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L’obésité en voie de devenir la 2e cause évitable de cancer (voyez le top 5)

L’excès de poids est en voie de devenir la 2e principale cause évitable du cancer après le tabagisme au Canada, selon une étude financée par la Société canadienne du cancer (SCC) et publiée en mai dans la revue Preventive Medicine.

Plus d’un Canadien adulte sur deux présente un excès de poids, lequel accroît le risque d’au moins 13 types de cancer, dont ceux du sein, colorectal, de l’endomètre et de l’œsophage.

L’étude, menée par la Dre Christine Friedenreich de l’Université de Calgary et ses collègues, estime les fardeaux actuel et futur de plus de 30 types de cancers causés par plus de 20 facteurs de risque modifiables.

Selon les résultats, jusqu’à 4 cas de cancer sur 10 pourraient être prévenus. Les cinq principales causes évitables sont :

  • le tabagisme ;
  • l’inactivité physique ;
  • l’excès de poids ;
  • la faible consommation de fruits ;
  • le soleil.

Si nous n’agissons pas maintenant, près de 60 % des cas de cancer additionnels seront dus à des causes évitables d’ici 2042. Le nombre de cas de cancer dus à l’excès de poids triplera presque, passant de 7200 à 21 000.

« Les causes de l’excès de poids sont complexes et regroupent des facteurs sociaux, économiques, physiologiques, environnementaux et politiques. Aucune politique unique ne permettra d’endiguer d’elle-même l’augmentation de l’incidence de l’embonpoint et de l’obésité au Canada. La SCC croit qu’une stratégie sociétale complète est nécessaire et que les Canadiens devraient demander à leur médecin quel poids santé leur convient. » (CALCUL de votre poids santé)

« Grâce aux résultats de cette étude, nous savons où concentrer nos efforts de prévention du cancer », souligne la Dre Leah Smith de la SCC.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Bulletel (Faculté de médecine, McGill).
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En Belgique, des salariés des banques sont incités à devenir aides-soignants ou infirmiers

En Belgique, des salariés des banques sont incités à devenir aides-soignants ou infirmiers.

Alors que le secteur bancaire est contraint de réduire ses effectifs, les métiers de la santé peinent à recruter. Un accord va faciliter les transferts entre les deux secteurs, a rapporté L’Echo belge, relayé par Le Monde et Le Figaro.

Pour encadrer cette mobilité, la Fédération belge du secteur financier (Febelfin) vient de signer un protocole avec plusieurs syndicats.

Le protocole inclut l’offre d’une formation adéquate et, si le travailleur le souhaite, la conclusion d’un nouveau contrat auprès d’un nouvel employeur.

Le secteur de la santé proposera aux salariés des banques d’entamer une formation d’infirmier ou d’aide-soignant à partir de septembre 2019. « Une rémunération sera versée pendant le temps de cette formation, prise en charge pas le futur employeur, avec l’aide du fonds social de formation pour le secteur de la santé », précise Rodolphe de Pierpont, président de la Febelfin.

« Après la santé, c’est le secteur de la logistique, dynamisé par l’essor de l’e-commerce, qui démarrera prochainement des discussions avec la Fédération belge du secteur financier », rapporte Le Monde. « Une première campagne d’information sera lancée en mars prochain et les premières formations devraient démarrer en septembre 2019 », précise Le Figaro.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Echo.be, Le Monde, Le Figaro.
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Une alimentation faible en glucides peut raccourcir la vie à moins de devenir végétarien

Consommer des glucides avec modération semble être optimal pour la santé et la longévité, suggère une nouvelle étude publiée dans la revue Lancet Public Health.

L’étude observationnelle de plus de 15 400 personnes montre que les régimes alimentaires faibles (moins que 40 % des calories) et élevés (plus de 70 % des calories) en glucides sont liés à une augmentation de la mortalité.

Les personnes qui vivent le plus longtemps ont tendance à être celles dont environ 50 à 55 % de l’apport énergétique (calorique) provient des glucides.

