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TEST : Votre vie est-elle florissante ? (Indice d’épanouissement)

Le concept d’épanouissement, ou de vie florissante (en anglais « flourishing »), est important en psychologie positive. Il s’agit d’un concept plus large, plus holistique, que ceux de bien-être ou de bonheur.

Ce test, l’Indice d’épanouissement, a été publié par le psychologue Tyler J. VanderWeele de l’Université Harvard (1).

Selon son modèle, l’épanouissement comporte, au minimum, cinq composantes fondamentales et une composante qui soutient la vie florissante à long terme.

Voyez au moyen de ce test rapide de 12 questions quelles sont ces composantes et comment vous vous situez.

FAITES LE TEST

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Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

(1) VanderWeele, Tyler J. (2017). On the promotion of human flourishing. Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).

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La cigarette électronique est-elle moins nocive que le tabac ?

La cigarette électronique est-elle moins nocive que le tabac ?

Le 4 janvier 2019.

Résolution de début d’année : vous souhaitez arrêter de fumer. La cigarette électronique pourrait vous être d’une aide précieuse. Mais quels en sont les risques ? 

La cigarette électronique moins dangereuse pour la santé que le tabac

Pour arrêter de fumer, à chacun sa méthode. Si certains s’appuient sur leur seule volonté, d’autres préconisent un recours à l’hypnose tandis que d’autres encore, préfèreront passer par des substituts de nicotine à mâcher ou par la vapoteuse, appelée aussi cigarette électronique. S’il n’y a pas de solution miracle, la cigarette électronique pourrait vous aider

Outre-Manche, les autorités sanitaires anglaises sont formelles : s’appuyant sur un rapport de 2015, elles affirment que la vapoteuse serait 95% moins nocive que le tabac classique. En France, ce chiffre pourrait paraître bien optimiste. Qu’en est-il vraiment ?

Des évolutions depuis 2015

S’il est moins dangereux pour la santé de vapoter que de fumer des cigarettes classiques aux multiples composants cancérigènes, les études scientifiques nous permettent aujourd’hui de savoir que la vapoteuse n’est pas sans conséquences sur notre organisme.

On sait par exemple, depuis le début de l’année 2018, que certaines vapoteuses contiennent du diacétyle, un composant interdit en France, qui entraînerait des maladies graves du poumon. Et puisque nous manquons encore de recul pour connaître les conséquences de la vapoteuse sur le long terme, tout indique qu’une attitude prudente et un usage modéré de cet outil est recommandé.

Maylis Choné

À lire aussi : Les dangers de la cigarette électronique

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La médecine par les plantes : une « guérison botanique » est-elle possible ?

Le 25/05/2017

Dans son nouveau rapport (2017), l’Institut de recherche en botanique anglaise Kew Gardens révèle l’existence de 1 730 espèces de plantes médicinales. Il existerait 28 100 espèces de plantes médicinales aux vertus thérapeutiques, dont 1 200 capables de lutter contre le paludisme. 

La médecine par les plantes, une solution trop méconnue 

En Amérique Centrale et du Sud ainsi qu’au sud-est de l’Asie, neuf nouvelles espèces de lianes aux vertus thérapeutiques contre la maladie de Parkinson ont été découvertes. Traitements et préventions du diabète ou autres démences pourraient eux aussi gagner en efficacité grâce aux plantes médicinales. De même, selon le rapport de Kew Gardens, 217 plantes camerounaises et 113 plantes guinéennes seraient capables d’améliorer la santé des patients atteints du paludisme. 

Malgré les progrès qu’elles accordent à la médecine moderne, seules 16 % des plantes médicinales existantes sont citées dans des publications scientifiques. Selon le Dr Gurib-Fakim, il y a peu de plantes médicinales officiellement listées. En effet, elles ont souvent plusieurs dénominations. Cela multiplie les risques de confusions lors de leurs identifications. 

La médecine par les plantes, une avancée menacée 

Les plantes médicinales sont un soutien pour le corps dans le processus de guérison et une solution probable à la problématique de la résistance aux traitements. Toutefois, il ne s’agit pas encore de remplacer les médicaments par les plantes médicinales. Pour cela, les investissements matériels dans les laboratoires et l’organisation de réseaux de recherches multidisciplinaires demeurent nécessaires. 

