Archives par mot-clé : état

Un tatouage pour suivre son état de santé

Un tatouage pour suivre son état de santé

Le 12 août 2019

Une équipe de chercheurs a conçu des tatouages électroniques intelligents capables de surveiller l’état de santé des patients en temps réel.

Des tatouages intelligents

Des scientifiques allemands ont fabriqué des tatouages injectés dans la peau permettant de suivre la santé des patients. Une encre spéciale change de couleur lorsque le patient est malade.

En apparence, ces tatouages ont l’air de tatouages normaux. Mais ils permettraient de suivre à distance des patients atteints de diabète, de troubles cardiovasculaires ou d’insuffisances rénales. L’encre utilisée est injectée dans le derme de la peau. Des biomarqueurs présents dans l’encre reflètent ce qu’il se passe dans le sang en détectant notre activité biologique.

Une avancée dans le suivi des patients

Alors que les patients diabétiques doivent surveiller régulièrement le niveau de certaines substances, les tatouages sont capables de changer de couleurs en fonction du niveau de l’acidité du sang, de la concentration en glucose et en albumine, considérée comme la principale protéine de transport dans le sang.

Ces tatouages pourraient offrir un suivi complet et plus simple aux patients. Discrets, ils peuvent être placés sur le bras ou au-dessus du coeur sans gêner le patient. L’auteur de la recherche a noté qu’il s’agissait encore d’un concept futuriste, mais qui pourrait considérablement aider la médecine préventive du futur.

Stéphanie Haerts

À lire aussi : Tatouages, piercings : quels risques et comment les éviter ?  

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les cancers en France : état de la situation (rapport annuel interactif de l’INCa)

L’Institut national du Cancer (INCa) vient de publier son rapport annuel « Les cancers en France 2016 ». Nouveauté cette année, la présentation interactive du rapport qui en facilite la consultation selon les intérêts.

En 2015, le nombre de nouveaux cas de cancer est estimé à 384 442. Chez l’homme, les trois tumeurs solides les plus fréquentes restent celles de la prostate (53 913 nouveaux cas), du poumon (30 401) et du côlon-rectum (23 535).

Chez la femme, il s’agit des cancers du sein (54 062), du côlon-rectum (19 533) et du poumon (14 821).

Chez l’homme, le cancer du poumon demeure le plus meurtrier. Et chez la femme, celui du sein continue de faire le plus de victimes, même si le cancer du poumon continue sa progression.

La consommation d’alcool est la 2e cause de mortalité évitable par cancer en France après le tabac.

La France se situe parmi les pays à forte incidence et mortalité en Europe.

Consulter le rapport : Les cancers en France.

Psychomédia avec source : InCa.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Un 4e État américain permet aux psychologues de prescrire des médicaments

Un 4e État américain permet aux psychologues de prescrire des médicaments psychotropes. Il s’agit de l’Iowa.

L’Association des psychologues de l’Iowa souligne que le privilège de prescription pour les psychologues répond à un grand besoin dans cet État, qui se classe 47e (sur 50) pour ce qui est de l’accès aux psychiatres. Deux tiers des comtés de l’Iowa n’ont pas des psychiatres. Même dans les zones urbaines, il faut attendre des mois avant d’obtenir un rendez-vous.

L’État du Nouveau-Mexique a été le premier à autoriser la prescription de médicaments par les psychologues en 2002, suivie par la Louisiane en 2004 et l’Illinois en 2014.

Dans plus d’une douzaine d’États, des projets de loi sont à l’étude, dont Hawaii, Idaho, New Jersey, New York et Ohio.

Il y a quelque 200 psychologues qui prescrivent des médicaments aux États-Unis. Pour ce, ils doivent compléter un diplôme universitaire de 2e cycle (maîtrise) en psychopharmacologie ou l’équivalent, et ce, en complément de leur diplôme de troisième cycle (doctorat) en psychologie.

Psychomédia avec source : APA.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Coronavirus MERS: un dernier bilan fait état de 81 morts en Arabie Saoudite

Share Button

Le coronavirus MERS fait à nouveau parler de lui puisque treize nouveaux cas de contamination ont été enregistrés en Arabie Saoudite. La déclaration publiée le 21 avril par Le ministre Abdallah Al-Rabiah fait état de sept cas recensés à Jeddah à l’Ouest, quatre à Ryad, un à Médine et un à Najrane. Avec ces nouvelles contaminations, le total des personnes infectées s’élève aujourd’hui à 261 cas, dont 81 décès.

