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Danger des films et jeux en 3D pour les moins de 6 ans

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L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) vient de mettre en garde et de déconseiller l’usage de films et de jeux vidéo en trois D pour les enfants de moins de 6 ans.

A l’origine de cette restriction qui touche également les enfants de moins de 13 ans qui doivent en faire un « usage modéré », la suspicion d’effets sanitaires plus importants chez les enfants que chez les
adultes qui utilisent cette technologie.

Les enfants, en pleine croissance, auraient en effet un système visuel plus vulnérable en raison du fait qu’il n’est pas parvenu à maturité. Le 3D pourrait alors aller jusqu’à endommager la vue, ce qui a contraint de nombreux fabricants et fournisseurs proposant des produits utilisant cette technologie à alerter de leur danger potentiel.

Parmi les effets observés lors de l’utilisation de la 3D, l’apparition d’une « fatigue visuelle » pouvant conduire à des douleurs autour de l’oeil, une sensation d’oeil sec, une vision double ou encore des maux de tête. Dans d’autres cas, il peut aussi y avoir des douleurs au cou, des pertes de concentration et dans certains cas des vertiges.

Afin de limiter les effets néfastes sur la santé des produits utilisant la 3D, l’Anses recommande également aux adultes ayant des troubles de l’accommodation ou de l’équilibre de « limiter » l’utilisation de cette technologie. De la même façon, elle donne quelques conseils d’usage comme par exemple de ne pas se situer trop près des écrans, de conserver les lunettes ou les lentilles lorsque les usagers en portent et de respecter la notice d’utilisation.

Enfin, l’Anses a également souhaité avertir les créateurs sur la nécessité de limiter certains des effets produits, de viser la qualité des images. Le lancement d’études scientifiques pour mesurer l’exposition des populations à ces technologie fait aussi partie des points que l’Agence de sécurité a abordé.

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Pourquoi les graisses saturées ne représentent pas forcément le danger pour notre santé qu’on a longtemps redouté

Une nouvelle étude publiée lundi dans la très sérieuse revue Annals of Internal Medicine n’est pas parvenue à établir de lien entre consommation de graisses saturées et problèmes cardiaques. L’équipe du Dr Rajiv Chowdhury de l’université de Cambridge met en revanche en garde contre les graisses hydrogénées.

Plus des trois quarts  des patients  consultant pour cette pathologie sont demandeurs  de conseils d’alimentation spécifiques à la prévention des MCV.

C’est d’ailleurs un phénomène croissant. Pour autant il est fréquent d’entendre :

« Je sais d’accord je vais éviter le gras mais après ? »

C’est logique car la majorité d’entre nous se sentent coupable  de  manger du gras. Les plus informés sur la foi de ce qu’ils lisent évitent plus particulièrement les graisses saturées. Les patients sont au départ persuadés que l’essentiel est de manger maigre. C’est, on va le découvrir, infondé. Mais ces comportements conduisent aussi  à de grossières erreurs par substitution. Par exemple si on mange le même nombre de calories mais que l’on substitue le gras par des sucres (sucrés ou non sucrés comme les amidons) ou bien par d’autres graisses n’ayant pas un profil d’acides gras plus approprié (remplacement de l’huile d palme par l’huile de coco encore plus riche en acides gras saturés ou bien par de l’huile d e tournesol trop riche en acides gras polyinsaturés oméga 6).

Ce qu’il faut souligner c’est qu’on dispose aujourd’hui d’éléments concordants permettant d’affirmer que  la consommation de gras n’est pas un facteur prédictif de la survenue de maladies cardiovasculaires.

Alors pourquoi les scientifiques ont-ils vilipendé le gras dans le passé ?

Les liens entre alimentation et maladies sont complexes et très difficiles à analyser. Les corrélations ne sont pas des preuves de liens de causalité. Par ailleurs le gras ingéré ne se retrouve pas dans le sang mais est traité dans le foie et le cholestérol des LDL comme les triglycérides (…)lire la suite sur Atlantico

Comment les dérives autour des régimes anti-gras nous ont rendu gros et malades
Des salades pires que des burgers : comment reconnaître le gras là où il se cache vraiment
Aliments industriels : trop sucrés, trop salés, trop gras, trop tout


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L’aspartame serait sans danger… !

