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C’est prouvé : avoir un chien est bon pour la santé

C’est prouvé : avoir un chien est bon pour la santé

Le 25 décembre 2017.

Avoir un chien est bon pour la santé. Des études le prouvent, et la dernière en date ne fait que confirmer cette vérité scientifique.

Avoir un chien augmenterait l’espérance de vie

Les propriétaires de chien vivraient-ils plus longtemps que les autres ? De nombreuses études se sont déjà intéressées à cette question mais, pour la première fois, une enquête de très grande ampleur tend à prouver, une bonne fois pour toutes, le bénéfice de la compagnie des canidés sur les humains.

C’est en Suède que s’est déroulée cette étude. L’usage, dans ce pays, veut que chaque personne possédant un animal soit inscrite comme telle lorsqu’elle se fait hospitaliser. Pour mener à bien leur étude, les auteurs, chercheurs à l’université d’Uppsala, ont recoupé ces informations et ces données médicales pour les comparer à l’ensemble de la population ne possédant pas de chiens.

Posséder un chien influerait sur le microbiote intestinal

Conclusion au terme de cette analyse : les propriétaires de chien seraient en effet en meilleure santé, et notamment ceux qui sont seuls. « Les propriétaires vivant seuls avec leur chient ont 33 % de risque en moins de décéder prématurément, ainsi qu’un risque plus faible de 11 % de faire un infarctus du myocarde, par rapport aux autres personnes vivant seules, mais sans chien », peut-on lire dans la revue Nature Scientific Reports.

La comparaison des auteurs ne s’arrête pas là, et ces derniers ont même enregistré des statistiques en fonction de la race des chiens. Il s’est avéré que les Suédois qui possédaient des chiens d’arrêt avaient 10 % de risque en moins de développer une maladie cardiovasculaire. Si ces chiffres restent encore mystérieux pour les auteurs de cette étude, la communauté scientifique s’accorde pour affirmer que les chiens sont bons pour la santé, ces derniers sont souvent source d’activité physique, ils agiraient également sur le microbiote intestinal et, selon une récente étude, permettraient par ailleurs aux enfants d’avoir une meilleure confiance en eux.

Gaëlle Latour

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Une fois mariés, les hommes prennent du poids, c’est prouvé !

Une fois mariés, les hommes prennent du poids, c’est prouvé !

Le 5 juillet 2017.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs britanniques, les hommes prennent plus de poids quand ils sont mariés que lorsqu’ils sont juste en couple ou célibataires. Explications.

Les hommes prennent du poids une fois mariés

De nombreuses femmes ont constaté que leur conjoint, une fois marié, prenait du poids. Ce constat vient d’être mis en lumière par une étude britannique publiée dans la revue Social Science and Medecine. Selon ces travaux, les hommes auraient en effet tendance à prendre davantage de poids quand ils sont mariés que lorsqu’ils sont en couple ou célibataires. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont suivi plus de 8 700 hommes.

Dans ce panel, on comptait 90 % d’hommes mariés, avec parmi eux 30 % d’hommes vivant avec des enfants âgés de moins de 19 ans, 24 % de jeunes mariés, 39 % d’hommes qui venaient d’avoir un enfant et 12 % de divorcés. En s’intéressant aux variations de l’Indice de masse corporelle (le ratio du poids par la taille au carré) des participants, les chercheurs sont parvenus à la conclusion suivante : les hommes mariés ont un IMC significativement plus élevé que celui des hommes qui n’ont pas dit « oui » devant Monsieur le Maire.

Les papas en surpoids ?

Autre événement qui entraîne la prise de poids des hommes : l’arrivée des enfants. Les hommes ne prennent pas de poids pendant la grossesse de leur femme mais au cours des trois années qui suivent la naissance. Le manque de sommeil et la réduction de l’activité physique seraient-ils responsables ? L’étude ne le dit pas. En revanche, on apprend que les événements douloureux, comme les divorces, entraînent des pertes de poids chez les hommes.

