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Le burn-out, un syndrome lié au travail selon l’OMS

Le burn-out, un syndrome lié au travail selon l’OMS

Mardi 28 mai 2019

Le burn-out, ou épuisement professionnel, a été reconnu par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme un phénomène lié au travail et non une maladie en tant que telle. L’OMS avait indiqué lundi 27 mai que le burn-out faisait son entrée dans la nouvelle Classification internationale des maladies (CIM) qui entrera en vigueur en 2022. Toutefois, une correction vient d’être apportée.

La définition du burn-out mise à jour

L’OMS avait indiqué lundi 27 mai que le concept du burn-out entrait pour la première fois dans la Classification internationale des maladies, une base de référence qui permet aux professionnels de santé du monde entier d’échanger des informations et des statistiques sanitaires. Ce mardi 28 mai, un porte-parole a apporté une rectification en indiquant que le burn-out faisait déjà partie de la classification en tant que « facteurs influençant l’état de santé ».  

Le burn-out, déjà inclus dans le CIM, n’est pas décrit comme une maladie ou une condition médicale, mais comme un syndrome qui est la conséquence d’un stress chronique au travail. Trois éléments peuvent décrire le burn-out : le sentiment d’épuisement, une vision négative des autres et du travail, et le sentiment de ne pas pouvoir répondre aux attentes de ses collègues et de ses supérieurs.  

Un concept utilisé uniquement dans le domaine du travail

Le registre de l’OMS a également précisé que le concept du burn-out ne devait être utilisé qu’en relation avec le travail. Il ne peut pas décrire des expériences dans d’autres domaines de la vie courante. 

Ainsi, le burn-out qui désigne un état de fatigue émotionnelle, mentale et physique, fait uniquement référence à un contexte professionnel et peut concerner toutes les professions. Rappelons qu’en France, un salarié sur trois a expérimenté un burn-out au cours de sa carrière. 

Stéphanie Haerts

 

À lire aussi : La santé au travail: rentable pour tous

 

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Le burnout serait fréquent chez les psychothérapeutes

Le burnout (épuisement professionnel) est fréquent chez les psychothérapeutes, selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Psychology.

Les psychologues Gabrielle Simionato et Susan Simpson de l’University of South Australia ont analysé 40 études sur le sujet portant sur près de 9 000 psychothérapeutes.

Un peu plus de la moitié des psychothérapeutes interrogés rapportaient un burnout modéré à élevé.

Un modèle classique en psychologie considère le burnout comme étant constitué de trois composantes : la fatigue physique et émotionnelle, la dépersonnalisation et un sentiment réduit d’accomplissement personnel. L’épuisement physique et émotionnel était la composante la plus fréquente chez les psychothérapeutes.

Un certain nombre de facteurs étaient en corrélation avec l’épuisement professionnel (sans que la causalité soit établie).

Les taux d’épuisement professionnel étaient plus élevés chez les psychologues qui avaient moins d’expérience et chez ceux qui avaient moins confiance en leurs capacités professionnelles.

Plusieurs études ont montré que le manque de soutien social en milieu de travail ou à l’extérieur était associé à l’épuisement professionnel.

L’analyse a mis en évidence un certain nombre de stratégies et de comportements de protection, dont le maintien de limites personnelles afin de maintenir une certaine séparation émotionnelle des problèmes des clients.

Comme dans les recherches précédentes, le perfectionnisme était lié à l’épuisement professionnel.

Certains traits de personnalité (appartenant au modèle des 5 grands traits de personnalité ou « Big Five ») étaient aussi liés à un risque plus élevé de burnout. C’était le cas du névrotisme (probablement en raison d’une sensibilité accrue aux événements négatifs). Les psychothérapeutes moins agréables (aimables…) et moins extravertis avaient aussi tendance à rapporter plus d’épuisement professionnel. (TEST : Quels sont vos grands traits de personnalité ?)

Parmi les suggestions pour diminuer les taux de burnout, les auteurs suggèrent l’importance de la mise en place de limites et de support.

Les superviseurs devraient tenir compte du fait que les thérapeutes qui ont confiance en leurs capacités sont susceptibles d’éviter la surcharge émotionnelle, et donc s’assurer que leurs succès soient reconnus et que leurs difficultés soient mises en contexte.

« Par ailleurs, l’influence probable des facteurs de personnalité souligne la nécessité pour les gens d’être globalement adaptés aux défis particuliers d’un poste. Un thérapeute (…) doit être à la fois techniquement qualifié et avoir un tempérament adapté, faute de quoi il peut en payer le prix au fil du temps », soulignent les auteurs.