Selon les conclusions de l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), l’aspartame ne présenterait pas de risque pour la consommation humaine aux niveaux actuels d’exposition.

Dans un communiqué de presse publié plus tôt cette semaine, l’EFSA explique avoir réalisé la première évaluation complète des risques associés à cet édulcorant tant décrié et si souvent pointé du doigt.

Pour se faire elle a entrepris un examen rigoureux de toutes les recherches scientifiques disponibles sur l’aspartame et ses produits de dégradation, en tenant compte tant des études menées chez l’animal que chez l’homme.

La dégradation de l’aspartame dans l’intestin étant complète et très rapide, tout effet signalé comme se produisant dans le corps suite à l’ingestion d’aspartame est causé par un ou plusieurs des trois constituants suivants: acide aspartique, phénylalanine ou méthanol.

L’avis scientifique de l’EFSA s’est donc penché sur les risques possibles associés à ces trois produits de dégradation et a conclu qu’ils ne posaient pas de problème de sécurité aux niveaux actuels d’exposition.

Après une analyse approfondie, et après avoir en compte toutes les informations disponibles, le groupe scientifique ANS de l’Autorité en est arrivé à la conclusion que la dose journalière acceptable (DJA) actuelle de 40 mg/kg de poids corporel/jour constituait une protection adéquate pour la population générale.

Toutefois, chez les patients souffrant du trouble médical phénylcétonurie (PCU), la DJA n’est pas applicable car ceux-ci doivent observer un régime strict faible en phénylalanine (un acide aminé présent dans des protéines).

« Cet avis représente l’une des évaluations les plus exhaustives des risques associés à l’aspartame jamais entreprise. C’est un pas en avant qui permettra de renforcer la confiance des consommateurs à l’égard des fondements scientifiques qui étayent le système de sécurité des aliments de l’UE et la réglementation des additifs alimentaires », a déclaré le docteur Alicja Mortensen, présidente du groupe scientifique de l’EFSA sur les additifs alimentaires et les sources de nutriments ajoutés aux aliments (groupe ANS).


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L’aspartame, un additif sans danger pour la santé, selon l’Efsa

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L’Autorité européenne de sécurité alimentaire (Efsa) vient de rendre son verdict : l’aspartame ne serait pas dangereux pour la santé, à condition de respecter la dose journalière acceptable de 40 mg par kg de poids corporel. Les seules personnes pour qui ce produit est contre-indiqué sont les malades atteints de phénylcétonurie, une maladie génétique rare et grave due à un trouble du métabolisme. L’aspartame contient en effet de la phénylalanine, un composé que ne peuvent pas dégrader ces personnes.

L’Efsa avait indiqué, dès le mois de janvier 2013, dans une consultation préliminaire sur le sujet que selon les données disponibles concernant l’aspartame, il n’était pas possible de justifier d’une quelconque dangerosité de ce produit très utilisé par l’industrie agro-alimentaire si le seuil limite n’était pas dépassé.

Elle montrait dans son rapport que l’ étude italienne menée sur le long terme entre 2006 et 2010 qui avait en effet mis en évidence que la consommation d’aspartame serait cancérogène n’était pas crédible en raison de certains biais dans la méthodologie. Elle affirmait également que ces résultats étaient d’autant moins fiables que d’autres études sur différentes espèces d’animaux n’avaient montrées aucun effet nocif sur la santé.

Le rapport définitif qui devait suivre cette consultation préliminaire concernant l’innocuité ou non de l’aspartame vient donc de sortir. Selon l’Efsa l’aspartame ne présenterait aucun danger pour les consommateurs, et n’augmenterait ni les risques de dommages génétiques, ni les risques de cancer ou de troubles cérébraux. L’aspartame n’aurait pas non plus d’impact sur le comportement et les fonctions cognitives chez l’enfant et l’adulte, ni sur le développement du foetus au cours de la grossesse.

