Archives par mot-clé : enfant

Coucher son enfant à heures fixes contribue à un bon développement cérébral

Des recherches anglaises montrent que le développement cérébral des jeunes enfants peut dépendre d’un horaire de coucher régulier.

Des scientifiques de l’University College de Londres ont trouvé que le manque de rigueur sur l’heure du coucher au quotidien pouvait avoir des effets sur l’horloge biologique de l’enfant et par conséquent les aptitudes cérébrales à se souvenir et à enregistrer de nouvelles informations.

Leurs résultats ont montré que les effets étaient particulièrement frappants chez les petits de trois ans. Les enfants de cette classe d’âge avaient de moins bons résultats en math, en lecture et en repérage dans l’espace que les petits du même âge qui se couchaient tous les jours à la même heure.

« Trois ans semble être l’âge où l’on perçoit les effets les plus importants », a noté la chercheuse Amanda Sacker.

« Si un jeune enfant se couche à des horaires irréguliers, il ne synthétise pas toutes les informations autour de lui et aura plus de difficultés lorsqu’il sera plus grand », et d’ajouter, « cela lui fait prendre une direction plus compliquée ».

Amanda Sacker et son équipe ont analysé des données de 11.178 Anglais alors âgés de sept ans qui entrent désormais dans l’adolescence.

Alors que l’heure à laquelle les enfants se couchaient n’avait que très peu voire aucune conséquence sur leur performance à différents tests, le fait de ne pas avoir d’horaire de coucher fixe influait grandement sur les résultats.

Les résultats étaient plus significatifs pour les filles. En effet lors de tests passés à l’âge de trois, cinq et sept ans, les filles ayant des horaires de couchers moins fixes enregistraient de moins bons résultats que leurs camarades. Pour les garçons moins bien réglés, leurs résultats aux tests étaient moins bons dans deux catégories d’âge sur trois.

Cette étude est parue en ligne le 8 juillet dans Journal of Epidemiology and Community Health.

Métal dans des nems : un enfant hospitalisé à Tours

Métal dans des nems : un enfant hospitalisé à Tours

Un enfant de douze ans a ingéré un morceau de métal contenu dans des nems achetés par sa mère dans une grande surface d’Indre-et-Loire. Il a été transporté à l’hôpital Clocheville de Tours, où il s’est fait retirer l’objet métallique après intubation.

Le 2 avril dernier, Magali Delile avait acheté des nems dans un hypermarché Leclerc de La Ville-aux-Dames (Indre-et-Loire). Après en avoir mangé, son fils de douze ans a été conduit à l’hôpital Clocheville de Tours pour avoir absorbé un morceau de fer de deux centimètres de long.

Magali Delile explique que son fils s’est mis à pleurer dès qu’il a consommé ces nems. A l’hôpital Clocheville de Tours, les praticiens lui ont retiré l’objet métallique après intubation. Le jeune homme a retrouvé le sourire.

La radiographie semble indiquer que ce bout de fer est arrivé dans l’œsophage de l’enfant après ingestion des nems. Magali Delile a porté plainte et a alerté la Direction départementale de la protection de la population.

«C’est le premier incident de ce type porté à notre connaissance», a indiqué le groupe Leclerc qui entend assumer ses responsabilités. Leclerc ne comprend pas comment ce bout de fer a pu échapper à la vigilance de son fournisseur qui dispose pourtant d’un « détecteur de métaux en parfait état.

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Mon enfant est-il dyspraxique ?

Mon enfant est-il dyspraxique ? Quels sont les signaux d’alerte ? Quelles conséquences sur la scolarité ? Comment l’aider ?

Le 29 mars dernier, l’école du CERENE a organisé une conférence animée par Hervé Glasel, Neuropsychologue, consacrée à la dyspraxie. Ce trouble des apprentissages est certainement l’un des moins connus du grand public.

Les enfants dyspraxiques éprouvent des difficultés à réaliser des actions dans l’espace dans une intention précise. Un trouble empêche l’enfant de faire le lien entre son projet et sa réalisation. Par exemple : lacer ses lacets, utiliser une fourchette, mais aussi dessiner, écrire, manier le compas, la règle, le stylo…

La dyspraxie pose des difficultés à l’enfant dès la maternelle, qui sont 3 années où les travaux manuels, le dessin, la manipulation font partie du quotidien des plus jeunes.

C’est d’ailleurs l’un des premiers signaux qui alerte les parents : un enfant dyspraxique est bien souvent malheureux dès la maternelle, tandis que ses petits copains s’amusent à longueur de journée à jouer avec leurs mains.

Quels signaux permettent de détecter une dyspraxie ?

Les signes caractéristiques de la dyspraxie sont les suivants :

•lenteur et/ou imprécision dans l’exécution des gestes.
•Grande variabilité dans la réalisation de gestes et d’intentions. L’enfant est parfois maladroit et parfois adroit. Un enfant dyspraxique peut réaliser parfaitement une tâche, à condition toutefois qu’il mobilise absolument toutes ses ressources attentionnelles pour y parvenir. Bien entendu, cela demande un effort épuisant et place l’enfant en situation de « double tâche » lorsqu’il écrit. Typiquement, l’enfant dyspraxique ne pourra pas être à la fois lisible et irréprochable en orthographe. Ecrire lui demande un tel effort de concentration, qu’il choisira soit d’être lisible et l’orthographe s’effondre, soit d’écrire sans faute d’orthographe et la lisibilité s’efface.
•Difficulté à s’habiller, tenir ses couverts, écrire.

