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Temps des fêtes : conseils de vigilance face à des risques qui ne sont pas présents le reste de l’année

« Les traditions des Fêtes peuvent nous exposer à des risques qui ne sont pas présents le reste de l’année », souligne Santé Canada qui, à l’approche de Noël, réitère ses conseils de sécurité.

Les conseils portent sur les lumières et décorations lumineuses, les arbres et leurs décorations, les jouets et cadeaux et l’utilisation sans risque des bougies.

Voici quelques-uns de ces conseils.

En ce qui concerne les lumières, il est notamment important de se rappeler que les jeux de lumières et autres décorations lumineuses (p. ex. couronnes, rennes) sont conçus pour être utilisés à l’intérieur ou à l’extérieur. Les lumières et les décorations d’intérieur ne doivent pas être utilisées à l’extérieure.

Pour ce qui est des décorations et les ornements d’arbre, il est important de garder ceux qui sont coupants, cassables et faits de métal, de même que ceux qui comportent de petites pièces amovibles ou des piles boutons, hors de la portée des jeunes enfants. Les sapins doivent être éloignés des sources de chaleur et des bougies.

Les piles boutons des jouets représentent un grave dansger pour les enfants. (Très grave danger de l’ingestion de piles bouton : 1 200 visites aux urgences chaque année en France)

Il ne faut pas oublier d’exercer une grande vigilance avec les bougies. Évitez les chandeliers en bois et en plastique, qui peuvent prendre feu. Manipulez prudemment les chandeliers de verre, qui peuvent éclater s’ils deviennent trop chauds. Gardez les bougies allumées hors de la portée des enfants et des animaux de compagnie.

Plus d’informations, sur le site de Santé Canada : Santé Canada rappelle à la population canadienne des conseils de sécurité pendant le temps des Fêtes.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

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Les fournisseurs de steaks hachés contaminés face à la Justice

Les fournisseurs de steaks hachés contaminés face à la Justice

Le 9/06/2017

Le 6 mai 2017, le procès des fournisseurs de steaks hachés contaminés a été ouvert face au tribunal correctionnel de Douai (Hauts de France). En 2011, leurs steaks hachés avaient causé dix-huit cas d’intoxication alimentaire à la bactérie E.coli. 

Les fournisseurs de steaks hachés contaminés face à leurs responsabilités 

En 2011, une vingtaine d’intoxications alimentaires à la bactérie E.coli – qui provoque une maladie grave voire mortelle chez les plus jeunes – ont alerté l’Agence Régionale de la Santé (ARS) dans le Nord-Pas-de-Calais. Une enquête réalisée avait soupçonné une connexion entre les produits « Steaks Country », alors vendus chez les Lidl, et ces intoxications alimentaires. 

Six ans plus tard, la société SEB, qui écoulait à l’époque 50 à 70 % de sa production en steaks chez Lidl, est traduite en Justice face au tribunal correctionnel de Douai (Hauts de France). Parmi les parties accusatrices, se trouve la mère de Nolan, un petit garçon devenu handicapé à 80 % suite à son intoxication alimentaire. Les accusations qui pèsent sur les fournisseurs en steaks hachés contaminés semblent graves.

Des accusations graves contre les fournisseurs de steaks hachés contaminés 

Les fournisseurs de steaks hachés contaminés de l’entreprise SEB, liquidée en 2011, sont aujourd’hui face à de lourdes accusations. Il leurs est reproché d’avoir délibérément négligé des obligations de sécurité et de prudence lors du contrôle sanitaire de plusieurs lots de viandes. Or, cette négligence fautive aurait permis à la bactérie E.coli de proliférer en toute liberté dans les steaks hachés, avant d’être transférée dans les assiettes des consommateurs. 

Il faudra attendre la fin du procès pour connaître l’issue de cette sombre affaire de steaks hachés contaminés. Toutefois, il est déjà possible d’affirmer que ces intoxications alimentaires auraient pu être évitées. Deux précautions permettent en effet de se prémunir contre la bactérie E.coli : ne pas rompre la chaîne du froid des aliments et/ou cuire la viande à plus de 65 degrés. 

Marie-Hélène Hérouart 

À lire aussi : Bactérie E. coli dans les salades : comment prévenir la contamination ?

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Les petits trucs à adopter face au froid

Les petits trucs à adopter face au froid

Le 19 janvier 2017.

Interrogé par LCI, le docteur Gérald Kierzek nous donne quelques petits trucs pour vivre avec le froid qui sévit en ce moment en France. L’organisme s’adapte, pas de panique.

Vague de froid ? Même pas peur !

