Archives par mot-clé : demande

L’ass. québécoise de la maladie de Lyme demande la révision des protocoles médicaux

Une centaine de personnes touchées par la maladie de Lyme se sont rassemblées le 3 juin à Québec afin d’« ouvrir les yeux de la population et des autorités publiques face à cette maladie qui est en progression au pays », rapporte Radio-Canada.

« Le meilleur moyen de se protéger contre cette maladie-là, c’est de savoir qu’elle existe », souligne Annie Roussy, vice-présidente de l’Association québécoise de la maladie de Lyme qui organisait l’événement.

Mme Roussy, comme d’autres participants, rapporte qu’obtenir un diagnostic de maladie de Lyme relève d’un parcours du combattant au Québec et au Canada.

L’Association réclame une révision des protocoles québécois et canadien pour la détection de la maladie, qui est parfois confondue avec d’autres conditions médicales.

Des citoyens convaincus d’avoir la maladie de Lyme se rendent parfois aux États-Unis pour obtenir leur diagnostic. C’est justement ce que Mme Roussy a fait, tout comme son conjoint et son fils ; ils avaient tous les trois reçu un diagnostic négatif lors de leurs tests au Québec.

Un autre problème relevé par l’Association concerne le traitement de la maladie. Les traitements antibiotiques offerts par certains médecins ne seraient pas assez longs pour venir à bout des symptômes.

Selon le ministère de la Santé, la présence de tiques infectées par bactérie Borrelia burgdorferi est la plus importante dans le nord et l’ouest de l’Estrie ; une grande partie de la Montérégie ; le sud-ouest de la région de la Mauricie-et-Centre-du-Québec ; le sud-ouest de l’Outaouais. (Selon une mise à jour du 29 mai 2017.)

Pour plus d’informations sur les tiques et la maladie de Lyme, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Radio-Canada, ministère de la Santé, Ass. québécoise de la maladie de Lyme.
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Alzheimer : comment parler à quelqu’un dont on se demande s’il commence à présenter des symptômes de la maladie

En France, d’après l’OMS, près d’un million de personnes seraient touchées par Alzheimer et les maladies apparentées. D’après un comité de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT), des avancées considérables pourraient être réalisées autour de cette maladie.

Atlantico : Ce 21 septembre, c’est la Journée de lutte contre Alzheimer. Selon le comité du MIT, cette maladie présente de « réelles opportunités de progrès », en quoi ? Où en sont les recherches ?

France Alzheimer : Malheureusement, toute pathologie, par la mobilisation scientifique qu’elle suscite, reste paradoxalement à l’origine de « réelles opportunités de progrès ». Par ailleurs, par sa logique transversale, la maladie mobilise de nombreuses disciplines scientifiques. Les innovations sont possibles. Elles sont même prévisibles. Les questions qui se posent aujourd’hui sont plurielles et, par conséquent, les réponses à apporter sont autant d’innovations et de progrès envisageables. Pour y répondre, chacun doit faire preuve d’esprit d’innovations (chercheurs, soignants, aidants, industriels etc.).
Pour illustrer cet engagement nécessaire pluriel :
– la nécessité de pouvoir détecter les lésions cérébrales dans la maladie a fortement poussé l’innovation en imagerie cérébrale (marqueurs amyloides et Tau aujourd’hui encore réservés à la recherche)
– le champs des nouvelles technologies tente d’apporter des aides adaptées aux familles et aux personnes malades avec en ligne de mire, la préservation de l’autonomie et de la qualité de vie des personnes.
Cette liste est, bien entendu, loin d’être exhaustive.
Les axes de recherches sont aujourd’hui multiples. En ce qui concerne la recherche fondamentale, l’attention de la communauté scientifique se porte notamment sur la compréhension des mécanismes de développement de la maladie d’Alzheimer.

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L’ONU demande de cesser de poursuivre les séropositifs en justice

L’ONUSida, le programme des Nations unies qui lutte contre la propagation du virus du sida lance cette semaine une campagne zéro discrimination avec en ligne de mire l’élimination de la stigmatisation, des lois et des pratiques punitives.  

Dans le rapport 2013 de l’ONUSida), on relève que 63 pays disposent d’au moins une juridiction qui autorise à poursuivre en justice les personnes séropositives sous certaines conditions. Dans les cas où le porteur du virus ne prévient pas son partenaire et qu’il lui transmet le virus, il encourt des poursuites criminelles, même si un préservatif a été utilisé. Le New Scientist rappelle qu’aujourd’hui 76 pays criminalisent les relations avec les personnes de même sexe et que dans ces pays un malade sur sept ne bénéficie pas de soins de santé.

