Archives par mot-clé : faux

Les risques des faux cils (60 millions de consommateurs)

Le magazine 60 Millions de consommateurs de l’Institut national français de la consommation met en garde contre les risques des faux-cils pour la santé des yeux.

« Collées à la base de la paupière, les extensions synthétiques tiennent entre quatre et cinq semaines. »

Allergisants et irritants

« La colle pour les fixer contient souvent des produits allergisants (limonène, géraniol, coumarin…), voire irritants (formaldéhyde, à l’origine de dermatites de contact et de conjonctivites). »

« Une esthéticienne formée à la pose de faux cils testera le produit avant de l’appliquer sur la paupière. Et elle utilisera moins de colle », explique l’ophtalmologiste Cati Albou-Ganem. « Préférez cette solution à l’emploi d’un kit de pose de faux cils acheté en magasin », conseille le magazine.

Dessèchement de la cornée

« La colle n’est pas le seul problème. “Des cils plus fournis et longs donnent un coup d’éventail à chaque fermeture de paupières”, explique l’ophtalmologiste. La cornée se dessèche, la rendant plus vulnérable aux agressions.

Enfin, des cils plus volumineux augmentent le risque de contamination par les poux de cils, transmis par les équipements non stérilisés des salons de beauté. Veillez donc à choisir un lieu à la propreté irréprochable ! »

Colorants allergisants

Les teintures de cils et sourcils « contiennent souvent de l’ammoniaque, de la paraphénylènediamine ou p-phénylènediamine (PPD). Même le henné, quand il est noir, contient ces deux dernières substances très allergisantes, déjà interdites dans les cosmétiques appliqués sur la peau. »

« Des cas de blépharoconjonctivite aiguë ont déjà été observés : il s’agit d’une inflammation des paupières couplée à une conjonctivite qui peut se compliquer d’une infection au staphylocoque », rapporte le magazine.

Substances toxiques dans les cosmétiques : des marques à choisir, d’autres à éviter

Pour plus d’informations sur les cosmétiques et la santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : 60 Millions de consommateurs.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Le cannabis, vrai ou faux ami de la fertilité ?

Le cannabis, vrai ou faux ami de la fertilité ?

Vendredi 8 février 2019.

Il en est des études sur le cannabis comme de celles sur le café. Prises isolément, on peut tout leur faire dire ! Ainsi, le travail de recherches d’une équipe de l’université de Harvard, réalisé sur plus de 660 hommes pendant plus d’une quinzaine d’années, laisse à penser que « les fumeurs de cannabis produisent plus de spermatozoïdes », comme certains médias ont pu le résumer un brin audacieusement.

Non, fumer du cannabis ne rend pas plus fertile

L’étude constate en effet que le nombre de spermatozoïdes, chez les fumeurs de cannabis suivis par cette étude, est significativement plus élevé que celui du groupe test composé de « non-fumeurs ». Le problème, c’est que l’auteur de l’étude explique elle-même que ces résultats sont contraires à l’état des connaissances sur le sujet !

Toutes les études scientifiques publiées jusqu’à aujourdhui montrent et démontrent que la consommation de cannabis, mais aussi simplement la cigarette, perturbent considérablement la spermatogénèse. Alors, qu’en est-il ? 

C’est la chercheuse de Harvard qui propose une autre explication dans son étude. Sachant que la consommation de cannabis fait partie des comportements dits « à risque », non seulement parce que c’est illégal, mais aussi parce que l’effet recherché, la modification du comportement et de l’espace sensoriel est lui-même à risque, sans parler des effets sur la santé à long terme, elle envisage tout simplement que les fumeurs de cannabis aient des niveaux de testostérone naturellement plus élevés que la moyenne. 

Testostérone = prise de risques = cannabis ?

C’est d’ailleurs ce que les prises de sang réalisées sur une partie des hommes suivis dans cette étude révélaient, si l’on prend le soin de lire l’étude dans la revue scientifique Human Reproduction. Or, quelle est la conséquence directe d’un taux élevé de testostérone chez l’homme ? Une quantité accrue de spermatozoïdes dans la semence, quantité supérieure à la moyenne ! 