Selon le rapport de Kew Garden, les plantes médicinales sont menacées par le réchauffement climatique. Il répertorie celles qui pourront être cultivées dans le futur. Ce rapport de Kew Garden fera l’objet d’un symposium organisé le 26 mai 2017. Dr Gurib Fakim, décorée du prix l’Oréal-Unesco pour les Femmes et la Science (2007) et présidente de la République de Maurice (2014), est l’une des intervenantes. 

Marie-Hélène Hérouart

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

La consommation de viande rouge est-elle dangereuse pour la santé ?

La consommation de viande rouge est-elle dangereuse pour la santé ?

Le 13 avril 2017.

Il est difficile de faire le tri parmi toutes les informations qui tombent au sujet de la viande rouge. Mais il est certain que les Français sont de plus en plus méfiants et cela peut mettre leur santé en danger.

Un quart des Français ont réduit leur consommation de viande

Les études scientifiques sur les dangers de la viande rouge sur la santé, les mises en garde de l’Organisation mondiale de la santé sur le caractère « cancérogène » de ces viandes, les scandales de la vache folle ou de la viande de cheval ont créé, dans l’esprit des Français, une véritable suspicion. Si bien qu’aujourd’hui, selon les chiffres du groupe Bigard, 25 % des consommateurs auraient réduit leur consommation de viande.

Faut-il s’en féliciter ou s’en inquiéter ? C’est à cette question qu’ont tenté de répondre nos confrères du magazine 60 millions de consommateurs dans leur dernier numéro hors-série. « Notre idée n’est pas de trancher le débat de manière définitive, de dire ‘il faut faire ci ou ne pas faire ça’, mais d’éviter les dogmes, dans un sens ou l’autre », note Adeline Trégouët, rédactrice en chef déléguée du magazine.

Trouver le juste équilibre

Certes, les personnes qui abusent de la viande rouge et des viandes transformées (saucisses, charcuterie…) augmentent leurs risques de « développer des maladies cardio-vasculaires, des troubles métaboliques comme le diabète de type 2, de même que certains cancers », rappellent les experts de 60 millions de consommateurs. Mais retirer la viande de son alimentation peut aussi être mauvais pour la santé car on augmente le risque de carences, notamment en vitamine B12 et en fer.

Alors que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) recommande de limiter la consommation de viande rouge à 70 grammes par jour, il semblerait que les Français se limitent à 52,5 grammes par jour, soit 25 % de moins que ces recommandations. « Ce chiffre recouvre d’importantes disparités : si 37 % mangent moins de 245 grammes par semaine, 28 % dépassent les 500 grammes », peut-on lire dans les colonnes du magazine. Il est donc temps de retrouver un juste équilibre.

Vous serez sans doute intéressé par notre fiche sur  : Le Boeuf 

Marine Rondot

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Pourquoi la généralisation de la complémentaire santé est-elle un échec ?

Cela fait un an que la généralisation de la complémentaire santé est entrée en vigueur. Le 1er janvier 2016, l’ensemble des entreprises du secteur privé était obligé de souscrire une mutuelle pour les salariés. Un dispositif visant à mieux couvrir l’ensemble des Français…

Bilan peu élogieux de la généralisation de la complémentaire santé

Sans réel bilan officiel, les experts s’accordent à dire que la généralisation de la complémentaire santé n’a pas rencontré le succès escompté.

Un quart des entreprises concernées par le dispositif n’auraient toujours pas couvert leurs salariés et ceux qui le sont constatent le plus souvent une couverture moins efficace qu’avec une couverture individuelle. Une constatation qui a d’importantes conséquences sur les finances des Français : le restant à charge des salariés aurait augmenté de 10 % en 2016.

Déclaration nutritionnelle : sur quels produits est-elle obligatoire ?

Mieux appréhender ce qu'on mange avec la déclaration nutritionnelle

Depuis le 13 décembre dernier, l’ensemble des produits alimentaires pré-emballés devra arborer une déclaration nutritionnelle afin de mieux informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle des aliments.

Détailler la composition des produits alimentaires

La déclaration nutritionnelle des denrées alimentaires (INCO) doit figurer sur tous les produits transformés  dans l’Union européenne depuis le 13 décembre. L’objectif ? Offrir une grande connaissance de la composition des produits aux consommateurs, notamment en matière de valeur nutritionnelle et de présence de substances allergènes.

La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) précise ainsi que ces informations doivent se situer sur le paquet d’emballage, réuni dans un tableau (ou sous forme linéaire dans le cas d’un manque de place) et dans le même champ de vision pour le consommateur.

