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Une femme sur cinq tomberait enceinte après l’échec d’une FIV

Une femme sur cinq tomberait enceinte après l’échec d’une FIV

Lundi 5 août 2019.

Lueur d’espoir pour les parents en espérance d’enfant : même après une FIV infructueuse, une femme peut tomber enceinte et ce, sans aide médicale. Une femme sur cinq ayant subi l’échec de ce traitement serait concernée.

Tomber enceinte naturellement après l’échec d’une fécondation in vitro

La fécondation in vitro, plus connue sous le nom de FIV, est une technique de procréation médicalement assistée qui permet de réaliser en laboratoire une rencontre des spermatozoïdes et d’un ovule, puis d’implanter l’embryon dans l’utérus de la mère. Cette technique, vieille de près de quarante ans, vient en aide aux parents qui ne parviennent pas à avoir d’enfant de manière « naturelle ». Fait surprenant, des femmes arriveraient à tomber enceinte sans aucune aide médicale à la suite d’une FIV qui a échoué.

Selon une étude parue le 15 juillet, dans la revue scientifique Human Reproduction, une femme sur cinq peut tomber enceinte naturellement après une FIV infructueuse. Pour en arriver à ces conclusions, des chercheurs écossais ont fait appel à la participation de 2.133 femmes et les ont suivies durant treize ans, entre 1998 et 2011.

Les participantes ont pu être classées dans deux groupes : celles qui sont tombées enceintes et ont accouché après une FIV et celles pour qui le traitement n’a pas réussi. À noter que ces deux groupes étaient très équilibrés, puisque 1.060 femmes appartenaient au premier groupe et 1.073 au second.

Grossesse après une FIV : une lueur d’espoir pour les parents

Les chercheurs ont constaté que 10 ans après l’échec de leur fécondation in vitro, 19% des femmes sont tombées enceintes « naturellement », c’est-à-dire sans aucune assistance médicale. Ces résultats viennent apporter une lueur d’espoir à tous les parents touchés par l’infertilité.

En Europe, 900.000 enfants ont été conçus grâce à une FIV entre 1997 et 2011. Un chiffre en hausse et qui interpelle les scientifiques. Dans un éditorial publié par l’European Journal of Obstetrics & Gynecology and Reproductive Biology, des scientifiques ont affirméque « le recours croissant à la procréation médicalement assistée au cours des dernières années n’apparaît pas justifié par une baisse générale de la fertilité » lit-on dans Le Point. « Ils évoquent plutôt l’impact de dérives sémantiques de la définition de l’infertilité, de fausses alertes sur la qualité du sperme, ainsi que le mercantilisme autour de la prise en charge de l’infertilité ».

Perine Durot-Bien

À lire aussi : Tomber enceinte : combien de temps ça prends ?  

 

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Mutation génétique : cette femme n'a jamais eu mal de sa vie !

Mutation génétique : cette femme n'a jamais eu mal de sa vie !

Le 1er avril 2019.

Voici l’histoire peu banale d’une dame de 71 ans qui n’a jamais eu mal de sa vie. Une particularité qui lui viendrait d’une mutation génétique. Explications.

Cette Écossaise n’a jamais eu mal de sa vie

Si vous êtes une femme et que vous avez déjà accouché, vous risquez fort d’envier cette Écossaise de 71 ans. Joe Cameron n’a en effet jamais connu la douleur de l’enfantement. Elle raconte dans le journal The New York Times « Je pouvais sentir que mon corps changeait, mais cela ne me faisait pas mal. C’était comme un chatouillement » rapportent nos confrères du Progrès.

La vieille dame a la chance de ne jamais avoir connu la douleur. Elle n’a d’ailleurs jamais ressenti ni la peur ni le stress. Une particularité qui lui viendrait d’une mutation génétique et qui intéresse beaucoup les scientifiques, notamment les chercheurs de l’University College de Londres qui ont analysé les gènes de cette surprenante Écossaise et affirment ne « jamais avoir rencontré de tel patient ».

Un espoir pour mettre au point des médicaments contre la douleur

Une femme exceptionnelle qui « relance l’espoir de trouver de nouveaux traitements contre la douleur chronique, qui touche des millions d’individus dans le monde » lit-on dans les colonnes du Progrès. Sa mutation génétique permettrait d’identifier un gène qui permettrait de mettre au point de nouveaux analgésiques.