Globalement, les parents et les enseignants constatent que l’enfant dyspraxique est très maladroit, pataud, peu efficace dès qu’il agit dans l’espace.

A contrario, certaines difficultés proviennent de facteurs totalement étrangers à la dyspraxie :

•l’enfant a du mal à tenir un stylo, sa difficulté peut être d’origine mécanique ;
•il a du mal à faire du vélo, il a peut-être tout simplement de la difficulté à trouver son équilibre ;
•de même, un enfant qui ne sait pas faire ses lacets à 9-10 ans ou qui est brouillon n’est pas non plus forcément dyspraxique.

Mon enfant est dyspraxique, comment l’aider ?

Même si un entraînement quotidien léger est recommandé, la répétition des gestes qui posent des difficultés n’est pas une solution pour la prise en charge de la dyspraxie chez l’enfant. Au contraire, elle va placer l’enfant en situation d’échec permanent.

Pour aider son enfant tout au long de sa scolarité, quelques outils et astuces sont très utiles : préférer l’ordinateur plutôt que le crayon et le papier pour suivre la classe, s’appuyer sur des logiciels tels que Geogebra pour la géographie, utiliser des audiobooks….

Hervé Glasel tient à rassurer les parents d’enfants dyspraxiques : « L’adulte ancien dyspraxique n’a pas du tout les mêmes difficultés que l’enfant dyspraxique, pour deux raisons. La première : l’adulte ou l’adolescent dyspraxique choisira un métier qui ne fera pas appel à des travaux manuels. Seconde raison : sa maturation générale, en particulier des fonctions exécutives, vont lui permettre de réaliser des gestes plus facilement. »

« Mais attention à ne pas diagnostiquer la dyspraxie trop souvent, comme c’est un peu le cas aujourd’hui, prévient Hervé Glasel. La maladresse n’est pas un trouble en soi. De plus, un enfant peut être maladroit car il présente un trouble moteur, ce qui n’a rien à voir avec les troubles des apprentissages ! »

Communiqué presse école du CERENE


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Luis Brignoni éventre son chien pour récupérer le doigt de son enfant

Luis Brignoni, un père d’une quarantaine d’année a décidé d’éventrer son chien Sassy après l’avoir tué d’un coup de fusil pour tenter de récupérer le doigt de son fils qui venait d’être mangé par l’animal de compagnie.

L’accident a eu lieu alors que Fernando, un jeune pré-adolescent de 11 ans a coincé le doigt dans la cage du chien. Le husky a alors mordu l’enfant. Malgré l’intervention de son frère de 13 ans qui a frappé Sassy avec un bâton pour lui faire relâcher le doigt de Fernando, l’animal a mangé le doigt de l’enfant. Luis Brignoni, alerté par les cris a réagit instinctivement.

Il a pris son fusil et a tué son chien, un husky croisé avec un loup. Il a ensuite ouvert son ventre à l’aide d’un couteau et a récupéré dans l’estomac le doigt de son fils. Il a affirmé lui-même face à cette situation : « Vous n’imaginez pas jusqu’où vous êtes capable d’aller pour votre enfant ». Selon le rapport d’incident du Bureau du shérif du comté de Manatee, les députés seraient arrivés sur les lieux alors que Brignoni avait déjà ouvert le chien. Le père leur aurait alors tendu le doigt coupé tout en déclarant que l’enfant pouvait souffrir d’autres blessures et d’une possible fracture du bras.

Accueilli en urgence dans un hôpital local, les chirurgiens n’ont rien pu faire pour Fernando car les nerfs de l’auriculaire de l’enfant étaient trop endommagés par la morsure du chien. Les médecins n’ont pas pu recoudre le doigt sur la main de l’enfant, ils se sont contentés de greffer de la peau de son avant-bras sur la plaie.

Le père s’est dit choqué et a réagit sous le coup de l’émotion et du choc engendré par cette situation. On ne peut que se poser une question face à ce fait divers dramatique : comment un chien husky a-t-il pu être croisé avec un loup et se retrouver dans une famille avec des enfants ? La dangerosité d’un tel chien ne suffisait-elle pas interdire qu’il soit adopté ? Autant de questions auxquelles devra répondre l’enquête préliminaire qui semble montrer que l’incident serait un accident

Dans cette situation dramatique, il y a tout de même une bonne nouvelle : le petit garçon, soigné par les médecins, va bien et ne devrait pas être handicapé par la perte de son auriculaire.

Un chien éventré par un père pour récupérer le doigt de son enfant

Un fait dramatique s’est produit en Floride. Un chien qui avait avalé l’auriculaire d’un enfant a été abattu et éventré par son maître pour récupérer ce doigt dans l’estomac de l’animal.

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BEH: près de sept couples sur dix ont un enfant après une tentative de FIV

En France, sur dix couples qui franchissent un jour la porte d’un centre d’assistance médicale à la procréation, sept finissent par avoir un enfant grâce aux traitements, mais aussi à la suite d’une conception naturelle ou en adoptant un enfant, selon les résultats d’une étude paraissant mardi dans le « Bulletin épidémiologique hebdomadaire » de l’Institut de veille sanitaire (InVS).
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