Selon les informations publiées dans les médias saoudiens, la plupart de ces cas identifiés récemment ont été enregistrés en milieu hospitalier, ce qui a poussé plusieurs professionnels de santé à la démission. La maladie n’a pas été déclarée épidémie par l’OMS pour le moment, a affirmé le ministre de la santé.

Afin de faire face à la maladie, plusieurs suggestions ont été faites par le ministère et notamment la tenue de réunions quotidiennes des services concernés, le lancement d’une invitation à faire le point adressée à 22 experts de l’OMS venant de différents pays ou encore l’appel à cinq firmes pharmaceutiques mondiales pour tenter la mise au point d’un vaccin.

Sur le front de la lutte contre le coronavirus MERS, toutes les mesures mises en place sont compatibles, selon M. Rabiah avec les “standards internationaux”. Une autre information qui est plutôt une bonne nouvelle : aucun cas n’a été recensé en milieu scolaire.

Le coronavirus atteint 13 nouveaux cas en Arabie Saoudite

Google+

Commentaires


Top Actus Santé

Cœur artificiel : le patient toujours dans un état «satisfaisant»

Deux mois après l’opération constituant une première mondiale, l’homme porteur d’une bioprothèse cardiaque s’alimente et n’a plus besoin d’assistance respiratoire continue, selon ses médecins.

L’homme de 76 ans qui a reçu une prothèse cardiaque totale Carmat se trouve dans un état «satisfaisant», deux mois après son opération qui constitue une première mondiale, rapporte ce mardi l’équipe médicale de l’hôpital européen Georges Pompidou qui le suit à Paris.

Le malade, qui souffrait d’insuffisance cardiaque en phase terminale quand il a été opéré, a connu une évolution post-opératoire «longue et difficile», mais peu surprenante au vu de son âge et de la pathologie dont il souffrait, précise le communiqué.

Au rang des progrès, il «s’alimente et ne nécessite plus d’assistance respiratoire continue», ajoutent ses médecins qui saluent «un malade exemplaire», courageux et plein d’humour. Sa bioprothèse, mise au point par le Pr Alain Carpentier, «continue de fonctionner de façon satisfaisante», et le patient n’a pas eu à prendre de traitement anticoagulant depuis le 10 janvier.

La coeur artificiel Carmat, réalisé en biomatériaux, ne nécessite pas la prise de traitement immunosuppresseur et est à ce jour la prothèse reproduisant le plus fidèlement le fonctionnement naturel du cœur. Contrairement aux pompes d’assistance mécaniques ventriculaires utilisées jusqu’à présent, dont l’usage est temporaire, il est destiné à rester dans l’organisme du patient. Seules les batteries, d’une autonomie de deux heures, sont à l’extérieur du corps du malade. La conception du coeur artificiel a nécessité plus de 20 ans de recherche.

Le dispositif expérimental doit encore être implanté sur trois autres patients pour valider la première phase d’essais cliniques destinée à vérifier qu’elle ne met pas en danger les patients. Si les résultats sont positifs, une deuxième phase d’essais portant sur une vingtaine de patients devrait suivre.

Retrouvez cet article sur Figaro.fr

Des victimes d’AVC carencées en vitamine C
Les médecins se mobilisent contre le burn-out
Sida : attention aux autotests vendus en ligne
Les jeux vidéo d’action au secours de la dyslexie
Inscrivez vous à la newsletter du Figaro


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

Comment estimer le pronostic d’un patient confronté au cancer en se basant sur son état général  ?

« Comment estimer le pronostic d’un patient confronté au cancer en se basant sur son état général ? » par le Docteur Erard de Hemricourt. S’il est une question très souvent posée par un patient touché par un cancer et qui trouve très difficilement une réponse précise, c’est celle concernant sa survie et le pronostic de sa maladie cancéreuse : « combien de temps me reste-t-il encore ? ».

En effet, il est extrêmement compliqué et parfois réducteur de se baser sur des statistiques globales pour évaluer l’état actuel ou à venir d’un seul patient. On ne peut pas généraliser face à un seul patient. Cependant, pour mieux comprendre l’évolution d’une maladie particulière, les médecins font de plus en plus souvent appel aux données fournies par les individus eux-mêmes.

Il s’agit dans ce cas non plus de données objectives, facilement mesurables mais de données tout à fait subjectives, provenant du patient lui-même et que les spécialistes appellent ‘Patient-Reported Outcome’ (PRO) ou ‘Résultats Rapportés par le Patient’. L’avantage de ces données est justement qu’elles sont subjectives et donnent un aspect beaucoup plus représentatif de l’état général du patient tel que ressenti par lui-même.