Nos -5°C doivent faire gentiment sourire nos amis canadiens ou russes… En effet, des températures qui ne flirtent pas avec les -20°C, ce n’est pas la mer à boire. Oui, mais… Nous ne sommes pas des habitués du grand froid, alors il faut laisser un peu de temps à notre organisme pour s’y faire et adopter les bons réflexes. 

Si vous êtes âgé ou que vous avez la grippe, ou encore des problèmes vasculaires ou cardiaques, n’hésitez pas à rester chez vous au chaud. Cela évitera la propagation des microbes, surtout si vous êtes adeptes des transports en commun. Pour les malades du coeur, sachez que le froid accentue ces insuffisances. Les autres, continuez à vivre normalement. Si vous envisagez un effort important, sport ou déplacement en vélo par exemple, prenez un peu plus de temps que d’habitude pour effectuer votre trajet et ne forcez pas.

Habillez-vous chaudement

Recommandation superflue en plein hiver ? Peut-être, mais il est bon de rappeler quelques petites astuces. Couvrez en priorité les extrémités : les mains (pourquoi pas des gants de ski), les pieds et la tête – oreilles comprises – : 30 % de la chaleur de l’organisme s’échappe par la tête. Du côté des orteils, choisissez des chaussures bien isolantes et vérifiez que vos semelles ne glissent pas. Car qui dit froid, dit verglas. 

La technique de l’oignon reste une bonne habitude. Optez pour des matières naturelles (laine, coton), n’ hésitez pas à superposer les couches. Collants sous le pantalon, tee-shirt ou sous-vêtement de soie sous le haut. « La multiplication des couches présente un autre avantage, elle permet à l’air de passer entre les épaisseurs et l’air est isolant », termine le Dr Kierzek.  

Maylis Choné

À Lire aussi : Comment contrer les dangers liés au froid ?

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Des scientifiques dénoncent le déni européen face au danger des perturbateurs endocriniens

Le 1er décembre 2016.

Cent scientifiques de renom se sont associés pour publier une tribune dans Le Monde, dans laquelle ils dénoncent le laxisme européen en matière de réglementation sur les perturbateurs endocriniens.

L’Europe cède face aux lobbys industriels

La politique européenne en matière de régulation des perturbateurs endocriniens n’est pas assez dure et les experts s’inquiètent des conséquences dramatiques que ce laxisme pourrait avoir sur la santé de chacun. Dans une tribune publiée sur Le Monde, cent scientifiques se sont réunis pour dénoncer la dangerosité de ces substances encore autorisées dans de nombreux produits cosmétiques, alimentaires mais également dans des matériaux de construction et d’ameublement.

Ces scientifiques estiment notamment que les politiques minimisent gravement l’impact des perturbateurs endocriniens sur l’organisme des consommateurs. Ils cèdent ainsi au lobby des industriels en éludant les nombreuses études qui ont été rédigées sur le sujet et qui prouvent que les perturbateurs endocriniens peuvent altérer le fonctionnement normal d’un organisme. Ces derniers sont reconnus pour leur impact sur le développement des allergies, l’augmentation de la prévalence de certains cancers, le développement de déformations génitales chez les nouveau-nés et la baisse de qualité du sperme chez l’homme.

Réduire l’exposition de chacun aux perturbateurs endocriniens

Ces scientifiques n’hésitent pas à parler de « menace mondiale pour la santé » tant les données actuelles montrent les dégâts considérables que ces polluants peuvent engendrer, notamment durant « certaines périodes du développement, pendant la grossesse ou la puberté, lorsque notre organisme est particulièrement vulnérable ». « Jamais l’humanité n’a été confrontée à un fardeau aussi important de maladies en lien avec le système hormonal : cancers du sein, du testicule, de l’ovaire ou de la prostate, troubles du développement du cerveau, diabète, obésité, non-descente des testicules à la naissance, malformation du pénis et détérioration de la qualité spermatique », s’alarment les chercheurs.

Ces derniers estiment que la seule solution valable pour enrayer ce fléau serait de légiférer strictement sur l’utilisation de ces substances nocives afin de réduire au maximum l’exposition de la population.

À lire aussi : Femmes enceintes, méfiez-vous des perturbateurs endocriniens !

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Face au stress, la méditation plus efficace que les vacances

Le 2 septembre 2016.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’Université de Californie aux États-Unis, méditer serait plus efficace pour vaincre le stress que les vacances, aussi agréables soit-elles.

Méditer pour vaincre le stress

La reprise du travail est très souvent synonyme de stress. Mais au lieu de compter les jours qui vous séparent de vos prochaines vacances, tournez-vous vers la méditation. Selon une étude, publiée dans la revue médicale Translational Psychiatry, méditer aurait des effets bénéfiques sur notre métabolisme à long terme, alors que les vacances provoqueraient un bien-être psychologique à plus court terme.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs américains ont proposé à une centaine de femmes de passer une semaine de vacances dans un complexe hôtelier. La moitié des participantes a bénéficié, pendant cette semaine, de séances de méditation et de yoga. Pour mesurer le taux de stress chez chacune d’entre elles, les chercheurs ont effectué des prélèvements de sang et leur ont posé un certain nombre de questions avant et après le séjour, puis un mois et dix mois plus tard.