Ce verdict qui était très attendu par l’industrie agroalimentaire, qui utilise fréquemment ce produit pour sucrer les boissons ou encore certains aliments (yaourt, desserts, produits de régime etc.). Il confirme en grande partie ce qui était déjà annoncé par l’Efsa dans la consultation préliminaire.

C’est parce qu’elle était soupçonnée de céder aux pressions de l’industrie, que l’Efsa avait lancé, dés janvier 2013, une consultation publique pour finaliser les premières conclusions du rapport provisoire. Elle persiste et signe au point qu’elle soit encore une fois accusée d’avoir cédé à certaines pressions, principalement des industries agro-alimentaires.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que ces lobby expriment leur satisfaction. L’Association Internationale pour les Édulcorants, et notamment Coca-Cola, sont venus féliciter une décision qui confirme les conclusions de près de 600 travaux scientifiques sur 40 ans.

Face aux enjeux financiers majeurs sur la question de l’aspartame, on peut rester quelque peu dubitatif sur les conclusions de l’Autorité européenne de sécurité alimentaire. Une chose devrait toutefois permettre de voir si ces analyses de l’Efsa ont été faites en toute objectivité : ses conclusions doivent en effet être évaluées par la Commission européenne et par les États membres.

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La Fellation plus dangereuse que le Tabac

Non ce n’est pas une blague, c’est même le résultat d’une étude plus que sérieuse, menée entre 1974 et 2007 par le docteur Maura Gillison de l’Université de l’Ohio.

Une étude faite sur la population Américaine, faites de constatations et observations, dans l’évolution des cancers de la bouche et de la gorge. A l’issu de ces observations, le bilan est sans appelle, la fellation et le cunnilingus sont plus dangereux que le tabac dans l’apparition de cancers des zones sus nommées.

Une étude qui s’est essentiellement basée sur l’observation de la souche HPV-16 ainsi que sur les tumeurs cancéreuses de certains papillomavirus (responsables des infections sexuellement transmissibles les plus répandues et les plus présentes dans le cancer du col de l’utérus.)

Par ailleurs il est à signaler que les sujets porteurs de la souche HPV-16, ont selon le spécialiste un risque multiplié par 32, d’avoir à terme un cancer oropharyngé.

Le docteur Gillison, a notamment pu observé que les cancers de la gorge et de la cavité buccale avaient augmenté de 225% au cours de ces 15 dernières années et notamment  chez les personnes ayant des activités sexuelles buccales. Qui plus est, l’étude a démontré que le fait d’avoir des rapports buccogénitaux avec plus de 6 partenaires différents au cours de sa vie, multipliait par au moins 8, les probabilités d’avoir à terme un cancer de la bouche ou de la gorge.

Le fait d’être fumeur augmente les chances de cancers selon le docteur Gillison par 3, tandis que selon elle toujours, avoir des rapports buccogénitaux augmente les chances par 32.

Que faire pour éviter cela?

La vaccination, ainsi que la prévention reste les meilleures armes pour éviter toutes contagions.

Une vaccination qui est rendu possible, autant chez les hommes que chez les femmes, et qui protège contre 4 souches de papillomavirus, dont 2 responsables de plus de 70% des col de l’Utérus, et des verrues génitales. Par ailleurs la prévention, si cette dernière est faite lors des cours d’initiations sexuels permettrait de réduire ces pratiques visiblement dangereuses.

A noter que les rapports buccogénitaux sont particulièrement pratiqués aux États Unis, notamment chez les populations les plus « jeunes », qui voient là une pratique moins « risquée » que le sexe conventionnel.

Bonne nouvelle malgré tout, dans le cadre, où ces infections cancéreuses sont diagnostiquées suffisamment tôt, la maladie est bien souvent guérissable, et le cas échéant 90% des personnes non soignables complètement ont une espérance de vie rallongée de 5 ans voir plus sans augmentation des symptômes.

Le mieux donc en conclusion pour éviter tout risque de cancer de la bouche ou de la gorge, est donc de ne pas fumer, ni de pratiquer des activités buccogénitales, à moins bien sûr de ne pas oublier le préservatif qui reste à ce jour la meilleur protection contre la contamination de maladies sexuellement transmissibles.

