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La qualité de l’eau continue de se dégrader en France, alerte UFC-Que Choisir

L’association française de défense des consommateurs UFC-Que Choisir part en campagne « pour faire prendre conscience aux consommateurs de l’état calamiteux de la ressource aquatique et de l’inaction des pouvoirs publics ».

Elle réclame une réforme en profondeur de la politique de l’eau en France et la stricte application du principe « préleveur-pollueur-payeur », en lançant une pétition.

Depuis la première campagne de l’association sur le sujet en 2005, « le bilan environnemental et économique de la politique de l’eau en France, loin de s’améliorer, est encore plus désastreux » :

  • une eau plus rare et polluée : « les pesticides sont désormais massivement présents et dépassent la norme définie pour l’eau potable, dans les cours d’eau de la moitié du territoire français et dans le tiers des nappes phréatiques ! » ;

  • des pratiques agricoles toujours aussi intensives : les quantités d’engrais à l’origine des nitrates n’ont pas baissé en 20 ans et l’utilisation des pesticides a augmenté de 18 % en 5 ans ; quant à l’irrigation, elle s’est particulièrement développée dans les zones les plus touchées par les restrictions d’utilisation d’eau ;

  • les consommateurs victimes du principe « pollué-payeur » : les consommateurs, par le biais de leur facture d’eau, payent 88 % de la redevance « pollutions » et 70 % de la redevance « prélèvement » alors que l’agriculture, pourtant responsable à elle seule de 70 % des pollutions en pesticides et 75 % en nitrates ainsi que de la moitié des consommations en eau, ne paie que 7 % de la redevance « pollutions » et 4 % de la redevance « prélèvement » ;

  • la politique de l’eau dictée par les intérêts agricoles : compte tenu du faible nombre de sièges accordés aux ONG, les débats des instances régionales et locales (Agences de l’eau, Comités de bassin et Commissions locales de l’Eau) sont trop souvent conduits en fonction des intérêts agricoles ; « ceci explique que dans 60 % à 80 % des cas les actions décidées au sein de ces structures privilégient des mesures palliatives telles que la dépollution des eaux contaminées, sans oser s’attaquer à l’origine de ces pollutions » ;

  • le Projet de Loi de Finance 2018 : l’Etat, depuis 2014, réalise chaque année des ponctions dans le budget des agences de l’eau.

Alors que des exemples étrangers et nationaux montrent qu’il est possible, par une politique de prévention, de limiter les dommages environnementaux pour un coût réduit, l’association réclame une réforme urgente de la politique de l’eau et notamment :

  • une rénovation en profondeur de la gouvernance dans les agences de l’eau ;

  • une stricte application du principe « préleveur-pollueur-payeur » ;

  • la mise en place de véritables mesures de prévention des pollutions agricoles ;

  • une aide à la reconversion vers des cultures moins consommatrices d’eau et de pesticides ;

  • l’arrêt des ponctions de l’Etat sur le budget des agences de l’eau.

Détails et pétition sur le site de l’association : Préservation de la ressource aquatique L’UFC-Que Choisir lance un S. Eau S. !.

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Pesticides : attention à bien choisir son muesli pour le petit-déjeuner !

Le 12 octobre 2016.

Selon une enquête menée par l’association Générations Futures, la plupart des paquets de muesli contiennent des résidus de pesticides.

141 résidus de pesticides ont été retrouvés dans 15 paquets

Passer à une alimentation plus saine fait partie des bonnes résolutions que de nombreux Français ont pris à l’occasion de cette rentrée. Certains ont remplacé les tartines de beurre par du muesli. Mais ce choix n’est pas forcément judicieux, selon l’association Générations Futures qui révèle que la plupart des paquets de muesli contiennent des pesticides.

Chaque paquet de muesli non bio analysé contient en effet en moyenne 9,4 résidus de pesticides, dont 5,4 suspectés d’être des perturbateurs endocriniens. La concentration moyenne semble minime (0,177 mg/kg de résidus de produits chimiques quantifiés par échantillon), mais elle est 354 fois supérieure à la « concentration maximale admissible tolérée dans l’eau de boisson pour l’ensemble des pesticides », selon l’association.