Pour plus d’informations sur le burnout, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : The British Psychological Society, Journal of Clinical Psychology.
Tous droits réservés.

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Le manque de latitude décisionnelle, un facteur de burnout chez les femmes

Les causes du syndrome d’épuisement professionnel sont différentes pour les hommes et les femmes, selon des chercheurs en relations industrielles et en sociologie de l’Université de Montréal dont les travaux sont publiés dans la revue Annals of Work Exposures and Health (AWEH).

Les hommes et les femmes sont soumis à des conditions de travail différentes, souligne Nancy Beauregard, professeure à l’École de relations industrielles et chercheure à l’Observatoire sur la santé et le mieux-être au travail.

La chercheure et ses collègues (1) ont analysé les données de l’étude SALVEO, l’une des plus grandes recherches réalisées au Canada sur la santé mentale en milieu de travail de 2009 à 2012. Les 2026 travailleurs sélectionnés, employés dans 63 milieux de travail québécois, ont été recrutés par l’intermédiaire d’une compagnie d’assurance canadienne qui offre des régimes d’assurance collective dans plusieurs secteurs de l’économie.

L’état d’épuisement professionnel a été évalué par un questionnaire portant sur l’épuisement émotionnel, le cynisme et l’efficacité professionnelle. (Le burnout : 3 composantes, 6 facteurs)

Des conditions plus fréquentes chez les femmes

« Plusieurs femmes ont un emploi dans lequel elles ont peu de latitude décisionnelle, c’est-à-dire que leur travail ne leur procure qu’un faible niveau d’autorité et de prise de décision et il fait peu appel à leurs compétences. Ce type de travail, qu’occupent moins les hommes, conduit ces femmes à l’épuisement professionnel ».

Une estime de soi plus faible et des conflits travail-famille plus nombreux, comme le temps de travail qui empiète sur le temps passé avec leur famille ou qui prive de l’énergie dont elles ont besoin pour accomplir d’autres activités hors du travail, « sont des facteurs qui sont beaucoup plus présents chez les femmes que chez les hommes et qui mènent plus souvent les premières à l’épuisement professionnel, indique le communiqué des chercheurs ».

Le nombre d’heures hebdomadaires consacrées aux tâches dites domestiques (p. ex. faire la vaisselle ou les courses) constituerait un facteur de protection pour les femmes contre l’épuisement professionnel. « C’est l’une des conclusions de l’étude qui nous a le plus étonnés ! dit Mme Beauregard. Nous avons réalisé que plusieurs femmes utilisent les tâches domestiques comme stratégie de retrait face aux demandes du travail leur permettant de “ventiler”. À court terme, cela peut les protéger de l’épuisement professionnel. Cependant, à long terme, cela peut devenir un piège, car elles manquent ainsi des occasions d’avancement et restent confinées dans des postes à faible latitude décisionnelle. » (Plafond de verre : les femmes acceptent trop de tâches qui n’avancent pas leur carrière)

Des conditions plus fréquentes chez les hommes

« Les facteurs menant les hommes au syndrome d’épuisement professionnel sont plus complexes et liés à l’organisation du temps : plus d’heures travaillées ou des horaires atypiques plus fréquents provoquent davantage de conflits travail-famille, ce qui a une incidence sur leur santé mentale. »

Des points communs

« Mais certains facteurs ont le même effet sur le taux d’épuisement professionnel, peu importe le genre. Trop de demandes psychologiques, l’insécurité en emploi, le sont tous des facteurs qui conduisent autant les hommes que les femmes au syndrome d’épuisement professionnel. » (Quatre formes de la reconnaissance au travail)

« On peut raisonnablement émettre l’hypothèse que, en présence de conditions de travail qui sont les mêmes, les hommes et les femmes connaîtraient un taux d’épuisement semblable », avance la chercheure.

Agir sur les facteurs de burnout

« Les femmes sont épuisées de ne pas avoir de latitude décisionnelle au travail ? Pour diminuer l’absentéisme, pourquoi ne pas repenser l’organisation du travail et offrir à celles-ci des défis qui leur permettront de mettre leurs compétences à profit ? “C’est ce type de solutions qui sortent des sentiers battus qui seront plus susceptibles de briser le cercle vicieux de l’épuisement”, estime la chercheure. »

« Bien que les sujets de l’étude fassent partie de professions et secteurs d’activité diversifiés, nous ne sommes pas en mesure de généraliser les résultats à l’ensemble de la population québécoise. C’est néanmoins un excellent départ pour comprendre l’influence du genre dans l’épuisement professionnel et trouver des solutions plus adaptées », souligne-t-elle.

Pour plus d’informations sur le burnout et la psychologie du travail, voyez les liens plus bas.

