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La colère et l’exercice intense multiplient le risque de crise cardiaque

La colère et l’effort physique intense peuvent déclencher une crise cardiaque (infarctus), selon une étude publiée dans la revue Circulation.

Andrew Smyth de l’Université McMaster (Ontario, Canada) et ses collègues ont analysé des données concernant 12 461 personnes (âgées en moyenne de 58 ans) participant à une étude internationale menée dans 52 pays auprès de personnes venant de subir une première crise cardiaque.

La colère ou le bouleversement émotionnel doublait le risque d’apparition des symptômes de crise cardiaque dans l’heure suivante. Il en était de même pour l’effort physique intense.

Mais le risque était triplé chez les participants qui rapportaient s’être engagés dans une activité physique intense en même temps qu’ils étaient en colère ou bouleversés.

Les déclencheurs émotionnels et physiques extrêmes ont des effets similaires sur le corps, explique le chercheur. « Les deux peuvent augmenter la pression artérielle et la fréquence cardiaque, changeant ainsi le débit sanguin dans les vaisseaux sanguins et réduisant l’approvisionnement en sang vers le cœur » dit-il. Ceci est particulièrement important lorsque les vaisseaux sont déjà rétrécis par la présence de plaque.

Les chercheurs recommandent aux gens qui veulent se défouler en faisant de l’exercice lorsqu’ils sont en colère ou contrariés de ne pas aller au-delà de leur routine normale dans l’intensité de leur activité.

Psychomédia avec source : American Heart Association.
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Risque cardiaque : l’importance du sport après 65 ans

Le 29 août 2016.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université de Oulu, en Finlande, faire du sport, même de manière modérée, après 65 ans, réduirait de moitié le risque de décès de cause cardiovasculaire.

Une activité physique même modérée

Des chercheurs finlandais ont cherché à trouver quel lien il existait entre l’activité physique, les maladies cardiaques et les décès des personnes âgées. Pour cela, ils ont suivi près de 2 500 personnes âgées de 65 à 74 ans, de 2001 à fin 2013. Pendant ces 12 années, les personnes participantes à l’expérimentation devaient décrire leur activité physique et leurs habitudes de vie.

Sur ces 2 500 personnes, 197 personnes sont décédées à la suite de troubles ou d’accidents cardiovasculaires et 416 ont été victimes d’un événement cardiaque plus ou moins grave. Ce que les chercheurs ont en revanche pu constater, c’est que l’activité physique modérée réduisait le risque d’accident cardiovasculaire de plus de 30 %. Plus l’activité physique était importante, plus le risque était réduit.

Une réduction du risque de décès de cause cardiovasculaire

Par ailleurs, la pratique d’une activité physique de loisirs modérée et élevée était associée à une réduction du risque de décès de cause cardiovasculaire, respectivement de 54 % et 66 %.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes âgées de 65 ans ou plus devraient pratiquer au moins 150 minutes d’activité d’endurance d’intensité modérée ou au moins 75 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue, par semaine. L’activité d’endurance devrait être pratiquée par périodes d’au moins 10 minutes.

Si nous savons combien est nécessaire une activité physique régulière, nous ne pensons pas toujours que cette activité ne doit pas se réduire avec l’âge. La sédentarité fait beaucoup de dégâts, notamment chez les personnes âgées.

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Ibuprofène : attention aux risques d'insuffisance cardiaque !

Le 13 juillet 2016.

Dans un rapport, le Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) de l’Agence européenne du médicament (EMA) rappelle qu’à fortes doses, l’ibuprofène peut augmenter le risque de faire un infarctus ou un accident vasculaire cérébral (AVC).

Des dangers avérés pour le cœur

Ce n’est pas la première fois que l’ibuprofène est dans la ligne de mire des autorités sanitaires. Selon le Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l’Agence européenne du médicament, les patients qui prennent des doses d’ibuprofène supérieures à 2400 mg par jour augmentent le risque de développer des maladies cardiovasculaires.

Utilisé pour soulager les symptômes du rhume ou de la migraine, l’ibuprofène doit être pris avec modération : les doses prescrites chez l’adulte ne doivent pas dépasser les 200 à 400 mg trois fois par jour. Au-delà, le patient prend le risque de déclencher une insuffisance cardiaque, en entraînant une rétention de sodium et en rendant moins efficaces les traitements diurétiques utilisés en cas d’hypertension artérielle.

Ne pas prendre de l’ibuprofène comme du paracétamol

Selon le Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance, les médecins devraient évaluer « soigneusement » le risque cardiovasculaire d’un patient avant de lui prescrire de l’ibuprofène, notamment pour les traitements de longue durée avec des doses importantes. En France, l’ibuprofène est commercialisé sous divers noms, comme Advil ou Nurofen. En cas de mal de tête ou de migraine, il est donc conseillé de privilégier le paracétamol.

