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Une chirurgie inédite de l’œil a été réalisée par un robot

Le 13 septembre 2016.

Un robot chirurgien vient de mener avec succès une opération très délicate de l’œil, dans un hôpital britannique. Les médecins sont confiants et espèrent, grâce à ce procédé, pouvoir guérir certaines formes de cécité.

Une opération chirurgicale dans un trou inférieur à 1 mm de diamètre

Une opération complexe de l’œil a été, pour la toute première fois, menée avec succès par des chirurgiens de l’hôpital John Radcliffe d’Oxford, au Royaume-Uni. Cette chirurgie qui consistait à retirer une membrane de la rétine de l’œil d’un patient de 70 ans a été rendue possible grâce à l’aide d’un robot, commandé à distance par deux médecins.

Ce nouveau dispositif, baptisé Robotique Retinal Dissection Dispositif (R2D2), et mis au point par la société néerlandaise de robotique médicale Preceyes BV, a permis à ces chirurgiens de réaliser ce que leurs mains n’auraient jamais pu faire : opérer à travers un trou d’un diamètre inférieur à 1 mm, percé dans la paroi intérieure de l’œil, pour disséquer une membrane d’une épaisseur d’un centième de millimètres.

Un nouveau chapitre des opérations oculaires est ouvert

Dans un communiqué, l’hôpital s’est félicité de la réussite de cette opération et des nouvelles voies médicales qu’ouvre cette nouvelle technologie. « La technologie actuelle, c’est-à-dire les scanners laser et les microscopes, nous permet de surveiller les maladies rétiniennes au niveau microscopique. Mais les choses que nous voyons sont au-delà de la limite physiologique de ce que la main humaine peut faire. Avec un système robotisé, nous ouvrons un nouveau chapitre des opérations oculaires, qui ne peuvent actuellement pas être effectuées », a ainsi déclaré le Pr Robert MacLaren, qui a réalisé l’opération.

L’hôpital compte désormais poursuivre cet essai clinique en dirigeant des opérations sur 12 patients. Dans une première étape, le robot sera chargé d’« éplucher » les membranes situées au large de la rétine, sans l’endommager puis, dans un deuxième temps, le robot devra insérer une aiguille sous la rétine afin d’y injecter un liquide. Ces opérations devront permettre de déterminer s’il est possible de soigner certaines formes de cécité, notamment par l’insertion de cellules souches dans l’œil.

À lire aussi : Tout savoir sur vos yeux et leurs pathologies

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Une trousse à pharmacie efficace pour cet été !

Pour ne rien n'oublier dans sa trousse à pharmacie en vacances, suivez le guide !

Vous avez prévu de partir en vacance cet été ? Mais avez-vous pensé à préparer votre trousse à pharmacie ? Un petit élément bien utile à glisser dans ses bagages quand on n’est pas chez soi… Voici le trousse à pharmacie parfaite et complète pour partir en vacances.

Les médicaments de base à ne pas oublier

  • Un antalgique comme le  Paracétamol par exemple
  • Un antidiarrhéique,
  • Des antihistaminiques en cas de réactions allergiques
  • Des médicaments contre le mal des transports

Des éléments indispensables de la trousse à pharmacie

  • Des pansements
  • De la crème contre les brûlures
  • Une lotion antiseptique
  • Un sérum physiologique
  • Un gel hydro-alcoolique
  • Un thermomètre
  • Une pince à épiler
  • Des sachets de réhydratation

Priorité aux médicaments liés à un traitement

En cas de traitement en cours durant la période du séjour, il est évidemment indispensable de prévoir le traitement en quantité suffisante.

En cas de voyage en avion, il est préférable de transporter ces traitements dans le bagage à main, pour éviter le risque de pertes de bagages ou de retard dans leur acheminement. Bien sûr, ces traitements doivent être accompagnés de l’ordonnance avec la dénomination commune internationale en cas de contrôle.

Autre conseil : les médicaments emportés en vacances sont de préférence accompagnés de leur boite d’origine, afin d’éviter les confusions.