Le but étant de donner un accès rapide aux consommateurs à la valeur énergétique des produits de consommation ainsi qu’aux quantités de lipides, glucides, sucres ou encore protéines.

Lutte contre l’obésité

La déclaration nutritionnelle des denrées alimentaires a été mise en place pour lutter contre l’obésité. Autre objectif du dispositif : la possibilité pour le consommateur de connaitre l’origine géographique des produits de consommation.

Seules l’alcool et les aliments non transformés dont les emballages sont inférieurs à 25 cm² ne sont pas concernés par ce dispositif. 

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L’arthrose est-elle une fatalité, passé un certain âge ?

Le 14 octobre 2016.

L’arthrose n’est pas une fatalité, c’est une maladie articulaire qui peut être évitée. On vous dit comment.

L’arthrose peut être combattue dès le plus jeune âge

Comme toute les maladies, l’arthrose est provoquée par plusieurs facteurs de risques bien identifiés, qui conduisent à la destruction du cartilage. Parmi ces facteurs, on trouve la surcharge pondérale, le port fréquent de charges lourdes ou encore une activité physique trop intense au court de sa vie. L’arthrose n’est pas une fatalité. Elle peut être combattue. Mais pour cela, il faut prendre soin de ses articulations le plus tôt possible.

Selon une enquête publiée par l’Inserm et l’initiative Ensemble contre les rhumatismes (ECR) et réalisée par l’Ifop, 93 % des Français ont déjà souffert de douleurs articulaires dont 56 % en ont souffert pendant plus d’un mois. Les jeunes aussi sont touchés par les rhumatismes : un tiers des 18-24 ans ont en effet confié souffrir de douleurs articulaires au moment de l’enquête.

Préserver son capital ostéoarticulaire

Si dès le plus jeune âge, nous prenions conscience de l’importance de préserver notre « capital ostéoarticulaire », nous éviterions bien des surprises plus tard. « Alors que le jeune public admire et voudrait imiter les performances sportives des footballeurs et athlètes de haut niveau, il est bon de rappeler que ceux-ci sont entraînés, musclés, et que leurs mouvements pourraient entraîner de sévères traumatismes chez des personnes non préparées », explique le Pr Françis Berenbaum, chef du service de rhumatologie à l’hôpital Saint-Antoine, dans les colonnes du Figaro.

Il est recommandé de pratiquer une activité physique régulière, mais de ne pas le faire n’importe comment. Courir sans s’étirer avant et après et avec de mauvaises chaussures, n’est pas une bonne idée par exemple. « Contre l’arthrose du genou, les études ont prouvé que la marche était bénéfique », précise le Pr Françis Berenbaum. Une alimentation saine sera aussi nécessaire pour éviter un risque d’obésité.

Pour en savoir plus : Douleurs articulaires : ce qu’elles trahissent

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Quand la surcomplémentaire est-elle nécessaire ?

Quand opter pour la surcomplémentaire santé ?

Avec la généralisation de la complémentaire santé, tous les salariés du privé se retrouvent avec une mutuelle santé obligatoire distribuée par leur entreprise. L’objectif : couvrir en santé la totalité des salariés. Paradoxalement à cet objectif, certains salariés perdent en qualité de couverture.

Des mutuelles d’entreprise obligatoires parfois insuffisantes

Depuis le 1er janvier 2016, l’Accord national interprofessionnel oblige les entreprises à souscrire une mutuelle santé collective à destination de l’ensemble de leurs salariés. En contrepartie de cette obligation, les salariés bénéficient d’un panier de soin minimum, garantissant un niveau de couverture minimum. Libre ensuite aux entreprises de souscrire une complémentaire santé  plus importante pour leurs salariés, l’avantage pour les salariés étant le co-financement de la couverture (minimum de 50 % pour l’employeur, maximum de 50 % pour le salarié).

La question étant de savoir si la mutuelle d’entreprise est suffisante. Cela dépendra surement des assurés mais certains d’entre eux avaient une mutuelle individuelle qui les couvrait mieux que la nouvelle mutuelle collective.

Surcomplémentaire santé : indispensable ?

Une surcomplémentaire est un contrat qui vient compléter le contrat de base (qu’il soit individuel ou collectif). Ce contrat n’est pas obligatoire et reste à la discrétion de chaque assuré. Ce dernier devra payer de sa poche l’intégralité de la surmutuelle.

