Archives par mot-clé : étudiante

La Sécurité Sociale étudiante expliquée aux étudiants !

Dossiers mutuelles

Définition d’une mutuelle

La mutuelle santé prend en charge tout ou partie de vos dépenses santé non couvertes par votre régime obligatoire.

Pourquoi souscrire une mutuelle ?

La Sécurité Sociale ne prenant pas toutes les dépenses à sa charge, une mutuelle santé comblera alors la différence.

Résiliation suite à une augmentation de votre prime

Suite à une augmentation de votre prime, vous désirez résilier votre contrat de mutuelle santé. La résiliation en cas d’augmentation du montant de la prime doit être prévue dans le contrat.

Sécurité Sociale étudiante : comment ça marche ?

Inscription à l'université : lumière sur la Sécu étudiante

Chaque étudiant (sauf boursiers) doit s’acquitter d’une somme pour s’affiler au régime obligatoire de la Sécurité Sociale étudiante, et ce qu’il s’inscrive dans une université ou dans une grande école. Cette année, l’inscription à la Sécu étudiante s’élève à 215 euros.

La Sécurité Sociale étudiant : à quoi ça sert ?

La Sécurité Sociale étudiante est donc obligatoire et assurer une partie des remboursements des soins en cas de maladie ou d’accident et court du 1er octobre de l’année au 30 septembre de l’année suivante Une partie seulement.

C’est à l’inscription dans l’établissement supérieur que l’étudiant doit s’acquitter de sa cotisation annuelle. Cela concerne les étudiants âgés de 16 à 28 ans.

La Sécurité Sociale étudiant est gérée par les mutuelles étudiantes, mais ces dernières ne sont pas obligatoires. L’étudiant doit choisir un centre de remboursement pour la Sécurité Sociale, et peut seulement s’il le souhaite, souscrire la complémentaire santé pour optimiser ses remboursements de santé.

Sécurité Sociale étudiante : qui peut être dispensé ?

  • Les étudiants âgés entre 16 et 19 ans, ayants droit d’un parent affilié à un régime spécifique de la Sécu
  • Les étudiants âgés de 20 ans et plus, ayants droit d’un conjoint n’ayant pas le statut d’étudiant
  • Les étudiants âgés de 20 ans et plus, salariés permanent (activité salariée d’au moins 60 heures par mois), déjà affilié au régime général obligatoire.
  • Les étudiants de plus de 28 ans

Dans d’autres cas, l’affiliation est effective mais pas le règlement de la cotisation :

  • Les boursiers
  • Les étudiants en situation financière difficile sur demande écrite à la commission désignée par le conseil d’administration de l’université auprès de la CPAM (caisse primaire d’assurance maladie)
  • Les étudiants dont l’affiliation n’est pas obligatoire

Une mutuelle étudiante ou autre pour compléter

La Sécurité Sociale ne prenant en charge qu’une partie des remboursements de santé, il est prudent de souscrire une bonne complémentaire santé pour optimiser les remboursements. Ce n’est pas obligatoire mais cela semble indispensable au regarde de la part de remboursement de la Sécurité Sociale.

Il est possible de souscrire une mutuelle étudiante, directement le jour de l’inscription ou plus tard dans les locaux des mutuelles (le plus souvent installés sur les campus) ou de souscrire une mutuelle traditionnelle, en procédant à une comparaison de mutuelle par exemple !

Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à cliquer !

Thionville : une étudiante meurt des suites d’une méningite

Share Button

La méningite à méningocoque vient de faire une nouvelle victime. Après avoir provoqué le décès de trois jeunes hommes à Nice, c’est une étudiante en droit de 19 ans qui est morte à l’hôpital de Thionville des suites d’une méningite dimanche dans un hôpital de Thionville (Moselle). Telles sont les informations données par l’Agence régionale de santé de Lorraine dans un communiqué.

La méningite à méningocoques est une maladie rare qui touche près de 600 personnes par an en France. Survenant principalement en hiver et au printemps, chez des sujets jeunes âgés de moins de 25 ans, elle se développe assez souvent lors de périodes de grande fatigue. Liée au méningocoque, une bactérie présente dans l’arrière-gorge d’environ 10 % de la population sans poser de problème, elle passe quelquefois dans le sang, et provoque à ce moment là une inflammation des méninges, les membranes fines qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. C’est en raison de ce passage dans le sang qu’il peut y avoir des complications graves, voire mortelles.

Si plusieurs types de méningites à méningocoques, classés en « sérogroupes », A, B, C, Y ou encore W135 existent, ce sont les sérogroupes B (73%) puis C (16%) qui représentent le plus de cas en France. Cette maladie grave est heureusement peu contagieuse en raison du fait que la bactérie ne survit pas hors du corps humain, ni dans l’air, ni sur les objets. La bactérie peut cependant se transmettre par l’intermédiaire de postillons et lors de contacts directs, proches, prolongés ou répétés.

C’est la raison pour laquelle les personnes qui ont eu un contact rapproché avec la victime ont été identifiées par l’ARS qui a délivré un traitement antibiotique de prévention. Par contre, aucune mesure sanitaire n’a été prise au niveau de la Faculté de droit où la jeune femme étudiait.

Les signes qui doivent alerter concernant une méningite à méningocoques sont une forte fièvre, de violents maux de tête, une gêne à la lumière, une très mauvaise mine, des vomissements en jets, des courbatures, une raideur de la nuque. A l’inverse, le nourrisson qui est atteint par cette maladie peut être à l’inverse tout mou.

Google+

Commentaires


Top Actus Santé