Archives par mot-clé : finir

MonDocteur veut en finir avec les files d’attente à l’accueil des établissements de santé

MonDocteur veut en finir avec les files d’attente à l’accueil des établissements de santé: congestion des services d’accueil, absence de dématérialisation, patients insatisfaits…

Alors MonDocteur a décidé de lancr MonDocteur Hospi pour améliorer le quotidien des cliniques, des hôpitaux et de leurs patients

Après avoir révolutionné la prise de rendez-vous dans les cabinets médicaux, MonDocteur vient en aide aux établissements de santé avec un tout nouveau service : MonDocteur Hospi. Véritable solution de gestion de la relation patient, MonDocteur Hospi prend en charge le parcours des patients, avant même leur arrivée en clinique ou à l’hôpital et dès la fin de leur hospitalisation. Un service attendu par des établissements congestionnés et des patients souvent perdus.

Des services d’admission toujours à l’ère du papier

MonDocteur Hospi est né d’un constat simple : l’admission à l’hôpital ou en clinique relève de plus en plus du parcours du combattant. Un véritable casse-tête pour les patients et le personnel administratif : les services d’accueil sont débordés, le temps d’attente aux admissions ne cesse d’augmenter, les dossiers sont encore gérés sur papier nécessitant trop souvent des allers-retours du patient et les ruptures d’informations sont fréquentes.

Face à ce constat, les patients et les professionnels de santé attendent beaucoup des nouvelles technologies, comme le montre le dernier baromètre santé 360 publié par Odoxa : pour 69% des Français, le développement de la e-santé au travers d’outils numérique constitue une « source d’espoir ».

MonDocteur Hospi, c’est une nouvelle solution au secours des établissements de santé et des patients

Ayant développé un véritable savoir-faire dans la gestion des relations entre patients et praticiens, MonDocteur a décidé de réemployer cette expertise pour faciliter le parcours patient dans les cliniques et les hôpitaux.

MonDocteur Hospi propose ainsi 3 services :
– Une présentation claire de l’offre de soins de l’établissement ;
– Une gestion en ligne des admissions, permettant notamment l’envoi dématérialisé de tous les documents administratifs des patients (photo de carte d’identité, de sécurité sociale, de mutuelle etc.), le choix de son mode d’hospitalisation (chambre simple, double, avec télévision, wifi…) et des services additionnels proposés par l’établissement ainsi qu’un suivi en temps réel des admissions par le personnel administratif de l’établissement ;
– Une évaluation de la satisfaction patients à l’issue de son hospitalisation grâce à un outil de formulaires automatiques et de reporting.

« L’utilisation de notre solution de prise de rendez-vous dans des centaines d’établissements de santé nous a permis de prendre la mesure des difficultés qu’ils rencontrent. Difficulté de récupérer de l’information avant et après l’hospitalisation, congestion des services d’accueil, patients insatisfaits, etc. ; la liste est longue ! L’admission en ligne via MonDocteur Hospi permettra de fluidifier considérablement le parcours du patient » précise Thibault Lanthier, co-fondateur et directeur général de MonDocteur.

MonDocteur envisage d’aller encore plus loin dans la simplification du parcours patient au sein des cliniques et des hôpitaux, avec un vrai suivi ambulatoire en ligne post-hospitalisation.

À propos de MonDocteur
Lancé en 2013, MonDocteur simplifie le quotidien des professionnels de santé en leur proposant un service de prise de rendez-vous médicaux en ligne associé à un agenda sur-mesure et à d’autres services exclusifs, tels que l’envoi de questionnaires avant consultation ou l’adressage de patients entre praticiens. Dédiée aussi bien aux médecins libéraux qu’aux établissements de santé, la solution en SaaS de MonDocteur leur permet ainsi de gagner du temps de secrétariat, de réduire l’absentéisme de leurs patients, d’augmenter leur visibilité, de collaborer plus efficacement avec leurs confrères et d’instaurer une relation privilégiée avec leurs patients.
Quant aux patients, ils peuvent prendre rendez-vous avec un praticien en quelques clics et bénéficient de services innovants tels que le carnet de santé en ligne ou des alertes SMS pour être prévenus d’un nouveau créneau disponible ou d’un retard.
Soutenu par Lagardère Active depuis 2014, MonDocteur compte 200 salariés et gère 4 millions de consultations médicales chaque mois.

