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La justice ordonne au Canada de réviser plus de 350 pesticides interdits en Europe

Une décision de la Cour fédérale canadienne, rendue le 19 mai, exige que le Canada révise tout pesticide interdit en Europe pour des raisons de santé ou d’environnement, mais encore autorisé au pays, rapporte la Presse canadienne. Plus de 350 pesticides sont impliqués.

Équiterre et la Fondation David Suzuki avaient déposé une poursuite judiciaire en 2013, alléguant que le gouvernement fédéral devait procéder à l’examen de centaines de pesticides contenant 23 ingrédients interdits en Europe.

Parmi les pesticides qui devront être examinés se trouvent ceux contenant l’atrazine qui est interdite en Europe depuis 2004, mais demeure couramment utilisée sur les cultures de maïs au Canada. Il s’agit de l’un des herbicides les plus fréquemment décelés dans les eaux de surface et les eaux souterraines au Canada, rapporte Équiterre. L’atrazine est notamment associée à la réduction de la fertilité chez les humains.

« Il est temps d’offrir aux Canadiens la même protection qu’en Europe », a déclaré Sidney Ribaux, directeur général d’Équiterre.

Psychomédia avec source : Le Devoir (La Presse canadienne).
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Les ados sont plus obèses et en moins bonne forme en Europe du Sud

Les habitants des pays du sud de l’Europe ont des risques cardiovasculaires assez faibles, notamment grâce au fameux régime méditerranéen. Mais, comme le souligne un article de El Mundo, les choses pourraient être en train de changer. Un indicateur, notamment, inquiète: une étude publiée début 2013 dans la revue Pediatrics montre que «les adolescents des pays comme l’Espagne, l’Italie ou la Grèce ont une moins bonne forme physique et un taux d’obésité plus élevé que leurs camarades qui vivent plus au nord».

L’équipe de chercheurs a étudié le profil de 3.528 adolescents entre 12 ans et 17 ans, venus de 10 villes européennes de Grèce, Italie, Allemagne, Hongrie, Autriche, Suède, Espagne ou encore Belgique. Ils ont comparé leur forme physique (à travers l’activité physique, la force, la rapidité, la capacité cardiorespiratoire…), leur indice de masse corporelle, leur risque cardiométabolique…

Résultat, les adolescents urbains du sud de l’Europe sont donc plus en surpoids et en moins bonne forme, ce qui suggère qu’ils sont en moins bonne santé globale. L’assiette n’entre pas vraiment en jeu pour le critère de la forme physique: 

«L’explication réside dans le fait que les jeunes grecs, italiens et espagnol sont moins actifs et passent plus de temps à des activités sédentaires.»

En ce qui concerne les différences de poids entre les jeunes Européens, elle ne sont pas liées, dans cette étude, à l’activité physique, à un variant génétique ou à un meilleur régime alimentaire. Du coup, «les facteurs expliquant les différences de surpoids restent inconnus», conclut l’étude. 

Francisco B. Ortega, chercheur au Département d’éducation physique et sportive de l’université de Grenade et principal auteur de l’étude, explique au quotidien espagnol que ces résultats ne sont en tous cas pas très encourageants pour les prochaines décennies:

«Il est possible que ces différences observées aient un effet dans quelques années, que ce sédentarisme et cette moins bonne forme physique se reflètent dans les niveaux de cholestérol ou d’hypertension.»

Du coup, ce serait le moment de passer à l’action avant que la situation n’empire et que la bonne santé cardiovasculaire ne s’inverse, précise le chercheur.

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Herceptin (trastuzumab) homologué en Europe

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Le laboratoire pharmaceutique Roche a annoncé lundi que la nouvelle formulation d’Herceptin (trastuzumab) a été homologuée par la Commission européenne pour le traitement du cancer du sein HER2-positif. Qu’est-ce que Herceptin? Dans quel cas Herceptin est-il utilisé? Comment Herceptin est-il utilisé? Comment Herceptin agit-il? Quelles études ont été menées sur Herceptin? Quel est le bénéfice démontré par Herceptin au cours des études? Quel est le risque associé à l’utilisation de Herceptin?

Le médicament Herceptin (trastuzumab) a été homologuée par la Commission européenne pour le traitement du cancer du sein HER2-positif. Le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a estimé que les bénéfices de Herceptin sont supérieurs à ses risques et a recommandé l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché pour ce médicament.

Herceptin est une poudre destinée à être reconstituée en solution pour perfusion (goutte-à-goutte dans une veine). Il contient le principe actif trastuzumab.

