont suivi 634 couples pendant neuf ans après leur demande officielle de mariage et les ont classés en quatre groupes: ceux où personne n’est un gros buveur, ceux où le mari est un gros buveur, ceux où c’est la femme et ceux où les deux conjoints sont des gros buveurs (les chercheurs définissent les «gros buveurs» comme ceux qui boivent 6 verres ou plus à la suite, ou qui boivent jusqu’à l’ivresse).

Résultat: entre 45% et 55% des mariages où l’un des deux conjoints buvait plus que l’autre a fini en divorce après neuf ans, tandis que dans les couples à consommation équivalente, le taux de divorce descendait à 35%.

«Nos résultats indiquent que c’est la différence entre les habitudes de consommation d’alcool des couples et non la consommation elle-même qui entraîne le mécontentement marital, la séparation et le divorce», explique Kenneth Leonard, le directeur de l’institut qui a mené les travaux.

Encore plus surprenant, les chercheurs ont trouvé que le taux de divorce n’était pas plus élevé chez les couples avec deux gros buveurs que chez les couples de deux abstinents.

Cette étude vient confirmer les récents travaux de l’institut norvégien de santé publique, qui avait analysé les données récoltées auprès de 20.000 couples entre 1984 et 1986, et que le chercheur Fartein Ask Torvik résumait ainsi:

«Plus les gens boivent, plus le risque de divorce est fort. De plus, le risque de divorce descend si les époux boivent à peu près les mêmes quantités d’alcool. C’est vrai non seulement chez ceux qui boivent trop mais aussi chez ceux qui ne boivent pas du tout d’alcool.»

Autre résultat commun aux deux enquêtes: le taux de divorce est plus élevé quand c’est la femme qui boit le plus que quand c’est l’homme. Une des hypothèses avancées pour expliquer ce constat, ce serait que les femmes semblent être plus affectées par une forte consommation d’alcool que les hommes, tandis qu’une autre explication serait à chercher dans le fait que la forte consommation d’alcool chez les femmes est moins acceptée socialement que chez les hommes dans nos sociétés.

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Alcool: pour boire moins, choisissez bien votre verre

Alfred de Musset (1810-1857) a beaucoup et bien écrit. Aussi peut-on lui pardonner quelques faiblesses. Comme celle-ci, tirée de La Coupe et les Lèvres (1830):

«Aimer est le grand point, qu’importe la maîtresse?
Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse?»

Une étude menée aux Etats-Unis vient démontrer en quoi Musset avait tort. Elle a été menée par trois universitaires (Doug Walker et Laura Smarandescu –Iowa State University–,associés à Brian Wansik –Cornell University, Ithaca, New York) et ses résultats viennent ont été publiés dans la revue Substance Use & Misuse.

Les chercheurs y soulèvent la question de savoir quels sont les facteurs pouvant influencer les buveurs de vin quant à la quantité de cette boisson qu’ils versent dans un verre. Ils ont travaillé sur un groupe de quelques dizaines d’étudiants recrutés dans leur entourage sur la base de leur intérêt pour les vins et leur consommation. Par quoi cette quantité est-elle influencée?

Plus le verre est large, plus il est rempli

«Les buveurs de vin se servent souvent eux-mêmes, mais le volume du liquide servi varie-t-il en fonction de la forme du verre, de la couleur du vin, ou de leur façon de servir?, résument les auteurs. Une étude de terrain s’est appuyée sur des travaux de recherche portant sur des illusions d’optique et des stimuli tactiles. En moyenne, un buveur de vin se verse 11,7 cl de vin dans un verre de 30 cl. Il en verse 11,9% de plus dans un verre plus large, 9,2% de plus lorsqu’il s’agit de vin blanc dans certains verres –lorsque le faible contraste entre la couleur du vin et celle du verre gêne la vue. Le volume servi augmente en moyenne de 12,2%  lorsque le verre est dans la main (et non sur la table).»

