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Cancers de la peau : les bons gestes à adopter

Déconfinement, vacances d’été qui approchent… vous allez être de plus en plus nombreux à vouloir profiter des rayons du soleil qui, s’ils sont nécessaires à notre bien être, sont aussi très dangereux pour notre santé si on ne respecte pas un certain nombre de règles. C’est pourquoi la Ligue contre le cancer tient à rappeler les bons gestes à adopter face au soleil, responsable de 80% des cancers de la peau.

PublicDomainPictures/Pixabay

Le soleil est responsable de 80% des cancers de la peau. Ces derniers sont liés à des expositions excessives, notamment pendant l’enfance. En constante augmentation depuis 50 ans, les mélanomes cutanés, les plus graves des cancers de la peau, ont été estimés à 15 400 nouveaux cas par an, entraînant 1 780 décès. A l’occasion de l’édition 2020 de la Semaine Nationale de la Protection Solaire (du 20 au 28 juin) et au lendemain d’une longue période de confinement après laquelle les envies d’activités en extérieur sont plus fortes que jamais, la Ligue contre le cancer rappelle les réflexes à adopter pour profiter du soleil sans danger. L’occasion aussi pour l’association de mener une opération de sensibilisation destinée plus particulièrement aux jeunes et adolescents à travers 2 jeux éducatifs en ligne.

LE SAVIEZ-VOUS ? En France métropolitaine, les rayons UV du soleil sont très intenses de début mai jusqu’à fin août, et plus particulièrement en bord de mer ou en haute montagne. En atteignant la peau, les UVA et les UVB agressent les cellules cutanées et peuvent provoquer des dommages irréversibles dans les gènes des cellules exposées.

Cancers de la peau : les bons réflexes

La plupart des cancers de la peau sont évitables. Pour s’assurer de rester en bonne santé, il faut limiter les temps d’exposition et éviter à tout prix les coups de soleil, notamment lors de la petite enfance, car ils favorisent la survenue des mélanomes et des carcinomes basocellulaires. Les sujets blonds à peau claire ont un risque plus grand.

Il est possible de détecter des cancers de la peau dès leur apparition, en se faisant examiner régulièrement par un dermatologue :

– si vous présentez de nombreux grains de beauté,

– s’ils changent d’aspect et vous semblent avoir une coloration non homogène, être plus larges et

plus irréguliers que d’habitude

– si vous avez des antécédents familiaux de cancers de la peau.

La Ligue contre le cancer met en place des actions concrètes de prévention

La semaine de la protection solaire

Chaque année, les Comités départementaux de la Ligue contre le cancer organisent la Semaine de la protection solaire, pour sensibiliser aux risques et informer sur les gestes protecteurs, en particulier auprès des enfants. L’édition 2020, année particulière, sera synonyme de prévention, et d’information, pour ne pas oublier les bons gestes.

Le jeu “Good Ways Of Life”

La mission : aider Léo, Irène, Gary, Ugo et Elsa et leur entourage à éviter les pièges et les comportements les plus inconscients pour leur épargner un sort funeste. Good Ways Of Life, c’est 8 mini-jeux inédits à la dynamique haletante, des contenus humoristiques et intelligents, des dizaines de badges loufoques et fantaisistes.

Disponible sur Itunes, Google Play ou Youtube

Le jeu Cache-cache soleil

Un jeu gratuit en ligne et une application, pour apprendre aux enfants de 4 à 10 ans de manière ludique à bien se protéger du soleil et encourager les enfants à prendre des précautions simples pour éviter à la fois les coups de soleil et les problèmes à long terme.

Crédit/source : ligue contre le cancer

News Santé

Idées pour consommer plus de bons gras et moins de gras saturés (Guide alimentaire canadien)

Le type de gras est plus important pour la santé que la quantité totale, souligne le nouveau Guide alimentaire canadien publié en janvier 2019.

Il présente plusieurs idées pour consommer plus de bons gras et moins de gras saturés.

Choisissez des aliments contenant de bons gras

  • Essayez différents types de poissons gras, comme :

    • la truite
    • le hareng
    • le saumon
    • le maquereau
  • Lorsque vous préparez des aliments, utilisez des huiles saines, comme celles :

    • de lin
    • d’olive
    • de soja
    • de maïs
    • de canola
    • d’arachide
    • de carthame
    • de tournesol
  • Mangez de petites quantités de noix comme collation.