Danger pour les enfants et les femmes enceintes

Cette information est à prendre au sérieux notamment par les femmes enceintes et les parents de jeunes enfants. « Nous ne disons pas que les gens vont être malades en consommant du muesli, mais qu’il est anormal de commencer sa journée par un cocktail de perturbateurs endocriniens qui peuvent notamment avoir des effets sur le fœtus pour les femmes enceintes », a fait savoir le porte-parole de l’association, François Veillerette.

Selon lui, c’est pour protéger les graines entreposées dans les silos que les céréaliers les saupoudrent d’insecticides. En revanche, il est important de souligner que les chercheurs qui ont analysé les échantillons de muesli n’ont trouvé aucun résidu de pesticides dans les paquets bio (Bjorg, Terre et céréale bio, Auchan müesli bio 7 fruits, Jordans et Bio village).

À lire aussi  Pollution aux pesticides : « Il faut protéger le cerveau de nos enfants »

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Choisir des cosmétiques moins toxiques a un effet très rapide dans l’organisme

Même une très courte pause de certains produits de maquillage, shampooings, lotions et savons entraîne une baisse significative des niveaux de perturbateurs hormonaux dans le corps, selon une étude publiée dans la revue Environmental Health Perspectives.

Kim Harley et Kimberly Parra de l’université de Californie à Berkeley ont, avec leurs collègues, fourni à 100 adolescentes des produits de soins personnels sans perturbateurs endocriniens comme les phtalates, les parabènes, le triclosan et l’oxybenzone.

Parce que les femmes sont les principales consommatrices de produits de beauté, elles sont beaucoup plus exposées à ces substances chimiques toxiques, souligne la chercheuse. Les adolescentes peuvent être particulièrement à risque, car elles sont dans une période de développement reproductif rapide, et les recherches suggèrent qu’elles utilisent plus de produits d’hygiène et de beauté tous les jours que la moyenne des femmes adultes.

Des analyses d’urine ont montré une baisse significative des niveaux de perturbateurs endocriniens dans le sang après seulement trois jours d’utilisation des nouveaux produits.

  • baisse de 27 % des métabolites du phtalate de diéthyle (parfums, fragrances)
  • baisse de 45 % des parabènes (produits de maquillage)
  • baisse de 36 % du triclosan (savons, dentifrices…)
  • baisse de 36 % du benzophenone-3 ou oxybenzone (écrans solaires)

Ces résultats montrent que des actions simples peuvent faire une réelle différence, souligne la chercheuse.

Psychomédia avec source : UC Berkeley.
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Quel sport choisir pour éliminer un maximum ?

Après nos excès des fêtes, on ne rêve que d’une chose : retrouver une silhouette tonique et éliminer les calories emmagasinées. Quelles sont les meilleures activités détox ? Dans une salle, en institut ou en plein air, découvrez les sports qui font le plus transpirer.

Quel sport choisir pour éliminer un maximum ?

Eliminer les toxines et les calories signifie avant tout transpirer et perdre ainsi le sel qui favorise la rétention d’eau et la peau d’orange. Il est donc recommandé de boire avant, pendant et après tout exercice physique afin d’éliminer plus facilement sans se déshydrater.

Le vélo

Activité cardio (qui fait travailler le coeur), le vélo est accessible à tous. En plus d’être agréable, une balade en vélo d’une heure vous permettra d’évacuer jusqu’à 1/3 de litre de sueur, soit environ 350 kilocalories (pour une personne de 60 kilos). Il n’est pas nécessaire de pédaler très vite, il suffit de trouver son rythme et sa bonne vitesse.

Faire du vélo muscle les cuisses, les mollets, et les fessiers sans oublier le dos et les abdos. Sport doux et ludique, il est idéal pour se déplacer en ville et se balader le week-end en famille.

La gym métabolique passive*

Le « sport » des paresseuses. Nouvelle méthode pour éliminer sans fournir le moindre effort, la gym passive permet de perdre plus d’un litre de sueur en une séance de 30 minutes. Allongée dans un cocon, votre corps est soumis à la chaleur des infrarouges qui produisent de l’énergie qui brûle jusqu’à 800 calories la demi-heure ! Révolutionnaire, c’est la méthode idéale pour un programme de fond de perte de poids avec (…)

Lire la suite de l’article sur Doctissimo.fr

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Quelle mutuelle choisir, des conseils pour bien comparer les différents contrats

Publi-éditorial

Vous souhaitez vous souscrire à une mutuelle santé et vous voulez être plus informé avant de prendre une décision ? Vous désirez connaître les différents critères à prendre en compte pour faire le bon choix de mutuelle santé ?