Joe Cameron est l’une des deux seules personnes au monde connues pour avoir une mutation génétique rare. Ce n’est qu’à l’âge de 65 ans après avoir subi une lourde opération chirurgicale au niveau de la main, qu’elle s’est rendue compte qu’elle était différente du reste de la population. « Ça s’appelle le gène heureux ou gène de l’oubli. J’ai ennuyé les gens en étant heureuse et distraite toute ma vie – j’ai une excuse maintenant » a affirmé malicieusement la septuagénaire à la BBC.

Perrine Deurot-Bien

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Bientôt en ligne : les 9 éditions du Dictionnaire de l’Académie française depuis 1694 (voyez l’évolution du mot femme)

L’Académie française met son Dictionnaire à la disposition du public grâce à un portail web en accès libre et gratuit.

L’Académie édite des dictionnaires depuis 1694. La plateforme donne pour l’heure accès à la 9e édition en voie d’achèvement et à la 8e édition. Mais avant la fin de l’année s’ajouteront les sept précédentes.

Avant la fin 2019, il sera possible de circuler d’une édition à l’autre à partir de la définition d’un mot.

« L’Académie a été créée par Richelieu, sous Louis XIII en 1635. Il a donc fallu 59 ans pour établir le premier dictionnaire », rapporte France Inter.

France Inter a testé la plateforme de consultation en avant-première avec le mot « femme ».

Selon la définition de la 1re édition en 1694, la femme est la « femelle de l’homme ». À la 6e édition, en 1832, elle est toujours « la femelle de l’homme », mais apparait l’expression « compagne de l’homme ».

Dans la 8e édition (1932-1935), la définition est devenue « être humain du sexe féminin, la compagne de l’homme ».

Dans l’édition actuelle de 2019, la femme n’est plus ni la femelle ni la compagne de l’homme, elle est un « être humain défini par ses caractères sexuels, qui lui permettent de concevoir et de mettre au monde des enfants. »

Psychomédia avec sources : Académie française, France Inter.
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Une femme meurt d’un cancer après avoir reçu les poumons d’une fumeuse

Une femme meurt d’un cancer après avoir reçu les poumons d’une fumeuse

Le 5 novembre 2018.

Dans le Sud de la France, une femme qui s’était vu greffer les poumons d’une fumeuse a développé un cancer dont elle est décédée quelques semaines plus tard.

Une femme atteinte de la mucoviscidose meurt d’un cancer des poumons

À Montpellier, une femme souffrant d’une mucoviscidose, et qui s’est vu transplanter des poumons, est décédée, deux mois après son opération, d’un cancer. Ces poumons avaient été prélevés sur une femme de 57 ans, fumeuse intensive depuis trente ans.

Pour comprendre comment un cancer a pu se développer si rapidement sur des poumons qui ne présentaient aucune trace de tumeur lorsqu’ils ont été examinés lors de la mort de la donneuse, des médecins du CHU de Montpellier ont procédé à diverses analyses.

Les traitements immunosuppresseurs de la patiente ont accéléré le développement du cancer

Ils sont arrivés à la conclusion selon laquelle bien qu’aucun examen n’ait permis de détecter la présence d’un cancer avant la greffe, ce dernier devait vraisemblablement s’être déjà déclaré. Il aurait pu se développer plus lentement mais les traitements immunosuppresseurs qui permettent à l’organe d’être accepté par le corps, ont favorisé sa progression rapide. Le cancer des poumons de la patiente a en effet évolué en deux mois et lorsque ce dernier a été diagnostiqué, aucune thérapie n’a pu être envisagée.

Ce n’est pas la première fois qu’une greffe d’organe conduit à la transmission d’un cancer. Récemment, en Europe, quatre patients ayant reçu les organes d’une même donneuse, ont tous développé le même type de cancer à quelques années d’intervalle. Sur ces quatre receveurs, un seul a survécu.

Gaëlle Latour

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Une femme frôle la tétraplégie après avoir avalé un parasite

Une femme frôle la tétraplégie après avoir avalé un parasite

Le 16 juillet 2018.

Une Dijonnaise de 35 ans a été soignée pour une hydatidose, une maladie rare chez les humains, qui aurait pu lui coûter l’usage de ses jambes.

Elle avale des œufs de parasite par erreur, et risque de perdre ses jambes

Les vers solitaires ne se logent pas uniquement dans les intestins. Une habitante de la Côte d’Or en a récemment fait l’expérience. L’histoire de cette patiente, qui a frôlé la tétraplégie après avoir accidentellement ingéré des œufs de parasite, a été relatée dans la revue The New England Journal of Medicine, par les médecins qui l’ont opérée avec succès.

