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Faire l’amour une fois par semaine est suffisant pour être heureux

Le 05 décembre 2015. Les couples qui font l’amour très souvent ne sont pas forcément les plus heureux, mais ceux qui le font peu, en revanche, font bel et bien partie des couples les moins heureux.

C’est en tout cas ce que révèle une étude, publiée dans le journal Social Psychological and Personnality Science, menée sur 30 000 couples américains de plus de 40 ans.

L’étude a démontré que les couples qui font l’amour une fois par semaine sont plus heureux que ceux qui le font moins. Plus surprenant, elle montre également qu’avec plus d’un rapport sexuel par semaine, les couples ne sont pas plus heureux. Le bonheur se situe donc à une fois par semaine.

L’étude montre aussi qu’entre les couples qui font l’amour moins d’une fois par semaine et ceux faisant la bête à deux dos une fois par semaine, la différence de satisfaction globale de vie est plus grande qu’entre ceux qui gagnent entre 15 000 dollars et 25 000 dollars et ceux qui gagnent entre 50 000 et 75 000 dollars.

L’enquête n’en dévoile toutefois pas les raisons, mais selon son auteur principal, Amy Muise, cela pourrait bien être la dose idéale pour maintenir une connexion intime dans un couple. 

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Eternuer 20 fois par minute : possible ou inimaginable ?

Le 09 octobre 2015. Nous avons tous connu cette sensation d’éternuement sans fin lors d’une allergie ou d’une irritation de la muqueuse nasale, mais jamais comme Katelyn Thornley.

Katelyn est une jeune Américaine de 12 ans vivant dans le Texas et qui, du jour au lendemain, s’est retrouvée à éternuer plus de 20 fois par minute. Une situation qui fait vivre un véritable cauchemar à cette adolescente depuis plus d’un mois. Elle éprouve des douleurs aux jambes et au ventre, a des difficultés à manger et ne peut plus se rendre à l’école. Si un simple éternuement n’a pas de conséquence sur notre organisme, la répétition de l’éternuement peut en avoir… Rupture d’une côte, pincement du nerf sciatique et même infarctus sont des conséquences possibles d’éternuements répétés.

Plusieurs médecins ont ausculté Katelyn sans pour autant trouver les véritables causes de ce trouble. Selon certains, il pourrait s’agir d’éternuements liés au stress !

Imaginez-vous un instant éternuer toute une journée sans discontinuer ! Un véritable calvaire.

Pour en savoir plus sur les causes d’un éternuement et les moyens de s’en débarrasser, venez découvrir notre fiche symptôme associée.

 

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Fumer du cannabis une fois par semaine modifie le cerveau

Une nouvelle étude scientifique vient de paraître sur les effets du cannabis sur le cerveau, et elle ne va pas plaire aux consommateurs récréatifs. S’il faut souligner que l’étude, effectuée par des chercheurs de la Northwestern University aux Etats-Unis et publiée dans le Journal of neuroscience, porte sur un nombre limité de volontaires (20 fumeurs et 20 non-fumeurs âgés de 18 ans à 25 ans), ses résultats apportent un nouvel éclairage sur les dangers potentiels de la consommation de cannabis.

Il s’agit d’une des premières études à s’intéresser aux effets sur le cerveau chez les fumeurs récréatifs, a déclaré le directeur de l’Institut national sur l’abus de drogue américain à Associated Press.

Dans un communiqué publié par l’univeristé de Northwestern, le co-auteur Hans Breiter explique les résultats:

«Les gens pensent qu’une consommation récréative ne devrait pas poser de problème tant que la personne s’en sort dans son travail ou ses études. Nos données montrent clairement que ce n’est pas le cas. […] Cette étude remet en question de manière importante l’idée selon laquelle une consommation occasionnelle de cannabis n’a pas de conséquences néfastes.»

L’étude a demandé aux volontaires d’estimer leur consommation de cannabis au cours des trois derniers mois, et montre que même ceux qui ne fumaient qu’une ou deux fois par semaine montraient des signes d’anomalies dans deux régions du cerveau, l’amygdale et le noyau accumbens, impliquées respectivement dans les émotions et la motivation, souligne le site Journal de la science. Hans Breiter a déclaré à Associated Press qu’il fallait maintenant mener d’autres études sur le plus long terme pour voir si les changements cérébraux entraînent des symptômes. 

Comme l’écrit le Washington Post, les attitudes culturelles autour du produit évoluent très rapidement aux Etats-Unis:

«La décriminalisation et la légalisation du cannabis, qui étaient inconcevables il y a seulement une génération, ont eu lieu dans plusieurs Etats au cours des dernières années. Des nouvelles industries ont vu le jour autour de la plante dans le Colorado et l’Etat de Washington depuis qu’il ont légalisé cette drogue.»