Plus intéressant encore: les participants semblent être, rétrospectivement, parfaitement conscients de la façon dont ces critères peuvent influer sur leur consommation. De fait, après chaque expérience, la séance de débriefing les a vus citer spontanément la largeur de verre, le contraste des couleurs et le fait de tenir ou pas le verre à la main comme des éléments incitatifs à une plus ou moins grande consommation.

Conclusion pratique: le fait d’utiliser des verres plus étroits et de laisser le verre sur la table pourrait permettre de réduire –modérément– les volumes de vin servis et bus par une personne consommant des boissons alcooliques en société. Sans doute les types de vin et leur coût sont eux aussi des éléments à prendre en compte. Il serait également intéressant de réaliser les mêmes expériences à partir d’autres boissons alcooliques.

La forme du contenant et le contenu

Il y a un an, une étude, menée par quatre chercheurs de la School of Experimental Psychology de l’Université britannique de Bristol, s’était intéressée à la question, a priori plus simple, de l’influence de la forme du verre sur la vitesse de consommation de son contenu. Les chercheurs avaient recruté 159 consommateurs et consommatrices, âgé(e)s de 18 ans à 40 ans, sans antécédents d’alcoolisme, pour participer à deux expériences. Le recrutement avait été effectué parmi des étudiants et dans la population générale.

Lors d’une première séance, les participants étaient invités à consommer soit une bière, soit une boisson non alcoolisée –et ce, soit dans un verre à bords droits, soit dans une chope à bière courbe. Les participants mettaient deux fois plus de temps à boire une boisson alcoolique (la bière) dans un verre à bords droits que dans une chope traditionnelle. A l’inverse, s’ils consommaient une boisson non alcoolique, les temps de consommation étaient identiques quelle que soit la forme du verre.

Verres plus ou moins à moitié pleins

Dans la seconde expérience, on présentait aux participants de nombreuses photos de deux verres contenant différents volumes de liquide. Il leur fallait estimer si le verre était plus ou moins à moitié plein. Les imprécisions sont beaucoup plus grandes avec les verres de type chope.

«En conclusion, nos données indiquent que la forme du verre influe sur le taux de consommation de boissons alcooliques, résument les auteurs de ce travail. Notre étude ne peut pas résoudre complètement les mécanismes qui sous-tendent les effets que nous avons observés. Mais ces résultats peuvent éclairer les décisions politiques concernant les changements structurels dans l’environnement des consommateurs, changements qui peuvent réduire les taux de consommation et les méfaits liés à l’alcool.»

J.-Y.N.


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Boire son urine, une pratique médicale répandue, mais aux bienfaits contestés

L’idée semble écoeurante mais boire son urine est une pratique qui compte plusieurs millions d’adeptes à travers le monde. Elle porte même un nom: l’urinothérapie.

Cette médecine alternative a particulièrement du succès en Allemagne, rappelle le magazine Der Spiegel, où elle a été popularisée dans les années 1980 par un livre consacré aux bienfaits de ce «liquide très particulier», intitulé Ein ganz besonderer Saft, Urin. Un ouvrage vite devenu un bestseller et qui vient d’être réédité à l’occasion des vingt ans de sa parution.

Comme le rapporte l’hebdomadaire Focus, les défenseurs de l’urinothérapie estiment que cette substance permettrait de soigner des affections telles que l’asthme, les allergies respiratoires, l’eczéma et la dermatite atopique. Et cela, grâce aux substances actives qu’elle contient, que liste plus dans le détail Psychologies.com: des sels minéraux, des acides, des hormones, des enzymes et même des vitamines.

Les patients qui veulent suivre une urinothérapie ont le choix entre se faire injecter leur propre urine —ou celle d’un donneur— dans le muscle ou la boire directement. Mais les vertus thérapeuthiques de l’urine n’ont jusqu’à aujourd’hui jamais été démontrées scientifiquement. L’allergologue Walter Dorsch, cité par Focus, estime d’ailleurs que cette pratique va à l’encontre de notre métabolisme:

«Je trouve absurde sur un plan biologique de s’infliger à nouveau ce que le corps a d’abord éliminé, parce que l’élimination est toujours aussi une détoxication.»

