Archives par mot-clé : contiennent

Attention aux médicaments à base d’argile, ils contiennent du plomb

Attention aux médicaments à base d'argile, ils contiennent du plomb

Attention aux médicaments à base d’argile, ils contiennent du plomb

Le 6 août 2019

Selon la revue Prescrire, les médicaments à base d’argile seraient contaminés par du plomb. Et comme l’efficacité de ces produits n’a pas été prouvée, ils auraient un intérêt limité.

Médicaments à base d’argile : efficacité non prouvée et présence de plomb

Les médicaments à base d’argile, souvent utilisés lors de diarrhée comme le Smecta, sont dans le viseur de la revue médicale indépendante Prescrire. On découvre qu’il n’ont pas d’efficacité tangible dans le traitement des divers troubles digestifs pour lesquels ils sont indiqués. Et ce n’est pas tout, ils sont pointés du doigt pour leur contamination au plomb.

Et pour cause, les argiles qu’ils contiennent sont extraites du sol et malheureusement leurs propriétés adsorbantes les rend susceptibles de contenir certains métaux lourds présents dans l’environnement, dont le plomb. Une contamination qui avait déjà fait réagir l’Agence nationale de sécurité médicament et des produits de santé (ANSM). 

Des taux de plomb trop importants pour les enfants de moins de 2 ans

En 2018, l’ANSM avait alerté en révélant les résultats d’une étude sur les mesures de plombémie après prise de ce genre de médicaments. Les conclusions avaient établi que les enfants de moins de 2 ans traités pendant 7 jours pourraient être exposés à des taux supérieurs à 50 microgrammes par litre.

Par conséquent, l’Agence avait décidé en février 2019 de demander aux prescripteurs de ne « plus utiliser ces médicaments chez l’enfant de moins de 2 ans, en raison de la possible présence d’infime quantité de plomb, même si le traitement est de courte durée. » Il est donc préférable d’éviter l’argile pour les tout-petits et de se renseigner chez un professionnel.

Marie-Eve Wilson-Jamin

À lire aussi : Des solutions naturelles contre la diarrhée

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les fruits et légumes qui contiennent le plus de pesticides

Les fruits et légumes qui contiennent le plus de pesticides

7 juin 2019

L’ONG Générations futures a publié le classement des fruits et des légumes qui contiennent le plus de pesticides.

Des pesticides omniprésents

71,9% des fruits et 43,3% des légumes contiennent des résidus de pesticides. C’est le chiffre clé qui ressort de l’étude, publié le 5 juin par Générations futures sur la quantité de résidus de pesticides que contiennent les aliments dans notre assiette. Parmi eux, 3% des échantillons analysés contiennent un taux de pesticides supérieur à la limite maximale en résidu (LMR) autorisée par la loi.

L’enquête a permis d’analyser 18 fruits et 32 légumes différents et de les classer selon le taux de fruits touchés par les pesticides dans les échantillons. L’ONG précise que tous les fruits sont concernés par des dépassements de LMR. Les ananas sont les plus concernés avec (9,6% des échantillons) suivis des cerises, et des kiwis. Du côté des légumes, les herbes fraîches (21,5%), le céleri-branche et le céleri-rave sont pointés du doigt, tandis que l’ail, le maïs, la pastèque ou les potirons, semblent être complètement épargnés.

Les céleris et les cerises en tête

Dans le panier de fruits, les plus mauvais élèves sont parmi les plus populaires. En tête du classement, on retrouve les cerises (89% des échantillons), les clémentines et mandarines (88,1%), le raisin (87,3%), le pamplemousse et les pomelos (86,3%), les nectarines et les pêches (83%), les fraises (82,9%) ou encore les oranges (81%). Les abricots et les pommes suivent ensuite. À l’inverse, les kiwis et les avocats sont les fruits les moins touchés par les pesticides, moins de 30% d’entre-eux ont été contaminés.

Parmi les légumes, les céleris-branches (89,4%), le céleri-rave (82,5%), les herbes fraîches (69,3%), les endives (67,2%) et les laitues (66,5%) sont parmi les mauvais élèves. Néanmoins, le maïs doux, les asperges ou les betteraves sont parmi les légumes présentant le moins de taux de résidus de pesticides.

Nicolas Boutin

À lire aussi : Tout savoir sur les fruits et légumes de saison

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Cigarettes électroniques : elles contiennent des microbes !

Cigarettes électroniques : elles contiennent des microbes !

Lundi 29 avril 2019.

Des chercheurs américains ont décelé la présence de microbes et de toxines dans des cigarettes électroniques qui peuvent, en étant inhalés, présenter un danger pour la santé de ceux qui les utilisent, allant de la toux à des difficultés respiratoires, jusqu’au risque de choc septique…

Cigarettes électroniques : des traces de champignons quasiment partout

Ceux qui vapotent vont peut-être regarder leur cigarette électronique avec un autre œil. Des chercheurs américains de l’université d’Harvard ont en effet procédé à une étude assez massive sur des accessoires et liquides pour e-cigarettes. Ils ont pour cela acheté, dans des commerces d’e-cigarettes, des embouts jetables et des recharges de liquides.

