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La mauvaise qualité du sperme en cause dans les fausses couches

La mauvaise qualité du sperme en cause dans les fausses couches

Le 11 janvier 2019.

Et si la qualité du sperme était aussi un facteur déterminant dans la réussite d’une grossesse ? Des chercheurs ont découvert que la qualité de celui-ci pouvait être responsable de fausses couches.

Le sperme, responsable de fausses couches à répétition ?

Lorsqu’une femme subi plusieurs fausses couches de manière consécutive, elle se tourne souvent vers son médecin ou un spécialiste pour tenter d’en trouver la cause. Les facteurs féminins de fertilité sont nombreux et il n’est pas toujours facile de déterminer le déséquilibre qui empêche une grossesse d’être menée jusqu’à son terme.

Mais cette fois-ci c’est aux hommes, et en particulier à leur sperme, que les chercheurs se sont intéressés. Leur objectif ? Tenter de découvrir un facteur du côté des partenaires de ces femmes ayant subi trois fausses couches consécutives à moins de vingt semaines de grossesse.

La qualité du sperme en jeu

Les scientifiques de l’Imperial College de Londres ont publié les résultats de leurs travaux dans la revue Clinical Chemistry. Ils ont comparé le sperme de 50 hommes dont les partenaires ont fait des fausses couches avec celui de 60 hommes dont les partenaires n’avaient pas fait de fausse couche. L’ADN du premier groupe est endommagé et présente quatre fois plus d’espèces réactives de l’oxygène (ERO) que le sperme du deuxième groupe.

« Bien que ce soit une petite étude, elle nous donne des pistes à suivre. Si nous confirmons, dans des travaux ultérieurs, que des niveaux élevés d’espèces oxygénées réactives dans le sperme augmentent le risque de fausse couche, nous pourrions essayer de mettre au point des traitements permettant de les réduire et d’augmenter les chances d’une grossesse », termine Channa Jayasena, en charge de l’étude.

Maylis Choné

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Vraies ou fausses allergies alimentaires ?

Vraies ou fausses allergies alimentaires ?

Le 8 janvier 2019.

On s’estime parfois allergique à tel ou tel aliment ou composant alimentaire et on s’en prive… à tort ! Une étude récente vient montrer que de très nombreux adultes se trompent sur de prétendues allergies. Explications.

Une étude américaine pour mieux comprendre les allergies

Aux États-Unis, ils sont 26 millions à se déclarer allergiques à un aliment ou un composant alimentaire. Mais grâce à une étude des chercheurs de l’hôpital pour enfants Ann & Robert H. Lurie de Chicago et la Nortwestern University, nous savons désormais que la moitié d’entre-eux ne serait finalement pas allergique mais simplement intolérant, voire rien du tout.

Sur un échantillon de 40.443 adultes sondées, 19% se déclaraient allergiques. Après vérification des symptômes, ils ne sont que 10,8% à présenter une véritable allergie. En tête de classement, l’allergie aux mollusques et crustacées. Viennent ensuite les allergies au lait, aux arachides, aux noix, au poisson, au soja et au sésame.

Éviter les mauvais diagnostics

Ce phénomène est vérifiable dans de nombreux pays occidentaux et au Royaume-Uni notamment. Pour éviter ce genre d’erreur de diagnostic, il faut consulter un médecin spécialiste des allergies chez l’adulte et procéder à des tests fiables.

Il pourrait s’avérer que certains maux (diarrhées, ballonnements ou maux d’estomacs) ne seraient liés qu’à une simple intolérance au lactose. Cette mise au point pourrait vous éviter de vous priver de certains aliments inutilement et vous libérer de certains traitements à base d’antihistaminiques ou d’adrénaline.

Maylis Choné

À lire aussi : Allergies alimentaires, que faire pour les éviter ?

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Les fausses promesses des produits allégés

25% des Français achètent régulièrement des produits allégés. « À partir du moment où on voit des produits light, on y croit« , résume une ménagère. Mais faut-il croire en leurs promesses ?

France 2 a présenté des produits « normaux » et leurs équivalents allégés au Dr Arnaud Cocaul, nutritionniste. Ses conclusions sont claires : qu’il s’agisse de chips, de yaourts ou de jambon, les différences entre le « normal » et le « light » sont infimes. Pour le jambon, par exemple, les tranches allégées sont en fait moins grosses. « C’est uniquement du marketing. Il n’y a aucune légitimité à acheter ce genre de produits« , assure le Dr Cocaul.

Ce marketing, malgré tout légal, est rentable : les produits allégés sont plus chers. Selon la loi, un produit dit allégé doit pourtant avoir une teneur en sucre ou en graisse réduite de 30% par rapport à un produit similaire. Le conseil du Dr Cocaul : bien lire les étiquettes.

Hugues Julien, blogueur, est un consommateur averti. Entre un chocolat pâtissier et un chocolat light, il choisit le premier, car le second, bien que moins sucré, est beaucoup plus gras.

Certains produits light tiennent quand même leurs promesses. Mais les médecins sont unanimes : mieux vaut privilégier un régime léger, composé de viandes maigres, de fruits et de légumes.

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Dès 18 mois, les enfants savent reconnaitre les fausses expressions faciales d’autrui

Une étude expérimentale canadienne montre que les bébés de 18 mois restent perplexes devant une personne simulant une émotion qu’elle n’éprouve pas, s’intéressant davantage à une personne manifestant une émotion ‘légitime’.

L’empathie est une capacité nécessaire à la vie sociale et à la collaboration entre individus. Après avoir démontré, voici 2 ans, que les bébés n’aimaient pas les menteurs, Diane Poulin-Dubois, de l’université Concordia, à Montréal, assistée de Sabrina Chiarella, s’est penchée sur les modalités d’apparition de l’empathie chez les tout petits, et montre cette fois-ci que ces derniers n’aiment pas non plus les simulateurs.

Les chercheuses ont testé les réactions de 92 bébés âgés de 15 à 18 mois face aux mimiques d’une comédienne jouant des saynètes dans lesquelles elle exprimait : soit une émotion logique dans le contexte (grimacer de douleur après s’être ‘tapé’ sur les doigts avec un marteau), soit une émotion inappropriée (pleurnicher après avoir reçu un jouet). Chaque enfant était assis face à la comédienne, aux côtés d’un de ses propres parents.

L’expérience a montré que les moins de 18 mois – sans doute trop jeunes – ne marquaient pas de différence de réaction face aux 2 types de scène. Ceux de 18 mois, en revanche, trahissaient leur perplexité face à la situation illogique en scrutant davantage le visage de la comédienne – comme pour y chercher l’expression attendue mais non trouvée. Ils scrutaient également celui de leur parent – comme pour guetter sa réaction devant cette situation bizarre.

Développer la compréhension des comportements d’autrui

Face aux signes d’une émotion logiquement corrélée à la situation, au contraire, ces enfants de 18 mois avaient davantage tendance à manifester leur compassion aux sentiments exprimés par la comédienne (en « l’aidant » ou en la « réconfortant »), explique l’étude parue dans la revue Infancy. (…)

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