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Bébés nés en été, adultes en meilleure santé ?

© sonya etchison - Fotolia.com

© sonya etchison – Fotolia.com

Les bébés nés en été seraient en meilleure santé que les autres une fois adultes. Telles sont les conclusions d’une étude britannique menée par des chercheurs de l’Université de Cambridge.

Avant cela, ils ont analysé les données de 450 000 personnes nées en Grande-Bretagne ! Première constatation : les enfants nés en juin, juillet ou août sont généralement plus grands que les autres une fois adultes.

Mais cette étude a aussi permis de démontrer que les filles nées en été démarrent plus tardivement leur puberté. Or, on sait déjà qu’une puberté précoce peut engendrer des problèmes de santé importants pour les femmes.

Les auteurs de l’étude ont également tenu à souligner que les mères accouchant en été avaient un apport en vitamines D plus important, une différence notable puisqu’elle aurait une influence directe sur la santé future de l’enfant à naître.

Les couples qui envisagent de procréer entreront donc dans quelques semaines dans la bonne période…


News Santé

J’ai eu l’enfance la plus bio qu’on puisse imaginer, sans vaccins. Et j’ai été malade tout le temps.

Je suis l’enfant d’une ayatollah du bio des années 1970. Je n’ai pas été vaccinée. Mon éducation a été gouvernée par des préceptes d’une draconienne salubrité: pas de sucre jusqu’à l’âge d’un an, lait maternel au-delà de la première année, légumes bio cultivés à la maison, lait cru, pas de GMS, pas d’additifs, pas d’aspartame. Ma mère avait recours à l’homéopathie, à l’aromathérapie, à l’ostéopathie; nous ingérions quotidiennement des suppléments de vitamine C et d’échinacea ainsi que de l’huile de foie de morue.

J’ai beaucoup vécu au grand air; j’ai grandi près d’une ferme dans le Lake District, en Angleterre. Je me déplaçais à pied, faisais du sport et de la danse deux fois par semaine, et buvais beaucoup d’eau. Les boissons gazeuses m’étaient interdites, même mon jus de fruit frais était coupé avec de l’eau pour protéger mes dents et j’aurais tout donné pour avoir, de temps en temps, comme les autres enfants, un morceau de pain blanc du magasin et des biscuits dans ma boîte à déjeuner plutôt que des fruits.

Nous mangions de la viande (locale et bio) peut-être une ou deux fois par semaine et mon père et ma mère cuisinaient tout eux-mêmes –je n’ai à ce jour encore jamais goûté de crispy pancake Findus, et les frites au four étaient réservées aux soirs où Papa et Maman avaient des invités et que nous avions droit à une «gâterie».

L’apparente salubrité de mon style de vie ne m’a pas empêchée de contracter la rougeole, les oreillons, la rubéole, un type de méningite virale, la scarlatine, la coqueluche, une angine par an et la varicelle. Lorsque j’avais une vingtaine d’années, on m’a trouvé des lésions précancéreuses dues au papillomavirus et avant qu’elles ne soient retirées, j’ai passé six mois de ma vie à me demander comment j’allais annoncer à mes enfants de moins de 7 ans que Maman allait peut-être avoir un cancer.

Par conséquent, les craintes des militants anti-vaccins qui clament que nous nous faisons «stériliser l’immunité naturelle» ne marchent pas avec moi. Comment, malgré mon enfance idyllique et mon alimentation incroyablement saine, ai-je pu tomber sans arrêt et si atrocement malade?

J’ai avalé tellement d’antibiotiques…

Ma mère aurait fichu la honte à la plupart de mes amis écolos d’aujourd’hui. Elle ne buvait pas, ne fumait pas, ne se droguait pas, et il n’était pas question de regarder ce que nous voulions à la télévision, de porter des chaussures en plastique ni rien de ce genre. Elle vivait une santé alternative. Et vous savez quoi? Je suis heureuse qu’elle nous ait imposé une si bonne alimentation. Je suis ravie qu’elle se soit souciée de nous à ce point.