Le résultat de leur test fait froid dans le dos. Sur 75 produits achetés, 17 contenaient des endotoxines (des toxines contenues à l’intérieur d’une bactérie) en quantité supérieure aux limites autorisées. Et dans la quasi-totalité des cas (61 sur 75), ils ont également détecté du glucane, signe de contact avec des champignons. Là encore, au-delà des limites autorisées. 

Pour l’instant, l’étude n’explique pas comment ces produits, embouts et e-liquides, ont été contaminés, mais le risque est réel car il s’agit là de produits neufs, achetés dans le commerce, qui n’ont donc pas été contaminés par l’utilisateur en traînant dans une poche pour l’embout, ni en restant ouvert, pour le e-liquide.

Contamination bactérienne des e-cigarettes : d’autres études nécessaires

C’est la première fois qu’une étude scientifique se penche sur les risques de contamination microbienne des cigarettes électroniques. Jusqu’ici, seuls les avantages et inconvénients de celles-ci, comparées à la cigarette classique, avaient fait l’objet d’études, nombreuses et parfois contradictoires. 

Les chercheurs d’Harvard recommandent, dans la revue Environmental Health Perspectives qui a publié leur étude, que d’autres équipes de recherche se saisissent du sujet, afin d’augmenter et améliorer les connaissances scientifiques sur ces risques de contamination bactérienne des cigarettes électroniques qui pourraient être à l’origine d’infections pulmonaires chez ceux qui les utilisent, si les recherches étaient avérées.

Jean-Baptiste Giraud

À lire aussi : Les dangers de la cigarette électronique

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les sauces tomates industrielles contiennent des perturbateurs endocriniens

Les sauces tomates industrielles contiennent des perturbateurs endocriniens

Le 27 mars 2019.

Trop de sel, trop de sucre mais aussi des perturbateurs endocriniens. Voici ce que contiendraient la plupart des sauces tomates industrielles trouvées dans le commerce selon le magazine 60 millions de consommateurs.

Les sauces tomates industrielles sont trop salées et trop sucrées

Dans son numéro du mois d’avril, l’association 60 millions de consommateurs a passé à la loupe une soixantaine d’étiquettes de sauces tomates et ses conclusions sont inquiétantes : trop de sel, trop de sucre et surtout, la présence de pesticides et de perturbateurs endocriniens

Comme souvent dans les aliments industriels transformés, 60 millions de consommateurs a relevé une teneur en sel trop élevée : « La moyenne oscille entre 0,92 et 1 g/100 g ». Or, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande de ne pas dépasser 5 grammes de sel par jour, au risque de développer des problèmes cardio-vasculaires notamment : hypertension et AVC.

Une quantité trop importante de sucre a également été relevée : la tomate contient naturellement du sucre et pour corriger son acidité, les industriels n’hésitent pas à en rajouter. Selon les analyses de l’association, « les sucres ajoutés représentent environ la moitié des sucres mesurés ». « Une portion de 100 grammes de sauce tomate industrielle apporte en moyenne l’équivalent d’un morceau de sucre (5-6 grammes) ».

Sauces tomates industrielles : miser sur le bio 

Plus inquiétant, les analyses ont mis en avant la présence de pesticides : « Plus de la moitié de nos références présentent au moins un résidu de pesticide », alerte l’association. « La présence de molécules suspectées d’être des perturbateurs endocriniens comme le carbendazime » a par ailleurs été détectée à l’état de « trace », alors que l’Union européenne ne l’autorise qu’à l’état de « résidus ».

Le magazine a ainsi établi un classement des sauces tomates : il en ressort sans surprise que pour une sauce tomate saine, il faut y mettre le prix et miser sur le bio et l’absence de conservateurs. Les quatre sauces les mieux notées sont la sauce tomate napolitaine de chez Cora, la sauce tomate au basilic Bio Village, la sauce tomate provençale Maison Prosain et le double concentré de tomates Jardin bio.

     Aurélie Giraud

À lire aussi Les 10 plus grandes causes de cancer

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Danger : les amandes d'abricots contiennent du cyanure

Danger : les amandes d'abricots contiennent du cyanure

Le 30 juillet 2018

Les amandes d’abricots auraient des propriétés curatives. Toutefois, il est déconseillé d’en consommer de grande quantié en une seule prise car elles contiennent du cyanure. Inoffensives consommées en petites quantités, elles peuvent donc devenir nocives en cas d’abus. 