L’un des experts concernant les PRO est le groupe européen EORTC (European Organization for Research and Treatment of Cancer) qui, depuis de nombreuses années, étudie les données objectives et surtout subjectives des patients au moyen de questionnaires validés. L’un de ces questionnaires, le QLC-C30 a justement été utilisé pour tenter de savoir s’il était possible de relier certains aspects du patient à sa survie face au cancer (A global analysis of multitrial data investigating quality of life and symptoms as prognostic factors for survival in different tumor sites. Chantal Quinten et al. Cancer 2013 Oct 11. doi: 10.1002/cncr.28382).

Esperity, 1er réseau social

Esperity, 1er réseau social destiné aux patients touchés par le cancer

Pour cela et afin d’étudier de manière rigoureuse la qualité de vie de chaque patient, les chercheurs de l’EORTC ont utilisé le QLC-C30, questionnaire général qui comprend une série de questions classées en différents groupes ou échelles de valeurs : cinq sous-échelles de l’état fonctionnel (physique, rôle, social, émotionnel et social), trois sous-échelles de symptômes (fatigue, douleur, nausée et vomissement), une sous-échelle globale de la qualité de vie et de l’état de santé.

Les chercheurs ont repris une trentaine d’études cliniques réalisées entre 1986 et 2004 incluant plus de 7 400 patients. Un total de 11 types différents de tumeur a pu être répertorié. L’analyse statistique relative à chaque type de cancer a pu effectivement montrer qu’il existait au moins un indicateur de qualité de vie statistiquement représentatif pouvant être relié à la survie des patients, et cela, indépendamment des données objectives généralement étudiées dans les études de cancérologie clinique.

Ainsi, pour le cancer du cerveau (gliome de haut grade), l’état cognitif était l’élément prédictif de la survie ; pour le cancer du sein, c’était l’état physique, l’état émotionnel, la qualité de vie générale et la présence de nausées ou vomissements. Face au cancer colorectal, il s’agissait de l’état physique, de la nausée et vomissement, de la perte d’appétit et de la douleur. Finalement pour le cancer pulmonaire, l’état physique et la douleur ressortaient comme des éléments à considérer concernant le devenir du patient.

Il est important de bien comprendre qu’il s’agit ici d’une association et non d’une corrélation. Il ne suffit pas d’être de bonne humeur ou de garder un bon appétit pour augmenter sa survie. Par contre, globalement, le fait d’être en mauvais état général ou de souffrir de douleurs importantes était associé à une moindre survie.

Ces résultats doivent nous rappeler que le moral et l’état général du patient sont des éléments importants face au cancer et que, comme nous l’ont montré plusieurs autres études scientifiques, de ‘simples’ éléments subjectifs, non facilement investigables, peuvent être des éléments très importants à ne pas négliger lorsque l’on se retrouve face à un patient touché par un cancer.

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé – Tous droits réservés-
« Ne restez plus jamais seul face à votre cancer » avec


News Santé

Pourquoi envoyer des sms au volant est plus dangereux que conduire en état d’ivresse !

©Fotolia

©Fotolia

« Pourquoi envoyer des sms au volant est plus dangereux que conduire en état d’ivresse ! » par le docteur Erard de Hemricourt.

Envoyer des sms (textos) en conduisant, ce n’est pas bien. Ce n’est pas bien et c’est même extrêmement dangereux comme de nombreuses études nous l’ont montré. En fait, il est plus dangereux d’envoyer des sms en conduisant un véhicule que de conduire en état d’ébriété. Le risque d’accident mortel peut être multiplié par 23.

Et pourtant, même si les gens et surtout les jeunes le savent, cela ne les empêche pas de continuer cette pratique interdite (dans de nombreux pays). C’est ce que vient de nous montrer une étude américaine récemment publiée aux États-Unis (Garold Lantz et al. An exploratory study of psychological tendencies related to texting while driving. Int. J. Sustainable Strategic Management, 2013, 4, 39-49).

Selon cette étude, près de 80 % des jeunes au collège continuent à envoyer des textos tout en conduisant leur véhicule alors qu’ils savent pertinemment qu’il s’agit d’une pratique dangereuse pouvant occasionner un accident mortel. Cette inclination à envoyer des textos est positivement corrélée à une certaine impulsivité de la part des utilisateurs à ‘texter’, selon les analyses récoltées.

Et qui sont les plus impulsifs ? Les jeunes hommes qui, bien qu’ils reconnaissent en effet abuser du téléphone au volant, se considèrent toutefois à l’abri d’une mésaventure puisque meilleurs que les autres à envoyer des sms tout en conduisant.

« Il semble, dans la tête de ces garçons, exister un certain consensus qui confirme que l’utilisation des outils électroniques est bien dangereuse pour tout le monde … sauf pour soi-même» selon les Dr Garold Lantz et Sandra Loeb de l’école de commerce McGowan.

