Archives par mot-clé : Français

Les pharmacies prises d’assaut par les Français angoissés

Les Français cherchent à la pharmacie une réponse à leurs angoisses. « Il n’y a pas un client qui ne parle pas de ce qui s’est passé. Ils restent inquiets, angoissés à l’idée de sortir« , explique Andrée Ivaldi, pharmacienne, devant la caméra de France 3. »Ils nous demandent conseil pour les aider à tenir un petit peu » raconte la pharmacienne.

Dans les quartiers proches des attentats, les ventes de psychotropes ont augmenté encore plus qu’ailleurs mais l’ensemble des Français est touché par cette montée d’anxiété.

« Quand on va « tuer Charlie Hebdo » pour reprendre l’expression d’un terroriste, c’est une partie de l’identité française qu’on tue. Or cette identité française c’est une chose vulnérable. La société française est une société déprimée« , explique Olivier Bouvier de la Maisonneuve, psychiatre à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris.

Somnolence, risques d’accidents de la route ou de chutes pour les plus âgés, dépendance : ces molécules, les benzodiazépines, déjà surconsommées en France, ont de redoutables effets secondaires.

Retrouvez cet article sur Francetv info

Ebola : « baisse réelle » des nouveaux cas en Afrique de l’Ouest
VIDEO. Santé : la France face à une pénurie de sang
VIDEO. La France angoissée : les pharmacies assaillies
VIDEO. Les édulcorants sont-ils vraiment efficaces ?
Grève des médecins : une « baisse réelle mais modérée » des télétransmissions


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

VIDEO. Les Français font preuve d’indiscipline médicale

Ces mauvaises habitudes médicales ont un coût : 9 milliards d’euros par an, selon les auteurs de l’étude. Il faut dire que les résultats sont surprenants. Les asthmatiques ne seraient que 13% à prendre leur traitement correctement. Du côté des insuffisants cardiaques il ne serait que 36% et 37% pour les diabétiques de type 2.

Une indiscipline aux conséquences financières lourdes. Stéphane Sclison, auteur de l’étude IMS Health France, déclare: « Ces patients qui observent mal leur traitement sont plus souvent exposés à une complication de leur pathologie. (…) Tout cela fait que globalement, l’impact pour la société est un coût de 9 milliards d’euros par an ».

L’équipe de France 3 a interrogé des pharmaciens et des médecins. Selon ces derniers, les conclusions de l’étude sont exagérées car elles remettent en cause le travail de toute une profession.

Le Dr Roger Rua, médecin généraliste, explique : « C’est une grosse surprise dans la mesure où de tels chiffres peuvent être acceptés comme un très mauvais travail de tous les professionnels de santé ».

Retrouvez cet article sur Francetv info

Un contraceptif à bas prix bientôt disponible dans 69 pays pauvres
VIDEO. Inde : 13 femmes décèdent suite à une opération de stérilisation
VIDEO. Un ancien ingénieur dénonce les dérives du secteur de la viande
Ebola : trois traitements bientôt testés en Afrique
VIDEO. À la rencontre d’Anne-Marie, greffée du cœur et des poumons


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

VIDEO. Ebola : Des médecins français partent au front

Alors que le virus Ebola sévit en Guinée, des médecins français vont se rendre dans le pays africain, pour aider à endiguer l’épidémie. Parmi eux, Christophe et Sylvie. À l’approche du départ, le couple semble plutôt confiant : « Il y a un risque, mais dans la vie il y a des risques en permanence. En sortant de l’impasse, on peut se faire écraser », relativise le docteur, au micro de France 2.

Quand on leur demande leur motivation, Sylvie évoque « l’envie de venir en aide aux autres » et la curiosité de découvrir « l’organisation d’un hôpital de campagne ».

Avant de partir, les deux médecins ont suivi huit jours de formation. L’objectif est clair : faire face aux dangers qui les attendent. « On nous a fait prendre conscience des risques », souligne la volontaire.

Par ailleurs, une psychologue franco-guinéenne les soutiendra sur le terrain : « C’est un enjeu important de pouvoir contribuer à endiguer l’épidémie sur place, mais d’une certaine manière c’est aussi agir en préventif pour ma seconde patrie qu’est la France », explique Mariama Diallo.

Ces volontaires doivent rester quatre à six semaines en Guinée. Dans le pays africain, le virus a déjà fait plus de 900 morts.

