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Panne d’érection: origine et gestion

Qu’elles soient très rares ou récurrentes, les pannes d’érection plongent souvent les deux partenaires dans l’embarras. En plus d’être frustré, l’homme se sent atteint dans sa virilité et il est délicat pour la femme d’adopter la bonne attitude, de prononcer les bons mots, sans vexer son partenaire. Le tout semble être de relativiser. Oui, mais comment ?

A quel âge surviennent les premières difficultés d’érection?

Après la quarantaine, mais surtout après la cinquantaine, un homme sur trois, voire un sur deux, se dit concerné par un problème d’impuissance. L’envie est intacte, mais cela fonctionne beaucoup moins bien. Avant de tirer des conclusions hâtives, il faut se poser trois questions : s’agit-il d’un trouble ponctuel ? Se réveille-t-on le matin avec le sexe dur ? Est-il possible d’avoir une érection dure au cours de la masturbation ou bien en regardant des images excitantes ? Si tel est le cas, tout va bien, le système physiologique fonctionne, avec le temps, tout va se débloquer. Sinon, il faut rechercher les causes de l’insuffisance érectile, souvent des anomalies physiologiques, associées à de l’hypertension ou du diabète et amplifiées par la prise de leur traitement.

Comment gérer la panne?

Pour la femme, le principal est de ne pas commettre d’impair. Les unes ont tendance à prendre les choses avec humour – à éviter, le rire peut être pris pour une forme d’humiliation ou de moquerie. D’autres minimisent le problème… L’homme se sent alors incompris, il pense que sa partenaire est indifférente. Certaines consolent leur compagnon, ce n’est pas bon non plus, il ne veut surtout pas qu’on l’infantilise. D’autres manifestent leur déception, au risque de générer de la panique : « J’ai peur de ne pas y arriver, donc je n’arrive plus à bander ». La meilleure solution ? Celle préconisée par les sexologues, l’égoïsme partagé ! En cas de panne d’érection, il faut penser à soi, prendre le plus de plaisir possible malgré la situation, insister sur les préliminaires, les caresses, le sexe oral. Cela peut débloquer la situation et relativiser la situation.

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Ritaline : risque rare d’érection longue et douloureuse

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Les médicaments à base de méthylphénidate, comme la ritaline, qui est indiquée dans la prise en charge des troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité chez l’enfant de six ans et plus pourraient dans des cas rares conduire à développer un priapisme, à savoir une érection anormalement longue et douloureuse. Telles sont les résultats publiés par l’Agence américaine du médicament.

Alors que l’utilisation de médicaments comme le Concerta ou encore la Ritaline est en forte augmentation (+18 % entre 2008 et 2010), une alerte vient d’être donnée concernant le risque de développement d’un priapisme. Bien que cette maladie soit extrêmement rare, elle est grave puisque pour 2 cas sur 15 identifiés aux États-Unis, une intervention chirurgicale au niveau du pénis a été nécessaire.

Les conclusions de l’Agence américaine du médicament, la Food and Drug Administration sont sans appel, l’utilisation du méthylphénidate semble rare mais sévère. Un examen minutieux de la littérature visant à quantifier le nombre de patients ayant déclaré un ou plusieurs problèmes de dysfonction sexuelle en association avec l’usage du méthylphénidate révèle en effet 15 cas de priapisme (entre 1997 et 2012) liés à l’utilisation de ce médicament, dont 12 étaient âgés de moins de 18 ans. Ce nombre est à mettre en rapport avec les 20 millions de prescriptions (pour 3,9 millions de patients).

Déjà mis en évidence par l’Agence française du médicament, le priapisme ou encore les troubles visuels et du contrôle des impulsions associés à l’utilisation de médicaments à base de méthylphénidate sont des risques très rares à prendre au sérieux, ce qu’a fait la FDA en demandant la mise à jour des notices de ces médicaments avec la mention de ce risque.

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