Une mutuelle santé sert surtout à couvrir les dépenses lors d’un éventuel accident, hospitalisation ou divers soin en cas de maladie. Cet article vous éclaircira sur certains points de l’importance d’une mutuelle santé et les différents critères à étudier pour en faire le bon choix.

À quoi sert une mutuelle santé ?

Puisque la sécurité sociale ne rembourse qu’une part de la totalité des dépenses diverses liées aux frais de soins et de santé, il est impérativement conseillé de souscrire à une mutuelle santé pour profiter d’une bonne prise en charge.

Actuellement, de nombreuses enseignes d’assurances telles que des instituts de prévoyance, des compagnies d’assurances, ainsi que des sociétés mutuelles proposent une myriade de mutuelles santé. Vous pouvez alors choisir la formule qui ira mieux à votre convenance et réponds à vos besoins.

Pour vous faciliter la tâche dans votre recherche de mutuelle entre ces enseignes, vous pouvez vous tourner vers un comparateur de mutuelle santé. Il en existe de nombreux, celui du site agissonspourlegalite.fr est très pratique.

En principe, l’hospitalisation, les soins spécifiques pour les personnes âgées, la maternité, les soins dentaires et d’optiques, les dépassements d’honoraires et les autres soins spécifiques qui requièrent une prise en charge par une mutuelle santé.

Quels sont les critères importants à comparer ?

Il existe différents critères à ne pas négliger pour faire le bon choix de mutuelle santé. Pour cela, il faut :

  • Déterminer vos réels besoins en matière de santé et ce que vous désirez couvrir exactement.
  • Examiner ensuite les différentes garanties proposées en insistant sur les modes de remboursement et les niveaux de remboursement de vos besoins (dentaire, optique, etc.).
  • Faire une étude des garanties dites secondaires, plus précisément ce qui couvre par exemple les médecines douces et le forfait confort hospitalisation, s’il existe.
  • Examiner le tarif de cotisation, car il constitue aussi un des critères pour bien choisir sa mutuelle santé. Néanmoins, il faudra prendre en compte que la qualité d’une mutuelle de santé ne dépend surtout pas de son tarif appliqué.
  • Lorsque vous avez fait le choix de la mutuelle qui répond mieux à vos attentes, il faudra ensuite évaluer son efficacité suivant le montant total de vos dépenses de santé, la répartition de ces dépenses, le montant de votre dépense annuelle concernant les différents soins les plus réguliers.
  • Choisir ensuite une formule qui convient à votre situation : célibataire, enfants, couple, etc.
  • Faire une étude des différents services inclus dans le contrat, comme un service d’assistance (aide-ménagère, garde d’enfants, etc.) ou une protection juridique médicale. Ces derniers pourront certainement d’une aide utile.
  • Pour finir, il faut également choisir votre mutuelle santé en fonction de votre profession, tout en tenant compte que chaque métier présente toujours des risques.

Notons que les tarifs des contrats peuvent dépendre de l’âge, du statut professionnel, ainsi que du régime social de l’assuré.

Dorénavant, vous avez en main des informations sur les critères importants pour le choix d’une mutuelle santé. Il ne vous reste plus qu’à faire le bon choix.

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Douleur : quels médicaments choisir selon la revue Prescrire

« En cas de douleurs faibles à modérées, quand un traitement est nécessaire, le paracétamol est le médicament de premier choix », indique la Revue Prescrire dans son numéro de novembre. Le paracétamol, aussi appelé acétaminophène, est l’ingrédient actif de plusieurs médicaments (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, Tylénol…).

« Si la douleur n’est pas soulagée, on peut recourir soit à un anti-inflammatoire non-stéroïdien (AINS) tel que l’ibuprofène (sans dépasser 1 200 mg par jour chez les adultes) ou le naproxène, soit à un opioïde dit faible tel que la codéine, la dihydrocodéine, ou le tramadol. Pour des douleurs très intenses, la morphine est la référence parmi les opioïdes dits forts. »

Mais, « il n’est pas démontré que la codéine, la dihydrocodéine ou le tramadol exposent à moins de risques que la morphine à dose minimale efficace », précise la revue.

