Une nouvelle mesure est actuellement à l’étude par les députés dans le cadre de la nouvelle loi santé. Elle vise à permettre aux médecins de se passer de la consultation systématique des proches d’un potentiel donneur après un décès lors d’un don d’organe.
Sophie Forest a accepté de donner des organes de son fils lors de sa mort il y a quatre ans. « Je n’ai vraiment eu aucune hésitation, explique la mère à France 3. La question, je me l’étais posée auparavant, Emmanuel mon fils y avait répondu. Pour lui, j’étais obligé de dire oui. »
Mais la réponse des familles juste après un décès de leur proche n’est pas toujours positive. Si 80% des Français se déclarent favorables aux dons d’organes, dans les faits, 40% refusent. Une décision qui n’est pas sans lien avec le choc de la mort.
Le fait de se passer d’un consentement est pointé du doigt par certains médecins qui craignent l’apparition de tensions.
En France près 19 000 personnes sont dans l’attente d’un organe.
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