Ailleurs, l’Uruguay est devenu le premier pays à autoriser et contrôler tous les aspects de l’industrie, de l’importation à l’exportation en passant par la plantation, la culture, la récolte, la production, l’acquisition, le stockage, la commercialisation et la distribution du cannabis et de ses dérivés.

En France, l’ancien ministre de l’Intérieur Daniel Vaillant milite pour des mesures similaires afin notamment de mieux protéger la santé des consommateurs et d’éradiquer le trafic. Environ 1,2 million de Français sont des consommateurs réguliers et fument du cannabis au moins 10 fois par mois, tandis que 3,8 millions ont fumé au moins une fois dans l’année. 

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En France, on a 37 fois plus de risque de mourir d’un cancer que d’un accident de la route

Dans une étude relayée par le site The Atlantic et réalisée par deux chercheurs du Transportation Research Institute de l’université du Michigan, Michael Sivak et Brandon Schoettle, ont répertorié le nombre d’accidents de la route dans 193 pays, et ont comparé les chiffres avec les causes principales de décès dans le monde: le cancer, les maladies cardio-vasculaires et celles cérébrovasculaires. Pour réaliser cette comparaison, les chercheurs se sont appuyés sur des données de l’Organisation mondiale de la santé datant de 2008.

Chaque année dans le monde, le nombre de personnes tuées dans des accidents de la route s’élève à 1,24 million.

Les chiffres sont encore trop importants mais les victimes d’accidents de la route restent, du moins pour la France, moins nombreuses que celles du cancer et des maladies cardio-vasculaires et cérébrovasculaires: pour 100.000 personnes, 259 meurent du cancer, quand 7 sont victimes d’accidents de la route.

A l’échelle mondiale, les données récoltées par les chercheurs indiquent que pour 100.000 habitants, le nombre de victimes de la route s’élève à 18, le nombre de victimes du cancer à 113, le nombre d’accidents cardio-vasculaires à 108, et les accidents vasculaires cérébraux à 91. 

Cette constatation n’est pas identique pour tous les pays puisqu’aux Emirats arabes unis, le nombre de victimes de la route s’élève à 25 pour 100.000 habitants alors que les Emirats comptent 19 victimes du cancer. Simplement parce que le nombre de décès (toutes causes confondues) est un des plus bas au monde.

Dans le monde, le nombre de victimes de la route représente 15,9% du nombre des victimes du cancer. En Namibie, pays qui comptabilise le plus grand nombre d’accidents de la route, ce taux est de 153%, en France 2,6%, et aux Maldives qui compte 2 morts pour 100.000 habitants, le taux est de 1,7%. 

Voici la carte des taux d’accidents de la route mortels par nombre d’habitants, avec en rouge, les taux les plus élevés.

Cliquez sur l’image pour la voir en plus grand

The Atlantic en conclut que ces données sont un indicateur de notre mode de vie. Dans les pays en développement, où le revenu par habitant est faible, les accidents de la route sont élevés, plus que les cancers et les maladies cardiaques. 

En 2013, en France, 3.250 personnes sont mortes sur les routes, contre 3.653 en 2012. Selon le site Association prévention routière, «il s’agit de la plus forte baisse de la mortalité constatée depuis 2006.» Même si l’objectif en 2012 était de faire baisser le nombre de tués à 3.000, expliquait Gilles Bridier sur Slate.

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Première fois : pourquoi les filles sont-elles souvent déçues ?

Faire l’amour pour la première fois est souvent synonyme de déception, en particulier pour la gent féminine. Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue à l’hôpital Cochin à Paris et auteur du livre « La mécanique sexuelle des hommes, tome 2 : L’érection », a répondu aux questions de Top Santé.

Pourquoi les filles ne gardent pas toujours un bon souvenir de leur premier rapport sexuel ?

Cela dépend de plusieurs facteurs. Les filles ont tendance à dire oui pour faire plaisir, et faire l’amour sans en avoir envie ne donne pas de très bons résultats. Environ deux filles sur trois ressentent des douleurs lors du premier rapport et seules 5% ont un orgasme à cette occasion. Entre autres, le vagin n’est pas équipé pour ressentir du plaisir automatiquement. Il est, d’une certaine façon, « vierge » de sensations. Un garçon connait son pénis, il est stimulé toute sa vie : dans le ventre de sa mère, au moment de la toilette et de l’exploration de son corps, au contact avec les vêtements et, plus tard, lors de la masturbation. La fille n’est pas habituée à la pénétration, même si elle utilise des tampons. Si 45% d’entre elles affirment s’être masturbées avant 18 ans, n’y a souvent pas de pénétration mais que des caresses.

Que faire pour améliorer les premiers rapports ?