« Tous les opioïdes exposent aux mêmes effets indésirables dose-dépendants que la morphine : notamment constipations, nausées, somnolence, confusions, dépendance surtout avec des doses élevées, dépressions respiratoires et comas en cas de surdose.

La dihydrocodéine (Dicodin LP°) a été la moins évaluée. La codéine et le tramadol (Topalgic° ou autre) ont des effets très variables d’un patient à l’autre : très faible efficacité chez les uns, surdose chez d’autres, aux doses usuelles recommandées. Le tramadol a un profil d’effets indésirables plus chargé que les autres opioïdes.

La buprénorphine a une efficacité antalgique peu importante. Elle expose à moins d’effets indésirables que les autres opioïdes, avec malgré tout un risque de surdose ou de dépression respiratoire en association avec certains médicaments.
Dans les douleurs aiguës, l’association codéine + paracétamol est un peu plus efficace que le paracétamol seul et probablement pas plus efficace qu’un AINS. Dihydrocodéine, tramadol et buprénorphine ne sont également probablement pas plus efficaces qu’un AINS.

En pratique, en 2015, quand un opioïde apparaît justifié, il n’est pas démontré que la codéine ou le tramadol exposent à moins de risques que la morphine à dose minimale efficace. En cas d’utilisation d’un opioïde dit faible, il est prudent d’être au moins aussi vigilant qu’avec la morphine. »

Psychomédia avec source : Prescrire.
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Un biais psychologique à surmonter pour choisir le cadeau le plus apprécié

Pour un cadeau de Noël à des amis ou à des membres de votre famille, si vous aviez le choix entre offrir un certificat cadeau pour un très bon restaurant situé à une heure de leur résidence ou pour un restaurant ayant une cote moyenne, mais situé à 5 minutes, quel serait votre choix ?

Si vous êtes comme la plupart des gens, vous auriez tendance à choisir d’offrir le meilleur restaurant même s’il est plus éloigné, montre une étude publiée dans le Journal of Consumer Research (JOCR). Mais si vous aviez à recevoir un tel cadeau, vous préféreriez nettement le restaurant le plus près même s’il est moins remarquable.

Le chercheur en psychologie de la consommation Ernest Baskin de l’Université Yale et ses collègues (1) ont interrogé des volontaires dans différents contextes et mené une série d’expériences pour évaluer les compromis entre désirabilité et aspect pratique que préfèrent les donneurs et les receveurs.

Ils montrent, avec divers exemples (jeux vidéo, logiciel d’édition de photos, machine à café…), une tendance à choisir les cadeaux qui peuvent sembler les plus désirables en sous-estimant le poids que les receveurs donnent à l’aspect pratique.

Les donneurs pensent à un cadeau de façon plus abstraite que les receveurs, ont montré les chercheurs. Ce qui les amène à tenir davantage compte attributs de désirabilité qu’à la faisabilité d’utiliser le cadeau.

Cette différence dans le niveau d’abstraction peut avoir diverses implications, notent les chercheurs. Par exemple, un donneur peut offrir un cadeau très désirable tel qu’une boîte de chocolats en supposant que la personne qui la reçoit prendra un chocolat de temps en temps sans compromettre son objectif de perte de poids, sous-estimant le risque qu’elle consomme toute la boîte en une seule occasion et n’en soit pas heureuse.

Dans certaines situations, comme dans le cas de vacances futures, les donneurs et les receveurs peuvent avoir le même niveau d’abstraction.

(1) Cheryl J. Wakslak (University of Southern California), Yaacov Trope (New York University), et Nathan Novemsky (Yale University).

Psychomédia avec sources : JOCR, JOCR.
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Les insectifuges à choisir et à éviter selon Santé Canada

Santé Canada a publié, le 31 juillet, un communiqué rappelant l’importance d’utiliser les insectifuges pour éviter les piqûres de moustiques, de mouches et de tiques de façon sécuritaire.