Voyez également :

(1) Alain Marchand, Jaunathan Bilodeau, Pierre Durand, Andrée Demers, Victor Y Haines.

Psychomédia avec sources : Université de Montréal, AWEH.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Burn-out : former les médecins pour accompagner les patients

Burn-out : former les médecins pour accompagner les patients

25/05/2017

Le syndrome d’épuisement professionnel, appelé plus communément burn-out, touche de plus en plus de salariés. C’est pourquoi la Haute autorité de santé (HAS) a décidé de mieux former les médecins à accompagner les patients.

Le syndrôme d’épuisement professionnel fait l’objet d’une fiche mémo de l’HAS

L’an passé, l’Académie de la Médecine a souligné que la problématique du syndrome d’épuisement professionnel ne devrait pas être gérée uniquement par le ministère du Travail. En réaction, l’ancienne ministre de la santé, Marisol Tourraine, avait saisi l’HAS. Le 22 mai 2017, l’HAS a donc publiée une fiche mémo contenant des recommandations relatives aux burn-out.

Le burn-out est un épuisement physique, mental et émotionnel causé par un investissement prolongé dans une situation de travail difficile à supporter. En cause, la nature même du travail permettant de qualifier une pénibilité de l’emploi ou des conditions de travail ardues. Ainsi, les soignants sont les travailleurs les plus facilement touchés par le burn-out. 

Le syndrôme d’épuisement professionnel n’est pas reconnu comme une maladie mentale 

Si le burn-out n’est pas encore officiellement reconnu comme une maladie mentale, il provoque des symptômes qui en sont proches. Le travailleur atteint d’un burn-out manque d’énergie, développe des problèmes de concentration et se révèle facilement irritable. Pour l’HAS, il est primordial d’accompagner le retour au travail des victimes du burn-out. Des rendez-vous avec le médecin du travail sont possibles à l’initiative du patient.

Parmi les causes de la multiplication du syndrome d’épuisement professionnel, le rapport de la mission d’information, présenté par la commission des affaires sociales à l’Assemblée Nationale, dénonçait l’inquiétante dégradation des conditions du travail : « La démarche de compression des coûts de production devient une course sans fin, et la compétitivité le maître mot de toutes les politiques économiques, aux dépens des éléments constitutifs du travail. » Un reproche pourrait donc être porté à la fiche mémo de l’AS : elle se concentre sur les causes externes (prises en charge médicales) du burn-out, sans vraiment en aborder les cause internes, afin d’en prévenir déclenchement. 

Marie-Hélène Hérouart

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Burn-out : non, les vacances ne sont pas la solution

Le vendredi 19 août 2016.

Les vacances ne sont pas la solution au burn-out, qui est l’expression non pas d’une grande fatigue, mais d’une détresse mentale et morale. 

Les vacances décalent le problème du burn-out

Ce sont des chercheurs allemands et suisses qui affirment cela dans une revue de référence, Frontiers in Psychology, dans une étude publiée cet été. Si les vacances apportent une solution aux problèmes de fatigue physique ou nerveuse provoquées par un surmenage, le burn-out est d’une autre nature. 

Le burn-out professionnel est en effet l’inadéquation entre ses désirs, ses attentes, et le travail et les conditions dans lesquels il est effectué. Le stress induit par ce hiatus disparaît pendant les vacances (pour peu que l’on puisse se déconnecter de son travail), mais reprend sitôt rentré. Et le malade (qui s’ignore parfois) de souffrir de maux de tête, de ventre, musculo-squelettiques, le matin de la reprise… 

Burn-out : les vacances peuvent faciliter la prise de conscience

Les vacances n’apportent donc qu’un temps de repos au cerveau de la personne en situation de burn-out, un répit, mais pas une solution. Cependant, pendant ces jours de « break », l’esprit, soulagé du stress, peut reprendre le dessus, et aider la victime à reprendre le dessus, et oser prendre les décisions qu’elle n’aurait pas prises autrement… 

Pour en savoir plus : TOC, burn-out, dépression… Le point sur les maladies mentales

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Un complément alimentaire pour lutter contre le burn-out

C’est le mal des salariés. L’épuisement professionnel devrait toucher un travailleur sur quatre durant sa carrière.

Mais une équipe de chercheurs bordelais vient peut-être de trouver une solution. Elle vient de mettre au point

un complément alimentaire qui lutterait efficacement contre ce syndrome.

Le médicament contient de l’eleuthérocoque, une plante qui aide à s’adapter au stress, et trois autres ingrédients naturels : « De la taurine, une protéine de lait et un extrait de melon, ce sont des actifs naturels qui ont démontré depuis bien longtemps leur activité sur le stress, sur la fatigue », précise un pharmacien.