À l’âge de 50 ans, ces personnes peuvent s’attendre à vivre 33 ans de plus. C’est un an de plus que celles qui obtiennent 70 % ou plus de leur énergie en glucides, et quatre ans de plus que celles dont moins de 30 % des calories proviennent des glucides.

Sara Seidelmann du Brigham and Women’s Hospital (Boston) et ses collègues ont vérifié si les types de gras et de protéines consommés par les personnes ayant une alimentation faible en glucides pouvaient contribuer à réduire la longévité.

Leurs analyses montrent que lorsque les gens remplaçaient les glucides par de la viande comme l’agneau, le porc, le bœuf et le poulet – ce qui est typique des diètes à faible teneur en glucides en Europe et aux États-Unis – leur mortalité augmentait.

Mais la mortalité diminuait chez ceux qui adoptaient plutôt des sources végétales de protéines et de gras comme les légumineuses, les légumes et les noix. « Plus vous échangez les glucides contre des graisses et des protéines végétales, plus le risque est faible », explique Seidelmann.

Les chercheurs attribuent la mortalité accrue liée à une alimentation pauvre en glucides et riche en viande à une moins grande consommation de fruits et légumes et aux effets nocifs des protéines et graisses animales sur les systèmes inflammatoires et de stress oxydatif de l’organisme.

« Si vous choisissez un régime à très faible teneur en glucides comme moyen de perdre du poids ou comme habitude alimentaire, il est très important que vous soyez attentif à remplacer les glucides par des aliments à base de plantes », conclut Seidelmann.

Quant à ceux dont l’alimentation contient beaucoup de glucides, leur taux de mortalité plus élevé peut être attribuable à des problèmes métaboliques associés à la consommation de glucides raffinés, comme le riz blanc et le pain.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : New Scientist, The Lancet (press release), The Lancet Public Health.
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Cécité : les oranges réduisent le risque de devenir aveugle

Cécité : les oranges réduisent le risque de devenir aveugle

Le 17 juillet 2018.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’Institut de recherche médicale de Westmead en Australie, manger des oranges pourrait réduire le risque de devenir un jour aveugle.

Un moyen de réduire les risques de cécité

Les agrumes sont excellents pour la santé. Riches en vitamines, ils sont recommandés pour stimuler le système immunitaire et lutter contre la fatigue. On apprend aujourd’hui que les oranges pourraient également réduire le risque de développer une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). C’est en tout cas ce que révèle une étude publiée dans la revue spécialisée American Journal of Clinical Nutrition.

Selon ces travaux, ce sont les flavonoïdes contenus dans les oranges qui auraient des vertus contre la cécité. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont suivi pendant 15 ans près de 3.000 Australiens âgés de 50 ans et plus. Ils ont observé leur consommation d’oranges et ont également évalué leur risque de développer une DMLA grâce à des photographies rétiniennes.

Un risque réduit de 60%

On rappelle que cette dégénérescence maculaire est la première cause de malvoyance chez les personnes âgées. Elle touche environ 8% des Français et ne survient pas avant l’âge de 50 ans. Grâce à cette observation, les chercheurs ont pu constater que les personnes qui consommaient au moins une orange par jour présentaient un risque de DMLA plus faible de 60% environ par rapport à la moyenne.

« Les flavonoïdes sont des antioxydants puissants présents dans presque tous les fruits et légumes, et ils ont d’importants avantages anti-inflammatoires pour le système immunitaire », notent les auteurs de ces travaux. Selon eux, même « la consommation d’une orange par semaine apporte également des bénéfices ». Ne vous privez donc pas. Les oranges ne vous apporteront que des bienfaits pour la santé

Marine Rondot

En savoir plus sur la dégénérescence maculaire

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Drogue : peut-on devenir accro au sucre ?

Drogue : peut-on devenir accro au sucre ?

Le 5 février 2017.

Le sucre agit sur notre cerveau comme une drogue, en activant certains circuits neuronaux. Et comme les drogues, le sucre pourrait être mortel.