Retrouvez cet article sur Francetv info

Ebola : 480 signalements en France, aucun cas confirmé
Le cofondateur de Microsoft offre 100 millions de dollars pour lutter contre Ebola
Les députés taxent cigares et cigarillos comme les cigarettes
Arrêt définitif des accouchements à la maternité d’Orthez, un mois après la mort d’une patiente
Ce qu’il faut retenir de la mort d’une mère après son accouchement à la maternité d’Orthez


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

Cancer : les Français favorables aux approches complémentaires

Améliorer la qualité de vie pendant un cancer, identifier les difficultés de l’après-cancer, bien s’informer sur la maladie… le baromètre cancer « Institut Curie – Viavoice » vise depuis 2013 à analyser l’opinion des Français sur le cancer, en particulier concernant la qualité de vie, l’information sur la maladie et les enjeux de l’ « après-cancer ».

L’édition 2014 de ce baromètre montre que les Français accordent une attention constante à la qualité de vie et plébiscitent de plus en plus les approches complémentaires comme le yoga, la sophrologie, l’hypnose ou encore le sport adapté.

Plébiscite des approches complémentaires

2014 signe même un véritable plébiscite pour les approches complémentaires puisque 72 % des Français les considèrent comme importantes en complément des traitements médicaux, soit 9 points de plus qu’en 2013.

Les femmes y sont particulièrement favorables (76 %) tandis que 29 % des hommes estiment que ces approches sont peu voire pas importantes. Les seniors semblent également un peu moins convaincus : 67 % d’entre eux les jugent importantes, soit 5 points de moins que l’ensemble de la population.

Par ailleurs, les catégories socioprofessionnelles supérieures ont d’avantage tendance à juger ces approches importantes (77 %) bien que les classes populaires ne s’y montrent pas réticentes (70 % d’opinions favorables).

Lorsqu’on demande aux Français ce que ces approches complémentaires peuvent apporter aux malades, ils évoquent spontanément en premier lieu un soutien, un réconfort psychologique (43%).

Les répondants parlent ensuite d’une amélioration de la condition psychique et physique (18 %), d’une diminution des effets secondaires et des douleurs (17 %) ainsi que d’une rupture de l’isolement du patient (12 %).

©Institut Curie

©Institut Curie

Vivre le mieux possible avec un cancer

Le cancer est une maladie qui se soigne mieux, le nombre de patients en rémission ne cesse de progresser. Dorénavant, il ne s’agit plus uniquement de se focaliser sur la manière de traiter la maladie mais également d’apprendre à vivre le mieux possible avec un cancer.

Les approches complémentaires peuvent en cela apporter un bien- être supplémentaire aux malades traversant cette épreuve physique et psychique, en plus de soulager certains effets secondaires des traitements (douleurs chroniques, nausées, insomnies, angoisse…). Les approches dites psychocorporelles comme l’hypnose, la relaxation, la sophrologie, le yoga ou encore le qi gong peuvent aider par exemple à mieux vivre pendant la maladie en diminuant le stress, en permettant de réinvestir le corps malade.


News Santé

Cancer : les Français et internet

©Fotolia

©Fotolia

Le baromètre cancer 2014 de « Institut Curie-Viavoice » s’est arrêté sur l’utilisation très controversée d’internet.

Il faut dire que l’accès d’un simple clic à l’immense source d’informations qu’est internet n’a pas manqué d’impacter l’univers de la santé et, par ricochet, les relations avec les professionnels de santé. Si les Français reconnaissent une fonction pédagogique à l’utilisation d’internet, ils n’en restent pas moins sceptiques sur sa capacité à renforcer
la relation patient – médecin.

Internet, trait d’union ambivalent entre patient et médecin

Internet peut avoir une véritable fonction pédagogique pour les patients atteints d’une pathologie lourde comme le cancer. Près de 6 Français sur 10 (58 %) estiment en effet qu’il permet de poser des questions que l’on n’oserait pas aborder avec son médecin.

Cette tendance est encore plus manifeste auprès des moins de 34 ans (72 %) et des catégories socioprofessionnelles populaires (66 %). A l’inverse, 44 % des plus de 65 ans considèrent que l’outil informatique ne permet pas de poser des questions que l’on n’oserait aborder avec son médecin. Cette dernière donnée reflète l’approche traditionnelle des seniors avec le corps médical, ayant tendance à privilégier leur médecin comme source principale d’information pour ce qui touche à leur santé. La dimension pédagogique d’internet ne semble pas enrichir ou favoriser les échanges entre patient et corps médical.

