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Effet anti-vieillissement de la stimulation du nerf vague via l’oreille : équilibre des systèmes nerveux sympathique et parasympathique

chez les plus de 55 ans, ralentissant potentiellement l’un des effets du vieillissement, selon une étude publiée en juillet dans la revue

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Une brève thérapie quotidienne administrée pendant deux semaines a permis d’améliorer à la fois la physiologie et le bien-être, indiquent les chercheurs.

La thérapie, appelée stimulation transcutanée du nerf vague (tVNS pour transcutaneous vagus nerve stimulation), consiste en l’administration d’un petit courant électrique indolore à l’oreille, qui envoie des signaux au système nerveux par l’intermédiaire du nerf vague.

Beatrice Bretherton de l’Université de Leeds et ses collègues suggèrent que la thérapie pourrait « aider à protéger contre les maladies chroniques auxquelles nous sommes de plus en plus sujets en vieillissant, comme l’hypertension artérielle, les maladies cardiaques et la fibrillation auriculaire ».

Qu’est-ce que le système nerveux autonome ?

Le système nerveux autonome contrôle de nombreuses fonctions de l’organisme qui ne nécessitent pas une pensée consciente, comme la digestion, la respiration, la fréquence cardiaque et la tension artérielle.

Il contient deux branches, le système sympathique et le système parasympathique, qui s’opposent l’un à l’autre pour maintenir une activité équilibrée.

Le système sympathique aide le corps à se préparer à une activité de haute intensité pour faire face aux demandes et menaces de l’environnement, tandis que le système parasympathique permet les activités de basse intensité telles que le repos et la digestion. (Les réponses de l’organisme au stress et à la relaxation)

« Au fur et à mesure que nous vieillissons et que nous luttons contre les maladies, l’équilibre du corps change au point que le système sympathique commence à dominer. Ce déséquilibre nous rend plus vulnérables à de nouvelles maladies. » (Fibromyalgie : une difficulté fréquente à rester debout liée à une dysfonction du système nerveux autonome)

Stimulation électrique du système nerveux

Les cliniciens s’intéressent depuis longtemps à la possibilité d’utiliser les courants électriques pour influencer le système nerveux. Le nerf vague, le nerf principal du système parasympathique, a souvent été utilisé pour la stimulation électrique et des recherches antérieures ont examiné la possibilité de l’utiliser pour traiter la dépression, l’épilepsie, l’obésité, les AVC, les acouphènes et les maladies cardiaques.

Cependant, ce type de stimulation est invasif, nécessitant une intervention chirurgicale pour implanter des électrodes dans la région du cou.

« Heureusement, il existe une petite branche du nerf vague qui peut être stimulée sans chirurgie, située dans la peau de parties spécifiques de l’oreille externe. »

Des travaux antérieurs de l’équipe de recherche ont montré que l’application d’un petit stimulus électrique au nerf vague de l’oreille améliorait l’équilibre du système nerveux autonome chez les personnes de 30 ans en santé.

Dans cette nouvelle étude, l’équipe de recherche a voulu vérifier si la tVNS pouvait être bénéfique chez les personnes de 55 ans et plus.

Elle a recruté 29 volontaires en bonne santé qui ont reçu une thérapie tVNS de 15 minutes par jour, sur une période de deux semaines. Les participants ont appris à s’auto-administrer la thérapie à la maison.

La thérapie a entraîné une augmentation de l’activité parasympathique et une diminution de l’activité sympathique, rééquilibrant la fonction autonome vers une fonction saine plus saine. De plus, certaines personnes ont signalé une amélioration de mesures de bien-être (qualité de vie, humeur…) et du sommeil.

Les personnes qui présentaient le plus grand déséquilibre au début de l’étude ont connu les améliorations les plus prononcées après avoir reçu le traitement.

D’autres études sont maintenant nécessaires pour comprendre quels pourraient être les effets à long terme de la tVNS sur la santé, car cette étude a impliqué un petit nombre de participants sur une courte période de temps, soulignent les chercheurs.

Pour plus d’informations sur la stimulation du nerf vague et l’électroceutique, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : University of Leeds, Aging.
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Omega 3 : la solution idéale pour retrouver un équilibre

Les Omega 3 sont des acides gras indispensables à l’organisme pour se sentir bien, à la fois dans son corps et dans sa tête. Ils font partie des acides gras polyinsaturés bonnes pour la santé, à l’inverse des acides gras saturés qui eux sont à limiter car ils augmentent à la fois le taux de mauvais cholestérol, le risque de diabète, d’hypertension, voire d’anxiété. Indispensables au bien-être physique et mental, les Oméga 3 participent à une bonne santé cardio-vasculaire, à un bon équilibre émotionnel (en réduisant le risque de dépression) et au maintien du bon cholestérol en diminuant le taux de triglycérides dans le sang.