Les insectifuges aident à réduire les risques, tels que le virus du Nil occidental et la maladie de Lyme, rappelle Santé Canada, « mais il ne faut pas oublier que ce sont des pesticides qui doivent être utilisées en respectant le mode d’emploi. »

Conseils de sécurité :

  • Porter des vêtements qui couvrent le plus possible et utiliser un insectifuge approuvé par Santé Canada (portant un numéro d’homologation sur l’étiquette).

  • Choisir les produits qui répondent le mieux à vos besoins. Par exemple, pour un bref séjour à l’extérieur, choisir un produit contenant une plus faible concentration et répéter l’application uniquement au besoin. (Plus la concentration est élevée, plus la protection est longue.)

  • Avant d’utiliser un insectifuge, lire et respecter à la lettre les directives sur l’étiquette. De nombreux insectifuges sont assortis de restrictions quant à l’utilisation sur les enfants et au nombre maximal d’applications permises en une journée.

  • Appliquer le produit en petite quantité et seulement sur les régions exposées et sur les vêtements. Ne jamais vaporiser d’insectifuge directement sur le visage. Vaporiser le produit sur vos mains et l’appliquer sur le visage. Ne répéter l’application qu’au besoin et selon les instructions figurant sur l’étiquette.

  • Maintenir tous les contenants d’insectifuge hors de la portée des enfants et des animaux de compagnie et superviser l’application d’insectifuge sur les enfants. Éviter d’appliquer de l’insectifuge sur les mains d’un enfant pour éviter qu’il s’en mette dans les yeux ou la bouche.

Produits recommandés par Santé Canada

  • DEET : « Les produits homologués contenant du DEET sont sécuritaires, à condition de bien respecter le mode d’emploi », indique notamment Santé Canada sur son site. Plus la teneur en DEET est élevée, plus la protection sera longue. Bien que le DEET protège à la fois des piqûres de moustiques et de tiques, la protection contre les moustiques est plus longue. Si vous voulez vous protéger contre les piqûres de tiques, utilisez un produit spécialement conçu à cet effet. »

    • Adultes et enfants de plus de 12 ans : concentration maximale en DEET de 30 % ; chaque application devrait offrir une protection efficace contre les moustiques pendant 6 heures.

    • Enfants de 2 à 12 ans : concentration maximale de 10 % et jusqu’à 3 applications par jour. Chaque application devrait offrir une protection efficace contre les moustiques pendant 3 heures.

    • Enfants de 6 mois à 2 ans : concentration maximale de 10 % et une seule application par jour. Chaque application devrait offrir une protection efficace contre les moustiques pendant 3 heures.

    • Enfants de moins de 6 mois : pas d’insectifuge contenant du DEET sur un nourrisson de moins de 6 mois. Installez plutôt une moustiquaire autour du berceau, du parc ou de la poussette.

  • P-menthane-3,8-diol : jusqu’à 2 heures de protection contre les moustiques et jusqu’à 5 heures contre les mouches noires. Éviter de les utiliser sur un enfant de moins de 3 ans. On peut les appliquer 1 ou 2 fois par jour.

  • Huile de soya : les insectifuges inhibiteurs contenant 2 % d’huile de soya offrent 3 heures et demie de protection contre les moustiques et jusqu’à 8 heures contre les mouches noires. Aucune restriction concernant l’âge ou la fréquence d’utilisation ne s’applique à ces produits.

  • Citronnelle : protection contre les piqûres de moustiques de 30 minutes à 2 heures. À éviter sur les nourrissons et les jeunes enfants. Certains de ces produits comportent des limites quant au nombre d’applications par jour. Lire le mode d’emploi sur l’étiquette avant de les utiliser

  • Produits à éviter

    « Les produits suivants sont déconseillés, soit parce qu’ils sont peu efficaces ou que leur effet est de trop courte durée, soit parce qu’ils peuvent être nocifs » :

    • les dispositifs électroniques ou à ultrasons ;
    • les dispositifs d’électrocution de type « bug zapper » ;
    • les bracelets, colliers et bandes aux chevilles imprégnés d’insectifuge ;
    • les pièges qui attirent les moustiques par l’odeur ;
    • le pélargonium odorant ou géranium citronnelle ;
    • la vitamine B1 prise par voie orale ;
    • les produits combinant hydratant pour la peau et insectifuge.

    Psychomédia avec sources : Santé Canada, Santé Canada (Insectifuges).
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