Le sucre agit comme une drogue dans notre cerveau

Après le sel et les matières grasses, le sucre est véritablement devenu, depuis quelques années, l’ennemi n°1 de notre santé. Les études s’enchaînent sur le sujet pour démontrer le caractère mortifère du sucre et son rôle dans l’apparition de diabètes, d’obésité et de certaines maladies cardiovasculaires. Le sucre est même accusé par certains chercheurs de favoriser l’hyperactivité des enfants, de nuire à la mémoire et de favoriser la dépression.

Et pourtant, malgré tous ces maux, le sucre reste une valeur incontournable de notre alimentation. Il est naturellement adoré par les enfants, et très apprécié par les adultes. Et il y a une raison derrière ce phénomène : le sucre agirait comme une drogue sur notre cerveau à laquelle nous pourrions donc devenir accro. Le Figaro consacre un article sur le sujet et révèle que le sucre fonctionne exactement comme une drogue dure.

La consommation de sucre augmente dans les pays développés

Cette addiction « trouve son origine au plus profond du cerveau, là où agissent toutes les autres drogues », explique le quotidien. « Le sucre stimule des neurones qui projettent leurs ramifications vers une région particulière du cerveau : le noyau accumbens. C’est la pièce maîtresse de ce que l’on appelle le circuit de la récompense ».

Concrètement, lorsque nous consommons du sucre, notre corps répond par de la dopamine, cette hormone qui nous rend heureux et nous motive, comme le fait le sport lorsqu’il est pratiqué régulièrement. Mais à la différence du sport, le sucre, consommé en trop grande quantité, est très dangereux pour la santé. À en croire les chiffres, les pays occidentaux sont les plus concernés par cette surconsommation, mais ne semblent pas pleinement prendre la mesure de ce danger. Depuis 30 ans, la consommation de sucre a en effet augmenté de 45% dans ces régions.

Gaëlle Latour

À lire aussi Le sucre et les édulcorants : tout ce qu’il faut savoir

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Don d’organe : comment faire pour devenir donneur d’organes ?

Samedi, l’Agence de la Biomédecine a lancé une nouvelle campagne pour sensibiliser au don d’organes alors que le nombre de patients en liste d’attente augmente chaque année. Comment devient-on donneur d’organe ? Comment obtenir la carte de donneur ? Ou encore quel organe peut-être donné ?

Selon les dernières estimations, quelque 50.000 Français vivraient actuellement grâce à une greffe. En 2012, le pays a ainsi franchi le seuil symbolique des 5.000 opérations, avec 5.023 greffes d’organes réalisées, dont 3.044 du rein, 1.161 du foie, 397 du coeur, 322 du poumon, 72 du pancréas, 20 du coeur et des poumons et 7 de l’intestin.

Pour autant, le nombre de patients inscrits sur liste d’attente augmente chaque année et des personnes continuent de mourir, faute de recevoir un nouvel organe. C’est pourquoi il est si important de devenir donneur et d’en parler à ses proches, quel que soit son âge, afin qu’ils connaissent votre position. 

Quels sont les organes prélevés ?

Les organes les plus couramment donnés sont les reins, le foie, le coeur, les poumons, le pancréas. Mais il est parfois possible que d’autres tissus soient prélevés comme des parties de l’intestin, des os, de la peau, des tendons, des cartilages ou encore des artères. La cornée, partie transparente du globe oculaire, est aussi souvent prélevée. Néanmoins, l’oeil en lui-même n’est jamais retiré en vue d’une greffe. Par ailleurs, il est possible de prélever seulement certains organes selon les volontés de la personne.

Qui peut donner ? 

Aujourd’hui, il est possible de donner ses organes à tout âge et aucun état de santé n’est un obstacle à priori, contrairement au don du sang. Il n’existe ainsi pas de conditions de santé particulières à remplir pour donner. De même, un traitement médical ou des antécédents familiaux lourds n’empêchent pas de devenir donneur. 

Par exemple, s’il est vrai qu’un coeur est rarement prélevé (…)
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