À l’université de Bordeaux, c’est le pharmacologue Alain Jacquet qui a mené l’essai clinique. « Sur le moral, il y a eu un effet visible au bout de quatre à six semaines, plus un effet sur le bien-être, sur le sommeil, sur l’appétit », note cet expert.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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Burn-out : et si vous partiez en cure avant de craquer?

Stress, fatigue, démotivation.. Syndrome d’épuisement professionnel, le burn-out est de plus en plus fréquent. Aujourd’hui, pour affronter ce surmenage intense, on peut se tourner vers des cures thermales et de thalassothérapie spécialement dédiées.

Anti-douleurs et anti-stress à Saujon

« Le burn-out, trouble anxieux lié au surmenage et au stress, se caractérise par un état d’hypersensibilité à la douleur et par un cortège de symptômes, grande fatigue, troubles du sommeil, douleurs musculaires… que les soins thermaux sédatifs, bains bouillonnants, douches, massages », apaisent précise Olivier Dubois, psychiatre, directeur des Thermes de Saujon (Charente-maritime) dédiés à la prise en charge des affections psychosomatiques. Ils sont alternés avec un programme d’accompagnement « Prévenir le burn-out professionnel », dispensé en sus de la cure conventionnée.

Après un bilan personnalisé pour détecter les causes du stress au travail, le curiste se voit proposer six ateliers spécifiques de groupe. Objectif : favoriser l’échange et l’écoute en faisant appel à des thérapies cognitives et comportementales. « Ils permettent d’acquérir progressivement des techniques de gestion du stress facilement réexploitables dans la vie quotidienne », explique la psychologue Anne Vincent, animatrice du programme.

Associés à des séances de relaxation, (méthode de respiration abdominale, de visualisation et de pleine conscience…), ils incitent les curistes à retrouver une meilleure estime de soi et à prendre de l’assurance dans les situations professionnelles déstabilisantes. La base du séjour « Burn-out » est la cure conventionnée « Affections psychosomatiques » de 21 jours avec soins adaptés + un programme « Prévenir le burn-out professionnel » (250 €). Tél. : 05 46 23 50 15. www.thermes.net

Activité physique et rééquilibrage alimentaire à Boulou

Aux Thermes du Boulou (66), les eaux ont des vertus reconnues pour soulager les affections digestives. « Nous avons constaté qu’un grand nombre de curistes en surpoids souffraient de troubles digestifs ou de troubles du comportement alimentaire associés au stress au travail, explique Patricia Vilar, sophrologue. (…) Lire la suite sur Topsanté

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Burn-out : êtes-vous à risque ?

10 clés pour repérer et prévenir le syndrome d’épuisement professionnel.

Le terme est utilisé à toutes les sauces, mais le risque est bien réel : plus de trois millions de Français exerçant une activité professionnelle seraient exposés au burn-out. De l’anglais « brûler de l’intérieur, se consumer littéralement », ce phénomène survient brutalement et ses victimes n’ont souvent rien vu venir. Pourtant, avant que le corps ne s’effondre, il aura fallu parfois plusieurs années d’insidieuse érosion intérieure. Les signes précurseurs existent et les situations favorisant le burn-out sont aujourd’hui bien identifiées. Les repérer et les connaître permet d’éviter des conséquences graves comme l’AVC, l’infarctus ou de lourdes dépressions. Et vous, êtes-vous à risque ? La réponse en dix points-clés avec la contribution de Jean-Claude Delgenes, directeur général du cabinet Technologia, spécialisé dans la prévention des risques psychosociaux.

1. Vous exercez un métier à risque

Le burn-out a d’abord été observé chez les professionnels de santé comme les infirmières, les urgentistes, les vétérinaires, les dentistes et les médecins. 50 % de ces derniers seraient d’ailleurs aujourd’hui exposés. D’autres métiers comme celui d’enseignant, requérant une forte empathie avec les autres associée à d’importantes charges émotionnelles, ont aussi été identifiés. Mais aujourd’hui le phénomène a envahi toutes les strates de la société : les cadres – un sur cinq est en épuisement émotionnel marqué -, mais aussi les agriculteurs, les artisans, commerçants et chefs d’entreprise, ou encore les ouvriers et employés « de contact ».

2. Vous êtes constamment fatigué

Si la fatigue ne cède plus devant le sommeil, si même les vacances n’arrivent plus à vous régénérer ou que dès le retour au travail, le stress et les tensions reviennent, il faut consulter rapidement.

3. Vous travaillez trop

À force d’utiliser (…)

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