Mais cela ne m’a pas empêchée de contracter des maladies infantiles.

Mes deux enfants vaccinés, en revanche, sont rarement malades et ont dû prendre des antibiotiques au maximum deux fois dans leur vie. Pas comme leur mère. J’ai eu tellement de maladies nécessitant un traitement aux antibiotiques que j’ai développé une résistance, ce qui m’a conduit à 21 ans à être hospitalisée pour une amygdalite purulente résistante à la pénicilline –vous savez, cette maladie de jadis qui aurait causé la mort de la reine Elisabeth I et qui a été quasiment éradiquée grâce aux antibiotiques.

Mes enfants n’ont contracté d’autre maladie infantile que la varicelle, qu’ils ont tous les deux eue alors que je les allaitais encore. Eux aussi ont bénéficié d’une alimentation saine, avec des légumes bio cultivés à la maison, etc. Je n’ai pas été aussi stricte que ma mère, mais ils sont tous les deux en meilleure santé que je l’ai jamais été.

J’en suis venue à m’interroger sur les allégations selon lesquelles les complications des maladies infantiles sont extrêmement rares et les «dégâts» causés par les vaccins monnaie courante. Si c’est vrai, j’ai du mal à comprendre pourquoi je connais une foule de gens qui ont souffert de complications à la suite de maladies infantiles évitables et personne qui ait pâti de complications à la suite de vaccins. J’ai des amis que la rougeole a rendus sourds. Un de mes amis est malvoyant parce qu’il a contracté la rubéole dans le ventre de sa mère. Mon ex a eu une pneumonie varicelleuse. Le frère d’une de mes connaissances est mort à la suite d’une méningite.

Evidemment, on ne peut baser ses décisions sur des preuves anecdotiques. Mais quand les faits et les arguments scientifiques preuves à l’appui ne suffisent pas à influencer quelqu’un, c’est le dernier recours. Après tout, les anecdotes sont l’argument de prédilection des anti-vaccins: «C’est mon expérience personnelle», disent-ils. Eh bien mon expérience personnelle m’incite à nous vacciner, mes enfants et moi-même. Je me suis récemment fait immuniser contre la grippe et j’ai fait le rappel de la coqueluche pour protéger mon fils in utero. Mon immunité naturelle –j’ai eu la coqueluche à 5 ans– n’aurait pas suffi à le protéger après sa naissance.

Vous pensez que votre enfant peut résister aux maladies mais pas au vaccin?

Je comprends jusqu’à un certain point la façon de penser des parents opposés aux vaccins. Dans les années 1990, jeune mère de 19 ans effrayée par le monde dans lequel je mettais mes enfants, j’ai étudié l’homéopathie, la phytothérapie et l’aromathérapie; je croyais aux anges, à la sorcellerie, aux voyants, aux cercles de culture, aux extraterrestres de Nazca, à de gigantesques marins roux qui auraient communiqué leurs connaissances aux Aztèques, aux Incas et aux Egyptiens, et je pensais que le Saint-Esprit m’avait accordé un genre de pouvoir de guérison. Je me faisais lire l’aura au prix du caviar et je filtrais le fluor de mon eau. Je choisissais de vivre des épisodes d’une vie antérieure plutôt que de prendre des antidépresseurs. Je suivais les conseils quotidiens des cartes de tarot. Je faisais pousser mes légumes et je fabriquais mes propres remèdes à base de plantes.

J’étais tellement atteinte que je me suis littéralement écroulée. Il m’a fallu reprendre le contrôle de ces pensées paranoïaques et des craintes que m’inspirait le monde qui m’entourait et devenir capable de pensée critique objective pour aller mieux. C’est quand j’ai arrêté de sucer de petites boules de sucre à tout bout de champ et que j’ai commencé à voir des professionnels de la médecine que je me suis mise à m’épanouir physiquement et mentalement.

Si vous estimez que le système immunitaire de votre enfant est assez costaud pour se battre contre des maladies que les vaccins pourraient éviter, alors il l’est assez pour se défendre contre les minuscules doses d’agents pathogènes inactivés ou atténués présents dans les vaccins.