En effet,une majorité de Français (54 %) estime que la consultation d’internet, dans le cadre d’une pathologie lourde comme le cancer, ne permet pas de mieux préparer une consultation chez le médecin(versus 43 % d’accord). Sur ce point, ce sont les femmes qui se montrent les plus sceptiques (58 %). De même, elles sont 55 % à penser que cet outil ne renforce pas la qualité du dialogue lors de la consultation médicale.

Par ailleurs,plus d’1 Français sur 2 (53%) estime qu’internet complique la relation patient – médecin (versus 44 % pas d’accord). Cette affirmation est d’autant plus vraie pour les catégories socioprofessionnelles supérieures.

Internet, entre expertises, expériences et inexactitudes

Ces résultats traduisent le manque de confiance que les internautes peuvent éprouver face à des informations dont la source, et donc la crédibilité, est difficile à évaluer. Face à ce constat, il semble nécessaire de guider les usagers dans leur recherche, en commençant par les aider à dissocier l’expertise de l’expérience sur le web, afin de leur apporter des contenus validés par des professionnels ou autorités de santé.

« Les sites parlant de santé et de médecine sont extrêmement nombreux, les patients peuvent accéder à toutes sortes d’informations très complètes sur les cancers. Ils arrivent souvent en consultation avec des pages imprimées qui évoquent des innovations, des essais ou encore des équipements et nous les réclament en consultation. Or la plupart des sites tombent dans le même écueil : ils donnent une information très généraliste sur tel ou tel type de cancer, qui ne correspond pas aux besoins spécifiques de chaque patient »souligne le Dr Alain Livartowski, oncologue, responsable du projet e-santé à l’Institut Curie.


News Santé

25% des Français renoncent aux soins faute d’argent

Share Button

Un Français sur quatre a déjà renoncé aux soins pour raisons financières. Les renoncements aux soins dentaires et optiques sont les plus fréquents, selon les résultats d’une enquête de l’Institut de recherche et documentation en économie de la Santé (Irdes) publiés vendredi dernier.

25,7% des Français ont déjà renoncé à des soins médicaux pour des raisons financières au cours des douze derniers mois, selon la dernière enquête de l’Institut de recherche et documentation en économie de la Santé (Irdes).

Les barrières financières se concentrent sur les consultations de médecins généralistes et spécialistes (3,4 % de la population), les soins optiques (4,1 %) et les soins dentaires (10 %).

Le taux de renoncement est plus élevé chez les personnes ne disposant d’aucun complémentaire santé : 24% d’entre elles ont renoncé à des soins optiques contre 15% chez celles qui bénéficient de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et à peine 9% chez celles qui ont une complémentaire santé autre que la CMU-C.Médecin

Google+

Commentaires


Top Actus Santé

Tiers-payant généralisé : les Français y sont favorables !

Crédits photo : ©Fotolia

Comme nous vous en avons informé hier, Marisol Touraine veut à terme généraliser le tiers payant afin que les patients soient dispensés d’avance de frais.

Et alors que cette mesure suscite une certaine inquiétude chez les médecins généralistes, elle est plutôt bien accueillie par les Français.

Ainsi, et dans le cadre d’un sondage IFOP pour « Ouest-France » (à paraître ce dimanche 22 juin 2014) 54% des personnes interrogées se déclarent favorables à une telle mesure. Un taux qui atteint même les 60% chez les employés et les ouvriers.

A contrario 34% des sondés sont opposés à cette généralisation du tiers-payant. Pour eux cette mesure risque de « déresponsabiliser les patients, de créer des abus et donc de se traduire par une hausse des dépenses de santé ».

Une position qui n’est pas sans rappeler celle de la Confédération des Syndicats Médicaux Français qui a déjà mis en garde contre une telle mesure.

Pour la CSMF, elle est susceptible « de transformer la carte vitale en carte de paiement et donc de déresponsabiliser les patients au regard du coût de leur santé ».


