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Une deuxième marque de préservatifs remboursée par la Sécurité sociale

Une deuxième marque de préservatifs remboursée par la Sécurité sociale

Le 5 mars 2019.

Depuis le lundi 4 mars 2019, sur prescription médicale, la marque de préservatifs « Sortez couverts ! » est la deuxième à pouvoir être en partie remboursée par la Sécurité sociale.

Les préservatifs « Sortez couverts ! » désormais remboursés par la Sécurité sociale

« Zéro nouvelle infection à VIH et l’élimination des IST en tant que problèmes majeurs de Santé publique en 2030 ». C’est l’objectif de la stratégie nationale de Santé 2018-2022 du gouvernement, qui veut lutter contre la hausse des infections sexuellement transmissibles (IST) en misant sur la prévention. 

Après la marque « Eden » de Majorelle en décembre dernier, la Haute Autorité de Santé (HAS) a autorisé l’inscription de la marque de préservatifs « Sortez couverts ! » sur la liste des produits pouvant bénéficier d’un remboursement par la Sécurité sociale.

Des préservatifs prescrits sur ordonnance remboursés à hauteur de 60% 

Vendus 2 € la boîte de 12, les préservatifs « Sortez couverts ! » du fabricant Polidis sont ainsi remboursés depuis le lundi 4 mars 2019 à hauteur de 60%, sur présentation obligatoire d’une ordonnance délivrée par un médecin ou une sage-femme.

La HAS rappelle sur son site que le préservatif est « la seule méthode efficace contre les IST, y compris le sida ». Les IST peuvent avoir de graves conséquences sur la santé et ne sont pas toujours détectées, notamment chez les jeunes qui sont particulièrement touchés. Pourtant, un jeune sur deux n’utiliserait pas de préservatifs. La HAS recommande également un dépistage systématique de l’infection à Chlamydia trachomatis, l’une des IST les plus courantes en France chez les jeunes femmes de 15 à 25 ans sexuellement actives, et qui passe souvent inaperçue.

Aurélie Giraud

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La rougeole fait une deuxième victime depuis le début de l’année

La rougeole fait une deuxième victime depuis le début de l’année

Le 28 juin 2018.

La rougeole a fait une deuxième victime cette année. L’épidémie se poursuit, principalement en Nouvelle-Aquitaine où ont été déclarés 57% des cas.

La rougeole fait une deuxième victime

La rougeole a fait une nouvelle victime en France. Mercredi 27 juin, Santé Publique France a annoncé le décès d’un patient de 26 ans, mort des suites de sa maladie. L’agence fait par ailleurs état d’une seconde personne, également malade de la rougeole, dont le pronostic est « réservé ». Ni la région, ni le sexe de ces deux patients n’ont été précisés.

C’est la deuxième personne qui meurt de la rougeole cette année. Santé Publique France rappelle en effet qu’une femme de 32 ans est décédée, dans les mêmes conditions, au CHU de Poitiers, en février dernier.

La Nouvelle-Aquitaine, région la plus touchée par la rougeole

« Après avoir diminué entre 2012 et 2016, le nombre de cas de rougeole augmente de manière importante depuis novembre 2017. Cette situation est la conséquence d’une couverture vaccinale insuffisante chez les nourrissons, les enfants et les jeunes adultes. La très nette augmentation du nombre de cas depuis novembre 2017 en Nouvelle-Aquitaine se prolonge en 2018, avec la survenue de plusieurs foyers épidémiques dans cette région ainsi que dans d’autres régions françaises », note l’organisme.

Le 26 mars dernier, Santé Publique France révélait que 1.232 personnes avaient contracté la rougeole depuis le 6 novembre 2017. Si 69 départements sont touchés, c’est la région Nouvelle-Aquitaine qui compte le plus de malades (57% des cas).

Gaëlle Latour

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Un deuxième coeur artificiel Carmat implanté en France

Cette bioprothèse de haute technologie a été implantée sur un patient au centre hospitalier universitaire de Nantes il y a quelques semaines.

Un deuxième coeur artificiel Carmat, une bioprothèse de haute technologie, a été implanté sur un patient au centre hospitalier universitaire de Nantes il y a quelques semaines, huit mois après une première implantation réalisée à Paris, rapportent jeudi des médias.

« Tout se serait très bien passé, mais on ne sait rien du patient », relève Libération sur son site internet qui, comme France Inter, fait état de cette nouvelle intervention faite « dans la plus grande discrétion ». Interrogé par l’AFP, le CHU de Nantes s’est refusé à tout commentaire, renvoyant sur le fabricant et concepteur du coeur, la société française Carmat. « Il n’y aura aucune déclaration de Carmat », a pour sa part indiqué une porte-parole de l’entreprise à l’AFP.