Mais tout le monde autour de vous n’a pas cette force, tout le monde n’a pas le choix, tout le monde ne peut pas se défendre contre ces maladies, et tout le monde ne peut pas être vacciné. Si vous avez un enfant en bonne santé, alors il pourra supporter la vaccination et protéger les enfants en mauvaise santé qui, eux, ne la supporteraient pas.

J’aimerais demander aux anti-vaccination de traiter leurs enfants avec compassion et de faire preuve d’un sens des responsabilités envers leur entourage. J’aimerais leur demander de ne pas éduquer leurs enfants pour qu’ils ne pensent qu’à eux-mêmes et se méfient du monde et des gens qui les entourent (et qu’ils leur apprennent à aimer les gens atteints de troubles du spectre autistique ou de tout autre handicap soi-disant associé aux vaccins –et à ne pas les étiqueter comme tarés).

Ces maladies ne sont pas des parties de plaisir

Mais surtout, je veux que les anti-vaccins comprennent qu’exposer sciemment son enfant à la maladie est cruel. Même sans complications, ces maladies ne sont pas précisément une partie de plaisir. Je ne sais pas pour vous, mais moi ça ne m’amuse pas de voir des enfants souffrir, serait-ce d’un rhume ou d’une égratignure au genou. Si vous n’avez jamais eu ces maladies, vous ne pouvez pas savoir à quel point elles sont horribles. Moi je le sais.

Douleurs, inconfort, difficultés à respirer, à manger ou à avaler, fièvre et cauchemars, démangeaisons sur tout le corps au point que le contact des draps devient insupportable, une telle perte de poids qu’il n’est plus possible de marcher droit, une diarrhée qui vous laisse prostrée sur le sol de la salle de bains, les jours de congé sans solde pris par les parents, la quarantaine, pas d’école, pas de fêtes, l’inquiétude, les nuits sans sommeil, la sueur, les larmes, le sang, les visites aux urgences à minuit, tout ce temps passé, seule, dans la salle d’attente du médecin où personne ne veut s’asseoir à côté de vous parce que les gens sont effrayés, à juste titre, par les boutons constellant votre visage.

Ceux d’entre vous qui ont échappé aux maladies infantiles sans être vaccinés ont eu de la chance. Mais vous n’y seriez pas parvenus sans nous, les pro-vaccins. Lorsque le taux de vaccination commencera à baisser, le déclin de l’immunité de groupe rendra vos enfants vulnérables. Plus vous ferez de convertis, et moins cette chance se présentera.

Amy Parker

Amy Parker est la mère de deux adolescents et d’un nouveau-né. Elle enseigne la musique et les arts en Angleterre, sur la côte du district de Fylde.

Traduit par Bérangère Viennot

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Un été belle peau avec PhytoQuant

Créé en 2004 par Nicola Frassanito, PhytoQuant est un laboratoire spécialisé dans les compléments alimentaires naturels qui se distingue par son sens de l’innovation et son éthique.

Pour prendre soin de notre peau de l’intérieur comme de l’extérieur, PhytoQuant nous suggère cet été une cure associant trois de ses produits phares : QuantaOx, QuantaBourrache et QuantaDerm.

Complément alimentaire à base de vitamines, de minéraux et de plantes avec un apport important en vitamines C et E ainsi qu’en sélénium, QuantaOx aide à protéger les cellules contre le stress oxydatif particulièrement sévère l’été en cas d’exposition solaire prolongée.

Cette protection antioxydante est renforcée par la prise de QuantaBourrache, un autre complément alimentaire à base d’huile de bourrache biologique particulièrement riche en Oméga 6.

Et pour nourrir la peau de l’extérieur et favoriser sa régénération et sa cicatrisation en cas de coups de soleil, il y a QuantaDerm, une crème fluide régénératrice à base de colostrum, d’aloe vera et de plantes comme la Centella Asiatica.

