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L’importance de la personnalité pour la performance dans 9 types de travail

La personnalité a un plus fort impact sur la performance dans certains domaines de travail que d’autres, suggère une étude publiée en décembre 2021 dans le Journal of Vocational Behavior. Continuer la lecture de L’importance de la personnalité pour la performance dans 9 types de travail

Implants médicaux : 7 associations françaises réclament un meilleur contrôle dans un communiqué conjoint

Dans un communiqué conjoint, sept associations françaises dénoncent « les failles des autorités sanitaires dans le contrôle du commerce des dispositifs médicaux les plus à risques ».

Associations signataires : AIDES, France Assos Santé, Ligue nationale contre le cancer, Médecins du Monde, Prescrire, UFC Que Choisir, Universités alliées pour les médicaments essentiels (UAME).

Communiqué sur le site de Prescrire : « Implant files » : Pour une véritable autorisation de mise sur le marché des dispositifs médicaux les plus à risques.

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Les noix et le contrôle du poids

La consommation de noix et d’arachide est liée à un meilleur contrôle du poids, selon une étude présentée lors des sessions scientifiques 2018 de l’American Heart Association.

Xiaoran Liu de la Harvard School of Public Health et ses collègues ont analysé des données portant sur l’alimentation et le poids de deux cohortes américaines totalisant plus 75 000 participants.

La consommation de noix était évaluée au moyen d’un questionnaire sur l’alimentation soumis aux participants tous les quatre ans.

Une portion de noix était définie comme étant 28 g de noix ou arachides entières ou deux cuillères à soupe de beurre de noix.

La consommation d’une portion quotidienne de n’importe quel type de noix ou d’arachides était associée à un risque moindre de prendre du poids ou de devenir obèse au cours des quatre années d’intervalle.

« Les gens considèrent souvent les noix comme des aliments riches en matières grasses et en calories et hésitent donc à les considérer comme des collations saines, mais elles sont en fait associées à un gain de poids moindres », souligne la chercheure.

« L’ajout d’une once de 28 g de noix à l’alimentation au lieu d’aliments moins sains, comme la viande rouge ou transformée, les frites ou les collations sucrées, peut aider à prévenir la prise de poids lente et graduelle qui se produit à l’âge adulte et à réduire le risque de maladies cardiovasculaires associées à l’obésité », souligne-t-elle.

Pour plus d’informations sur les noix et la santé et sur la perte de poids, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : American Heart Association.
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Microsoft réclame une loi pour le contrôle de la reconnaissance faciale

Le président et directeur juridique de Microsoft, Bradford Smith, appelle à l’encadrement de la reconnaissance faciale par une loi fédérale américaine tout en appelant à une réglementation internationale.

Dans un article publié sur le site de Microsoft le 13 juillet, il prévient que « les performances de cette technologie s’améliorent, qu’il devient facile de mémoriser les profils de très nombreux citoyens dans une base de données, puis d’y connecter des caméras pour identifier les passants en direct », résume Le Monde.

Ces avancées présentent un risque considérable pour le respect de la vie privée et de la liberté d’expression, est-il souligné.

« Imaginez qu’un gouvernement vous traque partout ou vous marchez […] sans votre permission et sans vous en informer. Imaginez [qu’il liste] toutes les personnes qui ont participé à un rassemblement politique […]. »

Bradford Smith propose qu’une commission étudie plusieurs questions, parmi lesquelles :

  • Faut-il obliger les commerçants à poser des panneaux pour avertir de l’usage de la reconnaissance faciale ?

  • Les particuliers doivent-ils pouvoir accéder aux photos qui les identifient ?

  • Comment éviter que cette technologie serve pour le profilage racial ?

  • Faut-il créer des procédures juridiques qui donnent des recours aux personnes qui ont été identifiées par erreur ? Car, le taux d’erreur des logiciels de reconnaissance faciale a beau chuter, il demeure très élevé.

Cette intervention survient dans un contexte tendu, rapporte Le Monde. En mai, l’American Civil Liberties Union (ACLU), une puissante association, a accusé Amazon de commercialiser sa technologie d’identification faciale Rekognition aux gouvernements, et de leur apporter son aide pour la mettre en œuvre.

En juin, des employés d’Amazon se sont mobilisés en demandant au PDG d’Amazon, Jeff Bezos, de cesser de vendre Rekognition à la police.

Le 19 juin, des employés de Microsoft ont publié dans les colonnes du New York Times une lettre destinée à leur PDG, Satya Nadella, lui reprochant la signature d’un contrat de 19,4 millions de dollars avec la police des frontières américaine. Un contrat qui inclurait, selon les auteurs, la fourniture d’un système d’identification faciale, un point que nie Brad Smith en marge de son article.