Toujours selon ces travaux, les hommes ayant un enfant de moins de 19 ans auraient un IMC supérieur à celui d’hommes sans enfant ou ayant des enfants d’âge adulte. En 2015, une étude menée par des chercheurs de l’université de Bâle, en Suisse, avait montré que les hommes mariés pesaient 2 kilogrammes de plus que les hommes célibataires. Il va falloir à présent trouver des explications à ce constat pour le moins alarmant.  

À lire aussi : Eau gazeuse : attention à la prise de poids ! 

Marine Rondot

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Bronzer sans soleil et sans UV ? C’est possible !

Bronzer sans soleil et sans UV ? C’est possible !

Le 14 juin 2017.

Des chercheurs américains ont découvert une molécule capable de brunir durablement la peau sans aucune exposition au soleil. Explications.

Stimuler les cellules responsables du bronzage

Avoir une mine bronzée sans avoir à s’exposer au soleil ou à prendre le risque de passer de longues minutes dans une cabine d’UV, c’est possible. Enfin, ce sera bientôt possible. Des chercheurs américains, dirigés par le docteur David Fisher, chef du service de dermatologie à l’hôpital américain Massachusetts General et professeur à la faculté de médecine de Harvard, ont en effet réussi à isoler une molécule capable de stimuler les cellules responsables de la pigmentation de la peau.

On ne parle pas là d’un bronzage superficiel de l’épiderme, comme c’est le cas avec les produits auto-bronzants, mais bien d’un bronzage profond et durable. Il y a 10 ans déjà, les chercheurs avaient réussi à colorer la peau d’une souris rousse grâce à cette molécule qui est produite par une plante appelée coléus de l’Inde. Mais cette substance active nommée forskoline ne parvenait pas à pénétrer dans la peau des humains.

Des premiers tests encourageants

Il a donc fallu des heures et des heures de travail pour parvenir à trouver une molécule plus petite, capable de pénétrer dans les tissus humains et d’agir sur ces cellules qui colorent la peau. Les premiers tests sur les humains ont été encourageants puisqu’ils ont montré que la peau brunissait plus ou moins fortement en fonction des doses appliquées et de la fréquence des applications.

De nouveaux tests devront être réalisés pour savoir si cette crème est toxique pour la peau ou pas. Si aucun danger n’est détecté alors nous pourrons prochainement profiter de ce produit miracle. « L’importance potentielle de cette étude résidera à terme dans une nouvelle stratégie de protection de la peau et de prévention du cancer cutané », a estimé le docteur David Fisher. Le soleil reste en effet le premier facteur de cancer de la peau. 

À lire aussi : Comment préparer la peau au soleil ? 

Marine Rondot

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5 par jour c’est bien, 10 c’est mieux

Alors qu’une consommation de cinq fruits et légumes par jour réduit le risque de plusieurs maladies, 10 par jour apportent un plus grand bénéfice, selon une étude publiée dans l’Journal of Epidemiology.

Dagfinn Aune de l’Imperial College London et ses collègues ont réalisé une méta-analyse de 95 études incluant 2 millions de personnes.

Le plus grand bénéfice était constaté avec 800 g par jour, soit l’équivalent d’environ 10 portions. Une portion est définie comme étant de 80 g, ce qui correspond à peu près à une petite banane, une pomme, une poire ou une grosse mandarine. Trois cuillerées à soupe de légumes cuits comme les épinards, les pois, le brocoli ou le chou-fleur comptent pour une portion.

Comparativement à aucun fruit et légume par jour, une consommation de 200 g était associée à des réductions de risques de :

  • 16 % de maladie cardiaque ;
  • 18 % d’accident vasculaire cérébral ;
  • 13 % de maladie cardiovasculaire ;
  • 4 % de cancer ;
  • 15 % de décès prématuré.

Une consommation de 800 g était associée à des réductions de risque de :

  • 24 % de maladie cardiaque ;
  • 33 % d’accident vasculaire cérébral ;
  • 28 % de maladie cardiovasculaire ;
  • 13 % de cancer ;
  • 31 % de décès prématuré.