D’après Libération, cette opération a été menée par l’équipe du Pr Daniel Duveau. Ce dernier était l’un des chirurgiens seniors présents, avec le professeur Christian Latrémouille, lors de la première implantation d’un coeur artificiel Carmat à l’hôpital Georges-Pompidou à Paris le 18 décembre 2013, ajoute le quotidien.

Reprise des essais

Le premier malade, âgé de 76 ans, Claude Dany, souffrait d’une grave insuffisance cardiaque. Il est mort 75 jours après la pose de la bioprothèse. Une défaillance technique de l’appareil avait alors été évoquée pour expliquer ce décès. Après sa mort le 2 mars, la société Carmat avait précisé qu’elle maintenait son programme d’essais comprenant quatre patients « au pronostic vital engagé à brève échéance ». Elle avait ensuite annoncé le 16 juillet avoir été autorisée à reprendre les essais de son coeur artificiel.

Le comité de protection des personnes, le comité de sécurité ainsi que les autorités réglementaires ont émis un avis favorable à la reprise du recrutement des trois (…)

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Coronavirus: un deuxième cas en France

Il s’agit d’un homme de 50 ans qui a partagé la chambre du premier malade avant l’apparition des symptômes.

Le ministère de la Santé a confirmé, au beau milieu de la nuit de samedi à dimanche, l’existence d’un deuxième cas d’infection par le nouveau coronavirus (NCoV). La personne touchée par cet agent pathogène proche du sras (syndrome respiratoire aigu sévère, responsable de 800 morts dans le monde en 2003) est un homme de 50 ans qui a partagé pendant quatre jours, à l’hôpital de Valenciennes, la chambre du premier malade – un sexagénaire ayant voyagé à Dubaï du 9 au 17 avril.

Il a été transféré hier en réanimation, en raison d’une «aggravation de son état clinique», a annoncé le CHRU de Lille où il est hospitalisé sans être toutefois placé sous assistance respiratoire, comme le premier malade dont l’état de santé «s’est stabilisé mais reste sérieux».

En revanche, les quatre autres cas suspectés de contamination (un médecin de Valenciennes, deux membres du centre hospitalier de Douai et un jeune homme appartenant à la famille du premier malade) se sont avérés négatifs au vu des résultats communiqués ce week-end par l’Institut Pasteur.

Toutes les personnes ayant côtoyé ces deux patients font l’objet d’une surveillance rapprochée des autorités sanitaires, a indiqué dimanche Marisol Touraine, lors d’une conférence de presse. «Nous faisons en sorte d’avoir des contacts avec toutes les personnes qui les ont approchés, a déclaré la ministre de la Santé. Nous sommes d’une très grande vigilance», même si «les médecins considèrent qu’il n’y a pas lieu d’avoir une inquiétude excessive».

Porter un masque en cas de symptômes

Deux enquêtes épidémiologiques supplémentaires ont en effet été diligentées par l’Institut national de veille sanitaire (InVS) en plus de celle lancée mardi dès la confirmation du premier cas d’infection en France. Elles concernent l’entourage du second malade ainsi que «des personnes qui ont participé au voyage organisé dans la péninsule arabique (…)

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Le Québec, deuxième au monde (avec le Canada) en dépenses de médicaments: comment l’expliquer?

Les dépenses en médicaments au Canada ont atteint 32 milliards $ en 2011, soit une hausse de 4 % par rapport à 2010 et l’équivalent de 929 $ par personne, selon un rapport de l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS). Ce qui représente 16% des dépenses de santé, soit le même pourcentage qu’il y a 10 ans.

Ces dépenses par habitant étaient de 575,49 $ en Colombie-Britannique, 785 $ en Ontario, 912,46 $ au Québec et 984,67 $ en Nouvelle-Écosse.

Le Canada (dont le niveau par habitant est très proche de celui du Québec) se situe au deuxième rang des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), après les États-Unis (1145 $), et avant la France (767 $) qui est pourtant un pays reconnu pour être très grand consommateur de médicaments.

Va-t-il de soi que les dépenses en médicaments doivent être aussi élevées?

Alors qu' » »on parle beaucoup des firmes de génie-conseil ces temps-ci » » au Québec, écrivait Lysiane Gagnon dans La Presse en octobre 2011, «  »on devrait peut-être aussi s’interroger sur l’influence qu’ont les grandes compagnies pharmaceutiques sur les décisions gouvernementales » ». Elle posait cette question dans le contexte des sujets controversés du moment qui étaient ceux de la vaccination pour la prévention du cancer de l’utérus et du remboursement du Lucentis, médicament extrêmement coûteux contre la dégénérescence maculaire. La question mérite en effet d’être posée.

Par ailleurs, des spécialistes alertent régulièrement sur des niveaux déraisonnables de prescriptions de certaines classes de médicaments dont les antidépresseurs sont un exemple avec des prescriptions concernant plus de 10% de la population en Europe et en Amérique. Et ce, malgré que plusieurs études aient montré depuis quelques années que ces derniers sont inefficaces pour les dépressions légères à modérées.