Le vagin est une zone qui met du temps à se réveiller, il faut l’accepter. La preuve : deux tiers des femmes n’ont pas d’orgasme vaginal. Le cerveau doit apprendre à interpréter certains signaux. L’essentiel est de s’écouter, accepter les signaux du corps. Je remarque une certaine agressivité : beaucoup de filles se forcent à se masturber, à utiliser des sex toys, à s’épiler intégralement… Elles ne vivent pas en harmonie avec leur sexe alors que c’est une zone à chérir. Des sociologues ont remarqué que la meilleure façon pour que le premier rapport se passe bien, c’est de l’expérimenter avec un partenaire fixe. Si la première fois est un échec, le couple peut prendre son temps et recommencer sans trop de pressions.

Les parents ont-ils un rôle à jouer ?Ils peuvent parler à leur enfant de leur propre expérience, sans donner trop de détails intimes. Ils peuvent apporter des exemples en utilisant la technique du « j’ai une (…) Lire la suite sur Topsanté

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Manger 5 fois par jour pour lutter contre l’obésité des ados?

Comment limiter l’obésité chez les adolescents à risque? Peut-être en mangeant 5 fois par jour, affirment des scientifiques finlandais dans une étude publiée sur Plos One.

Les chercheurs ont analysé les habitudes alimentaires (goûter ou pas goûter? Petit déjeuner zappé ou pas?…), l’indice de masse corporelle (IMC) et les facteurs de prédispositions génétiques de l’obésité chez près de 5.000 adolescents finlandais de 16 ans.

Les sujets avaient un IMC moyen de 21,2. Les ados ayant un risque génétique fort avaient un IMC un peu plus élevé (+ 0,7 en moyenne) que ceux ayant un risque faible. A partir de là, les chercheurs ont observé séparément les différents modèles de repas. Résultat, l’effet des facteurs de risques génétiques sur l’IMC était moins important chez ceux qui mangeaient 5 repas par jour.

Selon eux, faire trois repas et deux collations (petit déjeuner, déjeuner, goûter, dîner, collation du soir ou de la matinée) pourrait donc réduire les risques d’obésité induits par des facteurs génétiques.

Anne Jaaskelainen, membre de l’équipe, explique que «ces résultats montrent qu’il est important d’adopter dès le début une approche familiale de la prévention de l’obésité», mais aussi d’être «conscient que les effets des prédispositions génétiques peuvent être modifiés par des habitudes de vie, comme une fréquence de repas régulière».

Un article publié sur le site du National Center for Biotechnology Information pointe cependant les les compléments à apporter (en testant la même chose sur des adultes par exemple) et les limites de l’étude. Entre autres, «les chercheurs n’ont pas collecté d’informations sur ce que les ados ont mangé, donc on ne sait rien du nombre de calories consommées par ceux qui font 5 repas, par rapport aux autres». Ni du type d’aliments mangés par tous ces ados. En effet, répartir ses apports alimentaires normaux sur 5 repas n’est pas la même chose que faire de gros excès à 16h ou à 23h…

En France, la norme des trois repas par jour semble toujours appliquée (selon une étude de l’Inra du printemps 2013) par la population générale, un peu moins par les 15-25 ans.

Mort subite du nourrisson : 5 fois plus de risques chez les bébés dormant avec leurs parents

Selon une nouvelle étude britannique, le risque de mort subite du nourrisson est cinq fois plus élevé chez les nourrissons qui partagent le lit avec leurs parents.

Il peut arriver que des parents partagent leur lit avec leur nouveau-né, notamment pour pouvoir plus facilement l’allaiter au cours de la nuit. Or Une étude britannique qui s’est intéressée à la chose estime pourtant que ce comportement multiplie par cinq le risque de mort subite du nourrisson. Et cela indépendamment de la présence d’une couverture ou du tabagisme des parents comme on pouvait le penser (néanmoins, le tabagisme des parents rend le bébé plus fragile, de même qu’une naissance prématurée et un faible poids de naissance).

Les chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medicine sont arrivés à cette conclusion après avoir mené une méta-analyse s’intéressant à 19 études ayant porté sur la mort subite du nourrisson, soit 1.472 cas en tout. Les résultats révèlent que 22 % des décès recensés sont survenus dans des familles où l’on pratiquait le ‘co-dodo’ ou ‘cosleeping’.

Des drames évitables ?

De plus, selon les auteurs, 88 % de ces morts subites auraient « probablement’ été évitées si les enfants avaient été couchés dans leur berceau. Comme l’explique le Dr Inge Harrewijn, pédiatre au centre de référence sur la mort inattendue du nourrisson de Montpellier, « ce risque était déjà connu des spécialistes mais pour la première fois, elle le quantifie de façon précise et indépendante. Cela nous donne un argument supplémentaire pour convaincre les jeunes mamans, ou les jeunes parents, qui veulent dormir avec leur nourrisson, soit par commodité ou pour calmer d’éventuelles angoisses ».

La chose est d’importance puisqu’on recense 250 morts subites du nourrisson chaque année en France. Ces décès prématurés concernent les nourrissons de moins de 6 mois, notamment entre deux et quatre mois. Mais « on estime que 100 à (…)
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