Méditer est plus efficace à long terme

Résultat : après la semaine de vacances, les participantes étaient plus relaxées, ce repos avait en effet eu un impact fort et immédiat sur les réseaux moléculaires associés au stress et sur les voies immunitaires. Mais les chercheurs ont pu constater qu’à long terme, les femmes qui avaient médité pendant leurs vacances avaient ressenti moins de symptômes de dépression et moins de stress, dans les semaines qui ont suivi.

« La signature moléculaire de la méditation, chez des personnes qui la pratiquent régulièrement est bien distincte et plus durable que celles des vacances, pour des personnes qui ne pratiquent pas la méditation », analyse Elissa Epel professeure de psychiatrie à l’Université de Californie et auteure de l’étude. « Elle serait aussi le gage d’un vieillissement sain ».

Vous aimerez aussi : La méditation a-t-elle le pouvoir de guérir ?

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Vivre face à la mer, c’est bon pour le moral

Le 29 avril 2016.

Cela semble évident, mais une étude le prouve : l’environnement dans lequel on vit à un impact sur le moral et la santé mentale. Au sommet se trouve la « vue mer »…

La couleur bleue de la « vue mer » a son importance

Pour votre retraite, vous hésitez entre un petit appartement à Saint Jean Cap Ferrat avec vue sur la mer, ou un chalet avec vue sur les Alpes ? Les chercheurs de l’université d’Etat du Michigan vous donnent la solution : optez pour l’appartement avec vue mer. Ce n’est pas tant la qualité de l’environnement qui importe, selon l’étude qu’ils ont réalisée, que la vue sur une étendue de bleu, en l’occurence celle de la mer, qui fait la différence. Elle est directement associée à une baisse significative des troubles psychologiques. Les données que ces universitaires ont fait parler sont sans appel : les consultations, et les soins pour troubles psychiques, sont significativement moins nombreux en volume, à population égale, au bord de la mer, comparé aux statistiques des zones habitées entourées d’espaces verts.

Les espaces verts ne sont pas aussi apaisants que la mer

L’un des auteurs de l’étude, Amber L.Pearson, explique que la vue des espaces verts ne procure pas la même sensation d’apaisement que la vue mer. Selon lui, cela pourrait s’expliquer notamment par le fait que la vue mer est totalement naturelle, quand la vue sur un paysage de campagne ou de montagne est souvent maillée de constructions humaines. 

L’étude n’a travaillé que sur des populations avec vue sur mer, mais va intégrer bientôt celle ayant vue sur des grands lacs. De même, pour les espaces verts, elle essaiera d’isoler dans un second temps les populations ayant vue sur des forêts, sans trace d’activité ou de constructions humaines, ce qui est beaucoup plus difficile à trouver en fait qu’une vue mer totalement naturelle…

À lire aussi : L’eau de mer, bénéfique pour la santé

 

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Que faire face au déficit de la Sécurité sociale ?

Trop nombreux et trop coûteux : les infirmiers libéraux et les masseurs-kinésithérapeutes sont ciblés par un rapport de la Cour des comptes. Sont-ils l’arbre qui cache la forêt du déficit de la Sécurité sociale ?

Christophe Ramaux, du groupe Les économistes atterrés, insiste d’abord sur l’espérance de vie qui a progressé de 30 ans au XXe siècle. « Grâce à la Sécu, on a fait des progrès considérables. Dans ce monde accablant, on a enfin une bonne nouvelle », déclare le premier invité du duel éco de France 3. Pour lui, le déficit est « limité » par rapport aux enjeux.

Augmenter les cotisations ?

Etienne Lefebvre, journaliste des Echos, nuance : « Ces résultats, on les obtient par de la dette ». Et cette situation devrait durer pendant plusieurs années. « Ce déficit n’est pas incurable. Le modèle français fonctionne, mais à condition de faire des efforts », ajoute-t-il.

Pour Christophe Ramaux, « le problème, ce sont les recettes ». Il préconise d’augmenter les cotisations. Etienne Lefebvre penche plutôt pour « ralentir les dépenses » et pour une répartition plus équitable des professionnels de santé sur le territoire.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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« Amnesia », un film sur la culpabilité d’être Allemand, face au passé nazi

« Amnesia », le dernier film de Barbet Schroeder, sort en salle mercredi 19 août. Pour l’occasion, l’actrice principale du film, Marthe Keller, est l’invitée du Soir 3.