Dans quel cas Herceptin est-il utilisé?

Herceptin est utilisé pour traiter les types de cancer suivants:
– le cancer précoce du sein (lorsque le cancer s’est propagé dans le sein ou les glandes sous le bras, mais pas dans d’autres parties du corps) après chirurgie, chimiothérapie (médication destinée à traiter le cancer) et radiothérapie (traitement au moyen de radiations) le cas échéant. Il peut également être utilisé à un stade plus précoce du traitement, en association avec la chimiothérapie. Pour des tumeurs qui sont localement avancées (y compris celles qui sont inflammatoires) ou qui ont plus de 2 cm de large, Herceptin est utilisé avant la chirurgie en association avec la chimiothérapie et ensuite à nouveau après la chirurgie en monothérapie;
– le cancer du sein métastatique (un cancer qui s’est propagé dans d’autres parties du corps). Il est utilisé en monothérapie chez les patientes n’ayant pas répondu à des traitements antérieurs. Il est également utilisé en association avec d’autres médicaments anticancéreux: avec le paclitaxel ou le docétaxel, ou avec un inhibiteur de l’aromatase;
– le cancer gastrique métastatique (cancer de l’estomac), en association avec la cisplatine et, soit la capecitabine soit le 5-fluorouracil (autres médicaments anticancéreux).

Herceptin ne peut être utilisé que s’il a été démontré que le cancer présente une «sur-expression» de HER2: cela signifie que le cancer produit une protéine spécifique, appelée HER2, en grandes quantités à la surface des cellules tumorales. Le médicament n’est délivré que sur ordonnance.

Comment Herceptin est-il utilisé?

Le traitement par Herceptin ne doit être initié que par un médecin expérimenté dans l’administration de médicaments anti-cancéreux. Herceptin est administré sous la forme d’une perfusion de 90 minutes chaque semaine ou toutes les trois semaines pour le cancer du sein et toutes les trois semaines pour le cancer gastrique. Pour le cancer précoce du sein, le traitement est administré pendant un an ou jusqu’à ce que la maladie se manifeste à nouveau. Pour le cancer métastatique du sein ou gastrique, le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu’il reste efficace.

La perfusion peut être associée à des réactions allergiques; il convient donc de surveiller le patient pendant et après la perfusion. Les patients qui tolèrent la première perfusion de 90 minutes peuvent en recevoir d’autres pendant 30 minutes.

Comment Herceptin agit-il?

Le principe actif de Herceptin, le trastuzumab, est un anticorps monoclonal. Un anticorps monoclonal est un anticorps (un type de protéine) qui a été conçu pour reconnaître et se lier à une structure spécifique (appelée antigène), qui se trouve sur certaines cellules du corps. Le trastuzumab a été conçu pour s’attacher au HER2. Ce faisant, le trastuzumab active des cellules du système immunitaire, qui détruisent alors les cellules tumorales. Le trastuzumab empêche également HER2 de produire des signaux incitant la croissance des cellules tumorales. Environ un quart des cancers du sein et un cinquième des cancers gastriques présentent une surexpression de HER2.

Quelles études ont été menées sur Herceptin?

Dans le cas du cancer précoce du sein, Herceptin a fait l’objet de cinq études principales impliquant environ 10 000 patientes. La première étude a été menée chez des patientes ayant subi une intervention chirurgicale, une chimiothérapie et une radiothérapie (le cas échéant). La moitié des patientes ont reçu Herceptin, l’autre moitié non. Trois études ont examiné les effets de l’administration de Herceptin à un stade plus précoce du traitement, en association avec la chimiothérapie. Une cinquième étude, réalisée sur des patientes atteintes d’un cancer du sein localement avancé ou inflammatoire, a examiné l’effet de l’administration de Herceptin avant la chirurgie en association avec la chimiothérapie et ensuite à nouveau après la chirurgie en monothérapie. Les études ont mesuré le nombre de patientes décédées ou de patientes dont le cancer est réapparu ou s’est aggravé.
Dans le cas du cancer du sein métastatique, Herceptin a fait l’objet de quatre études principales: une étude portait sur l’utilisation de Herceptin en monothérapie chez 222 patientes qui n’avaient pas répondu à un traitement antérieur, tandis que deux autres études portaient sur l’utilisation de Herceptin en association avec le paclitaxel ou le docétaxel chez 657 patientes au total; enfin, une autre étude analysait l’association de Herceptin et de l’anastrozole (inhibiteur de l’aromatase) chez 208 femmes ménopausées. Ces études ont mesuré le nombre de patientes ayant répondu au traitement, ou encore la durée de vie sans aggravation du cancer.