Sur Slate.com, Joshua Keating explique que ces lois et ce genre de persécutions vont à l’encontre de la lutte contre la pandémie du virus puisqu’elles engendrent un climat de peur et découragent les séropositifs à chercher un traitement.

Certains pays ont commencé à réviser leurs lois, ou à les suspendre leur application comme par exemple le Danemark. En 2011, le royaume a annoncé qu’il suspendait l’application de l’article 252 de son code pénal qui punissait le fait de courir le risque de transmettre le virus du sida.

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Sanofi retire la demande d’enregistrement de lixisénatide aux USA

Sanofi retire la demande d’enregistrement de lixisénatide aux USA

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Sanofi a décidé de retirer la demande d’enregistrement de lixisénatide aux États-Unis. Le groupe pharmaceutique français estime que la communication publique potentielle de données intermédiaires demandée par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux pourrait compromettre l’intégrité du déroulement de l’étude ELIXA (Evaluation of LIXisenatide in Acute coronary syndrome) en cours.

Sanofi a décidé de retirer la demande d’enregistrement de lixisénatide aux Etats-Unis, qui comprenait les résultats préliminaires de l’étude ELIXA (Evaluation of LIXisenatide in Acute coronary syndrome), actuellement en cours, pour évaluer l’impact cardiovasculaire (tels que les patients ayant récemment subi un événement coronarien aigu).

Cette décision n’est pas liée à des questions de tolérance ou à des lacunes dans la demande d’enregistrement. La décision de retirer la demande d’enregistrement de lixisénatide, un agoniste des récepteurs du GLP-1 (« glucagon-like peptide-1 ») autorisé en Europe pour le traitement des patients atteints de diabète de type 2, est la conséquence d’échanges avec l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) à propos de l’évolution de son processus d’examen des données intermédiaires.

La communication publique potentielle de données intermédiaires pouvant compromettre l’intégrité du déroulement de l’étude ELIXA en cours, Sanofi considère que la meilleure option serait de demander l’évaluation de lixisénatide par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux sur la base des résultats complets de l’étude « Evaluation of LIXisenatide in Acute coronary syndrome » (ELIXA) plutôt que sur la base des résultats intermédiaires.

Le groupe pharmaceutique français prévoit de déposer une nouvelle demande d’enregistrement en 2015, une fois l’étude ELIXA CV terminée.

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Bisphénol A : une pétition demande son interdiction dans les jouets

Cela fait des années que des associations de consommateurs dénoncent la présence de perturbateurs endocriniens et se battent pour leur interdiction dans les objets utilisés pour les enfants. Alors que le bisphénol A a été interdit dans les biberons, les jouets ne seraient pas encore soumis à une règlementation.

Devant ce flou législatif, une enquête de l’UFC-Que choisir avait alerté fin 2011 sur la présence de produits à la toxicité reconnue dans les jouets des tout-petits, notamment des dérivés du pétrole et des composés chimiques.

Aujourd’hui, c’est la Toile qui se mobilise en signant une pétition en ligne lancée par Women in Europe for a common future (WECF) un réseau d’organisations féminines internationales. « Les enfants sont en contact rapproché et permanent avec [les perturbateurs endocriniens comme le bisphénol A], explique la pétition. Ils sont susceptibles de les mettre à la bouche et leur peau est plus réceptive aux substances toxiques ».

Les auteurs de la pétition dénoncent aussi le manque de transparence dans l’étiquetage des jouets dont la composition n’est souvent pas indiquée. Ils demandent aux ministères de l’Ecologie et au ministère de la Santé de faire bouger la règlementation européenne pour interdire enfin les perturbateurs endocriniens.

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Le CICR demande le transfert de six détenus palestiniens

GENEVE (Reuters) – Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a appelé mardi Israël à transférer d’urgence à l’hôpital six détenus palestiniens qui observent une grève de la faim pour protester contre le système de détentions administratives. Contesté par les organisations de défense des droits de l’homme, le placement en détention administrative permet aux autorités israéliennes de garder indéfiniment un détenu sous les verrous en l’absence de procédures judiciaires. …
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L’Afssaps confirme la demande de retrait de deux médicaments

PARIS – Après le Mediator, la commission d’autorisation de mise sur le marché (AMM) des médicaments demande le retrait de deux nouveaux médicaments, le Fonzylane et le Nizoral, a-t-on appris samedi auprès de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), confirmant une information du « Figaro ».
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