Il ne faut pas manger plus de trois amandes d’abricots par jour 

Entre 2012 et 2017, soit seulement 5 ans, 154 intoxications dues au cyanure contenu dans les amandes d’abricots ont été recensées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Les amandes d’abricots, qui se trouvent à l’intérieur du noyau du fruit, sont réputées pour disposer de nombreuses vertues. Il leur est notamment attribué des qualités permettant de lutter contre le cancer. Pour les amateurs de confitures, il s’agit souvent d’un fait bien connu. 

Résultat : il est désormais tendance de consommer des amandes d’abricots considérées comme un remède naturel. L’Anses alerte pourtant sur leur composition : elles contiennent du cyanure. En consommer en grandes quantités peut donc s’avérer dangereux pour la santé, alors même que leur « prétendues propriétés anti-cancer » n’ont jamais été prouvées, souligne l’institution. En revanche, la femme d’une cinquantaine d’années qui a été hospitalisée en hypotension après avoir consommé 50 amandes d’abricots en une journée, elle, est bien réelle. 

Les amandes d’abricots peuvent provoquer des gênes respiratoires

Si l’Anses ne déconseille pas la consommation d’amandes d’abricots comme un « agrément alimentaire », elle rappelle aux consommateurs qu’il est important d’en consommer raisonnablement. Autrement dit, il est primordial de ne pas en manger plus de trois par jours si vous êtes un adulte. Chez l’enfant il n’est pas recommandé de consommer des amandes d’abricots, et le cas échéant, il faut qu’ils se limitent à une demi-amande d’abricot par jour. 

Dans son communiqué pour rappeler les dangers concernant la consommation d’amande d’abricots, l’Anses révèle que cet aliment « suscite un engouement que l’on mesure sur internet où des sites encouragent leur consommation en grande quantité, pouvant aller de dix amandes par jour en prévention à soixantes amandes pour les personnes atteintes d’un cancer ». Consommer de grandes quantités d’amandes d’abricots peut provoquer des sensations de malaise, des troubles digestifs, des vertiges, de la gêne respiratoire, des palpitations ou encore des maux de tête. 

Flore Desbois

Lire aussi notre fiche : Abricot

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Cosmétique : savez-vous ce que contiennent vos produits de beauté ?

Le 4 octobre 2016.

Les produits de votre salle de bain contiennent très certainement plusieurs ingrédients indésirables, irritants, allergènes ou perturbateurs endocriniens. Pour s’en prémunir, il faut avant tout savoir les identifier.

Les déodorants ne sont pas les seuls produits dangereux

« Les sels d’aluminium, contenus dans des produits d’utilisation quotidienne, dont la plupart sont des déodorants, pourraient être impliqués dans le cancer du sein ». Telle était la conclusion d’une étude menée par le Pr André-Pascal Sappino et le Dr Stefano, il y a quelques jours. Un constat qui interroge sur la dangerosité des produits d’hygiène et de beauté que nous utilisons au quotidien.

Selon des travaux effectués par l’UFC-Que Choisir, de nombreuses substances toxiques sont en effet présentes dans nos salles de bain. Mais les fabricants étant tenus d’indiquer la liste des ingrédients sur leurs produits, il suffit de bien repérer ceux qui sont dangereux pour les bannir de notre quotidien. Pour le choix de vos déodorants, par exemple, évitez donc les sels d’aluminium mais aussi le cyclopentasiloxane.

Des substances allergènes et irritantes

Dans vos dentifrices, prenez soin d’éviter le sodium lauryl sulfate, le propylparaben et ou encore triclosan. Il s’agit en effet de perturbateurs endocriniens qui peuvent nuire de façon durable à votre système hormonal. Sur la liste d’ingrédients de vos shampooings et gels douche, repérez les mots comme methylisothiazolinone et ammonium lauryl sulfate ou encore p-phénylènediamine, methylchloroisothiazolinone et methylisothiazolinone. Il s’agit-là de substances allergènes et irritantes.

Enfin, pour ce qui est des cosmétiques, évitez le ethylhexyl methoxycinnamate et le cyclopentasiloxane, qui sont des perturbateurs endocriniens.

De nombreuses marques ont développé des produits bio, même en cosmétique. Ces produits sont certes un peu plus cher, mais la santé a-t-elle un prix ?

À lire aussi : 185 produits cosmétiques composés de substances dangereuses révélés !

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Tampons et serviettes hygiéniques contiennent des pesticides

 CC0 Public Domain/Pixabay

CC0 Public Domain/Pixabay

Alors que nos élus estiment que les protections périodiques féminines ne sont pas des produits de première nécessité et ne souhaitent pas leur appliquer un taux de TVA réduit,  nous sommes pourtant bien obligées de nous les procurer. Ainsi la vie… Aujourd’hui pourtant une étude réalisée par l’EMISA (Université Argentine de La Plata) a de quoi nous faire flipper. Elle nous apprend que la plupart d’entre-elles contiennent des pesticides. Les résultats de cette étude plutôt inquiétante ont été présentés au « Congrès national des peuples contaminés ». Rien que le nom de ce congrès…

Selon cette étude 85% des tampons et serviettes hygiéniques contiendraient en effet du glyphosate… également connu sous le nom commercial de Roundup, le fameux désherbant qualifié par l’OMS de dangereux pour la santé et classé comme «cancérigène probable».