De nombreuses études ont clairement anéanti le mythe du multitasking (capacité à réaliser correctement plusieurs choses à la fois) puisque seuls 2,5 % des gens ont ou auraient les capacités de pouvoir s’occuper correctement de 2 ou trois choses à la fois.

Il est donc largement temps, selon les auteurs de l’étude, de casser cette impulsivité latente à envoyer des sms au volant et de faire comprendre, aux jeunes surtout, le réel danger d’un tel comportement au volant.

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé – Tous droits réservés-
« Ne restez plus jamais seul face à votre cancer » avec Esperity, premier site multilingue destiné aux patients touchés par le cancer


News Santé

Un état des lieux du cancer en France

INFOGRAPHIE – Basé sur des indices standardisés, un rapport sur les cancers en France depuis 1980 montre que l’augmentation des cas est notamment liée au vieillissement et à l’augmentation de la population française.

Au premier regard, les résultats semblent décourageants. Le nombre de cancers a explosé en France au cours de ces trente dernières années: + 107,6 % pour les hommes et + 111,4 % pour les femmes. Pour la seule année 2012, le nombre de nouveaux cas de cancers en France métropolitaine est ainsi estimé à 355 000 dont 200 000 pour les hommes et 155 000 pour les femmes.

Mauvaise nouvelle à l’échelle de la population mais qui doit être nuancée au niveau individuel. Pas moins de quatre institutions publiques ont justement mis leurs expertises en commun pour analyser en détail l’évolution de l’incidence et de la mortalité par cancer en France depuis 1980: l’Institut national du cancer, l’Institut de veille sanitaire, le service de biostatistique des Hospices civils de Lyon et le registre des cancers Francim.

Première remarque, d’importance, la population française a non seulement augmenté depuis trente ans mais elle a aussi vieilli. Or, le cancer est une maladie dont l’incidence (survenue de nouveaux cas sur une période donnée) augmente avec l’âge, à l’exception de certains cancers plus fréquents chez les enfants. C’est pourquoi la hausse du nombre de cas observés est trompeuse. Ainsi les statisticiens ont-ils pu calculer que deux tiers de la hausse constatée, pour les hommes, et un peu plus de la moitié de celle-ci pour les femmes s’expliquait d’abord par ces deux paramètres démographiques.

Deuxième indicateur important: la mortalité, c’est-à-dire le nombre de décès par cancer rapporté à la population. Là encore, les chiffres bruts montrent que le nombre de décès par cancer a augmenté de 11 % pour les hommes et de 20,3 % pour les femmes entre 1980 et 2012. Mais si l’on enlève statistiquement l’augmentation et le vieillissement de la population (…)

Lire la suite sur Figaro.frL’activité sexuelle régulière serait un élixir de jouvence
Les nonagénaires de plus en plus en forme
Pourquoi les laits végétaux sont inadaptés aux nourrissons
Le sommeil prévient les maladies du cœur
Inscrivez vous à la newsletter du Figaro


News Santé | Actualités & informations – Yahoo! Actualités FR

L’ancien président Nelson Mandela dans un « état critique »

JOHANNESBURG (Reuters) – Nelson Mandela est dans un « état critique », annonce dimanche soir le gouvernement sud-africain dans un communiqué.

Dans son précédent bulletin sur la santé de l’ancien président, samedi matin, le gouvernement le décrivait dans un état « grave mais stable ».

Nelson Mandela, qui est âgé de 94 ans, a été hospitalisé le 8 juin dans un hôpital de Pretoria en raison d’une nouvelle infection pulmonaire.

Kevin Liffey; Jean-Stéphane Brosse pour le service français


News Santé | Actualités & informations – Yahoo! Actualités FR

Moubarak de retour en prison, son état de santé jugé meilleur

MOUBARAK RENVOYÉ EN PRISON APRÈS AMÉLIORATION DE SON ÉTATLE CAIRE (Reuters) – L'ancien président égyptien Hosni Moubarak est retourné lundi en prison conformément à une décision du parquet ayant jugé que son état de santé ne justifiait plus son maintien dans un hôpital militaire. Condamné à la réclusion à perpétuité, l'ex-"raïs", qui est âgé de 84 ans, avait été transféré de l'aile médicalisée de la prison de Tora à l'hôpital cairote de Maadi le 19 juin. L'ancien président, qui a gouverné l'Egypte pendant 30 ans, avait alors été donné "cliniquement mort" par Mena, ce qui a ensuite été démenti par des sources militaires. …



News Santé | Actualités & informations – Yahoo! Actualités FR