Dans le cancer gastrique métastatique, Herceptin en association avec la cisplatine d’une part, et la capecitabine ou le 5-fluorouracil d’autre part, a été comparé avec la même association mais sans Herceptin dans une étude principale portant sur 594 patients. Le principal critère d’évaluation de l’efficacité était la durée de survie des patients. L’ensemble des études portait sur les patients dont les cancers présentaient une expression de HER2.

Quel est le bénéfice démontré par Herceptin au cours des études?

Dans la première étude portant sur le cancer précoce du sein, 8 % des patientes sous Herceptin ayant subi une intervention chirurgicale, une chimiothérapie et une radiothérapie (le cas échéant) ont connu une récidive du cancer durant la première année de traitement (127 sur 1 693), contre 13 % des patientes n’ayant pas reçu le médicament (219 sur 1 693). L’association de Herceptin à la chimiothérapie s’est traduite par une réduction du nombre de patientes présentant une réapparition de leur cancer au cours d’une période de trois ans. La différence oscillait entre 4,8 et 11,8 % selon le type de chimiothérapie.

Pour le cancer du sein localement avancé, l’administration de Herceptin avant la chirurgie en association avec la chimiothérapie et ensuite à nouveau après la chirurgie en monothérapie a eu pour résultat de réduire la mortalité des patientes ou d’empêcher l’aggravation ou la réapparition de leur cancer au cours d’une période de trois ans: après trois ans, 65% des patientes ayant reçu Herceptin étaient encore en vie sans aggravation ou réapparition de leur cancer contre 52% des patientes n’ayant pas reçu Herceptin.

Dans le cas du cancer du sein métastatique, 15 % des patientes qui n’avaient pas répondu à un traitement antérieur ont répondu à Herceptin. Quand il était utilisé en association au paclitaxel ou au docétaxel, environ la moitié des patientes ont répondu à Herceptin, contre environ un quart de celles ayant reçu du paclitaxel ou du docétaxel en monothérapie. Les patientes traitées par Herceptin en association avec de l’anastrozole ont également vécu plus longtemps sans que leur cancer ne s’aggrave (4,8 mois en moyenne) que celles ayant reçu de l’anastrozole en monothérapie (2,4 mois en moyenne).

Dans le cancer gastrique métastatique, les patients qui présentent des niveaux plus élevés d’expression du HER2 ayant reçu Herceptin ont survécu pendant 16,0 mois en moyenne, contre 11,8 mois chez ceux ayant reçu de la cisplatine et soit de la capectabine soit du 5-fluorouracil en monothérapie.

Quel est le risque associé à l’utilisation de Herceptin?

Les effets indésirables les plus couramment observés sous Herceptin (chez plus d’un patient sur 10) sont les suivants: neutropénie fébrile (faible taux de neutrophiles, un type de globules blancs combattant l’infection et la fièvre), tremblements, vertiges, maux de tête, conjonctivite (inflammation de la membrane qui tapisse l’avant de l’oeil et l’intérieur des paupières), larmoiement accru (excès de larmes), diminution de la tension artérielle, augmentation de la tension artérielle, rythme cardiaque irrégulier, palpitations (rythme cardiaque irrégulier ou rapide), flutter cardiaque (contractions rapides du coeur), baisse de la fraction d’éjection (sang expulsé du coeur), bouffée de chaleur, respiration sifflante, toux, épistaxis (saignement de nez), rhinorrhée (nez qui coule), dyspnée (difficultés à respirer), diarrhée, vomissements, nausée (sensation de malaise), gonflement de la lèvre, douleurs abdominales (mal au ventre), érythème (rougeurs), éruption cutanée, gonflement du visage, arthralgie (douleur articulaire), sensation de constriction musculaire, myalgie (douleurs musculaires), asthénie (faiblesse), douleurs dans la poitrine, frissons, fatigue, symptômes grippaux, douleurs et pyrexie (fièvre). Les effets indésirables liés à la perfusion, tels que frissons, fièvre, éruption cutanée, nausées et vomissements, tendent à se produire lors des premières perfusions et deviennent moins fréquents par la suite. Pour une description complète des effets indésirables observés sous Herceptin, voir la notice.