Il est toutefois important de noter que ces recommandations ne concernent que les prises d’ibuprofène par voie orale. Les gels et les crèmes qui en contiennent ne sont pas concernés. Par ailleurs, pris à petite dose et de façon ponctuelle, l’ibuprofène ne présente pas de danger.

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Insuffisance cardiaque : un traitement qui mise sur le système lymphatique

Lorsque le cœur n’est plus capable d’assurer un apport sanguin suffisant aux besoins du corps, on parle d’insuffisance cardiaque. Celle-ci concerne plus d’un million de personnes en France. Les symptômes sont notamment une fatigue, un essoufflement et des œdèmes. L’insuffisance cardiaque peut avoir plusieurs causes dont l’infarctus du myocarde.

Des chercheurs de l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ont montré que le réseau lymphatique du cœur est fortement altéré après un infarctus du myocarde.

À l’aide d’une biothérapie basée sur l’injection de microcapsules biodégradables contenant des facteurs de croissance, ils sont parvenus à régénérer des vaisseaux lymphatiques de manière ciblée.

Ce traitement favorise le drainage lymphatique et limite ainsi l’œdème et l’inflammation post-infarctus. Le fonctionnement du cœur est ainsi amélioré. Ces résultats sont publiés dans la revue Circulation.

Alors que le réseau sanguin participe à l’alimentation des organes en sang et leur assure un apport en oxygène et en nutriments, le réseau lymphatique transporte des fluides ainsi que des cellules immunitaires et draine des déchets cellulaires. Le réseau lymphatique du cœur est particulièrement développé.

Après un infarctus du myocarde, le réseau lymphatique du cœur subit de fortes modifications. Dans cette étude, les chercheurs de l’Inserm à Rouen montrent qu’une altération de son fonctionnement conduit à la formation d’un œdème et d’une inflammation cardiaque chronique. Pour résorber l’œdème, ils ont eu l’idée de stimuler la création de nouveaux vaisseaux lymphatiques du cœur de manière ciblée.

Ils ont utilisé des microcapsules biodégradables, contenant des facteurs de croissance spécifique des lymphatiques (VEGF-C), précédemment mises au point lors de travaux sur la création de vaisseaux sanguins.

Le traitement a accéléré la formation de vaisseaux lymphatiques post infarctus et amélioré le drainage lymphatique du cœur en 3 semaines, ce qui a comme effet direct une diminution de l’œdème, de l’inflammation et de la fibrose cardiaques, explique Ebba Brakenhielm, coauteure.

Ces travaux montrent l’implication importante de ce réseau dans les maladies cardiovasculaires. Les recherches sur ces vaisseaux lymphatiques ne se sont développées que depuis 10 ans à peine et leur rôle dans la physiopathologique est souvent ignoré, souligne Vincent Richard, directeur du laboratoire Inserm à Rouen.

La lymphangiogénese (processus de formation de vaisseaux lymphatiques) « représente ainsi une nouvelle approche thérapeutique non négligeable à explorer dans le cas de l’insuffisance cardiaque et de l’infarctus du myocarde », concluent les chercheurs.

Psychomédia avec source : Inserm.
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Ruby Graupera-Cassimiro reprend vie après 45 minutes d’arrêt cardiaque !

Ruby Graupera-Cassimiro, une femme âgée de 40 ans s’est réveillée après trois quarts d’heure d’arrêt cardiaque alors que les médecins s’apprêtaient à la déclarer morte auprès de la famille. Un miracle médical que la science ne parvient pas à expliquer. Ruby, cependant, s’appuie sur sa foi pour remercier Dieu pour sa survie et explique : « je ne sais pourquoi il m’a été donné une telle opportunité, mais je suis reconnaissante pour cela. Dieu a placé chaque personne à la bonne place au bon moment ».

Retour sur les évènements : Ruby Graupera-Cassimiro est accueilli le 23 septembre à l’hôpital de Boca Raton en Floride pour donner naissance à son deuxième enfant. Alors qu’elle subit une césarienne, des complications surviennent et entraînent l’arrêt de son coeur. Les médecins se battront pendant près de trois heures pour essayer de remédier à ces complications jusqu’à l’arrêt cardiaque. Du liquide amniotique est en effet passé dans le sang. Malgré tout leurs efforts, le coeur de Ruby finit par cesser de battre. 45 minutes plus tard, alors que les médecins font un massage cardiaque sans qu’aucune pulsation ne soit enregistré, alors que les médecins avaient réuni la famille pour déclarer le décès de la patiente, elle s’est subitement réveillée, sans aucune séquelle au niveau cérébral.