Une cure complète pour mettre sa peau à l’abri du stress oxydatif, prévenir son vieillissement et la garder belle tout l’été.

(Lot Derm, PhytoQuant. Disponible sur www.phytoquant.net. Prix indicatif : 72 €)


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Embarquez pour un été chic et coloré avec Essie

Essie fête l’été comme il se doit avec sa Summer Collection 2013, six nouvelles nuances décontractées en accord parfait avec des vacances ensoleillées.

Pour créer cette collection, Essie Weingarten s’est en effet inspirée des tuniques d’été en mousseline légère des femmes qui aiment le soleil et de leurs tons pastels.

Notre préférence va à Naughty nautical, le coloris phare de la collection, un bleu vert marin qui tend vers le turquoise et constellé d’une pluie fine, pratiquement imperceptible, de particules irisées qui font toute la différence.

The more the merrier est quant à lui plus flashy avec son vert citron presque fluo. Sunday funday est un corail plein de peps, The girls are out, un fuschia et Rock the boat, un bleu pastel captivant.

A noter et toujours autant appréciable, la forme du pinceau qui facilite l’application. En un seul geste (ou presque), l’ongle est laqué.

Pour un rendu impeccable et plus intense pour sublimer notre bronzage, on ne fait pas l’impasse sur la deuxième couche.

(Summer Collection 2013, Essie. Disponible chez Monoprix, dans les parfumeries Marionnaud. Prix indicatif : 11,90 €)


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Qui dit été dit moustiques, mais à quoi servent-ils ?

Pourrir notre existence n’est qu’une facette de la mission complexe du moustique sur Terre. En nous piquant pour nourrir (avec notre sang !) sa future progéniture, la femelle moustique figure parmi les créatures les plus détestées de la surface du globe.

Après les fortes pluies de juin, la chaleur s’abat enfin sur la France mi-juillet. Et dans ces conditions de prolifération idéales, les moustiques constituent le revers de la médaille. Francetv info s’est demandé ce que pouvaient bien faire parmi nous ces insectes, tantôt « gênants », tantôt meurtriers. C’est vrai, ça, à part nous dévorer, que font les moustiques ?

Que l’homme piqué se rassure, le moustique constitue aussi une proie de choix. « Les larves servent de nourriture à de nombreux insectes, tandis que des espèces, comme les oiseaux par exemple, se nourrissent à leur tour des moustiques », explique Mathieu de Flores, entomologiste à l’Office pour les insectes et leur environnement (Opie), contacté par francetv info. Ils sont même les grands perdants de la chaîne alimentaire : sous l’eau, les larves se nourrissent de microscopiques organismes, avant de servir d’en-cas à leur tour, aux poissons et autres libellules. Et à l’état adulte, le moustique nourrit de sympathiques bestioles telles que les araignées et les chauves-souris.

Cependant, selon un article de la revue américaine Nature (en anglais), traduit en 2010 par Courrier international, les spécialistes sont divisés sur le caractère irremplaçable du moustique dans son écosystème. Ainsi, la toundra arctique, qui s’étend du nord du Canada à la Russie, est envahie chaque été par d’impressionnants nuages bourdonnants. Mais le nombre d’oiseaux migratoires serait divisé par deux si les moustiques disparaissaient, estime l’entomologiste américain Bruce Harrison, cité par la revue. A l’inverse, la biologiste Cathy Curby explique que (…) Lire la suite sur Francetv info

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S.O.S. beauté : en été, j’ai la peau qui brille !

S.O.S. beauté : en été, j'ai la peau qui brille !Le soleil et la chaleur peuvent être fatals pour notre matité. Dès que le thermomètre dépasse les 20 °C, notre peau semble vouloir faire de la concurrence à un ver luisant ! Lorsque la peau commence à bronzer, elle prend aussi le réflexe de s'épaissir pour se préserver des U.V. et devient alors plus grasse que d'habitude. Et si le make-up glowy donne un teint radieux, l'excès de brillance, lui, le rend désastreux. On vous délivre nos conseils pour arborer une mine parfaitement fraîche même en pleine canicule.



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