  • Essayez des beurres de noix, comme le beurre d’arachide, d’amande ou de noix de Grenoble.

  • Essayez des graines de citrouille ou de tournesol. Faites-les griller pour les manger en collation ou ajoutez-les aux salades.

  • Préparez votre propre vinaigrette avec de l’huile de canola, d’olive ou de lin. Ajoutez du vinaigre balsamique, du vin de riz ou d’autres vinaigres. Aromatisez de jus de citron, de moutarde sèche ou de Dijon, d’ail et d’herbes.

Limitez la quantité d’aliments qui contiennent des gras saturés

  • Limitez la quantité d’aliments contenant des gras saturés, comme :

    • la crème
    • les viandes grasses
    • les viandes transformées
    • certains desserts et produits de boulangerie
    • la plupart des aliments frits, comme les frites
    • le lait de coco ou la crème de coco en conserve
    • certains desserts glacés comme la crème glacée
    • les fromages et les aliments contenant beaucoup de fromage
  • Lorsque vous préparez des aliments, essayez de limiter la quantité d’huiles et de gras saturées, comme :

    • le ghee
    • le beurre
    • le saindoux
    • l’huile de palme
    • la margarine dure
    • l’huile de noix de coco
  • Choisissez des coupes de viande maigres et de la volaille sans la peau. Retirez le plus de gras possible. Égouttez le gras de la viande hachée cuite.

    Les coupes de viande maigres ou extra maigres peuvent inclure :

    • les longes de porc
    • les poitrines de poulet
    • les biftecks ou rôtis de surlonge
    • la volaille hachée maigre
    • les rôtis d’intérieur et d’extérieur de ronde
    • le gibier comme :

      • le cerf
      • le bison
      • l’orignal
      • le caribou
  • Certains aliments transformés sont faits d’ingrédients à forte teneur en gras saturés. Lisez les étiquettes des aliments pour comparer les produits. Choisissez ceux qui contiennent peu ou pas de gras saturés ajoutés.

Remplacez les gras saturés par de bons gras

Essayez ces solutions pour remplacer les gras saturés par de bons gras :

  • Sur vos rôties, remplacez le fromage à la crème par du beurre de noix.
    Sur le pain ou les petits pains, remplacez le beurre par de l’huile d’olive aromatisée au vinaigre balsamique.

  • Pour la trempette, essayez de faire votre propre houmous ou tzatziki pour remplacer les trempettes aux épinards ou aux artichauts.

  • Lorsque vous cuisinez, remplacez le shortening, le saindoux ou la margarine dure par des huiles saines comme les huiles de canola, d’olive et de soja.

« Choisir des aliments contenant surtout de bons gras peut permettre de diminuer les risques de maladies du cœur », souligne le guide.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Guide alimentaire canadien.
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Perte de poids, santé : « manger de tout avec modération » et « adopter une alimentation diversifiée » ne seraient pas de bons conseils

La recommandation de la plupart des autorités de santé de consommer une grande variété d’aliments pour s’assurer de répondre à tous les besoins nutritionnels peut avoir des effets néfastes, selon une nouvelle position de l’

.

« Une alimentation plus diversifiée peut être associée à une plus grande variété d’aliments sains et malsains », souligne Marcia C. de Oliveira Otto de l’Université du Texas, auteure principale. Elle « peut entraîner une augmentation de la consommation d’aliments et l’obésité ».

Consommer une variété d’aliments est une recommandation de santé publique aux États-Unis et dans le monde entier depuis des décennies, indiquent les chercheurs.

Cette recommandation a été introduite au siècle dernier en réponse aux carences nutritionnelles généralisées, en particulier dans les régions à faible revenu ayant un accès limité aux aliments nutritifs, souligne-t-elle.