Les médecins, face à ce miracle, parlent de « providence divine » et ne parviennent à donner aucune autre explication pour le retour de Graupera-Cassimiro à la santé. Le porte-parole de l’hôpital Chakurda va jusqu’à parler de « résurrection » alors même que la jeune-mère allait être déclaré cliniquement morte à la famille.

Ruby en bonne santé qui est aujourd’hui entourée de ses deux enfants et de sa famille à la maison, avait déclaré en revenant de son arrêt cardiaque : « Je me souviens avoir senti comme une force intérieure me disant que ce n’était pas mon heure, que je ne devais pas mourir ».

Ménopause : le sport, efficace pour réduire le risque d’arythmie cardiaque ?

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Selon une nouvelle étude américaine, la pratique du sport après la ménopause permettrait de réduire le risque de fibrillation atriale, une forme d’arythmie cardiaque. Telles sont en tout les cas les conclusions d’une recherche menée par l’inherited Arrhythmia Clinic à l’université de Standford en Californie.

Eviter la prise de poids, entretenir son capital osseux et même ses capacités cognitives font partie des vertus de la pratique sportive chez les plus de 50 ans que la science a découvert au fil des années. Une nouvelle étude ajoute à ce bilan déjà largement positif un nouveau bénéfice des exercices physiques pour les femmes après la ménopause, il s’agit de la réduction du risque d’arythmie cardiaque, et donc la possibilité d’entretenir son coeur.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont observé pendant 15 ans l’activité physique de 81 000 femmes post-ménopausées qui étaient âgées entre 50 et 79 ans. Certaines d’entre-elles étaient obèses.

Les résultats ont permis de montrer que le risque d’arythmie baissait de 10 % pour les femmes qui pratiquaient 30 minutes de marche rapide six jours par semaine. Le même constat a pu être fait pour les femmes qui faisaient du vélo deux fois par semaine à un rythme tranquille pendant une heure.

Même pour celles qui ne marchaient que l’équivalent de 30 minutes de marche rapide deux fois par semaine, le bénéfice de cette pratique par rapport à celle que ne le pratiquait pas était encore présent (- 6 % de risque d’arythmie).

Selon le directeur de l’étude, le risque de fibrillation atriale, un type d’arythmie cardiaque décroissait parallèlement à la hausse d’activité physique, et ceci même en cas d’obésité.

Les auteurs de l’étude indiquent cependant que le sport, s’il est bénéfique pour le coeur, ne peut pas faire descendre le risque d’arythmie en dessous de 10 %. On ne peut donc conclure de façon absolue que faire du sport après la ménopause protège totalement la santé cardiaque, mais y contribue largement.

Après la ménopause, le sport utile pour réduire l'arythmie cardiaque

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La dépression augmente le risque de crise cardiaque de 40%

La dépression peut vraiment vous briser le cœur. Dans une étude portant sur 63.000 personnes en Norvège, des chercheurs ont montré que ceux qui traversaient une légère dépression voyaient leur risque de subir une crise cardiaque augmenter de 5% par rapport à ceux qui ne présentaient aucun symptôme.

Mais ce chiffre bondit à 40% chez ceux atteint de dépression modérée ou grave. Lise Tuset Gustad, co-auteure de l’étude qui a été présentée à la conférence EuroHeartCare en Norvège, a résumé ainsi ses conclusions:

«Plus vous êtes déprimé, plus vous êtes à risque».

De nombreuses informations sur les sujets comme leur consommation de tabac, leur indice de masse corporelle, leur activité physique ou leur tension artérielle ont été analysées. Les chercheurs ont évalué la dépression en utilisant l’échelle de dépression HAD, une série de questions utilisées pour déterminer le niveau de dépression et d’anxiété.

«Les symptômes dépressifs augmentent le risque de développer une insuffisance cardiaque et plus les symptômes sont graves, plus le risque est élevé, a souligné Gustad. Les gens déprimés ont des styles de vie moins sains, nous avons donc ajusté notre analyse avec des facteurs comme l’obésité et la consommation de tabac qui peuvent entraîner à la fois des dépressions et des crises cardiaques.»

Les chercheurs pensent qu’un des facteurs qui pourrait aider à expliquer le lien est le stress. «La dépression déclenche les hormones du stress, a expliqué Gustad. Ces hormones du stress entraînent à leur tour des inflammations et de l’athérosclérose, qui peuvent accélérer les maladies du cœur.» De plus, les personnes déprimées ont plus de mal à suivre les conseils qui pourraient contribuer à rendre leur style de vie plus sain.

En 2010, une étude menée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) avait montré que pour la première fois que les personnes associant des symptômes dépressifs et une pathologie cardiaque ont un risque de décès par maladie cardiovasculaire presque quatre fois supérieur aux patients ne présentant aucune de ces pathologies.