À Ibiza, une Allemande choisit de vivre recluse dans une maison sans électricité ni eau courante face à la mer. L’histoire se passe en 1990. Le mur de Berlin vient de tomber. Un jeune compatriote va perturber sa solitude et la troubler. C’est la rencontre de deux êtres déracinés que tout oppose, mais la musique va les rapprocher.

Un film plein de non-dits

Marta fuit son passé allemand. Elle refuse de parler sa langue maternelle. Elle refuse tout ce qui vient d’Allemagne, un mystère que tente de percer son jeune ami. En filigrane du film, la culpabilité : celle d’être Allemand, face au passé nazi.

Sur le plateau de France 3, Marthe Keller explique que jouer ce rôle était important pour elle maintenant, notamment car une amie à elle « s’est suicidée il n’y a pas longtemps, parce que son père était un nazi. Moi, j’avais la chance que mon père a fui les nazis », ajoute-t-elle. Marthe Keller évoque un film plein de non-dits, qui est « vraiment dans la vérité, dans la simplicité ».

Retrouvez cet article sur Francetv info

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Slendertone Face, l’électro cosméto au service de notre visage


Pour redonner sa fraîcheur au visage sans modifier ses traits ou conserver un ovale net sans passer par la case bistouri ou injection, l’électro cosméto est une bonne alternative.

Avec Slendertone Face, le pionnier de l’électrostimulation apporte justement une réponse ciblée aux femmes en quête d’efficacité mais surtout de méthodes douces pour préserver la jeunesse de leur visage.

Car dès 30 ans, les muscles faciaux commencent à s’atrophier et ne permettent plus de soutenir la peau correctement, avec pour conséquences directes des contours plus flous, des joues moins rebondies et des rides naissantes, prémisses d’un relâchement cutané.

Fondée sur la technologie de l’électrostimulation musculaire cliniquement prouvée et brevetée, Slend…
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Ebola : MSF pointe la lenteur de la réponse de l’OMS face à l’épidémie

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Ebola, c’est au moins 24 000 personnes infectées, et 10 000 personnes décédées depuis la notification officielle par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) il y a un an. Un bilan qui aurait pu être moins lourd selon Médecins sans frontières qui accuse l’OMS de n’avoir agit que tardivement, ne décrétant un état d’urgence de santé publique mondiale qu’en août 2014, alors que des milliers de personnes étaient déjà mortes.

« Poussés au-delà de nos limites » tel est le titre du rapport publié ce lundi par Médecins Sans Frontières (MSF). Dans ce document qui fait près de 20 pages, MSF fait une analyse critique de la réponse apportée depuis un an à l’épidémie de virus Ebola en Afrique de l’Ouest. Et ses conclusions sont loin d’être positive : selon cette organisation, en effet, l’OMS n’aurait pas agit assez rapidement, et seulement lorsqu’ Ebola est devenue une menace pour la sécurité internationale.

Dans ce rapport, l’organisation médicale internationale retrace la chronologie de son intervention depuis mars 2014 mais également tous les obstacles qui l’ont empêcher d’agir efficacement sur le terrain. Le manque de réponse à ses nombreux appels à l’aide des organisations internationales et des autorités locales a été l’un de ces freins, mais pas seulement…

MSF elle-même fait le bilan de ses propres interventions au Liberia, en Guinée ou encore en Sierra Leone. Sur le terrain, malgré les moyens colossaux déployés par l’ONG, le constat sur le terrain était alarmant. Un camp, celui d’Elwa 3 de Monrovia par exemple avait été fermé pratiquement toute la journée, ne laissant rentrer que les patients venus remplacer les morts pendant la nuit… des choix très difficiles pour les équipes.

Le peu de moyen en traitement pour lutter (soins palliatifs de base), et le peu de personnel face aux nombres de malades infectés dont beaucoup mourraient (1 sur deux) était également très difficile à vivre pour le personnel sur place. Et pour cause : dans les pays les plus touchés, l’aide a mis du temps à arriver, laissant les 1.300 expatriés et 4.000 employés locaux de MSF gérer la crise.

Au plus fort de l’épidémie, alors qu’Ebola gagnait du terrain et s’étendait sur plusieurs zones géographique, le personnel a été poussé « au delà de ses limites ». Ce sont les soignants locaux qui ont alors payé le plus lourd tribu, puisque contraitement aux occidentaux qui étaient renvoyés dans leur pays en cas de contamination. Chez MSF, ce sont ainsi 28 membres qui ont été contaminés, et 14 sont décédés.

L’OMS a réagit aux critiques de MSF, reconnaissant n’avoir pas eu une réponse suffisante mais s’être mobilisée dès le début à tous les niveaux.

Ebola : MSF critique la gestion de l'épidémie par l'OMS

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