« Des données récentes suggèrent que cette approche n’aide peut-être pas à améliorer les habitudes alimentaires des gens ni à prévenir l’obésité dans les endroits où les aliments transformés et malsains sont très courants, très variés et relativement peu coûteux. »

Les auteurs ont effectué une revue de la littérature scientifique publiée entre janvier 2000 et décembre 2017. Selon leurs conclusions :

  • Il n’y a pas de données montrant qu’une plus grande diversité alimentaire globale favorise un poids santé ou une alimentation optimale.

  • Il y a des données montrant qu’une plus grande variété d’options alimentaires dans un repas peut retarder le sentiment de satiété, ce qui augmente la quantité d’aliments consommés.

  • Des données limitées suggèrent qu’une plus grande diversité alimentaire est associée à une plus grande consommation de calories, à de mauvaises habitudes alimentaires et à un gain de poids chez les adultes. (CALCUL de votre besoin en calories selon votre métabolisme de base et votre activité)

Plutôt que de recommander de consommer une variété d’aliments, les auteurs de la position concluent que les recommandations devraient mettre l’accent sur la consommation adéquate d’aliments végétaux, comme les fruits, les légumes, les légumineuses, les grains entiers, les produits laitiers à faible teneur en gras, les huiles végétales non tropicales, les noix, la volaille et le poisson, et limiter la consommation de viande rouge, de sucreries et de boissons sucrées.

« Choisir une gamme d’aliments sains, qui correspond à son budget ou à son goût, et s’y tenir est potentiellement meilleur pour aider les gens à maintenir un poids santé que de choisir une plus grande variété d’aliments qui peuvent inclure des aliments moins sains, même avec modération », estime Otto.

Pour plus d’informations sur la perte de poids, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : University of Texas, American Heart Association, Circulation.
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Les jus de fruits ne sont pas très bons pour la santé (« 60 millions de consommateurs »)

Dans un numéro hors-série consacré au business du « healthy », le magazine « 60 millions de consommateurs » de l’Institut national français de la consommation a passé en revue les étiquettes des jus, nectars et autres smoothies.

Il met en garde, rapporte Le Figaro, contre certains d’entre eux qui contiennent beaucoup de sucres (fructose, glucose, saccharose), sans parler du manque de fibres.

Par exemple, le jus d’orange sans pulpe de 330 ml de la marque Innocent contient 25,7 g de sucre, soit l’équivalent de 4,5 morceaux.

Et, un verre de 250 ml de « Super smoothie antioxydant » à base de kiwi, citron vert et graine de lin de la marque contient 27,5 g de sucres, soit plus qu’un verre de Coca-Cola de la même quantité (26,5 g) ! « Des fruits très caloriques tels que la banane ou le raisin s’invitent très fréquemment dans ces mélanges ».

Autre exemple, le jus de pamplemousse de la marque Joker contient 50 % de sucres de plus que le Schweppes Agrum.

« Les marques ont aussi tendance à embrouiller le consommateur sur la catégorie de jus qu’il consomme. Or il existe une différence notable entre un pur jus (auquel rien n’est ajouté), un jus à base de concentré (dans lequel la quantité d’eau est importante) et un nectar, seule catégorie pour laquelle les industriels peuvent ajouter du sucre, des conservateurs et des colorants.

“Les marques s’arrangent pour que le consommateur ait du mal à identifier ces trois familles. Souvent les nectars avancent masqués”, dénonce 60 millions de consommateurs. Et de citer la marque Pressade qui pour son “Bio Orange” inscrit la mention nectar en bas de la brique, en petits caractères. »

Le magazine conseille de privilégier les purs jus, de vérifier les taux de sucres, de ne pas boire plus d’un verre de 200 ml par jour et d’avoir « conscience que vous ne buvez pas du jus pour votre santé mais pour le plaisir ».

Pour plus d’informations sur les jus de fruits, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Le Figaro.
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Hôpitaux : les bons et mauvais points des patients

Hôpitaux : les bons et mauvais points des patients

Le 20 décembre 2017.

Selon une étude réalisée par la Haute autorité de santé (HAS), les patients hospitalisés à l’hôpital ou en clinique sont globalement satisfaits de la prise en charge par les personnels soignants. Mais certains points négatifs sont cependant soulevés.