En Chine, la police recourt déjà couramment à la reconnaissance faciale, rapporte Le Monde. Dans certaines villes, les piétons qui traversent au rouge sont identifiés grâce à des caméras connectées à un système de reconnaissance faciale. Et tant que le contrevenant n’a pas payé l’amende, son visage est affiché sur les écrans des arrêts de bus locaux.

La police chinoise utilise également la reconnaissance faciale pour retrouver la trace de fugitifs. Selon l’avocat Liang Xiaojun, cette technologie « risque d’être rapidement utilisée de manière détournée. L’appareil policier s’en sert par exemple pour mieux contrôler des personnes ciblées, et non parce qu’elles enfreignent la loi ».

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Psychomédia avec sources : Le Monde, Europe 1.
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Contrôle du poids : sans attention consciente continue, la biologie prend le dessus

« Le contrôle du poids exige une implication consciente et continue. Dès que cet engagement conscient s’arrête, la biologie prend le dessus », expliquent les auteurs d’une analyse publiée dans la revue Perspectives on Psychological Science.

Et, la biologie comporte des mécanismes d’adaptation plus favorables à la prise de poids qu’à la perte.

L’apport et la dépense en calories n’expliquent pas le poids autant que les scientifiques le pensaient auparavant, écrivent les psychologues David Benton et Hayley A. Young de l’Université de Swansea (Pays de Galles).

Un calcul mathématique simple démontre la fausseté de cette idée : l’Américain moyen consomme 3 790 calories par jour, soit 1 590 de plus que l’apport recommandé pour un homme sédentaire, de sorte que si les calories expliquaient le poids à elles seules, l’Américain moyen prendrait près de 45 kg par an. La prise de poids moyenne depuis les années 1960 a été de 14 kg.

Un examen des recherches suggère une tendance du corps à ajuster le métabolisme et la consommation de nourriture en réponse à l’apport alimentaire.

Bien que ces processus compensatoires, issus de l’évolution, servent à prévenir une prise de poids rapide, leur effet est plus puissant lorsqu’il s’agit de défendre les graisses contre ce que le corps perçoit comme une sous-alimentation ou une pénurie.

Dans neuf études portant sur une « réduction d’énergie dissimulée », dans lesquelles les chercheurs ont remplacé des aliments par des aliments à faible teneur calorique sans que les participants le sachent pendant des périodes d’observation allant jusqu’à 24 jours, la majorité des études ont signalé une compensation énergétique de 100 % (bien qu’une étude ait rapporté une compensation de 16 % seulement).

C’est-à-dire que les participants ont remplacé à leur insu les calories manquantes pendant le reste de la journée.

« Les changements dans votre régime alimentaire ne réussiront que si vous continuez à être attentivement conscient de ce que vous mangez », explique Benton. « Quand vous ne comptez plus soigneusement les calories, les prédispositions biologiques pour reprendre le poids perdu prennent le dessus. »

Des études montrent que même si la consommation de calories est réduite, l’organisme modifie son métabolisme afin de maintenir son poids de référence (« settling point »), lequel dépend de l’alimentation et de l’activité physique à long terme de la personne.

Ces résultats suggèrent que si le corps est prêt à accepter de fixer un nouveau point de référence plus élevé comme protection contre une famine future, il est beaucoup moins susceptible de s’adapter à un point plus bas.

« Il ne fait aucun doute que les changements dans la disponibilité des aliments et l’augmentation de leur teneur en calories ont joué un rôle majeur dans l’épidémie d’obésité », écrivent les auteurs. « Malheureusement, bien que le niveau élevé d’apport calorique ait été une grande partie du problème initial, il ne s’ensuit pas que sa réduction est une partie majeure de la solution. »

Cela signifie, expliquent les chercheurs, que « même si compter les calories peut être une méthode fiable pour prévenir la prise de poids, cette méthode est moins utile comme seule stratégie pour les deux tiers des Américains qui sont déjà en surpoids ou obèses ».

Dans leur cas, une « transformation complète de l’alimentation axée sur les macronutriments, la densité énergétique et la charge glycémique de chaque repas peut s’avérer nécessaire. Des études suggèrent qu’une alimentation à faible densité énergétique et à satiété élevée, c’est-à-dire composée d’aliments à faible teneur calorique par gramme, riches en protéines, en fibres et en eau alors qu’ils sont faibles en gras et en sucre, peut empêcher la compensation énergétique de se produire. »

« Bien qu’avoir une alimentation soutenante peut aider à prévenir l’effet yoyo, il n’y a pas de solution simple », souligne Benton.

« Le gouvernement du Royaume-Uni a identifié un “labyrinthe” de 110 facteurs menant à l’obésité, dont la production industrielle des aliments, la consommation, l’activité physique et la psychologie sociale, ce qui rend les initiatives de santé publique qui vilipendent le sucre ou vantent les options à faible teneur en matières grasses trop simplistes », disent les auteurs. « De plus, dans la plupart des sociétés occidentales, un des principaux prédicteurs de l’obésité est la pauvreté, ce qui peut rendre difficile le maintien d’une alimentation saine face à des options moins chères, riches en graisses et à forte densité énergétique. »

« Les politiques de santé publique doivent tenir compte du fait que, même si les options hypocaloriques doivent être produites et rendues disponibles, le poids corporel n’est pas susceptible d’être soumis passivement aux interventions des gouvernements. Le contrôle du poids exige l’implication consciente et continue de l’individu » dit Benton. « Dès que cet engagement conscient s’arrête, la biologie prend le dessus. »

CALCUL de votre besoin en calories selon votre métabolisme de base et votre activité

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Psychomédia avec sources : Association for Psychological Science, Perspectives on Psychological Science.
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Les édulcorants artificiels pour le contrôle du poids ?

Les édulcorants artificiels peuvent être liés une prise de poids à long terme et des risques accrus de diabète, d’hypertension artérielle et de maladies cardiaques, selon une étude publiée dans le Canadian Medical Association Journal (CMAJ).

La consommation d’édulcorants artificiels, comme l’aspartame, le sucralose et la stévia, est répandue et croissante, soulignent les auteurs.

Les études montrent de plus en plus qu’ils peuvent avoir des effets négatifs sur le métabolisme, les bactéries intestinales et l’appétit, malgré certains résultats contradictoires.

Ryan Zarychanski de l’Université du Manitoba et ses collègues ont analysé 37 études ayant suivi plus de 400 000 personnes pendant 10 ans en moyenne. Sept de ces études étaient des essais randomisés impliquant 1003 personnes suivies pendant 6 mois en moyenne.

Les essais randomisés ne montrent pas d’effet consistant des sucres artificiels pour la perte de poids et les études d’observation à long terme ont montré un lien entre leur consommation et des risques relativement élevés de gain de poids, d’obésité, d’hypertension artérielle, de diabète, de maladie cardiaque et d’autres problèmes de santé.

« Les données provenant des essais cliniques ne supportent pas clairement les bénéfices souhaités des édulcorants artificiels pour la gestion du poids », conclut le chercheur.

« La prudence est justifiée jusqu’à ce que les effets à long terme sur la santé des édulcorants artificiels soient entièrement caractérisés », estime Meghan Azad, coauteure.

Pour plus d’informations sur les édulcorants artificiels, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : CMAJ (press release), CMAJ (alstract).
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Drogue au volant : un contrôle renforcé grâce à de nouveaux tests

Drogue au volant : un contrôle renforcé grâce à de nouveaux tests

Le 20 avril 2017.

Selon nos confrères du Parisien, le ministère de l’Intérieur aurait décidé de lancer de nouveaux kits salivaires afin de mieux contrôler la consommation de drogues des automobilistes.

Détecter si un conducteur a consommé de la drogue

Afin de lutter plus efficacement contre la consommation de stupéfiants au volant, le ministère de l’Intérieur va mettre à disposition de la police et de la gendarmerie des nouveaux kits salivaires capables de détecter si un conducteur a consommé du cannabis, de la cocaïne ou des opiacés, en quelques minutes. Objectif : réduire significativement le nombre d’accidents sur les route.

En 2015, selon les derniers chiffres de la Sécurité routière, 23 % des décès survenus lors d’un accident de la route impliquaient en effet un conducteur sous l’empire de la drogue. Renforcer le contrôle était donc devenu urgent. Ces tests devraient être disponibles « dans les prochaines semaines, dans les commissariats et les brigades de gendarmerie », selon un haut responsable de la sécurité routière cité par Le Parisien.

Multiplier les contrôles de stupéfiants

Le ministère de l’Intérieur souhaite par ailleurs simplifier les procédures d’arrestations des automobilistes qui ont consommé de la drogue. Actuellement, un conducteur dont le test est positif doit être accompagné à l’hôpital par la police pour confirmer s’il a bien consommé un stupéfiant. Avec ces nouveaux kits, la police pourra faire un second test sur place pour confirmer le premier, ce qui rendra le dépistage beaucoup plus rapide.

Grâce à ce nouveau dispositif, les policiers et les gendarmes pourront augmenter la fréquence des contrôles. Aujourd’hui, seuls 100 000 contrôles de stupéfiants sont effectués chaque année, contre plus de 11 millions de contrôle d’alcoolémie. Notons au passage que tout refus de se soumettre au test de détection de stupéfiants est équivalent à un test positif. Par ailleurs, ce test peut être réclamé aux automobilistes mais aussi aux cyclistes. 