Herceptin ne doit pas être utilisé chez les personnes pouvant présenter une hypersensibilité (allergie) au trastuzumab, aux protéines de souris ou à l’un des autres composants. Il ne doit pas être

administré non plus à des patients souffrant de graves problèmes respiratoires au repos dus à leur cancer ou nécessitant une oxygénothérapie.
Herceptin peut provoquer une cardiotoxicité (atteinte de la fonction cardiaque), notamment une insuffisance cardiaque (quand le coeur ne fonctionne plus aussi bien qu’il le devrait). Il convient d’accorder une attention particulière aux patients ayant des antécédents de problèmes cardiaques ou dont la tension artérielle est élevée et il importe de surveiller la fonction cardiaque de tous les patients pendant la durée du traitement et après celui-ci.

© European Medicines Agency

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Coloration pour cheveux : la Commission européenne donne l’alerte

La Commission européenne vient de lancer un avertissement contre les colorations non naturelles. Dans un rapport rendu au Scientific Committee on Consumer Safety, 36 substances potentiellement dangereuses ont en effet été identifiées dans les teintures.

Le Dr Ian White, dermatologue au St Thomas’ Hospital à Londres, qui est à l’origine de ce rapport met en garde contre les substances utilisées pour les colorations châtain ou brunes qui promettent de durer jusqu’à six semaines. Celles-ci peuvent entraîner des démangeaisons, des sensations de brûlures, la chute des cheveux et, dans le pire des cas, déclencher des problèmes respiratoires.

Depuis 2011, deux cas de décès de femmes britanniques ont été associés à la toxicité des ingrédients utilisés dans les colorations, mais sans certitudes. En novembre 2011, Julie McCabe, une mère de 38 ans, est morte d’une crise cardiaque après avoir passé un an dans le coma. Elle avait été transportée à l’hôpital car elle souffrait d’un problème respiratoire qui avait commencé juste après l’utilisation d’une coloration. Un mois plus tôt, Tabatha McCourt, 17 ans, a été prise de vomissements soudains et d’évanouissements après s’être teint les cheveux. Elle est décédée quelques heures plus tard à l’hôpital.

Un avertissement sur les boîtes de coloration

Depuis novembre 2011, les boîtes de coloration doivent afficher un message d’avertissement, afin d’indiquer aux clients d’effectuer un test allergique avant toute utilisation. Pour autant, « ces messages n’attirent pas autant l’attention que ceux sur les paquets de cigarettes. Ils doivent être plus explicites », estime le Dr White.

La Commission européenne souhaite toutefois relativiser les risques : entre un utilisateur de coloration non naturelle sur cinquante et un utilisateur de coloration non naturelle sur cent a déjà souffert de réaction allergique.

Phénylbutazone: 4000 tests sur la viande en Europe

L’intégralité de ces tests va coûter 3 millions d’euros, à raison de 400 euros le test, dont la moitié sera pris en charge par l’Union européenne.

Mercredi soir, la Commission européenne a recommandé à tous les États membres de l’Union de réaliser des tests ADN sur les produits étiquetés bœuf avant de vérifier qu’il s’agit bien de viande bovine. Par ailleurs, après la découverte de traces de phénylbutazone (un anti-inflammatoire destiné à soigner les courbatures des chevaux mais qui, une fois administré à l’animal, rend ce dernier impropre à la consommation humaine), des tests chargés de déceler ce médicament ont également été recommandés. La première campagne aura lieu du 1er au 30 mars. Si les tests se révélaient positifs, l’opération pourrait être prolongée de deux mois.

En tout, l’intégralité de ces tests va coûter 3 millions d’euros, à raison de 400 euros le test, dont la moitié sera pris en charge par l’Union européenne. Pour l’ensemble des États membres, 2500 tests ADN seront réalisés. En ce qui concerne l’anti-inflammatoire, 4000  tests sont préconisés dont 2500 sur de la viande de l’Union et 1500 sur de la viande importée. La Commission est en train de décider combien de tests devront précisément être réalisés par pays. La décision sera connue sans les prochains jours.

Leur nombre est calculé en fonction de la taille des pays mais aussi de leur consommation de viande. C’est un laboratoire belge qui a mis au point le test de référence afin que les différents États pratiquent tous les mêmes analyses.

Il s’agit d’une «recommandation» de la part de l’Union et non d’une obligation. «Certes, mais c’est une forte recommandation, insiste-t-on à Bruxelles en se défendant de ne pas avoir choisi une mesure obligatoire. Opter pour la recommandation a l’avantage d’aller plus vite que d’obtenir une obligation, car il n’est pas nécessaire de passer par le Conseil des ministres. En revanche si un État membre ne pratique pas ces tests et que dans six mois, il se (…)

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