News Santé

Nager dans l’eau glacée pour en finir avec les douleurs chroniques

Nager dans l’eau glacée pour en finir avec les douleurs chroniques

Le 15 février 2018.

Le cas inexpliqué d’un homme dont les douleurs chroniques ont disparu après une séance de nage dans l’eau froide laisse aujourd’hui encore ses médecins perplexes.

Un homme guérit de ses souffrances grâce à un plongeon dans l’eau froide

Et si l’eau froide était une réponse aux douleurs chroniques ? C’est ce que suggère cet article, publié dans le British Medical Journal, et qui relate l’histoire d’un homme qui, sans le savoir, allait guérir de ses douleurs grâce à un plongeon dans l’eau froide.

Cet homme de 28 ans se plaignait de vives douleurs à la poitrine après avoir subi une opération chirurgicale durant laquelle son nerf sympathique avait été sectionné, afin de réduire les rougeurs persistantes au visage dont il souffrait. Malgré les nombreux antidouleurs et traitements prescrits par ses médecins, rien n’est parvenu à diminuer la souffrance de leur patient.

L’eau froide et l’activité sportive : la réponse aux douleurs chroniques ?

Mais un jour cet homme, qui avait l’habitude de pratiquer le triathlon, a décidé de surmonter sa souffrance pour aller nager dans la nature. C’est à ce moment que le « miracle » s’est produit puisqu’à l’instant même où il est entré dans l’eau froide, ses douleurs ont disparu et, depuis, ne sont pas revenues.

Les médecins ne parviennent pas à expliquer les raisons de ce phénomène. Deux hypothèses ont toutefois été soulevées, la première est directement liée à l’eau froide, qui aurait eu un effet thérapeutique sur les douleurs du patient ; la deuxième met en avant les bénéfices de la nage. Avoir pratiqué une activité physique après de nombreux jours d’immobilité aurait atténué durablement les douleurs.

Gaëlle Latour

À lire aussi Vivre avec la douleur chronique… 24 heures sur 24 !

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

10 conseils pour en finir avec le grignotage

Le 11/03/2016,

Qui n’a jamais craqué entre les repas ? Quand ça arrive une fois de temps en temps, ce n’est pas grave. Mais lorsqu’on grignote régulièrement, ce n’est bon ni pour la ligne, ni pour la santé !

Suivez nos conseils pour en finir avec cette manie de grignoter.

1/ Buvez beaucoup d’eau

Une étude américaine (1) a montré que boire un verre d’eau avant chaque repas accélérerait la sensation de satiété.

2/ Prenez un petit déjeuner

Le petit déjeuner doit apporter entre 20 et 25 % de l’énergie totale de la journée afin d’éviter les sensations de fatigue physique et intellectuelle, ainsi que les crises d’hypoglycémie. Prendre un bon petit déjeuner vous évitera de grignoter avant votre pause déjeuner.

3/ Prenez le temps de manger

Il faut 20 minutes avant que l’estomac n’envoie au cerveau un message de satiété. De plus, une étude Américaine publiée dans la revue Journal of the American Dietetic Association affirme que mâcher lentement réduirait la consommation de calories et accélérerait la satiété.

Prenez le temps d’apprécier ce que vous mangez, vos repas devraient durer au moins 30 minutes.

4/ Ne sautez pas de repas

Si vous sautez un repas, vous risquez de grignoter quelques heures plus tard pour tenir.

5/ Mangez une pomme, quelques noix ou quelques amandes

Si vous avez vraiment faim et qu’il n’est pas l’heure de manger, mangez un fruit plutôt qu’une barre chocolatée ou des chips.

6/ Ne vous privez pas pendant les repas

Vous ne devez pas avoir faim en sortant de table !

7/ Consommez des fibres

Alors que les fibres insolubles sont nécessaires à une bonne digestion, les fibres solubles régulent les taux de glycémie et de cholestérol. La mâche, la pomme et l’aubergine sont par exemple très rassasiantes.

8/ Occupez-vous

On grignote parfois quand on s’ennuie, alors au lieu d’aller trainer du côté de la cuisine, occupez-vous à autre chose !