«Les résultats de ces recherches sont très inquiétants. Quand on utilise des gazes et du coton pour guérir des blessures, où pour un usage intime, on croit qu’il s’agit de produits stérilisés et, en fait, ils sont contaminés avec une substance cancérogène» a prévenu l’un des auteurs de l’étude, le docteur Medardo Avila Vazquez.

Sur le même sujet

Au mois de juin dernier on apprenait que Lauren Wasser, une star des podiums américains, avait dû être amputée d’une jambe après avoir été victime une infection provoquée par le port d’un tampon hygiénique.

Agée d’à peine 24 ans et alors qu’une superbe carrière s’offrait à elle, la jeune femme a été victime de ce que l’on appelle : le syndrome du choc toxique.

Il s’agit une infection rare et aiguë, potentiellemenet mortelle et qui est causée par une toxine bactérienne qui pénètre dans la circulation sanguine à la suite d’une infection par un agent pathogène (source). Les femmes qui utilisent des tampons peuvent en être victimes.

Après avoir frôlé la mort, la jeune femme a été touchée par la gangrène et sa jambe droite a du lui être amputée. Victime d’une très forte fièvre, les médecins avaient d’abord pensé à une simple grippe.

Des faits qui se sont déroulés il y a 3 ans déjà mais qui sont revenus la une des médias après que Lauren Wasser ait décidé de mener un combat afin de mieux informer les femmes sur les risques encourus « Vous savez que la cigarette peut vous tuer alors si vous en consommez, c’est votre choix. Si j’avais su que je risquais un syndrome de choc toxique, jamais je n’aurais utilisé de tampons… Ce produit a détruit ma vie. »

Depuis une pétition est en ligne. Une jeune française, dont l’action est soutenue par l’association « 60 millions de consommateurs », réclame que Tampax dévoile la composition de ses tampons hygiéniques.

A juste titre, elle s’étonne de ne trouver aucune information sur la composition des produits. Dans sa pétition en ligne elle réclame à Procter&Gamble, la multinationale qui a créé la marque Tampax, de faire apparaître la composition des tampons Tampax sur leurs emballages afin que toutes les utilisatrices, françaises et européennes, sachent ce qu’elles mettent durant leurs périodes menstruelles. Cette pétition est accessible en cliquant ici


News Santé

Près de 40% des produits de beauté contiennent des perturbateurs endocriniens

Pas moins de 15 000 produits de beauté ont été passés au crible. Et près de 40% d’entre eux contiennent au moins un perturbateur endocrinien (PE), selon une étude de l’institut indépendant de notation Noteo, rendue publique vendredi 13 septembre à Paris.

Les perturbateurs endocriniens se définissent comme des substances chimiques. Celles-ci interfèrent avec la régulation hormonale des êtres vivants et sont susceptibles de provoquer, même à très faibles doses, une grande variété d’effets, notamment sur le développement physiologique des individus exposés pendant la période intra-utérine. Elles sont notamment suspectées d’avoir un impact sur la fertilité et d’être liés à l’augmentation du nombre de cancers dits hormono-dépendants, principalement ceux du sein et de la prostate.

Parmi les produits de beauté qui contiennent au moins un PE, les vernis à ongles arrivent en tête (74%) devant les fonds de teint (71%), les produits de maquillage pour les yeux (51%), les démaquillants (43%), les rouges à lèvres (40%), les soins du visage (38%) les déodorants (36%), les dentifrices (30%) et les shampoings (24%).

Parmi les PE les plus fréquemment utilisés dans ce type de produits, on trouve les parabènes (23%) et le cyclopentasiloxane (15%), le triclosan n’étant présent que dans 1,3% des produits.

Les produits labellisés bio semblent largement épargnés par le phénomène selon l’étude qui n’a retrouvé un PE que dans 1,3% d’entre eux, essentiellement le cinnamal que l’on retrouve naturellement dans certaines huiles essentielles (cannelle, jacinthe, patchouli).

Retrouvez cet article sur Francetv info

VIDEO. Alsace : la collation de 10 heures accusée de faire grossir les enfants
L’Alsace veut supprimer le goûter du matin à l’école
VIDEO. La rééducation par le surf pour les militaires blessés
VIDEO. Pour vieillir en bonne santé, faites du sport
VIDEO. Hyppolyte et Daphné, auxiliaire de vie scolaire, un vrai duo en classe


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR