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Les crèmes antirides sont inefficaces selon « 60 millions de consommateurs »

Les crèmes antirides sont inefficaces selon « 60 millions de consommateurs »

Le 26 octobre

Caviar, grenade, acide hyaluronique, Q10… le marché du cosmétique se dispute les formules sans que celles-ci se révèlent pour autant efficaces contre le vieillissement cutané. C’est ce que dévoile une récente étude du magazine 60 millions de consommateurs.

Crèmes antirides : pas de solutions miracles

Le marketing sur les crèmes antirides est considérable, et l’effet placebo semble fonctionner. Dans son dernier numéro de novembre, 60 millions de consommateurs mène l’enquête. Le magazine classe un panel de cosmétiques antirides en fonction de leur composition et de leur efficacité.

Résultat : 7 crèmes sur 10 sont inefficaces. Aucune des crèmes testées se révèle véritablement efficace contre le vieillissement de la peau et 3, seulement, atteignent la moyenne. En tête de liste du classement, on retrouve la marque Caudalie et son « Vine[Activ] », suivie de « Nuxuriance Ultra » (Nuxe) et du « Nectar of nature des Cosmétiques » (Carrefour). 

Des crèmes à filtres UV jugées allergènes

L’enquête montre également que l’utilisation des filtres UV dans les crèmes antirides est inefficace pour se protéger du soleil. Et ces filtres UV s’avéreraient même dangereux pour la santé, potentiellement allergisants voir toxiques. 

Ainsi, se retrouvent en bas de liste le « Q10 plus antirides » de Nivea et l’ « Antirides Crème de jour » de Cien, qui contiennent tous deux des filtres UV. Quant au pot de 50 grammes de « Lift » de la marque Chanel, vendu autour de 120 euros, si celui-ci ne contient pas de produits nocifs, il se révèle pour autant inefficace.  

Anne-Flore Renard

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20 % des femmes d'origine africaine utilisent des crèmes dépigmentantes nocives

20 % des femmes d'origine africaine utilisent des crèmes dépigmentantes nocives

Le 19 février 2018

Selon la Mairie de Paris, on estime qu’environ 20 % des femmes d’origine africaine utilisent des produits contenant de l’hydroquinone, dangereuse pour leur santé.

Un produit interdit en France qui conduit au vieillissement prématuré de la peau 

La Mairie de Paris estime qu’environ 20 % des femmes d’origine africaine habitant la capitale appliquent des crèmes dépigmentantes, qui blanchissent la peau, à base d’hydroquinone. Il s’agit d’un vrai problème de santé publique : ce composant interdit à la vente libre en France conduit, en application cutanée, au vieillissement prématuré de la peau et à de multiples complications irréversibles.

En inhibant la production de la mélanine, il fait perdre à la peau sa protection naturelle contre les rayons du soleil et la rend plus sujette à certains types de cancers. Mais ce n’est pas tout. Ce produit dangereux peut aussi amincir la peau, laissant apparaître des taches foncées ou des vergetures définitives. D’autres effets secondaires sont à noter, notamment l’ochronose, une pigmentation bleuâtre ou noirâtre.

Des commerçants ignorent que la vente libre de l’hydroquinone est interdite en France

Mais malgré les risques, cette pratique reste à la mode et ce, dans tous les continents. En 2024, le marché mondial de la dépigmentation représentera plus de 31,2 milliards de dollars, selon Global Industry Analysts. Et cela peut s’expliquer par la pression sociale que subissent certaines femmes africaines. Il faut être blanche et peu importe le prix à payer : cela a même un nom.

Les Sénégalaises appellent cela le « xessal », les Camerounaises le « maquillage » et les Maliennes parlent de « tcha-tcho » Et, en France, de nombreux commerçants ignorent que la vente libre de l’hydroquinone y a été interdite, quand ils ne sont tout simplement pas au courant que leurs crèmes contiennent un tel composant. Or, il se vend de ces produits dans de nombreux quartiers à Paris.

Marie-Eve Wilson-Jamin

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Crèmes solaires : les meilleures et les pires selon « 60 Millions »

Le magazine 60 Millions de consommateurs de l’Institut national français de la consommation a évalué l’efficacité de la protection et la toxicité potentielle de 10 crèmes solaires pour adultes et 9 pour enfants.

La marque Avène (Eau thermale) arrive largement en tête, avec une note de 18/20 chez les enfants comme chez les adultes.

  • Lancaster wet skin sun for kids (9,5/20) contient de l’ethylhexyl methoxycinnamate. La présence de ce filtre UV, considéré comme un perturbateur endocrinien potentiel, « est particulièrement inacceptable> » dans un produit destiné aux enfants, estime le magazine.

  • Le spray hydratant bio Lovea Kids (6,5/20) affiche un indice qui correspond à la catégorie haute protection alors qu’il devrait être classé à faible protection.

Les crèmes solaires pour enfants n’apportent pas plus de garanties en matière de protection et de composition que les autres, précise le magazine. Pourtant, elles coûtent souvent plus cher. Toute la famille peut donc utiliser la même crème solaire.

Des crèmes pour enfants contiennent des filtres solaires qui sont perturbateurs endocriniens potentiels mais aussi des ingrédients susceptibles de provoquer des allergies au soleil (un comble pour une crème solaire !) ou des molécules parfumantes elles aussi potentiellement allergisantes.

Parmi les produits pour adultes, quatre crèmes n’obtiennent pas la moyenne :

  • Bioderma photoderm MAX brume solaire,

  • Lancaster wet skin sun sport,

  • Garnier Ambre solaire sensitive expert+ brume sèche protectrice

  • Clarins spray solaire lait fluide sécurité.

  • Les trois premiers contiennent des perturbateurs endocriniens potentiels et le quatrième affiche un indice qui correspond à une « très haute protection » alors qu’il est à la limite de la catégorie « haute protection ».

C’est le niveau de protection solaire qui doit guider le choix, souligne « 60 Millions ». Pour les enfants – comme pour les personnes à la peau et aux cheveux clairs, qui ne bronzent pas et qui prennent facilement des coups de soleil –, il faudra opter pour un produit haute ou très haute protection.

Le magazine rappelle aussi que la meilleure protection solaire reste celle conférée par les vêtements.

Crèmes solaires pour enfants : plainte pour tromperie contre 5 fabricants (UFC-Que Choisir, 2016)

Pour plus d’informations sur les crèmes solaires, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : 60 Millions de consommateurs, Doctissimo.
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Crèmes et gels au menthol contre la douleur : risque de brûlures graves (Santé Canada)

Santé Canada informe d’un « risque de brûlures cutanées graves » associé à des analgésiques topiques (crème, gel, liquide et timbre) contenant du menthol disponible en vente libre.

« Ces analgésiques sont appliqués sur la peau afin de créer une légère irritation ou une légère inflammation qui a pour but de soulager les douleurs musculaires et articulaires. Ils contiennent un ou plusieurs ingrédients actifs (…) »

« Bien qu’une légère éruption cutanée ou une légère sensation de brûlure soient des effets secondaires connus, l’utilisation de ces produits n’est généralement pas censée causer de réactions plus graves comme des brûlures cutanées, de la douleur, des cloques ou d’autres graves lésions cutanées.

Santé Canada a reçu 21 signalements d’effets secondaires graves mettant en cause des analgésiques topiques en vente libre contenant du menthol à des concentrations diverses (de 0,75 % à 11 % de menthol), comme seul ingrédient ou combiné à d’autres (généralement du salicylate de méthyle). Dans de nombreux cas, les produits ont été utilisés selon les indications, et les brûlures, enflures graves et cloques sont apparues dans les 24 à 48 heures suivant la première application.

Les données disponibles n’ont pas permis de déterminer si le risque de brûlures cutanées graves est lié à une marque, une formulation ou une concentration de menthol en particulier, ou à un ingrédient autre que le menthol. »

Santé Canada a aussi examiné le salicylate de méthyle et la capsaïcine. De graves brûlures cutanées ont aussi été signalées en lien avec des analgésiques topiques en vente libre contenant ces deux ingrédients, mais l’examen n’a pas permis de trouver suffisamment de données pour confirmer qu’ils présentent, comme seuls ingrédients, le même risque.

« Tous les analgésiques topiques contenant du menthol, du salicylate de méthyle ou de la capsaïcine procurent une sensation de chaleur ou de froid à l’endroit où ils sont appliqués », rappelle Santé Canada. Mais « ils ne devraient jamais causer de la douleur intense ni des lésions cutanées ».

« N’appliquez pas le produit sur une peau abîmée, endommagée ou irritée, et ne mettez pas de bandage serré ou de chaleur (par exemple, au moyen d’un coussin chauffant, d’une lampe ou d’une bouillotte) sur l’endroit traité », conseille l’agence.

« Cessez d’utiliser le produit et consultez un médecin sans tarder si vous présentez des réactions cutanées graves, comme de la douleur, de l’enflure ou des cloques. »

Psychomédia avec source : Santé Canada.
Tous droits réservés.

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Les crèmes solaires ne protégeraient pas des cancers de la peau

Vendredi 5 août 2016.

Selon une étude de scientifiques colombiens, les crèmes solaires ne seraient pas efficaces pour prévenir les cancers de la peau. D’après deux médecins de l’Institut d’évaluation technologique du Salut à Bogota, il n’y a pas de preuves suffisantes, à ce jour, de l’efficacité des crèmes solaires en matière de prévention des cancers de la peau.

Plus de crème solaire, plus souvent 

Mais les chercheurs d’avertir aussitôt que cela ne doit en rien changer le comportement des adeptes de la bronzette ! C’est plutôt un problème d’ordre éthique qui préoccupe ces deux chercheurs. Ils estiment en effet que l’on ne peut pas affirmer que les crèmes solaires protègent en procédant à des tests pendant lesquels certains cobayes humains sont exposés directement au soleil (en fait, des lampes UV), sans protection, et d’autres exposés à ces mêmes UV, mais enduits de crème.

Qui plus est, lors des tests, les doses de crème solaire administrées sont largement supérieures à ce que monsieur ou madame tout le monde se met sur la peau en conditions réelles, sans compter les effets du sable, de l’eau et des vêtements sur la crème. 

Il est communément admis que la plupart des personnes exposées au soleil, se pensant protégées par la crème solaire, n’en ont soit pas mis assez, soit n’en mettent pas assez souvent. 

60 % des mélanomes provoqués par l’exposition au soleil

Sachant que 60 % des mélanomes sont provoqués par l’exposition au soleil, les dermatologues continuent à recommander de se protéger du soleil avec chapeaux et vêtements, et pour les parties exposées, ou quand on est en maillot à la plage, en appliquant généreusement et régulièrement de la crème solaire, indice 50. 

À lire aussi : Bien se protéger du soleil : 20 questions-réponses

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4 crèmes solaires sur 10 inefficaces ?

Le 19 mai 2016.

 

A l’approche de l’été, une étude américaine souligne l’importance du choix d’une bonne crème solaire. En effet, 40% d’entre elles ne seraient pas aussi efficaces que ne le promet leur packaging.

 

28 crèmes solaires sur 60 ne tiennent pas leur promesse

 

Plus de 40% des crèmes solaires ne sont pas aussi efficaces que ne l’indique leur indice de protection, révèle une étude menée par l’institut d’étude américain Consumer Report. Pour parvenir à ce constat, des bénévoles se sont portés volontaires afin de tester 60 différentes lotions solaires, indiquant un indice minimal de 30, en vente aux Etats-Unis. Après avoir appliqué la crème, et s’être baignés, les testeurs se sont exposés au soleil. 

 

Résultat après bain de soleil et test : 28 d’entre elles ne tiennent pas leur promesse, qu’il s’agisse des crèmes minérales ou chimiques. Selon cette étude, les crèmes minérales composées de dioxyde de titane et de zinc sont d’ailleurs les moins susceptibles de répondre aux exigences de leur indice de protection. Les crèmes solaires chimiques, fabriquées à partir de produits tels que l’avobenzone seraient en revanche plus efficaces.

 

Une étude qui souligne l’importance de l’indice de protection

 

La différence flagrante entre l’indice de protection annoncé et l’indice réel est « une réelle source de préoccupation », a déclaré Tim Turnham, directeur exécutif de la Fondation pour la recherche sur le mélanome, après la publication de ces résultats. Le rapport « souligne l’importance de l’indice de protection à large spectre contre les UVA afin de réduire le risque de cancer de la peau et de minimiser le vieillissement prématuré de la peau », a estimé pour sa part Elizabeth Hale, vice-présidente de la Skin Cancer Foundation.

 

Comment être sûr de la qualité de la crème solaire que nous utilisons ? L’indice reste un facteur de choix, juge toutefois Elizabeth Hale qui conseille d’acheter une lotion dont l’indice de protection est supérieur à 30, de manière à compenser l’éventuelle différence entre l’indice annoncé et l’indice réel mais également pour pallier à cette mauvaise habitude qu’ont les utilisateurs de ne pas appliquer assez régulièrement de crème sur leur peau.

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On adore… Princesse des Crèmes Académie Scientifique de Beauté

C’est en 1890, aux temps des hauts-de-forme et des corsets que la marque Académie Scientifique de Beauté a vu le jour, créée par le Dr Alexandre Lamotte.

Et dès l’origine, Académie Scientifique de Beauté s’est illustée par son sens de l’innovation et sa méthode de soin en fonction des natures de peau et de leurs dysfonctionnements, chaque produit étant l’aboutissement d’une recherche scientifique intransigeante.

Cette méthode professionnelle et ce savoir-faire cosmétique se sont ensuite transmis de génération en génération, faisant d’Académie Scientifique de Beauté la plus ancienne marque française indépendante et 100% familiale.

Pour fêter ses 125 ans d’innovations cosmétiques et en hommage à Princesse des Crèmes, l’un de ses premiers succès, la marque fait renaître ce célèbre soin avec une édition collector qui sera vendu tout au long de l’année 2015.

Présentée dans son pot d’origine en opaline décoré du camée Académie Scientifique de Beauté, l’emblème d’origine de la marque en 1890, la Princesse des Crèmes version 2015 offre une formule qui combine les avancées technologiques du 21ème siècle et le lys blanc royal, l’actif phare de la formule originale.

Avec une haute concentration en actifs hydratants et anti-âge (14%), cette formule réunit à elle seule les 125 ans de savoir-faire de la marque et nous offre un soin anti-âge d’exception pour lutter de manière globale contre les signes du vieillissement.

Côté texture, c’est un baume au parfum floral boisé qui rappelle les textures du 19ème siècle mais qui a été travaillé pour se fondre rapidement à la peau.

De quoi craquer pour cette édition vintage qui nous fait voyager à travers le temps et qui témoigne en outre de l’histoire d’une marque familiale hors du commun, rare et authentique depuis 125 ans.

(Princesse des Crèmes, Edition collector Académie Scientifique de Beauté. Disponible dans les instituts de beauté et parfumeries dépositaires de la marque tout au long de l’année 2015. Pot 50ml, prix indicatif : 129 €)


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