Marine Rondot

À lire aussi : L’alcool et les drogues de plus en plus répandus au travail

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Cannabis au volant : nouveaux tests et contrôle renforcé en France

En France, les contrôles de drogue au volant seront renforcés, rapporte Le Parisien. 23 % des décès sur les routes en 2015 impliquaient des conducteurs sous l’emprise de drogues. Conduire après avoir pris de la drogue est un délit passible de deux ans de prison.

Dans les prochaines semaines, de nouveaux kits de tests salivaires permettront de détecter en quelques minutes si un conducteur a consommé du cannabis, de la cocaïne, des opiacés, de l’ecstasy ou des amphétamines.

A l’heure actuelle, un peu plus de 100 000 contrôles de stupéfiants sont effectués chaque année contre plus de 11 millions de contrôles d’alcoolémie. Le dépistage de la drogue est fait systématiquement lorsque le test d’alcoolémie est positif, a indiqué un policier au Parisien. Le risque d’accident mortel est multiplié par 15 lorsque le cannabis et alcool sont combinés.

Tout refus de se soumettre au test est équivalent à un test positif et tous les usagers de la route sont concernés, y compris les cyclistes et les personnes qui accompagnent un élève conducteur en conduite accompagnée.

Jusqu’à présent, en cas de test positif à la drogue, le conducteur était transporté auprès d’un médecin pour effectuer un prélèvement sanguin afin de confirmer le test salivaire. Il suffira désormais au policier, lors du contrôle, d’effectuer sur place un second test salivaire de confirmation. « Cela permettra de multiplier les contrôles », estime la sécurité routière.

En cas d’accident mortel, le dépistage de drogue est obligatoire. Mais des dépistages inopinés peuvent être menés à n’importe quel moment, même quand le véhicule est à l’arrêt, moteur coupé. Enfin, un conducteur peut être contrôlé positif plusieurs heures après la prise de stupéfiants (plusieurs jours s’il s’agit d’amphétamines).

Une nouvelle campagne télévisée de la sécurité routière rappellera la loi et les dangers encourus dans les semaines à venir.

Des tests salivaires pour détecter le cannabis évalués sur la route au Canada

Pour des informations sur l’utilisation du cannabis, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Le Parisien.
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Le virus Ebola est « hors de contrôle » en Afrique, dit MSF

ACCRA (Reuters) – L’épidémie de fièvre Ebola qui sévit en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone est « hors de contrôle » et une mobilisation « exceptionnelle » des gouvernements et des ONG est devenue nécessaire, prévient Médecins sans frontières (MSF) dans un communiqué publié lundi.

Le dernier bilan de cette vague, la plus meurtrière depuis la première apparition de la maladie en Afrique centrale en 1976, s’élève à 350 morts depuis le mois de février, selon l’Organisation mondiale de la santé.

Le virus n’avait jamais été décelé dans cette région d’Afrique, ce qui complique les opérations sanitaires, selon MSF.

Sa propagation s’explique également par la méconnaissance de la maladie par la population locale, qui continue à préparer les corps de patients décédés et à assister aux obsèques, autant de facteurs de contagion.

L’ONG souligne par ailleurs que la société civile et les autorités politiques et religieuses n’ont pas pris la pleine mesure de la situation. Peu de personnalités de premier plan font donc la promotion de la lutte contre la maladie.

« L’épidémie est hors de contrôle », selon le directeur des opérations de MSF, Bart Janssens. « Avec l’apparition de nouveaux foyers en Guinée, en Sierra Léone et au Libéria, le risque d’une propagation à d’autres zones est aujourd’hui réel. »

Le ministre guinéen de la Santé, Rémy Lamah, a rejeté les déclarations de MSF, déclarant qu’elles ne reflétaient pas la réalité de la situation.

« Aujourd’hui, nous avons tous nos contacts sous contrôle et nous les surveillons régulièrement », a-t-il dit.

La seule poche du pays qui reste préoccupante selon lui est une poignée de villages à la frontière du Liberia et de la Sierra Leone, où la population résiste aux efforts de lutte contre la maladie en raison de croyances traditionnelles. « Même là, nous progressons », a-t-il ajouté.

Pour l’heure, des cas ont été recensés dans une soixantaine de sites à travers les trois pays touchés.

« L’OMS, les autorités des pays touchés et des pays limitrophes doivent déployer des efforts à la hauteur de l’ampleur de cette épidémie. Il faut notamment mettre à disposition du personnel médical qualifié, organiser des formations à la prise en charge de l’Ebola et intensifier le suivi des contacts et la sensibilisation auprès des populations », a estimé Bart Janssens.

L’ONG, qui a jusqu’à présent pris en charge 470 patients, dont 215 cas confirmés, dit avoir atteint ses limites.

Il n’existe actuellement ni vaccin ni traitement pour cette maladie, une fièvre hémorragique foudroyante dont le taux de mortalité peut atteindre 90%.

(Matthew Mpoke Bigg; Simon Carraud et Jean-Stéphane Brosse pour le service français)


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