Choucroute, tempeh… : un boom d’intérêt pour les aliments fermentés

Pour plus d’informations sur l’alimentation santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Imperial College London.
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Restauration : les sodas à volonté, c’est terminé !

Restauration : les sodas à volonté, c’est terminé !

Le 27 janvier 2017.

Selon un arrêté publié jeudi 26 janvier au Journal Officiel (JO), il est désormais interdit de mettre à disposition du public gratuitement et à volonté des boissons sucrées.

Prévenir les risques d’obésité, de surpoids et de diabète.

Des chaînes de restauration rapide, des centres de vacances ou encore des établissements scolaires, mettaient à disposition des jeunes des fontaines de sodas qui permettaient de se servir à volonté. Un service désormais interdit, conformément aux dispositions de la loi Santé de janvier 2016, qui cherche notamment à prévenir les risques d’obésité, de surpoids et de diabète.

Sont touchés par cette interdiction les « boissons gazeuses et non gazeuses aromatisées, les concentrés comme les sirops de fruits, les boissons à base d’eau, de lait, de céréales, de légumes ou de fruits y compris les boissons pour sportifs ou les boissons énergisantes, les nectars de fruits, les nectars de légumes et produits similaires, dès lors que ces boissons contiennent des sucres ajoutés ou des édulcorants de synthèse », précise l’arrêté.

Boire 1 litre de soda revient à manger 20 morceaux de sucre

Ces fontaines à sodas étaient dans le viseurs des nutritionnistes depuis des années. Ces derniers réclamaient leur suppression pure et simple, car selon eux, elles poussaient les populations les plus défavorisées et par conséquent les plus touchées par l’obésité, à boire trop de boissons sucrées. Quand on sait que boire 1 litre de soda revient à manger 20 morceaux de sucre, on comprend mieux les enjeux.

Dans un rapport, publié mardi 24 janvier, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) invitait justement les consommateurs à limiter la prise de boissons sucrées (sodas, mais aussi nectars et jus de fruits) « à moins d’un verre par jour ». Selon ces travaux, consommer du sucre sous forme liquide aurait tendance à tirer l’ensemble de l’apport énergétique vers le haut.

Marine Rondot

8 bonnes raisons d’abandonner les sodas

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Refuser de donner ses organes, c’est possible !

Refuser de donner ses organes, c’est possible !

Le 25 janvier 2017.

Nous sommes tous des donneurs d’organes potentiels, sans que nous ayons à formuler notre consentement explicitement. Si nous ne voulons pas donner nos organes, voici la démarche à suivre.

Nous sommes tous des donneurs d’organes potentiels

Les Français ne le savent pas toujours mais une fois morts, les médecins pourront choisir de prélever un de leurs organes pour le greffer à quelqu’un qui en aurait besoin. Cette disposition a été facilitée par le décret du 1er janvier 2017 qui précise que « le prélèvement d’organes post-mortem peut être pratiqué sur une personne majeure dès lors qu’elle n’a pas fait connaître, de son vivant, son refus d’un tel prélèvement, principalement par l’inscription sur un registre national automatisé prévu à cet effet ».

L’idée peut en effet être très dérangeante pour certains c’est pourquoi il n’est pas interdit de refuser ce prélèvement. Pour cela, la démarche à suivre est très simple : il vous suffit de vous s’inscrire par Internet sur le registre de refus sur le site registrenationaldesrefus. On vous demandera de joindre une copie de votre pièce d’identité et si vous souhaitez modifier votre choix vous pourrez le faire à tout moment.

Possibilité de choisir les organes que l’on veut garder

Il est aussi possible d’accepter de donner ses reins ou sa cornée mais refuser de donner son cœur. Pour cela, il suffira de le préciser au moment de l’inscription. Vous pourrez aussi refuser d’éventuels prélèvements destinés à la recherche scientifique ou à l’autopsie médicale, par exemple.

Avant le 1er janvier 2017, pour refuser de donner nos organes, nous devions nous inscrire sur le registre des refus en remplissant un formulaire qu’il fallait ensuite envoyer par voie postale. Depuis que l’inscription en ligne a été ouverte, plus de 150 000 personnes se sont inscrites sur le registre de refus. Si vous n’avez pas accès à Internet, vous pouvez toujours inscrire vos volontés sur un document et le confier à une personne de confiance. Votre refus sera respecté.

