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Essential Haircare, toujours plus durable chez Davines

Essential Haircare, toujours plus durable chez Davines

En 2014, Davines a voulu confirmer les valeurs de sa gamme Essential Haircare et renouveler son engagement envers l’environnement.

Chaque formule de la gamme a donc été enrichie avec des ingrédients actifs provenant de Presidio Slow Food en Italie, une fondation qui oeuvre pour la sauvegarde de la bio-diversité de notre planète en soutenant techniquement et financièrement plus de 10.000 petits producteurs.

En utilisant des pourcentages élevés d’ingrédients rapidement biodégradables d’origine naturelle et en réalisant des emballages avec un minimum de plastiques et compensés carbone, les produits Essential Haircare sont également eco-conçus afin de minimiser l’impact sur l’environnement.

Nutrition, hydratation, volume, éclat, protection, discipline, délicatesse, chaque famille Essential Haircare a une propriété spécifique mais un objectif commun, celui de protéger les cheveux des agressions externes tout en garantissant un effet cosmétique immédiat.

Après Love, Momo, Nounou, Volu, Solu ou encore Dede, Davines nous annonce aussi cette année la naissance d’une nouvelle famille avec Minu dédiée aux cheveux colorés.

Formulés avec un extrait de bouton de Câprier de Salina – Presidio Slow Food riche en polyphénols, les produits Minu exercent une action protectrice sur la structure capillaire, préservant ainsi couleurr et éclat au chevelu coloré.

Complète, la famille Minu comprend un shampooing, un conditioner, un masque et un sérum.

Autre nouveauté dans la famille Momo Essential Haircare : une Hair Potion, une crème hydratante universelle pour cheveux secs qui soigne sans alourdir.

(Essential Haircare, Davines. Disponible chez les coiffeurs agréés Davines. Tél. lecteurs : 01 46 33 22 13 et sur www.davines.com. A partir de 17,60 € le Shampooing Minu, flacon 200ml ; Hair Potion Momo, flacon 150ml, ppi : 23,40 €)


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Boire en couple : le secret pour une relation durable

Des scientifiques américains ont constaté que le taux de divorce des couples de gros buveurs est le même que chez les couples sobres. Des résultats qui pourraient aider les thérapeutes spécialisés dans les problèmes conjugaux.

Mariage et alcool semblent ne pas être incompatibles selon une étude américaine menée par les chercheurs de l’université Buffalo Research Institute. Le secret, selon les scientifiques, est de boire ensemble. Car lorsqu’un seul des deux partenaires est un gros buveur, le couple a 50% de chances de divorcer dans les neuf premières années de mariage. Mais quand les deux membres du couple sont des gros buveurs, leur taux de divorce (30%) est le même que ceux qui boivent modérément ou pas du tout.

Pour cette étude, 637 couples ont été suivis pendant leurs premières années de mariage. Les facteurs tels que la consommation de marijuana et de tabac, la dépression et le statut socio-économique, pouvant influencer leurs relations, ont été pris en compte.

Des habitudes différentes

« Nos résultats indiquent que c’est la différence entre les habitudes de consommation d’alcool du couple, plutôt que la consommation en elle-même qui conduit à l’insatisfaction conjugale, la séparation et le divorce », explique l’auteur principal de l’étude, Kenneth Leonard.

Les chercheurs ont également constaté un taux de divorces légèrement plus élevé quand le gros buveur est la femme, plutôt que le mari. Mais cette différence ne repose que sur l’exemple de quelques couples qui ont participé à l’étude et ne serait donc pas statistiquement significative. « Nous espérons que ces résultats seront utiles aux thérapeutes qui s’occupent des problèmes de mariage et aux praticiens de la santé mentale qui peuvent aller chercher la source des conflits du couple dans leurs différentes habitudes de consommation de l’alcool », conclut le chercheur.

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Antibiotiques : un enjeu de développement durable

PAROLE D’EXPERT-Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l’Académie des sciences répondent aux grandes questions de l’actualité scientifique. Aujourd’hui, Vincent Jarlier, bactériologiste. Université Paris-VI, Faculté de médecine Pierre et Marie Curie.

LA MENACE que représentent la résistance aux antibiotiques et son stade ultime, l’impasse thérapeutique (très peu ou plus d’antibiotiques encore efficaces), est évidente lorsqu’elle concerne de grandes maladies bactériennes contagieuses comme la tuberculose, la typhoïde ou les infections génitales à gonocoques. Elle est, en revanche, beaucoup moins visible quand elle concerne les bactéries commensales qui peuplent de manière permanente et normale notre tube digestif (environ 100 milliards par gramme de selles), notre rhinopharynx (environ 100 millions par millilitre de salive) et notre peau.

Les antibiotiques ont une caractéristique singulière: ils n’agissent pas sur l’organisme humain (au contraire des médicaments de l’hypertension, du diabète ) mais sur les bactéries du foyer infectieux, qui sont en général peu nombreuses (quelques millions en tout), ainsi que sur nos innombrables bactéries commensales.

Sous l’effet de l’antibiotique, les rares bactéries commensales qui ont développé des mécanismes de résistance (mutations, acquisition de gènes provenant d’autres bactéries) prolifèrent et remplacent les bactéries sensibles. Les bactéries ainsi «sélectionnées» peuvent être transmises à d’autres personnes (transmission croisée). Elles peuvent aussi transférer les gènes qui codent leurs mécanismes de résistance à des bactéries sensibles, qui deviennent résistantes à leur tour.

On sait, par exemple, que les bactéries intestinales résistantes diffusent au sein d’une même famille, d’un service hospitalier et dans les eaux des égouts, en particulier celles des hôpitaux, puis les stations d’épuration, dont les résidus sont utilisés comme fertilisants agricoles, et les effluents liquides déversés dans les cours (…)

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