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A 82 ans, elle découvre un bébé fossilisé dans son ventre

Alors qu’une colombienne de 82 ans se rend à l’hôpital Tunjuelito de Bogota pour un mal de tête, des douleurs au ventre et une diarrhée, elle découvre qu’elle portait depuis 40 ans un foetus fossilisé dans son abdomen. Un phénomène rarissime qui s’appelle le lithopédion qui signifie « bébé de pierre ».
Le lithopédion est un terme qui vient du grec lithos qui veut dire pierre et pais qui veut dire enfant qui signifie « bébé de pierre ». A l’origine du lithopédion, le développement d’une grossesse extra-utérine qui se produit dans l’abdomen. Au lieu d’être expulsé, le foetus reste en place et se calcifie, avant de « se fossiliser ». Ce phénomène est rarissime puisque seulement 300 cas auraient été enregistrés dans le monde à ce jour. Ils se produisent principalement dans un milieu socioculturel défavorisé non suivi médicalement, essentiellement dans les pays à faibles revenus. En raison, en effet, du manque de suivi régulier des femmes enceintes, on peut passer à côté d’une grossesse interrompue et ne pas diagnostiquer un lithopédion. Il est aujourd’hui bien repéré par l’échographie et confirmé par radiographie… à condition d’y avoir accès.Quelques cas de lithopédion sont rapportés dans l’histoire comme celui de l’enfant pétrifié de Sens (au 16ème siècle). Une femme de tailleur âgée de 40 ans du nom de Colombe Chatri présente tous les signes d’une grossesse en 1554. Malgré la perte des eaux et l’apparition des contractions, elle n’accouchera jamais.Trois années durant, elle demeurera alitée tout en souffrant terriblement. A sa mort qui survient alors qu’elle est âgée de 68 ans, soit 28 ans plus tard, son mari demande une autopsie.

2 chirurgiens, Claude le Noir et Jehan Coutas acceptent de faire cette opération. Ils découvrent alors, dans l’utérus de la morte, une forme ovoïde, dans une matière très solide qu’ils ne parviennent à briser que très péniblement. A l’intérieur, ils aperçoivent alors le corps entier mais calcifié d’un enfant au stade final de son développement. Le bébé, de sexe féminin, était en position agenouillée. Ses fontanelles étaient ouvertes, et l’enfant avait même une dent formée.

Plus récemment, en 2002, une marocaine de 75 ans souffrant de douleurs abdominales a découvert qu’elle avait gardé en elle un foetus fossilisé vieux de 46 ans. Le cas le plus extrême est sans doute celui de Huang Yijun, une chinoise de 92 ans en 2009 originaire de la province de Huangjiaotan dans le sud de la Chine, qui était enceinte depuis 1948. Là encore, ce sont des douleurs au ventre qui l’ont conduite à aller voir son médecin et à faire une radio : la radio a révélé qu’elle était enceinte depuis 61 ans.

De la même façon, la Colombienne de 82 ans chez qui on vient de découvrir un lithopédion souffrait de maux de ventre et avait consulté son médecin pour cette raison. Pendant sa vie, aucune échographie n’avait révélé sa grossesse. La radiographie faite à l’hôpital a permis de déceler dans son abdomen une étrange tâche blanche, montrant un foetus de 32 semaines qui s’était « fossilisé ». La senior compte se faire opérer pour extraire le foetus, composé en grande partie de tissus morts.

Hypnose : elle est aussi efficace chez les enfants

Chez le psychologue ou chez le dentiste, l’hypnose a montré son efficacité sur les enfants. Ils sont même souvent plus réceptifs que les adultes !

Les techniques utilisées sont un peu différentes. Les suggestions passent plus par des gestes, des jeux, de la musique ou un échange sur leur film préféré, que par un discours du médecin. En interprétant un personnage, l’enfant peut, sans s’en rendre compte, exprimer ses angoisses plus facilement, puis s’en libérer avec l’appui du thérapeute. « La clef est de capter leur intérêt. Quand je fais de la thérapie par le jeu, les signes d’une transe hypnotique apparaissent très rapidement. Je vais donc pouvoir arriver avec une suggestion et là, c’est très efficace », précise Marie-Andrée Gougeon, psychologue.

« Un enfant entre en hypnose facilement, mais en ressort aussi vite. Donc lorsque je soigne une carie, par exemple, s’il ressent de la douleur, il sortira de sa transe immédiatement et sera difficile à calmer. C’est pourquoi il faut dès le départ donner un peu d’anesthésique, même si les doses restent plus faibles que sans l’hypnose », précise le Dr Jan Rienhoff, dentiste et orthodontiste à Hanovre (Allemagne). L’enfant, plus calme, se laisse alors soigner plus facilement, ce qui permet de réduire le nombre et la durée des consultations.

Autre intérêt : donner un rôle aux parents. « Pendant la consultation, je demande parfois à l’adulte présent de tenir la tête de son enfant et de la caresser doucement pour qu’il sache que sa mère ou son père est là. Ça le rassure et ça renforce l’action de l’hypnose », ajoute le Dr Rienhoff. Les parents peuvent aussi apprendre quelques exercices pendant les séances, qu’ils peuvent ensuite réutiliser à la maison avec leur enfant, pour calmer ses angoisses.

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