9/ Ne gardez rien chez vous

Lorsque vous êtes chez vous, il sera plus facile de craquer si tout est à portée de main, à vous attendre dans le placard de la cuisine ! Achetez des fruits, des carottes ou des tomates cerises, que vous mangerez en cas de petit creux.

10/ Buvez du thé vert

Reconnu pour ses effets brûle-graisses et diurétiques, le thé vert favorise l’action des hormones rassasiantes dans notre organisme.

(1) Dennis EA, Dengo AL, Water consumption increases weight loss during a hypocaloric diet intervention in middle-aged and older adults, Obesity (Silver Spring). 2010 Feb;18(2):300-7. L’étude a été réalisée par des chercheurs en nutrition de l’Université Virginia Tech et financée par l’Institute for Public Health and Water Research.

Crédit photo : A.Tugolukov – thinkstockphotos.fr

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Pour en finir avec le «finis ton assiette»

Une experte en nutrition familiale rappelle dans le New York Times que faire grandir ses enfants au son de «Finis ton assiette» (voire de «Finis ton assiette, y a des enfants qui meurent de faim dans le monde») est loin de leur être bénéfique.

Ces principes alimentaires parfois solidement ancrés dans les familles –ou chez les pions à la cantine– vont contre la santé des enfants, comme plusieurs études l’ont montré.

En 1987, une chercheuse de l’université de Penn State s’est aperçue que les enfants à qui l’on demandait de se concentrer sur les signaux externes du fait de manger (comme la nourriture présente sur leur assiette) mangeaient davantage de nourriture après un repas fort en calories que ceux concentrés sur des signaux internes (la sensation de faim par exemple). Dans une étude de 1999, les adultes obèses se souvenaient de davantage de règles liées à la nourriture que les non-obèses, avec comme règle la plus commune celle du «finis ton assiette».

A l’inverse, dans une étude de janvier 2013, des chercheuse de l’université du Minnesota ont trouvé que les jeunes adultes qui mangeaient en fonction de leur faim et de leur sensation de satiété avaient un indice de masse corporelle moins élevé que ceux qui ne le faisaient pas, et avaient également moins tendance à souffrir de désordres alimentaires. Les jeunes femmes qui écoutaient leurs corps pour se nourrir avaient moins tendance à faire des régimes et à manger de manière compulsive.

Ces études sont d’autant plus intéressantes qu’une autre, datant de 2006, a montré que les jeunes enfants avaient une capacité d’auto-régulation énergétique. Autrement dit, ils ont une capacité innée pour réguler leur consommation de nourriture. Les encouragements à trop manger –«finis ton assiette»– et ceux à trop se limiter ont des effets négatifs sur cette capacité innée.

MaryAnne Jacobson souligne dans le New York Times que «finis ton assiette» n’est pas le seul réflexe problématique: insister pour que les enfants mangent d’abord leurs fruits et/ou leurs légumes, ou les récompenser quand ils mangent sain (du type «si tu manges tes épinards t’auras du gateau») n’aide pas non plus.

«Cette stratégie fait que les enfants ont moins tendance à (intrinsèquement) préférer les aliments sains et rend les sucreries encore plus désirables.»

N’allez pas croire pour autant qu’elle encourage ainsi le gachis, une des raisons parfois avancées par les parents pour justifier le principe de finir son assiette. Elle explique dans les commentaires de son article encourager les parents à poser les plats de nourriture sur la table et à laisser tout le monde se servir ou décider de la quantité qui leur est servie (et réutiliser ensuite les restes).

Three cleaned plates / Ozmafan via Flickr CC License By

C.D.

À lire aussi sur Slate.fr

Mangez des fruits! (et pas que des pommes)
Le resto universitaire, ça aide à bien manger?
L’art de manger, manifeste du chef Jean-François Piège


A votre santé! – Slate.fr

Les végétariens allemands vont finir à poil

Un scandale de viande contaminée à la dioxine début janvier en Allemagne; le succès international du livre plaidoyer de Jonathan Safran Foer (Faut-il manger les animaux?)… Voilà deux raisons supplémentaires qui poussent de plus en plus d’Allemands à rejoindre la communauté végétarienne. Sur le site d’auteurs indépendants Suite101.de, …
Yahoo! Actualités: Les titres Santé