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Fibromyalgie : le rapport de la commission d’enquête, fort instructif, est en ligne

Tous les comptes-rendus des séances d’audition des experts sont notamment présentés en annexe.

INTRODUCTION

I. UNE PATHOLOGIE AUX MULTIPLES ZONES D’OMBRE

A. DES CAUSES QUI RESTENT ENCORE À ÉTABLIR SCIENTIFIQUEMENT

B. UNE DESCRIPTION PHYSIOPATHOLOGIQUE QUI ÉVOLUE RÉGULIÈREMENT

1. Des critères de diagnostic multiples et complexes : une ou plusieurs fibromyalgies ?

2. Un syndrome ou une maladie, une polémique sémantique ?

C. UNE SURVEILLANCE ÉPIDÉMIOLOGIQUE INEXISTANTE

1. Une prévalence difficilement mesurable

2. Un coût impossible à évaluer

D. UNE VIE FORTEMENT PERTURBÉE

1. Une détresse affective et psychologique

2. Une détresse professionnelle

3. Une détresse quotidienne

4. Une détresse financière

II. UNE PRISE EN COMPTE LACUNAIRE PAR LE SYSTÈME DE SANTÉ FRANÇAIS

A. AUGMENTER L’EFFORT DE RECHERCHE

1. Une recherche insuffisante

2. L’expertise collective de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale

B. FORMER LES PROFESSIONNELS DE SANTÉ

1. Améliorer la formation initiale et continue

2. Réduire l’errance médicale

C. FAVORISER LES TRAITEMENTS NON MÉDICAMENTEUX

1. L’absence d’autorisation de mise sur le marché européen de médicaments pour l’indication fibromyalgie

2. Une grande diversité de traitements non médicamenteux

3. Les programmes d’éducation thérapeutique du patient

D. INSTITUER UN PARCOURS DE SOINS

1. Identifier les besoins en utilisant les outils fournis par la loi de modernisation de notre système de santé

2. Développer un modèle de parcours de soins prenant appui sur les centres de la douleur

a. S’inspirer des innovations organisationnelles du parcours des personnes âgées en risque de perte d’autonomie

b. Mettre en place un parcours de soins de lutte contre la douleur, incluant la fibromyalgie

E. HARMONISER ET DÉVELOPPER LA PRISE EN CHARGE

1. Le régime des affections de longue durée

a. Présentation du dispositif

b. Une prise en charge de la fibromyalgie disparate

2. La prise en charge du handicap

3. Le cas particulier de la fonction publique

4. La définition d’un panier de soins complémentaires faisant l’objet d’une prise en charge

LISTE DES PROPOSITIONS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

EXAMEN EN COMMISSION

CONTRIBUTIONS

Contribution de M. Jean-Pierre DECOOL

Contribution de Mme Florence DELAUNAY

Contribution de M. Arnaud VIALA

LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES

COMPTES RENDUS DES AUDITIONS

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Le travail, ça n’est pas toujours la santé : les métiers avec le plus fort taux d’obésité

Travailler plus de 40h par semaine augmenterait drastiquement les chances d’être obèse. Les métiers les plus touchés seraient ceux de l’administration publique, mais également ceux du domaine de la santé. Et manifestement le salaire joue également un rôle.

Atlantico : L’American Journal of Preventive Medicine a récemment mené une étude (voir ici) sur le problème de l’obésité au travail. On s’aperçoit que l’administration publique et le domaine de la santé accusent les plus hauts taux d’obésité. Comment l’expliquer ?

Gérard Dine : Concernant les administrations publiques il est possible de se pencher sur différents aspects, qui pourraient servir d’explications : l’administration publique, c’est en quelque sorte un emploi assuré, loin des possibles problèmes de performance. On pourrait parler d’une situation de protection à l’égard du travailleur, qui ne rencontre ni remise en cause, ni compétition et concurrence au sein de l’administration. A partir de là on peut parler d’une routine, d’une habitude, qui mène à des dérapages comportementaux sur les lieux du travail. En revanche, il s’agit d’un constat autrement plus étonnant vis-à-vis des métiers de la santé, parce que les métiers qu’on assimile à l’univers de la santé sont des métiers qui exigent beaucoup de travail, où le travailleur se retrouve dans un environnement de stress. L’explication la plus logique serait celle de ce stress, qui peut avoir un impact sur les comportements de type tabagisme et grignotage. Ces addictions sont connues, et beaucoup de gens qui travaillent dans la santé fument, auraient une prise alimentaire anarchique qui n’est pas adaptée, ni qualitativement, ni quantitativement. C’est le phénomène opposé à celui de l’administration publique, qui rencontre un problème de sédentarité au sens littéral du terme. Les deux extrêmes sont à craindre, donc. Il faut toutefois faire attention à la façon dont l’étude est menée : le secrétaire du médecin fait partie du personnel de santé. La santé, comme (…)lire la suite sur Atlantico

Epidémie d’obésité : les 5 causes choquantes qui n’ont rien à voir avec les comportements individuels
50,7% : la part des parents qui sous-estiment le surpoids ou l’obésité de leurs enfants
L’obésité rend-elle pauvre et la pauvreté rend-elle obèse ?


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