Des médecins qui ne communiquent pas assez

En règle générale, les patients sont satisfaits de leur séjour à l’hôpital. C’est ce que révèle une étude menée par la Haute autorité de santé. Selon ces travaux, 80 % des personnes interrogées se disent satisfaites de la qualité de la prise en charge par le personnel soignant, qui serait à l’écoute et particulièrement attentionné. En revanche, les patients déplorent le manque de communication avec les médecins.

30 % des sondés regrettent de n’avoir pas été associés aux décisions qui les concernaient. « Associer le patient à la décision de soins, c’est essentiel », souligne pourtant Christian Saout, qui représente les patients à la HAS sur RTL. « C’est la garantie du succès de soins. On ne le fait pas assez. Il faut vraiment qu’on change nos façons de faire nos façons de voir, il faut que les médecins apprennent à discuter de cela aussi avec les patients. »

Des progrès à faire en matière de panier-repas

Ce que les patients n’ont pas non plus aimé lors de leur séjour à l’hôpital, ce sont les plateaux-repas. 23 % des personnes interrogées ont jugé les repas mauvais et manquant de variété. On rappelle que les hôpitaux disposent d’un budget repas par jour et par patient de 3,70 €, ce qui ne laisse pas une marge de manœuvre importante. Ils sont malgré tout 48 % à estimer la qualité des repas servis bonne ou excellente.

Autre bémol des patients : l’organisation de sortie de l’hôpital. Les patients se plaignent d’être livrés à eux-mêmes. « Quand il sort de l’établissement de santé le patient doit avoir une lettre qu’on appelle lettre de liaison à la sortie avec toute les informations minimales pour assurer la continuité des soins », explique Laetitia Mai Michelangeli de la HAS au micro RTL. « Cette lettre n’est pas réalisée de façon complète dans tous les établissements de santé. » Et ce n’est pas normal. 

Marine Rondot

À lire aussi : Tout savoir sur le forfait hospitalier

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Vague de chaleurs : les bons réflexes à adopter

Vague de chaleurs : les bons réflexes à adopter

Le 20 juin 2017.

Quand il fait très chaud, notre comportement ne doit pas être le même qu’en temps normal. Sinon gare aux coups de chaud !

Attention au coup de chaud !

La France est traversée par une vague de chaleur qui peut causer de nombreux dégâts, notamment chez les enfants et les personnes âgées. On peut craindre en effet le coup de chaud et la déshydratation. Mais comment savoir quand le coup de chaud approche et quels réflexes adopter ? Si vous commencez à avoir des maux de tête violents, si votre bouche s’assèche et que vous vous assoupissez ou que vous avez des nausées, vous êtes en danger.

La première priorité est de se mettre à l’ombre et de faire chuter la température du corps. Buvez de l’eau et surtout, mettez de l’eau sur votre visage. Sans cela, vous pourrez perdre connaissance et si vous êtes seul, cela peut être dangereux. En cas de fébrilité de quelqu’un de votre entourage ou si vous êtes directement concerné, n’hésitez pas à appeler le 15. Les secours vous donneront des conseils ou enverront une équipe.

Comment éviter l’insolation ?

Mais pour éviter d’en arriver à telles extrémités, certains réflexes sont bons à adopter. Il est tout d’abord important de garder votre intérieur au frais : fermez vos volets quand le soleil et trop chaud et allumez des ventilateurs. Dans la mesure du possible, restez à l’intérieur et buvez de l’eau, régulièrement, par petites gorgées. On recommandera aux personnes accompagnant les personnes âgées de leur humidifier le visage avec un brumisateur.

Si vous travaillez en extérieur, vous transpirez davantage alors vous devrez boire davantage. Protégez-vous la tête et demandez à votre employeur qu’il aménage des horaires pour éviter de travailler quand le soleil est au zénith. En cas de questions plus précises, notamment dans la prise en charge des personnes âgées, n’hésitez pas à composer le numéro de Canicule-Info-Service au 0800 06 66 66.

Marine Rondot

À lire aussi : Recommandations en cas de fortes chaleurs

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Diabète : marcher aux bons moments est plus efficace pour contrôler la glycémie

Il est généralement recommandé aux personnes atteintes de diabète de type 2 de marcher au moins 30 minutes par jour sans spécifier un moment particulier de la journée.