Pénétrant au plus profond de nos cellules, ils en assurent le bon fonctionnement et permettent ainsi aux différents organes du corps d’assurer leurs principales fonctions dans de bonnes conditions. Ils limitent en cela l’inflammation et préviendraient certaines maladies chroniques. Outre leur action anti-inflammatoire, ils sont excellents pour la vue mais aussi pour le cerveau. Ce dernier a en effet besoin d’un apport quotidien suffisant pour pouvoir exprimer tout son potentiel, gage d’un bon équilibre nerveux. Les Oméga 3 sont ainsi nécessaires à notre bien-être et font partie intégrante d’un mode de vie équilibré.  

Il existe différents types d’Oméga 3, les plus connus sont l’acide alpha linoléique (ALA, chef de file des Oméga 3) et les acides gras à longue chaîne comme le DHA (acide docosahexaénoïque) et l’EPA (acide eicosapentanénoïque). Ce sont les plus utiles au bon fonctionnement de l’organisme.

Les Omega 3 sont dits « essentiels », car le corps ne peut les synthétiser lui-même.  Ils doivent donc provenir d’aliments ou de suppléments riches en acides gras polyinsaturés. On les trouve en grande quantité dans certaines huiles végétales (huile de colza, huile de soja, huile de noix), dans les oléagineux (noix, noisettes, amandes), dans les graines (graines de lin, graines de chia, graines de tournesol) mais aussi dans les légumes verts où ils sont particulièrement riches en ALA. Les poissons gras (saumon, maquereau, sardine, hareng, thon) apportent également beaucoup d’Omega 3, surtout des EPA et du DHA. L’idéal est donc d’avoir une alimentation variée pour avoir un ratio équilibré entre ALA et EPA/DHA.

En respectant un bon équilibre alimentaire, c’est-à-dire en consommant régulièrement des poissons gras, des huiles et des fruits et légumes riches en Oméga 3, la supplémentation n’est normalement pas nécessaire. Toutefois, si des carences sont mises en évidence, des compléments alimentaires à base d’Oméga-3 peuvent être consommés sous forme de cures.  

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Le jeu chez le chien pour préserver sa santé et son équilibre

Publi-éditorial

Le jeu chez le chiot

Il occupe une place importante dans l’éducation du chiot. Il ne pense qu’à jouer et c’est ainsi qu’il va se construire. Il commence à apprendre ce qu’il lui est possible de faire ou ne pas faire. Le jeu est d’abord un moyen, pour lui, de découvrir son corps et ses capacités. Courir, sauter va lui faire prendre conscience de ses membres, de ses facultés.

Dès son plus jeune âge, le chiot va jouer avec les autres chiots de la portée. C’est par ses jeux, qu’il va commencer son éducation. Par exemple, les jeunes chiots jouent beaucoup à se mordre. Ils vont vite se rendre compte que la pression de leurs dents peut faire très mal. C’est ainsi qu’ils vont apprendre à se contrôler.

Le jeu a un rôle social. Il va lui permettre d’aborder les autres chiens et aussi lui permettre de savoir comment se comporter avec eux. Il prend la forme de poursuites, de petits combats ou de cache-cache. On observe ainsi les débuts d’une hiérarchie dans la fratrie : on repère assez facilement celui qui domine et qui est le leader.

L’importance du jeu chez le chien

Tous les chiens ne sont pas disposés à jouer mais il est toutefois possible de stimuler un chien au jeu. Il n’y a pas non plus de limite d’âge.

C’est une activité physique et donc un bon moyen de défoulement pour un chien. Le jeu, chez le chien, peut être aussi solitaire.  En effet, il a sûrement un objet qui l’intéresse plus qu’un autre et avec lequel il s’amuse, seul.

Pour sa santé

Le jeu permettra à votre chien de faire de l’exercice, ce qui est primordial pour préserver sa bonne santé. Faire de l’exercice physique permettra, entre autres vertus, de faire garder une bonne condition physique à votre chien, de renforcer son système cardiovasculaire  et à maintenir son  poids de forme tout en réduisant les risques de surpoids.  Associé à un bon équilibre alimentaire et à l’application de quelques conseils santé à lire sur le site  http://www.toutoupourlechien.com, le jeu permettra à votre compagnon d’exprimer pleinement sa vitalité et sa joie de vivre. 

Pour son éducation

Le jeu est aussi une manière de dresser un chien. Il peut permettre de lui apprendre des ordres simples tels que rapporter une balle, sans contrainte. Par exemple, en agility, le chien assimile de nouveaux ordres tout en jouant.

C’est aussi un moyen d’établir les limites à ne pas dépasser. Ainsi si votre chien va trop loin et ne se contrôle plus tant il est énervé par la situation, il vaut mieux y mettre un terme. Le maître doit toujours maîtriser le jeu et ne jamais laisser son animal avoir le dessus. L’agressivité n’est pas de mise lors de ces périodes ludiques.

Pour la complicité entre le maître et son chien

Les activités ludiques permettent aussi  au chien de renforcer les liens avec son maître. Tout ce qui est de l’ordre du partage entre l’homme et son fidèle compagnon n’est que bénéfique pour leur relation et augmentera le bien être du chien.

 

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