Marine Rondot

À lire aussi : Pourquoi faut-il parler du don d’organes ?

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Coup de soleil : qu’est-ce que c’est exactement ?

Le 26 août 2016.

Vous êtes resté trop longtemps au soleil sans penser à vous protéger ? Vous avez certainement dû attraper un coup de soleil. En quoi cela consiste-t-il et comment y remédier ?

Une brûlure plus ou moins grave

Le coup de soleil est une brûlure provoquée par une exposition aux rayons UVB du soleil. Il peut être plus ou moins grave et provoquer quelques fois des cloques. Une à deux semaines après avoir attrapé un coup de soleil, la peau brûlée va partir en desquamation, il faudra alors beaucoup l’hydrater. Un coup de soleil peut être extrêmement douloureux. Il faudra donc le traiter comme une brûlure.

Concrètement, que se passe-t-il sur la peau à l’occasion d’un coup de soleil ? Quand la peau s’expose au soleil, elle produit de la mélanine, le pigment responsable de la couleur de notre peau. Ce changement de couleur est en fait une protection naturelle de la peau contre les effets néfastes du soleil. Quand la peau ne parvient pas à produire assez de mélanine, elle brûle. C’est le cas des peaux claires ou des peaux qui n’ont pas été exposées au soleil depuis de longs mois.

Les dangers du soleil surtout pour les bébés

Afin d’être certain de ne pas attraper de coups de soleil, il faut veiller à bien protéger sa peau avec une crème solaire efficace, d’un indice minimum 30, qui protège des rayons UVA et UVB. Il faut par ailleurs éviter de s’exposer au soleil entre 10 heures et 16 heures, c’est à ce moment que les rayons sont les plus chauds et donc les plus agressifs pour la peau.

Il est aussi indispensable de protéger la peau des bébés, qui est bien plus fragile que la nôtre. On appliquera chez les plus jeunes un écran total et on fera en sorte de réduire au maximum le temps passé en plein soleil.

Quel que soit votre type de peau, sachez qu’une exposition trop importante au soleil peut entraîner un vieillissement prématuré de la peau, l’apparition de tâches, mais aussi des cancers cutanés, essentiellement le mélanome.

Pour en savoir plus : Bien se protéger du soleil : 20 questions-réponses

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Le beurre, c’est bon pour le cœur !

Le 1er juillet 2016.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université Tufts de Boston, aux États-Unis, le beurre n’augmenterait pas le risque de maladies cardiovasculaires.

Le beurre n’augmente pas le risque de maladies cardiovasculaires

On reprochait au beurre de provoquer, à l’instar de l’huile de palme, des maladies cardiovasculaires. Mais rien n’est moins vrai, selon des chercheurs américains, qui ont mené une étude très vaste dans 15 pays auprès de 6,5 millions de personnes. Résultat : la consommation de 14 grammes de beurre chaque jour est, selon ces travaux, associée à un risque de décès plus élevé d’1 %, sans aucune corrélation avec une maladie cardiovasculaire, coronarienne ou avec un AVC.

« Les gens qui mangent plus de beurre ont généralement un régime alimentaire et un style de vie plus malsain, mais le lien entre le beurre et les maladies cardiaques est assez neutre en général », a expliqué le docteur Pimpin de la Tufts University de Boston.

Ne pas diaboliser le beurre

« Nos résultats ne soutiennent pas la consommation de beurre comme directive diététique par rapport à d’autres priorités alimentaires mieux établies, mais ils invitent à ne pas diaboliser ni considérer le beurre comme contraire à la bonne santé », a ajouté l’auteur principal de l’étude, le Dr Dariush Mozaffarian, dans les colonnes du DailyMail.