Et cette pratique peut même s’avérer dangereuse, comme l’explique au Spiegel le médecin militaire allemand Christoph Bickel:

«Tant qu’il n’y a pas d’infection, l’urine est en général stérile. Quand elle est conservée plus longtemps quelque part, la possibilité d’une contamination bactérienne existe.»

Et même en cas d’urgence, par exemple si l’on se retrouve privé d’eau, mieux vaut également éviter de boire son urine, car les fortes concentrations de sels minéraux dans le liquide ont pour effet de donner encore plus soif…

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Boire du lait pendant la grossesse rend les enfants plus grands

Boire un verre de lait de 150 ml par jour pendant la grossesse est excellent pour la taille des enfants!

Une étude scientifique publiée dans l’ « European Journal of Clinical Nutrition » révèle que les adolescents filles et garçons étaient généralement plus grands si leur mère avait bu plus de 150 millilitres, environ un quart de litre de lait par jour pendant leur grossesse, par rapport aux enfants nés de femmes qui en buvaient moins.
Des études antérieures avaient déjà démontré que les bébés étaient plus résistants et avait une meilleure croissance si leurs mamans buvaient du lait enceintes. Cette nouvelle recherche révèle que ces avantages santé perdurent jusqu’à l’âge adulte.
Des experts en nutrition d’Islande, du Danemark et des Etats-Unis ont suivi des bébés nés à la fin des années 90. Ils ont analysé la courbes de croissance de bébés nés de 809 femmes au Danemark en 1988 et 1989, et mis ces résultats en corrélation à la quantité de lait que les femmes avaient consommée au cours de leur grossesse. Ils ont constaté que leur grande taille à l’adolescence était directement liée à la quantité de lait de leur mère avait bu quand ils étaient dans l’utérus.
Le lait, un atout santé
A l’adolescence, ces mêmes enfants avaient aussi des niveaux plus élevés d’insuline dans leur sang, ce qui améliorait leur protection contre le diabète de type 2. Une étude britannique a aussi conclu que les femmes enceintes pourraient augmenter le QI de leurs bébés et leurs capacités de lecture en buvant plus de lait, car cet aliment est riche en iode. L’iode est indispensable à la production d’hormones fabriquées par la glande thyroïde. Elle produit un effet direct sur le développement du cerveau du fœtus.

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Boire, quoi, combien et pourquoi

L’un des gros problèmes de la population française et presque sans risque d’erreur de la population mondiale, c’est boire.

En effet, il n’est pas rare de rencontrer des personnes ne buvant qu’aux repas et jamais entre. Pourquoi un tel désamour de l’eau, nous savons manger quand nous avons faim, mais nous avons perdu l’écoute de la soif, qui est comme la faim, un besoin primaire.

Pourtant l’importance de l’hydratation n’est pas due à une méconnaissance, car tout le monde sait à quel point c’est important. Et ce n’est pas non plus la faute des pouvoirs publics, qui nous assènent de messages nutritionnels en faveur d’une bonne hydratation.

Mais alors pourquoi ? Peut être qu’au lieu de chercher une réponse à cette question il serait plus intéressant de savoir « à quoi ça sert de boire ».

Le sujet est vaste et mérite que l’on s’y attarde un peu, en prenant notre temps et surtout sans en perdre une goutte !

Au commencement il y eut le liquide amniotique, le bébé que maman porte dans son ventre baigne dans une sorte de liquide qui est forcement composé de beaucoup d’eau, vraiment beaucoup d’eau. Ensuite ce même bébé est composé lui aussi d’un sacré paquet d’eau ! Pas la peine de faire comme si vous ne le saviez pas, nous avons tous eu des cours de biologie ! Alors, un petit rappel des teneurs en eau en fonction de l’âge suffira :

–        Chez le fœtus : 97%

–        Chez le nourrisson : 75%

–        Chez l’adulte : 70%

Maintenant il est plus facile de se rendre compte de l’importance de l’eau chez l’être humain. Mais pourquoi boire dans ce cas ?