Andrew Reynolds de l’Université Otago (Nouvelle-Zélande) et ses collègues ont mené une étude avec 41 personnes atteintes de diabète de type 2, en deux blocs de deux semaines séparés par un mois. Dans un bloc, elles devaient marcher 30 minutes par jour selon les recommandations habituelles et dans l’autre, elles devaient marcher 10 minutes après chaque repas.

Elles portaient un accéléromètre et un appareil mesurant la glycémie toutes les cinq minutes.

La marche après les repas entraînait une baisse des niveaux sanguins de glucose accrue de 12 % en moyenne comparativement à la marche à un autre moment de la journée.

La plus grande partie de cet effet provenait de la réduction accrue de 22 % entraînée par la marche d’après le repas du soir. Ce repas incluait la plus grande quantité de glucides et était suivi par la plus grande durée de temps sédentaire.

« L’activité physique après le repas peut éviter la nécessité d’augmenter la dose totale d’insuline ou d’injections supplémentaires à l’heure des repas, soulignent les chercheurs. Une augmentation de la dose d’insuline peut être associée à un gain de poids (l’hormone contribuant à stocker les graisses) chez les personnes atteintes de diabète de type 2, dont beaucoup sont déjà en surpoids ou obèses. »

Ces résultats suggèrent que les recommandations devraient être mises à jour pour spécifier l’activité après les repas, particulièrement quand les repas contiennent une quantité substantielle de glucides, concluent les chercheurs.

Cette étude est publiée dans la revue Diabetologia. Une autre étude, publiée dans la même édition, montre qu’augmenter la quantité d’activité apporte aussi un plus grand bénéfice pour le contrôle de la glycémie.

Psychomédia avec source : University of Otago.
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Les fruits et légumes non-bios sont aussi bons pour la santé de vos enfants

Quand mon fils était bébé, «biologique» était synonyme de «comestible». Si les pommes du supermarché n’avaient pas leur petit logo, je ne les achetais pas. Je savais que les fruits et légumes conventionnels pouvaient contenir des traces de pesticides, et que les pesticides pouvaient affecter son développement cérébral. Certes, les détails de cette association étaient assez flous -je ne savais pas combien de pesticides mon fils était susceptible d’ingérer en avalant des fraises premier prix, ni à partir de quelle quantité cela pouvait lui être nocif. Mais, en un sens, cela n’avait aucune importance: raquer un peu plus pour minimiser les risques, quels qu’ils aient pu être, en valait la peine.

Deux ans plus tard: mon fils gobe des fraises on ne peut plus basiques au petit-déjeuner. Je soutiens les principes de l’agriculture biologique, c’est certain, mais c’est parfois compliqué de débourser plus de 5 euros pour une barquette qu’il aura terminée en moins de deux jours. Par ailleurs, je ne peux m’empêcher de me demander si les aliments biologiques font vraiment une différence sur sa santé, vu qu’il est connu pour lécher la semelle de ses chaussures, embrasser la truffe de mon chien qui vient de remuer ses crottes avec ou manger des biscuits apéritifs -ceux d’un camarade- à même le sol de la crèche. 

Pour ne pas rester dans le flou, j’ai donc décidé de fouiller la littérature scientifique et de m’adresser à des toxicologues, horticulteurs, spécialistes des risques et autres nutritionnistes pour savoir si les produits chimiques présents dans les aliments issus de l’agriculture conventionnelle posaient réellement un risque pour mon enfant.

Ce que j’ai découvert m’a totalement surprise -et, en résumé, je serai un tantinet plus détendue quand il s’agira de nourrir bébé n°2.  

Je voudrais tout de suite préciser que cette chronique ne concerne pas l’intérêt environnemental de l’agriculture (…) Lire la suite sur Slate.fr


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Gastro : à chaque âge, les bons réflexes !

Inflammation de l’estomac et de l’intestin, la gastroentérite touche tous les âges de l’enfance. Avec un problème majeur chez le plus petit : le risque de déshydratation.