Cette jeune femme de 35 ans s’est présentée à l’automne 2017 au CHU de Dijon en présentant de très vives douleurs au dos. Elle affirmait également ressentir des formes de décharges électriques dans les jambes ainsi qu’une faiblesse dans le pied qui a, par la suite, été confirmée par les examens qui ont été menés par l’équipe qui l’a prise en charge.

Une opération chirurgicale a permis de retirer le ver de la colonne vertébrale

C’est grâce à une IRM que les médecins sont parvenus à identifier le problème de leur patiente. Au niveau de la 9ème vertèbre de la colonne vertébrale s’était logé un parasite de type ténia qui, puisqu’il était situé tout près de la moelle épinière, interférait dans les connexions nerveuses de ses jambes. Il a suffi d’une opération chirurgicale pour soigner cette hydatidose, maladie qui, généralement, affecte plutôt les animaux domestiques.

« L’échinocoque est un cestode parasitaire qui peut infecter les chiens et autres animaux de compagnie et animaux de ferme, les humains étant des hôtes accidentels », rappelle The New England Journal of Medicine. « L’infection peut causer des lésions kystiques dans le foie et les poumons ainsi que dans le système nerveux central et les os. […] Au suivi 9 mois après la présentation, le patient n’avait aucun symptôme résiduel ou signe de récidive ».

Gaëlle Latour

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États-Unis : une femme avait une tumeur de 60 kilos

États-Unis : une femme avait une tumeur de 60 kilos

Le 7 mai 2018.

Selon nos confrères de CNN, une femme s’est fait retirer une tumeur de 69 kilos lors d’une opération chirurgicale à haut risque. Il s’agissait d’une tumeur ovarienne.

Une tumeur ovarienne dite « mucineuse »

Les chirurgiens doivent régulièrement faire face à des situations assez extraordinaires. Aux États-Unis, dans le Connecticut, une enseignante de 38 ans s’est présentée à l’hôpital avec une tumeur de 60 kilos. Depuis novembre 2017, elle prenait 5 kilos par semaine et ne comprenait pas pourquoi. Elle avait en réalité développé une tumeur ovarienne dite « mucineuse ». La taille de cette excroissance mettait sa vie en danger.

Au final, il aura fallu 12 chirurgiens et cinq heures d’intervention pour venir à bout de cette tumeur. « Pendant l’opération, nous avons enlevé cette gigantesque tumeur qui provenait de son ovaire gauche », a commenté à la presse le docteur Vaagn Andikyan, le gynécologue qui s’est occupé de la patiente. « Nous avons enlevé son ovaire gauche, sa trompe gauche et nous avons retiré le tissu péritonéal affecté qui adhérait à l’ovaire ».

Une des plus  grosses tumeurs du monde

Ce genre de tumeur ovarienne est connue pour grossir de manière considérable. Elle se remplit d’une substance gélatineuse produite par les cellules cancéreuses. « Les tumeurs mucineuses ovariennes ont tendance à être grosses », a précisé Vaagn Andikyan. « Mais des tumeurs de cette taille sont extrêmement rares. Je pense qu’il s’agit de l’une des plus grosses tumeurs du monde. »

Les tumeurs « mucineuses » représentent environ 15 % des tumeurs de l’ovaire. Ce qui aurait pu lui être fatal, ce n’est pas la tumeur en tant que telle, car elle ne s’était pas propagée à l’extérieur de l’ovaire, mais le fait que son poids compressait les vaisseaux sanguins, ce qui aurait pu créer des caillots de sang. Tout le travail des chirurgiens a été de détacher la tumeur des principaux vaisseaux sanguins sans la mettre en danger. Une prouesse !

Marine Rondot

À lire aussi : Cancer de l’ovaire : vers un dépistage avec un simple test sanguin ?  

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Lyon : une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu

Lyon : une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu

Une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu dans le Rhône

DarkoStojanovic/CC0 Public Domain/Pixabay

Lyon, Rhône : une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu dans le Rhône ! Une femme médecin de Vaulx-en-Velin vient d’être condamnée par le tribunal correctionnel de Lyon à 4 ans de prison ferme pour avoir escroqué la Sécurité Sociale à hauteur de 800.000 euros !