Tout d’abord, nous perdons chaque jour une grande quantité d’eau. Ces pertes se font de plusieurs manières :

–        Par les urines et les selles

–        Par la transpiration

–        Par la respiration (pour vous en rendre compte rien de plus simple, mettez vous prêt d’un miroir et soufflez comme si vous alliez nettoyer des lunettes, il se forme de la buée, donc de la vapeur, donc de l’eau !)

Avec tout cela, nous perdons environ 2,5L d’eau par jour, ces pertes sont à augmenter en fonction de la température extérieur (plus il fait chaud plus on transpire, donc plus on perd d’eau), mais aussi de l’activité physique, en effet un sportif peut perdre jusqu’à 10L d’eau pendant un entrainement si il fait très chaud, rendez-vous compte.

Maintenant que nous savons notre composition corporelle, nos pertes en eau, il est simple de répondre à la question « pourquoi boire » et bien très simplement pour palier aux pertes. Bien sûr, d’autres raisons devraient nous motiver à boire. D’abord, une bonne hydratation permet de faciliter le transit et donc de lutter contre la constipation, des selles sèches avancent moins bien que des selles humides dans le côlon.  Enfin, une bonne hydratation permet de lutter contre la rétention d’eau (problème très répandu, surtout chez vous mesdames), donc boire ne fait pas maigrir mais permet juste de ne pas garder l’eau !

Bien sur, il n’est pas nécessaire de boire 2,5L d’eau par jour, car les apports se répartissent comme cela:

–        1L par les aliments

–        1,5L par les boissons

C’est pour cela que vous entendez toujours (et vous le dites aussi depuis toujours) qu’il faut boire 1,5L d’eau par jour.

Maintenant, soyons un peu plus explicite, peut-être n’est il pas nécessaire de boire autant, je m’explique :

L’eau peut être apportée de différentes manières :

–        Par de l’eau

–        Par du thé

–        Par du café (dans le cadre d’une hydratation correct, sinon on ne peut pas compter le café car il est très diurétique donc bu seul il peut participer au phénomène de déshydratation)

–        Par les sodas (mais attention à leur teneur en sucre !)

Pas facile de boire me direz vous, tout à fait d’accord, passons aux astuces du diététicien pour vous faciliter l’hydratation :

–        Il faut disséminer des petites bouteilles d’eau partout dans la maison (salon sur la table basse, chambre près du lit, toilette (et oui même dans les toilettes !), devant l’ordinateur, dans la voiture….) de cette façon des que vous voulez boire vous pouvez sans la contrainte de devoir se rendre dans la cuisine. Car sinon, c’est souvent « je le ferais dès que je finis ça » et, l’oubli remporte la partie !

–        Au travail, prendre des PETITES bouteilles d’eau, en effet la grosse bouteille ça fait peur et surtout ça ne descend pas vite, pas très motivant en somme. Optez plutôt pour des bouteilles de 50cl beaucoup plus adaptées et surtout faciles à transporter.

–        Instaurer le rituel de « des que je vois la bouteille je bois une gorgée »

–        Le repas, on le commence et le termine toujours avec un verre d’eau.

–        Un thé dans la matinée et dans l’après-midi et c’est déjà  presque 500ml d’eau.

–        Pourquoi pas le soir, se prendre une tisane ?

Voilà pour l’hydratation, maintenant vous avez toutes les cartes en mains, il ne reste plus qu’à changer ses habitudes. Et sachez une dernière chose, la soif est le premier indicateur de la déshydratation, donc avoir soif c’est déjà être déshydrater.


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Alcool au volant : Les Français vont boire et conduire le soir du réveillon de la Saint-SylvestreA la veille du réveillon de la Saint-Sylvestre, 9 français sur 10 avouent qu'ils comptent boire de l'alcool au cours de la soirée. Alors que la prévention routière se fait de plus en plus pressante, les français semblent toujours ignorer les risques de l'alcool au volant et 44% des personnes interrogées ont d'ailleurs confié ne pas avoir prévu d'autre moyen que la voiture pour rentrer chez eux.



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