Dick Cheney a craint que son stimulateur cardiaque puisse être hacké. Oui, comme dans Homeland

[Attention, ce post contient un spoiler de la deuxième saison de la série américain Homeland.]

Une célèbre scène de la série Homeland serait donc réaliste. C’est en tout cas ce que pense l’ancien vice-Président américain Dick Cheney. «J’ai trouvé ça crédible», a-t-il dit, à propos d’une séquence de la saison 2 de la série de la chaîne Showtime qui montre une action terroriste consistant à hacker le stimulateur cardiaque du vice-président américain pour tenter de l’assassiner.  «C’est une représentation exacte de ce qui est possible.»

Parano, Dick? Peut-être. Mais dans un entretien accordé à l’émission 60 Minutes au sujet de la bataille de l’ancien VP avec son cœur, c’est le cardiologue de Cheney lui-même, Jonathan Reiner, qui a tiré le signal d’alarme et fait désactiver les fonctions sans fil du défibrillateur. Avant la diffusion de la série, donc… «Il m’a semblé que ce n’était pas une bonne idée que le vice-Président des Etats-Unis soit équipé d’un appareil que quelqu’un, dans une chambre d’hôtel mitoyenne, ou depuis les escaliers, puisse pénétrer, hacker. (…) J’étais inquiet que quelqu’un puisse vous tuer», dit Reiner.

Dans la série Homeland, dont la troisième saison est actuellement en cours de diffusion aux Etats-Unis -en France, c’est Canal+ qui possède ses droits-, le vice-Président américain, est comme Dick Cheney, un faucon.

Dans la vraie vie, Cheney, vice-président de George W Bush de 2000 à 2008, a été victime de cinq attaques cardiaques dont une quelques semaines avant son entrée en fonction et a subi un quadruple pontage coronarien (comme Bill Clinton).


A votre santé! – Slate.fr

Dysfonction érectile : des testicules très développés augmentent le risque cardiaque

Avoir des testicules très développés augmenterait les risques cardiaques, selon une étude menée par des chercheurs italiens de l’Université de Florence sur 2800 hommes atteints de dysfonction érectile.

Il est connu que la taille des testicules peut prédire la capacité reproductive. Les scientifiques de l’Université de Florence ont mesuré la taille des testicules de plus de 2800 Italiens souffrant de troubles sexuels afin de mesurer la corrélation clinique entre cette capacité et son impact sur le risque d’événements cardiovasculaires.

Selon les résultats publiés dans le Journal of Sexual Medicine, la taille des testicules peut être révélatrice de l’état de santé général d’un individu et de sa prédisposition aux maladies cardiaques.

L’hormone lutéinisante (LH) et l’hormone folliculo-stimulante (FSH) sont responsables des niveaux d’hormones sexuelles. Les hommes ayant des problèmes de santé ont des taux de testostérone les plus bas compensés par une une forte sécrétion d’hormones hypophysaires, ce qui pourrait conduire à une augmentation de la taille des testicules.

Viande rouge : la L-carnitine augmente le risque cardiaque

Un composé de la viande rouge, qui vient d’être découvert par une équipe de chercheurs, la L-carnitine pourrait être impliquée dans l’augmentation du risque cardiovasculaire. La L-carnitine abondante dans la viande rouge conduit, en effet, une fois métabolisée par la flore intestinale des omnivores à la formation du TMAO. Ce composé qui se retrouve dans la circulation sanguine joue un rôle d’accélérateur de l’athérosclérose.

Pour parvenir à ces résultats, le Dr Stanley Hazen de la Cleveland Clinic aux Etats-Unis et son équipe ont réalisé une étude chez l’homme et la souris. Ils ont ainsi constaté que la L-carnitine, présente en abondance dans la viande rouge, est métabolisée en TMA par la flore intestinale et conduit à la libératiuon du composé proathérogène TMAO qui accélère l’athérosclérose chez la souris.

En comparant les résultats de la consommation exceptionelle de viande rouge chez les végétariens et les végétaliens (une seule portion de viande) par rapport à la consommation de viande par des omnivores, les scientifiques ont constaté que la transformation de L-carnitive en TMAO n’était présente que pour les personnes mangeant habituellement de la viande et pas pour les autres.

Pour expliquer cette différence, les chercheurs invoquent le fait que l’environnement (le microbiote) intestinal est différents chez les mangeurs et les non-mangeurs de viande rouge. Lorsque ce microbiote intestinal est détruit par la consommation d’antibiotiques pour les omnivores, la L-carnitine n’est plus métabolisée en TMAO.

La L-carnitine abondante dans la viande rouge conduit, en effet, une fois métabolisée par la flore intestinale des omnivores à la formation du TMAO.

La L-carnitine abondante dans la viande rouge conduit, en effet, une fois métabolisée par la flore intestinale des omnivores à la formation du TMAO.

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