Une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu

Et c’est via des surfacturations qu’elle avait ainsi réussi à escroquer l’Assurance-Maladie.  Pour y parvenir elle facturait des consultations de journée au tarif de nuit (soit 3 fois plus cher, ndrl) ou facturait tous les ayants droit d’une carte Vitale.

D’importantes sommes détournées qui lui avaient notamment permis d’investir dans l’immobilier dont 12 studios locatifs sur Lyon et sa proche région.

Condamnée à 4 ans de prison ferme, elle aura aussi pour obligation de rembourser l’intégralité des sommes détournées à la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) du Rhône et ne pourra plus jamais exercer son métier.

Une saisie de ses comptes bancaires et d’un immeuble lui appartenant a été ordonnée par le tribunal.

Le tribunal n’ayant pas prononcé de mandat de dépôt à l’issue de l’audience, elle a été laissée en liberté. Elle avait déjà effectué 5 mois de détention provisoire entre décembre 2015 et avril 2016 avant d’être remise en liberté sous contrôle judiciaire.

News Santé

Un aide-soignant agressé à Bordeaux par un homme refusant que sa femme soit auscultée par un homme

Un

aide-soignant du CHU de Bordeaux a porté plainte pour « violences » après avoir été agressé, le 9 août, par un homme qui refusait que son épouse enceinte soit examinée par un soignant masculin. Le CHU a lui aussi déposé plainte, au titre de personne morale, en soutien de son employé.

L’altercation est survenue aux urgences de la maternité, lorsque l’aide-soignant s’est interposé entre un collègue et l’homme en colère. Ce dernier était venu avec son épouse voilée pour un examen, mais refusait qu’elle soit auscultée par du personnel médical masculin, selon plusieurs sources, confirmant une information du quotiden Sud Ouest. L’aide-soignant a reçu des coups de poing à la face, puis le couple aurait quitté l’établissement.

Un motif religieux ?

L’éventuelle invocation par le mari d’un motif religieux le jour des faits, pour refuser que son épouse soit auscultée par un homme, reste à établir. Selon le chef du service de gynécologie-obstétrique du CHU, Dominique Dallay, cité dans Sud Ouest, les demandes de prise en charge de femmes par uniquement du personnel médical féminin sont « un sujet récurrent dans les maternités ». Et ce « pour différents types de raisons, pas uniquement religieuses », a précisé l’établissement à l’AFP.

L’hôpital « respecte toutes les croyances et s’efforce de répondre aux souhaits des patients », mais « n’en a pas toujours les moyens », en fonction du personnel disponible, notamment lors d’un week-end, notamment en période de vacances, où il peut arriver que seul un médecin homme se trouve de garde, selon le CHU.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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Dormir plus favoriserait le désir sexuel chez la femme

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Une étude américaine vient de montrer que le manque de sommeil diminuerait le désir sexuel mais aussi l’excitation chez les femmes. Cette recherche, menée auprès de 171 femmes, montre que chaque heure de sommeil supplémentaire augmenterait de 14 % la probabilité de rapports avec un partenaire au lendemain… à condition de rester dans une certaine fourchette. Trop de sommeil aurait tendance, en effet à atténuer la sensibilité génitale le jour suivant.

Jusqu’à présent, peu d’études se sont intéressées à l’influence du sommeil sur le désir sexuel et l’excitation. Le Docteur David Kalmbach et ses collègues ont donc décidé d’explorer l’impact du sommeil sur le désir sexuel de 171 femmes recrutées sur le campus d’une université américaine et suivies sur une période de 14 jours. Les volontaires, qui ne prenaient pas de médicaments antidépresseurs, ont été invitées à répondre à certaines questions sur l’excitation issue des seules pensées sexuelles en l’absence de stimulation génitale (les excitations subjectives) mais également sur leur réponse sexuelle individuelle au niveau de l’excitation génitale génitale et du fonctionnement orgasmique. Elles ont enfin été interrogées sur ce qui les a motivé à s’engager dans une activité sexuelle.

Publiés dans le Journal of Sexual Medicine, les résultats montrent que les femmes ayant dormi plus pendant une nuit donnée ont rapporté avoir eu un désir sexuel plus élevé le lendemain (augmentation de 14 % à chaque heure supplémentaire). A contrario, un sommeil trop important semble plutôt atténuer la sensibilité génitale (même si celles qui ont dormi plus ont en moyenne rapporté une meilleure sensibilité en moyenne).

De nouvelles études seront nécessaires pour évaluer le rapport entre troubles du sommeil et dysfonctionnement sexuel.

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