Ce qui est certain, selon les chercheurs, c’est que le sucre et l’amidon, présents dans le pain ou les pommes de terre, seraient bien plus dangereux pour la santé que le beurre. Ces ingrédients ont été associés à un risque plus élevé de diabète et de maladies cardiovasculaires et seraient même moins sains que certaines margarines et huiles riches en gras sains, notamment l’huile d’olive.

À lire aussi : Petit-déjeuner : que mettre sur son pain ?

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Vivre face à la mer, c’est bon pour le moral

Le 29 avril 2016.

Cela semble évident, mais une étude le prouve : l’environnement dans lequel on vit à un impact sur le moral et la santé mentale. Au sommet se trouve la « vue mer »…

La couleur bleue de la « vue mer » a son importance

Pour votre retraite, vous hésitez entre un petit appartement à Saint Jean Cap Ferrat avec vue sur la mer, ou un chalet avec vue sur les Alpes ? Les chercheurs de l’université d’Etat du Michigan vous donnent la solution : optez pour l’appartement avec vue mer. Ce n’est pas tant la qualité de l’environnement qui importe, selon l’étude qu’ils ont réalisée, que la vue sur une étendue de bleu, en l’occurence celle de la mer, qui fait la différence. Elle est directement associée à une baisse significative des troubles psychologiques. Les données que ces universitaires ont fait parler sont sans appel : les consultations, et les soins pour troubles psychiques, sont significativement moins nombreux en volume, à population égale, au bord de la mer, comparé aux statistiques des zones habitées entourées d’espaces verts.

Les espaces verts ne sont pas aussi apaisants que la mer

L’un des auteurs de l’étude, Amber L.Pearson, explique que la vue des espaces verts ne procure pas la même sensation d’apaisement que la vue mer. Selon lui, cela pourrait s’expliquer notamment par le fait que la vue mer est totalement naturelle, quand la vue sur un paysage de campagne ou de montagne est souvent maillée de constructions humaines. 

L’étude n’a travaillé que sur des populations avec vue sur mer, mais va intégrer bientôt celle ayant vue sur des grands lacs. De même, pour les espaces verts, elle essaiera d’isoler dans un second temps les populations ayant vue sur des forêts, sans trace d’activité ou de constructions humaines, ce qui est beaucoup plus difficile à trouver en fait qu’une vue mer totalement naturelle…

À lire aussi : L’eau de mer, bénéfique pour la santé

 

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L’allergie a sa journée et c’est le 22 mars !

C'est bientot la journée française de l'allergie

Les Français sont de plus sensibles aux allergies. En 20 ans, le nombre de personnes allergiques a doublé et l’OMS estime qu’en 2050 la moitié de la population mondiale sera touchée par -au moins- une allergie. Le 22 mars c’est la 10e édition de la journée française de l’Allergie. A cette occasion, l’association Asthme & Allergies propose 10 solutions pour améliorer la prise en charge des personnes souffrant d’allergie.

10 solutions pour améliorer la prise en charge des personnes allergiques

#1 Les médecins et pédiatres doivent promouvoir le dépistage des allergies. Ils doivent également orienter le patient vers un allergologue si besoin

#2 Eduquer les patients allergiques et les personnes asthmatiques

#3 Les personnes hospitalisées d’urgence pour un choc anaphylactique doivent être orientées vers un allergologue. Elles doivent également disposer du numéro vert Asthme & Allergies Infos Service (0 800 19 20 21)

#4 Pour traiter les chocs anaphylactiques, les véhicules de secours des pompiers doivent détenir d’adrénaline

#5 Les traitements de désensibilisation de l’allergie doivent être mieux pris en charge par les mutuelles santé.

#6 Créer une spécialité européenne via l’harmonisation des statuts des allergologues européens et français

#7 Les étudiants en diététiques devront faire une formation sur l’allergie alimentaire dans le cadre de leurs études

#8 Les Directions des Parcs et Jardins publics devront être formés pour éviter la prolifération des espèces végétales les plus allergisantes

#9 Les écoles devront s’assurer des bonnes conditions environnementales à l’intérieur et à l’extérieur

#10 20 postes supplémentaires de Conseillers Médicaux en Environnement Intérieur doivent être créés.

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