En conclusion, il est évidemment impossible, et d’ailleurs, les conclusions de l’étude l’interdisent expressément, d’affirmer que la consommation de cannabis pourrait avoir un effet positif sur la production de spermatozoïdes. En revanche, que les fumeurs de joints prennent plus de risques que ceux qui ne fument pas est une évidence, et le fait que la testostérone puisse être impliquée dans l’adoption de comportement à risques a déja maintes fois été démontré… 

 

Jean-Baptiste Giraud

À lire aussi : 10 aliments qui boostent la testostérone

 

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Cigarette électronique: séparons le vrai du faux

Alors que 100 médecins lancent un appel en faveur de la cigarette électronique dans Le Parisien-Aujourd’hui en France[1], revenons avec Planète Santé, qui a interrogé deux spécialistes romands, le Dr Jean-François Etter, responsable de stop-tabac.ch et chercheur à l’Institut de médecine sociale et préventive de Genève, et le professeur Jacques Cornuz, directeur de la Policlinique médicale universitaire de Lausanne, sur ce que l’on sait sur ce produit.

Il vaut mieux vapoter que fumer

VRAI | La cigarette, en raison des substances toxiques produites par la combustion du tabac, est beaucoup plus nocive que la cigarette électronique.

Si les effets du vapotage à long terme sont méconnus, les méfaits du tabac ne sont plus à démontrer. Il tue chaque année 73.000 personnes en France.

La cigarette électronique est un moyen efficace pour arrêter de fumer

FAUX | A ce jour, l’e-cigarette n’a pas encore suffisamment fait ses preuves dans le sevrage tabagique. Toutefois, plusieurs raisons laissent penser qu’elle pourrait être un substitut prometteur. D’abord, elle permet une absorption de nicotine presque aussi rapide que la cigarette classique en reproduisant une sensation de plaisir significative et comparable, tout en étant apparemment moins addictive. La sensation de chaleur et la reproduction du geste sont d’autres atouts.

Enfin, une étude publiée dans The Lancet établit pour la première fois une efficacité comparable à celle des patchs à la nicotine pour un arrêt total pendant six mois au moins. Elle a également permis aux fumeurs qui n’ont pas stoppé totalement leur consommation de la réduire de moitié.

Son usage thérapeutique peut être recommandé

FAUX | La cigarette électronique n’est pas activement proposée par les médecins comme substitut en raison du manque de bases scientifiques attestant de son efficacité dans le sevrage tabagique. On lui reproche aussi de maintenir la dépendance à la nicotine.

Par ailleurs, des standards de qualité font défaut pour un usage généralisé. Aujourd’hui, seul un conseil médical, associé à une aide au sevrage tabagique (substitut ou médicament), est reconnu comme une méthode sûre et efficace (vous trouverez des conseils pour arrêter de fumer sur Tabac-Info-Service).

Les e-cigarettes ne sont pas sans danger pour la santé

VRAI | L’absence de tabac ne signifie pas que les e-cigarettes sont sans risques. D’abord, on ignore la dangerosité à long terme de l’inhalation de propylène glycol et de glycérine, les additifs alimentaires utilisés pour créer la vapeur.

Ensuite, de récents tests ont révélé que les liquides de certains modèles contenaient des substances toxiques, voire cancérigènes (formaldéhyde, acétaldéhyde, acroléine, métaux lourds, par exemple). Mais pas de quoi s’alarmer, selon le Dr Etter:

«Les quantités trouvées –des traces– ne posent pas de problème à court terme.»

Néanmoins, précise le Pr Cornuz:

«Pour une utilisation à long terme et généralisée, il est urgent d’attendre la preuve de l’innocuité de ces produits.»

Le «vapotage passif» ne nuit pas à l’entourage

FAUX | Lorsqu’une personne «vapote» à vos côtés, «des quantités non négligeables de nicotine sont exhalées et peuvent persister dans l’air ambiant», indique l’Office fédéral de la santé publique suisse (OFSP). D’autres substances potentiellement nocives peuvent également être libérées dans l’air. Il semble toutefois que le vapotage passif présente moins de risques que le tabagisme passif, mais cela doit encore être vérifié scientifiquement. Dans le doute, l’OFSP recommande en particulier de ne pas consommer de cigarettes électroniques en présence d’enfants.

