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Des chercheurs découvrent un gène clé dans l’apparition du cancer

SANTÉ – Bloquer son action pourrait avoir un impact direct sur l’apparition de tumeurs cancéreuses…

C’est l’un des mystères que la recherche contre le cancer tente de résoudre. Comment une protéine, le TGF-bêta, a-t-elle la double faculté d’empêcher dans certains cas l’apparition du cancer et dans d’autres d’encourager sa progression agressive? Les chercheurs du Comprehensive Cancer Center de l’Université du Michigan pourrait bien l’élucider. Les scientifiques ont découvert un gène clé, le BUB1, qui pourrait expliquer ce paradoxe et, à terme, permettre d’élaborer un traitement ciblé.

Une découverte inattendue

Connu pour être un surpresseur de tumeur, le TGF-bêta est un régulateur négatif de la prolifération cellulaire. En clair, un surpresseur de tumeur empêche les cellules de devenir malignes. Problème: il arrive que sa fonction se retourne et qu’il devienne un accélérateur de la tumeur, favorisant la croissance agressive et la propagation du cancer. L’étude, publiée dans Science Signaling révèle que les chercheurs ont identifié BUB1 comme un gène clé impliqué dans la régulation des récepteurs de TGF-bêta.

«Nos données sur ce gène sont complètement inattendues», explique le directeur de l’étude Dr Alnawaz Rehemtulla, radio-oncologue et codirecteur du Centre d’imagerie moléculaire à l’Université du Michigan. «BUB1 est bien connu pour son rôle dans la division cellulaire. Mais c’est la première étude qui le lie au TGF-bêta. Nous pensons que cela peut expliquer le paradoxe du TGF-bêta en tant qu’accélérateur et surpresseur de tumeur», ajoute-il.

L’équipe de chercheurs de l’Université du Michigan a développé une méthode de dépistage et découvert que le BUB1 jouerait un rôle important dans la manière dont agit le TGF-bêta.

Sur la voie d’une solution

L’étude a démontré que le gène BUB1 avait une influence directe sur la prolifération de cellules cancéreuses agressives (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

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Les jeunes découvrent la boisson avant la cigarette

Ce qui n’est au départ qu’un verre par-ci par-là, au début de l’adolescence, augmente par la suite en fréquence.

Avant même leur entrée au collège, «plus de la moitié des élèves de sixième déclarent avoir déjà bu une boisson alcoolisée», constatent les auteurs d’une des études du BEH (Bulletin épidémiologique hebdomadaire). Et bien sûr plus on avance dans la scolarité, plus le nombre de jeunes concernés augmente. Si 59 % des élèves de sixième déclarent avoir testé une boisson alcoolisée, «cela concerne 83 % des élèves de troisième et enfin 93 % de ceux de terminale», précise ainsi l’étude.

Ce qui n’est au départ qu’un verre par-ci par-là – plutôt de cidre ou de champagne au début de l’adolescence – augmente par la suite en fréquence. Les jeunes buvant régulièrement (au moins dix fois dans le mois qui a précédé l’enquête) sont à peine 3 % en quatrième et passent à 27 % à la fin de leur scolarité. «Les niveaux de fréquence se stabilisent à partir de la première», précisent d’ailleurs les auteurs de l’étude. Dès lors, les jeunes abandonnent le cidre – plutôt doux – et le champagne sans doute lié aux fêtes de famille pour passer à la bière et surtout aux alcools forts. Cet accroissement de la consommation s’accompagne également d’excès. S’ils sont déjà 17 % en classe de quatrième à avouer avoir été ivre, cela concerne 69 % des élèves de terminale.

La consommation d’alcool chez les jeunes varie également en fonction du sexe, du niveau scolaire et – pour les lycéens – du niveau de diplôme des parents. Ainsi les filles boivent-elles moins que les garçons et les bons élèves moins que ceux en retard dans leur scolarité. Par ailleurs, «les lycéens dont les parents ont fait des études supérieures présentent des fréquences d’usage régulier d’alcool plus importantes que leurs homologues dont les parents ont un diplôme inférieur au bac», soulignent les chercheurs.

Ces derniers reconnaissent bien volontiers certains biais à ces statistiques. Ils notent ainsi que la notion (…)

Lire la suite sur Figaro.frH5N1: marchés de volailles à haut risque
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