Des sirops contre la toux jugés dangereux

Deux coroners ayant enquêté sur la mort de deux personnes âgées remettent en question la vente libre de la plupart des sirops contre la toux.

Le Dr Pierre Guilmette et Me Andrée Kronström s’inquiètent en effet que de nombreux sirops commerciaux contiennent du dextrométhorphane, une substance potentiellement dangereuse. Ils demandent au gouvernement du Québec d’ajouter ce produit à la liste de médicaments qui doivent être vendus derrière le comptoir, de sorte que seuls les pharmaciens en aient le contrôle. Ils invitent également ces derniers à retirer le dextrométhorphane des tablettes avant même qu’un possible changement législatif les en oblige. Le tout dans le but que «monsieur et madame Tout-le-Monde cessent de s’automédicamenter avec une telle substance», explique le Dr Guilmette, en entrevue au Soleil.

Le Dr Guilmette et Me Kronström tirent leurs conclusions de leurs enquêtes sur les morts d’Yvon Boucher, 64 ans, et Marcel D’Amour, 65 ans, tous deux décédés au printemps dernier à la suite d’une intoxication accidentelle, alors qu’ils voulaient soigner leur toux avec du sirop.

M. Boucher aurait été victime d’un malaise cardiaque ayant été causé involontairement par un cocktail dangereux, lui qui prenait déjà du Prozac pour traiter sa bipolarité et du Biaxin pour soigner sa bronchite. «Le dextrométhorphane peut produire des interactions avec une foule de médicaments, dont une grande majorité d’antidépresseurs et certains antibiotiques. Dans le cas de M. Boucher, cette combinaison s’est avérée mortelle», signale le Dr Guilmette.

Dans le cas de M. D’Amour, c’est tout simplement un surdosage qui aurait été fatal, une situation qui aurait pu être évitée s’il avait obtenu les conseils d’un pharmacien, soutient la coroner Kronström.

L’Office des professions ainsi que l’Ordre des pharmaciens du Québec assurent qu’ils vont s’attarder aux conclusions du rapport des coroners, mais il est encore trop tôt pour savoir si les sirops contenant du dextrométhorphane seront retirés des tablettes. «Il faut trouver le juste milieu», tempère la présidente de l’Ordre des pharmaciens, Diane Lamarre. Elle souligne que le Québec est déjà plus restrictif que d’autres provinces, où l’on peut se procurer le médicament dans les épiceries et les stations-services.

Mme Lamarre considère par ailleurs qu’il est pratique pour bien des personnes d’avoir accès à ce type de produit sans avoir à se présenter à un comptoir de pharmacie. «Le médicament qui cause le plus de mortalité par intoxication, c’est l’acétaminophène [Tylenol]. Or, personne ne demande à ce que tous les acétaminophènes ou anti-inflammatoires soient retirés des tablettes», dit-elle, en ajoutant que les pharmaciens sont déjà en train de réfléchir à des mesures concrètes pour alerter les patients à propos des risques de certains produits en vente libre.

Les sirops contenant du dextrométhorphane affichent parfois l’abréviation «DM» dans leur appellation, mais il vaut mieux consulter la liste des ingrédients sur l’étiquette du flacon.

Une substance inefficace?

Le Dr Pierre Guilmette soutient que même après 60 ans d’utilisation, l’efficacité du dextrométhorphane n’a jamais été démontrée. Il s’appuie sur des études récentes ayant comparé l’emploi de ce médicament contre un placebo et du miel, et où ce dernier se serait avéré le meilleur pour contrôler la toux. «C’est bien certain que dans mon rapport, je fais mention du fait que cette substance est inutile, à tout le moins dangereuse, et puis les gens pourront tirer leurs propres conclusions», prévient-il.

Si les chercheurs sont unanimes à l’égard de l’inefficacité du dextrométhorphane chez les enfants de moins de six ans, Diane Lamarre affirme pour sa part qu’il n’y a pas de consensus pour le reste de la population. Chose certaine, et le Collège des médecins va dans le même sens, c’est que les médicaments sous forme liquide comme les sirops sont souvent banalisés, de sorte que les gens sous-estiment souvent la posologie suggérée.