Vapoter peut inciter à fumer

VRAI | C’est un risque. La e-cigarette peut constituer une porte d’entrée au tabagisme en raison de l’apport en nicotine et de la dépendance qui peut s’installer. De plus, complète le Pr Cornuz, «un vapoteur pourrait se tourner vers la cigarette, s’il n’a plus de cartouche et qu’il ne peut pas s’en procurer dans l’instant ou parce que c’est moins cher». Jean-François Etter se montre plus sceptique:

«Ce phénomène n’existe pour l’heure pas. Plusieurs études montrent que l’usage de la cigarette électronique chez les non-fumeurs est marginal.»

Dans les faits, l’e-cigarette tend à être présentée comme un accessoire de mode, notamment chez les stars américaines, tandis que la progression de sa consommation chez les jeunes inquiète. Outre-Atlantique, une étude très récente indique que son usage a doublé en deux ans chez les lycéens et chez les étudiants. De son côté, la Food and Drug Administration (FDA) réfléchit à en limiter sérieusement l’accès sur Internet et à augmenter l’âge légal de 18 à 19 ans pour s’en procurer (en France, la vente est interdite aux mineurs).

Planète Santé

Note de la rédaction de Slate.fr: cet article a été initialement publié sur Planète Santé avant l’appel des 100 médecins dans Le Parisien, qui cite notamment Philippe Presles, tabacologue à l’origine de l’initiative: «Beaucoup de fumeurs ont envie d’essayer l’e-cigarette. Mais ils sont freinés par les doutes qui circulent. En tant que médecins, on veut leur dire: allez-y, il n’y a pas de danger. (…) Ce dont on est certain c’est que dans l’échelle des risques, la cigarette électronique est moins dangereuse que le tabac, l’alcool, les produits gras, les aliments sucrés. Un fumeur sur deux meurt des causes du tabac.» Retourner au vrai-faux

À lire aussi sur Slate.fr

Le FN, premier sur la cigarette électronique
Vers un monde sans tabac


A votre santé! – Slate.fr

Beauty Secrets, une gamme de maquillage garantie zéro make up faux pas

Beauty Secrets c’est la promesse d’un maquillage ludique et pratique à travers une gamme de produits malins, addictifs et bluffants.

Plus d’excuses pour les jeunes Addicts qui ne maîtrisent pas encore l’art du teint.

Avec les Perfecteurs, il est très facile d’obtenir un teint nu sublimé grâce à Seconde Peau, une mine dorée et éclatante de naturel avec Hâlée ! ou tout simplement un teint frais et gourmand grâce à l’embellisseur bonne mine universel Teint de Pêche.

Nul besoin d’être une pro avec ces formules perfectrices à la texture ultra légère qui fondent sur la peau.

Deux produits dits Insolites se laissent aussi apprivoiser facilement dans cette gamme, la Poudre Frivole et le Teint sur Mesure.

Ce dernier est un pur concentré de pigments universel destiné à être mélangé au soin de jour, pour mieux moduler la teinte voulue et l’adapter à sa carnation.

La petite touche finale d’un make up réussi s’obtient avec les Bluffeurs Universels. Le rose à lèvres et l’eau de blush interagissent avec la peau et les lèvres pour offrir une bonne mine et des lèvres rosées sur-mesure.

Quant aux pores dilatés et autres imperfections de surface, ils disparaissent avec la base perfectrice universelle Coup de Bluff.

Cette gamme de produits malins signée L’Oréal Paris vous évitera donc les « make up faux pas » pour un maquillage époustouflant de naturel. A shopper d’urgence chez Sephora ou bien dans la toute nouvelle e-boutique L’Oréal Paris sur www.eboutique.loreal-paris.fr !

(Beauty Secrets par L’Oréal Paris. Disponible en exclusivité chez Sephora et sur www.eboutique.loreal-paris.fr. A partir de 13 €).


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

Les faux médicaments envahissent les hôpitaux ghanéens

Selon l’Organisation mondiale de la santé, 30% des médicaments en vente au Ghana sont contrefaits. lPS Africa révèle le 25 août 2011 qu’après les marchés, ces médicaments ont même investi les hôpitaux du pays.   Le responsable de l’organisation des pharmaciens du Ghana Alex Dodoo a expliqué que …
News Santé | Actualités & informations – Yahoo! Actualités FR