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Bouée de cou pour bébé : le risque de noyade existe !

Bouée de cou pour bébé : le risque de noyade existe !

Le 25 août 2017.

Vous en avez peut-être vu cet été : les bouées de tête pour bébé ont débarqué dans les piscines et au bord de la mer. Elles ne sont cependant pas sans risque pour les enfants. Explications.

Un risque de noyade ?

Vous êtes tenté d’acheter une bouée de tête pour que votre bébé patauge dans l’eau avec vous à la piscine ? Ce n’est pas forcément une bonne idée. Face à l’explosion du phénomène, tout droit importé de Chine, pédiatres et ostéopathes ont fait entendre leur voix pour prévenir les parents des risques qu’ils encourent. L’Académie américaine de pédiatrie a même cru bon communiquer sur le sujet.

« Les bouées de cou pour bébés me font peur », a confié le Dr Kyran Quinlan, membre de l’Académie américaine de pédiatrie, à WDSU News. « J’espère qu’elles font aussi peur aux parents ». « Ce sont des pièges mortels en puissance », a-t-il ajouté. S’il parle de pièges mortels, c’est que le risque de noyade existe. La bouée peut se dégonfler ou crever. Et les bébés qui la portent sont bien incapables de garder la tête hors de l’eau si cela arrive.

Un dispositif néfaste pour le développement des enfants

Mais ce n’est pas tout, ces bouées ne seraient pas idéales pour le bon développement de l’enfant. C’est en tout cas ce qu’avance le professeur Kaylë Burgham, de la Swimming Teachers Association. Selon lui, l’apprentissage de la natation, dès le plus jeune âge, doit être « basé sur le contact humain ». Le bébé aurait en effet besoin des bras de ses parents pour « explorer l’eau dans un environnement sûr, détendu et amusant ».

On a tendance à penser que l’enfant peut ainsi retrouver les sensations d’apesanteur qu’il connaissait dans le ventre de sa maman, mais cela ne doit pas conduire les parents à acheter cet accessoire sans connaître les risques. Comme toutes les bouées, ce dispositif ne saurait en aucun cas être suffisamment sécurisant pour laisser l’enfant sans surveillance. Vous voulez malgré tout essayer ? Utilisez la bouée une dizaine de minutes, pas plus. 

Marine Rondot

À lire aussi : La noyade : comment l’éviter ?

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Il existe un lien entre la prise de poids et l’hydratation

Le 13/07/2016.

Une étude a prouvé que l’hydratation d’une personne et son poids sont directement liés. En recherchant sur Google, vous pourrez trouver des informations à ce sujet, mais est-ce pour autant une information avérée ?

L’hydratation joue un rôle dans la gestion du poids

Une étude a récemment été publiée dans les Annals of Family Medicine et prouve que quelqu’un qui boit beaucoup est plus susceptible de garder la ligne. D’après Tammy Chang, l’auteur de l’étude et chercheur du Département de médecine familiale de l’Université du Michigan, ce qui ressort de cette étude est que « les personnes qui ne s’hydratent pas suffisamment augmentent leurs chances d’être obèses ».

Pour mener à bien cette étude, les chercheurs se sont basés sur une enquête sur la santé, à travers laquelle des chercheurs ont réuni les informations concernant le poids et la taille de chaque individu étudié. Des tests d’urine ont également été faits pour établir le niveau d’hydratation des participants.

Un fait instantané mais vérifié

Tammy Chang et ses collaborateurs ont donc prouvé que les personnes qui sont moins hydratées ont 1,59 fois plus de chances d’être obèses par rapport aux autres. D’après lui, « l’idée que l’hydratation pourrait avoir cet effet est intéressant et important ». Cependant, l’étude vérifie un fait à un instant T et ne prouve en aucun cas que s’hydrater permet aux gens de gérer leur poids. À noter que boire un grand verre d’eau avant un repas permet de couper la faim, nous évitant ainsi de trop manger et donc favorise la perte de poids.

D’après des études antérieures, il s’est avéré vrai que « les gens qui choisissent l’eau au lieu de boissons sucrées prennent du poids à un rythme beaucoup plus lent ». Il faudrait donc boire moins de sodas pour perdre du poids, mais ça, tout le mode le sait. Mais comment savoir si l’on est bien hydraté ? D’après Tammy Chang, cela se voit à la couleur de l’urine. Plus elle est sombre, plus vous avez besoin d’eau. Il n’y a pas de quantité d’eau idéale, mais il est quand même conseillé de boire au moins 1 litre d’eau par jour.

À lire aussi : Boire de l’eau : Pourquoi et combien ?

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L’orgasme pendant l’accouchement existe bien

Trois femmes sur mille éprouveraient du plaisir physique, voire un orgasme, en donnant naissance, selon une étude française.

L’information devrait étonner l’immense majorité des femmes, pour qui accoucher est plutôt associé à la souffrance. Mais selon une étude parue dans la revue Sexologie, trois femmes sur mille éprouveraient du plaisir physique, voire un orgasme, en donnant naissance, selon des sages-femmes.

Jusqu’à maintenant les témoignages étaient plutôt anecdotiques mais le psychologue clinicien et sexologue Thierry Postel a voulu en avoir le cœur net. Il a adressé un questionnaire à 956 sages-femmes. Une sur dix lui a répondu. Les résultats viennent d’être publiés dans l’édition avancée en ligne de Sexologie et «l’analyse des grilles de réponse a permis d’établir que la jouissance obstétricale existe», écrit Thierry Postel. «Elle a été déclarée par la mère dans plus de 0,3% des accouchements», précise-t-il. Du moins sur l’échantillon de l’étude qui «portait sur près de 206.000 accouchements assistés ou suivis» puisque «dans 868 cas, la sage-femme a pensé avec certitude être témoin d’une manifestation de plaisir physique durant l’accouchement, sans en avoir la confirmation par une confidence de la parturiente».

Un plaisir difficile à avouer lorsqu’il se produit? De fait, seulement neuf femmes ont affirmé avoir vécu l’expérience et accepté de témoigner une fois contactées par les sages-femmes. Pourtant l’enquête a montré que «85% des sages-femmes interrogées savaient qu’il était possible de jouir en accouchant», précise l’auteur, qui ajoute que 99% des cas ont été décelés par 50% d’entre elles, et que 31% n’ont jamais relevé de cas. Quand il était constaté par les sages-femmes, le plaisir physique semblait particulièrement intense puisque coté 7,8 sur une échelle allant jusque 10. À noter que «parmi les neuf témoignages directs de mères, le plaisir obstétrical a été ressenti sept fois sans anesthésie péridurale et deux fois sous anesthésie péridurale (…)

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