Alerte neige et verglas : les conseils des Québécois pour conduire sans danger

Météo France l’a annoncé : la vigilance orange a été déployée pour le nord et le centre de la France lundi soir pour cause de chutes importes de neige et de présence de verglas. Alors que l’organisme de prévisions météorologiques préconise d’être très prudents et vigilants si vous devez vous déplacer en voiture, voici quelques « trucs et astuces » primordiaux pour conduire de manière raisonnable et sans danger sur les routes verglacées ou enneigées.

Adapter sa vitesse et sa conduite

Le premier conseil est de conduire en souplesse, et d’adapter sa vitesse aux conditions météorologiques. Sur routes enneigées, ne dépassez pas les 30 km/h. Au-delà, la conduite devient très dangereuse. Pensez à augmenter les distances de sécurité car la réaction de votre véhicule est très différente de l’ordinaire : c’est pourquoi il faut impérativement adopter une conduite fluide et sans à-coups. Accélérer avec une grande douceur, comme s’il y avait « un œuf entre votre pied et la pédale d’accélérateur ». L’idéal est de rouler en sous-régime, en choisissant un rapport de boîte de vitesses supérieur à celui que vous utiliseriez normalement, pour éviter aux roues de patiner.

Attention toute fois à ne pas conduire trop lentement, ce qui pourrait inciter des conducteurs à vous dépasser en empruntant une voie non déneigée.

Savoir anticiper le verglas

Contrairement à la neige, dont la présence ne laisse aucun doute, le verglas est plus sournois, et donc d’autant plus dangereux. Apprenez à bien observer le thermomètre de votre voiture. S’il indique une température proche de zéro il faut commencer à être vigilant. Il faut également savoir où se cache le verglas : dans les zones ombragées, près des forêts, des rivières, sous les ponts et les échangeurs d’autoroutes…

Préparer son voyage en s’inspirant du Québec

Si vous devez effectuer un grand trajet, il est bon de vous préparer à toutes les éventualités… faites comme les québecois ! Sur le site du Grand Québec, on trouve quelques bon conseils pour les conducteurs prêts à affronter les routes enneigées « Pendant l’hiver, il est très recommandable d’avoir dans la voiture une bougie, un briquet ou des allumettes, une couverture, une lampe de poche, une pelle et une raclette pour dégager les vitres de votre véhicule. » Et le site de préciser qu’il faut adopter des pneus adéquats durant la période hivernale… « du 15 octobre au début mai » !

Ne freinez pas !

Si vous perdez le contrôle de votre véhicule, il n’y a malheureusement pas grand-chose à faire… Si l’avant ou l’arrière de votre voiture se dérobe, ne freinez pas ! Débrayez pour faire tourner les quatre roues à la même vitesse, sans contrainte, et braquez en fixant la route le plus loin possible devant vous. En temps normal, utilisez le plus possible le frein moteur, si jamais vous devez freiner en urgence, « pompez » c’est-à-dire pressez doucement puis relâchez en partie la pédale de frein, et ce à plusieurs reprises.

Pourquoi pas une séance d’entraînement ?

Le plus important est de ne pas se laisser gagner par la confiance qui entraîne une accélération de la vitesse et une prise de risques inopportune. Pour bien maîtriser votre véhicule et réagir en conséquence, le mieux est peut-être encore de s’entraîner en conditions réelles ! Il existe de nombreuses écoles de conduite sur chaussée glissante dans les stations de ski. Si les prix ne sont pas donnés, ils restent tout de même beaucoup plus abordables qu’une voiture neuve…

Aspartam : un édulcorant sans danger selon l’Autorité européenne de sécurité des aliments

Aspartam : un édulcorant sans danger selon l'Autorité européenne de sécurité des alimentsAvant un rendu final en mai, l'autorité européenne de sécurité des aliments a livré un pré-rapport public dans lequel elle affirme que les doses maximales journalières d'aspartam en vigueur sont parfaitement suffisantes. Un bémol a été néanmoins mis sur le cas des femmes enceintes atteintes de phénylcétonurie, une maladie qui empêche d'assimiler la phénylalanine, un des composants principaux de l'édulcorant controversé.



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