Pour en savoir plus sur la surcomplémentaire

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Hypnose médicale : quand est-elle efficace ? (rapport remis au ministère de la Santé, France)

Dans un rapport remis à la Direction Générale de la Santé, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ont évalué l’efficacité de l’hypnose dans le traitement de plusieurs pathologies.

L’hypnose, précisent-ils, n’est ni un état de vigilance ni un état de sommeil, mais un état modifié de conscience. À l’échelle biologique, des techniques d’imagerie cérébrale ont mis en évidence des modifications de l’activité de certaines régions cérébrales lors de suggestions chez une personne sous hypnose.

Sont distingués trois types d’hypnose médicale : l’hypnoanalgésie qui est utilisée comme méthode antalgique, l’hypnosédation qui couple l’hypnose à des produits anesthésiques et enfin l’hypnothérapie à visée psychothérapeutique.

En plus de ces pratiques, le rapport s’intéresse à la technique de l’EMDR – « Eye Movement Desensitization and Reprocessing » ou « désensibilisation et retraitement par mouvements oculaires » – car elle fait intervenir certaines pratiques issues de l’hypnose. Elle a été développée pour traiter le syndrome de stress post-traumatique.

En France, le terme d’hypnothérapeute n’est pas protégé et les formations à l’hypnose sont dispensées autant par les universités (diplômes non reconnus par l’ordre des médecins) que par des associations ou des organismes privés.

L’étude menée par Bruno Falissard et ses collègues (1) a analysé 52 essais cliniques portant sur l’hypnose ainsi que 17 essais concernant l’usage de l’EMDR.

Les études, concluent-ils, confirment le potentiel de l’hypnose pour le traitement du syndrome du côlon irritable. Des séances régulières d’hypnothérapie limiteraient les symptômes digestifs.

Elles montrent aussi que, grâce à l’hypnose, l’usage de médicaments antalgiques ou sédatifs peut être réduit lors d’interventions chirurgicales sous anesthésie locale ou générale.

Les données actuelles, rapportent-ils, n’assurent pas l’avantage de l’hypnose par rapport aux traitements classiques du syndrome de stress post-traumatique, mais l’EMDR aurait fait ses preuves. Les thérapies cognitivo-comportementales centrées sur le traumatisme et l’EMDR seraient même les plus efficaces des psychothérapies dans ce cas.

Mais les données actuelles sont insuffisantes pour la majorité des autres applications de l’hypnose telles que la prise en charge de la douleur pendant l’accouchement, la prévention de la dépression post-partum, la schizophrénie, le sevrage tabagique et les soins dentaires chez l’adulte et l’enfant.

Aucun effet indésirable grave ne paraît attribuable à l’hypnose.

Le rapport recommande la « création d’un système de surveillance pour recueillir les données issues du terrain, mais surtout pour éviter le risque inhérent à tout recours alternatif aux thérapeutiques non conventionnelles : celui de retarder ou d’entraver l’accès à des soins conventionnels qui seraient par ailleurs nécessaires ».

(1) Juliette Gueguen, Caroline Barry et Christine Hassler

Psychomédia avec sources : Inserm (communiqué), Inserm (rapport).
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VIDEO. La chine est-elle en train de s’éveiller à l’écologie ?

Le texte final adopté à Lima a apaisé les pays émergents, dont la Chine et l’Inde, qui craignaient que les esquisses précédentes n’imposent à leurs économies un fardeau trop lourd.

Alain de Chalvron, journaliste de France 2 à Pékin, note une vraie prise de conscience au sein de la population chinoise. Le plus grand pollueur de la planète serait en train de s’éveiller à l’écologie.

La raison ? Les Chinois étouffent dans leurs villes. « À Pékin, on est à dix ou vingt fois la norme de l’OMS. Et les conséquences sont des maux de gorge, des rhumes ou même des cancers », explique le reporter au micro de France 2. La majorité des villes chinoises sont très polluées. Donc le gouvernement prend des mesures. Ils ont annoncé une loi très sévère sur l’environnement pour l’an prochain. Sur le plan international, on observe plus de souplesse sur ces sujets.

Evolution notable, le mois dernier la Chine a signé un accord avec les Etats-Unis et s’engage à ne plus augmenter ses émissions de CO2 après 2030. Cela paraît léger mais cet accord représente beaucoup. En vertu de l’accord, les engagements des différents pays en matière de lutte contre le réchauffement climatique seront compilés dans un rapport au plus tard le 1er novembre 2015, afin d’évaluer leurs effets combinés pour freiner la hausse des températures.

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