Si votre bébé a moins de six mois

Dès les premiers symptômes, cessez de donner du lait et tout aliment solide, pendant douze heures, voire vingt-quatre heures afin de laisser l’intestin au repos. A cet âge, il se déshydrate très vite. Il faut donc le réhydrater à l’aide de solutés de réhydratation (en pharmacie), qui apportent à la fois de l’eau et des sels minéraux. Leur reconstitution est simple: un sachet à diluer dans 200 ml d’eau. L’important est d’en proposer à volonté lors des douze premières heures, très régulièrement et en petites quantités. Si votre bébé est nourri au sein, poursuivez l’allaitement et complétez les repas avec des biberons de solutés de réhydratation. Le « retour à la normale » doit être progressif. Donnez dans un premier temps un lait de transition sans PLV (protéines du lait de vache) et sans lactose, d’autant plus que la diarrhée a été sévère.

A savoir : si votre bébé est somnolent, a la peau qui garde le pli quand on la pince doucement et s’il urine peu ou moins souvent que d’habitude, les signes d’une déshydratation sont réunis. Vous devez consulter en urgence.

Si votre bébé a deux ans

Vous pouvez juguler la diarrhée en lui proposant des produits « constipants » tels que le riz, les carottes, la banane ou encore les compotes de pommes-coings, tout en lui donnant beaucoup à boire. En cas de vomissements, le médecin associera un anti-vomitif. Et pour diminuer les pertes d’eau, il conseillera un antidiarrhéique, du racécadotril ( tiorfan). La prise de probiotiques, un temps encouragée, l’est moins. Reprenez une alimentation normale pas à pas. Introduisez le deuxième ou troisième jour les aliments les plus digestes, comme les yaourts et les potages, et évitez les corps gras.

A savoir : la présence de sang et de glaires évoque une origine bactérienne de la diarrhée. Dans ce cas, un examen des selles (coproculture) est nécessaire pour donner un traitement antibiotique adapté.

Votre (…) Lire la suite sur Topsanté

Bronchiolite : comment la tenir à distance ?
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Hémorroïdes : les bons réflexes pour soulager les symptômes

Ca vous démange, ça vous fait mal ? Voici 9 astuces qui devraient vous soulager si vous souffrez d’hémorroïdes.

Pour diminuer la pression sur les veines hémorroïdaires

Levez-vous souvent de votre siège au bureau et faites quelques pas afin de relancer la circulation sanguine. Ne restez pas trop longtemps assis aux toilettes. Dans cette position, les muscles de l’anus se relâchent.

Pour réduire les démangeaisons

Lavez-vous en utilisant un savon très gras, sans tomber dans l’excès d’hygiène responsable d’irritation. Pour vous sécher – l’humidité aggrave l’irritation – en évitant les frottements d’une serviette, utilisez un sèche-cheveux à distance.

Après être allé à la selle, nettoyez la région anale. Utilisez du papier humidifié avec de l’eau ou mieux, avec de la lotion à l’hamamélis. Vous pouvez aussi opter pour des lingettes de bébés sans alcool et jetables.

Bon à savoir : il existe de très chic WC-douches japonais. Leur particularité : un jet d’eau vous rince le postérieur, suivi d’un séchage à air chaud télécommandé.
Où ? Boutique Le Trône, 85 rue d’Assas, 75006 Paris. Tél. : 01 42 45 01 73. Premier prix : environ 900€. Toto, Inax, Geberit…

Pour soulager les crises

Prenez des bains de siège 3 ou 4 fois par jour pendant 10 à 15 minutes.

Pour soulager la douleur

Une astuce consiste à appliquer un glaçon glissé dans un préservatif (ou dans un sac plastique…) sur votre hémorroïde.

Pour éviter d’aggraver la situation

Ne soulevez pas d’objets lourds ou encombrants.

Pour lutter contre la constipation

Marchez d’un bon pas, cela stimule les intestins paresseux et renforce les muscles de la région anorectale. 20 minutes par jour suffisent : descendez une station avant votre arrêt de bus habituel, promenez le chien un peu plus longtemps, faites une promenade digestive.

Lors d’un voyage en avion

Prévoyez un coussin pour vous asseoir et toutes les deux heures, levez-vous pour faire quelques pas. La pressurisation de l’appareil s’accompagne d’une baisse de la pression d’oxygène dans le sang qui risque d’aggraver (…) Lire la suite sur Topsanté

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