News Santé

Quand le lobby du vin veut nous convaincre que le vin (français) n’est pas une drogue

Les professionnels du vin changent de méthode et se lancent dans une grande opération de communication qui vise à bien différencier l’alcool du vin français. C’est le but de Vin & Société avec «ce qui va vraiment saouler les Français», «campagne de mobilisation nationale en faveur des productions viticoles de l’Hexagone». Deux images «choc» pour faire parler de leur initiative: François Hollande et Jean-Marc Ayrault dégustant un grand verre de vin (blanc).

Vin & Société est une association de type loi 1901. Créée en 2004, elle dit représenter «les 500.000 acteurs de la vigne et du vin en France» (production, négoce et interprofessions). Elle s’est donné pour but «de donner sa juste place à un savoir-faire traditionnel et à un secteur d’activité qui contribue à la fois à la vitalité économique et au rayonnement de la France». Il s’agit encore de «transmettre les valeurs du vin» et de «promouvoir une consommation qualitative et responsable».

Cette campagne de mobilisation vise à faire pression sur l’exécutif pour qu’il revienne sur une série de mesures selon elle aujourd’hui à l’étude.

Des mesures qui, selon ses promoteurs, porteraient atteinte à la filière vitivinicole qui, après l’aéronautique et devant l’industrie du luxe (dont elle se réclame parfois), est le deuxième secteur contributeur à la balance commerciale française: 7,8 milliards d’euros à l’export.

«Depuis des mois, nous sentons monter un courant moralisateur qui consiste à interdire et à déresponsabiliser les Français», assurent les promoteurs de la campagne. Ils dénoncent le fait que le vin puisse, «au nom de la morale» être assimilé à une drogue. Plus que de morale, il s’agit ici de médecine et de physiologie puisque le document cité en référence est le rapport du Pr Philippe Reynaud, psychiatre et addictologue, remis à la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) en juin 2013. Mais Vin & Société dénonce le fait que des spécialistes de l’addiction puissent juger dangereux pour la santé dès l’absorption d’un verre par jour. Et s’interroge:

«La moindre consommation de vin, même mesurée, serait donc mauvaise?»

Avant de répondre:

«Nous pensons que seule une société privilégiant l’éducation, la raison, et la responsabilité est à même de lutter contre les excès et ce, dans tous les secteurs.»

«La consommation de vin [en France] a diminué de 70% en cinquante ans et de 20% sur les dix dernières années, rappellent-ils. Quelle image sommes-nous en train d’envoyer aux 31 millions de Français qui dégustent du vin raisonnablement entre amis ou en famille? Quel signal envoyons-nous au monde entier qui nous envie le vin, symbole de notre art de vivre et de notre pays?» Selon l’Institut national de prévention est d’éducation à la santé (Inpes), 83% des consommateurs de vin en France en boivent de une à deux fois par semaine. Ou plus rarement encore, selon des données de 2010.

La question de fond est assez simple: la puissance publique et les autorités sanitaires françaises doivent-elle ne traiter le vin que comme une boisson alcoolique? Répondre par l’affirmative c’est, pour les responsables de Vin & Société «mépriser l’histoire et le travail des cinq cent mille acteurs de la vigne et vin en France». C’est pourquoi ils réclament au président de la République et au Premier ministre la mise en place d’une instance interministérielle «pour redonner au vin toute la place qu’il mérite dans notre pays».

Des dangers équivalents, selon des alcoologues

Cette initiative s’inscrit dans le contexte général de la prise en compte comparée des conséquences sanitaires des différentes consommations de drogues, licites ou non. Cette démarche avait été initiée en 1998 par Bernard Kouchner. Le secrétaire d’Etat à la Santé du gouvernement de Lionel Jospin avait alors demandé au Pr Bernard Roques un rapport sur le thème de la dangerosité comparés des drogues. Ce fut une étape importante (quoique sans suite concrète) dans le débat sur la dépénalisation du cannabis. Mais après la loi Evin de 1991, ce fut aussi le point de départ d’une nouvelle prise de conscience du fléau que constituent les consommations de tabac et d’alcool (entre 100.000 et 150.000 morts prématurées chaque année).

Lors des opérations de lobbying visant à réduire la portée de la loi Evin, les représentants de la filière vitivinicole jugèrent opportun de s’associer aux grand alcooliers industriels (qui sont pour partie présents dans cette filière, notamment en Champagne). Ils cherchent aujourd’hui à s’en démarquer; notamment en soulignant les dimensions organoleptiques et culturelles spécifiques aux vins d’appellation d’origine contrôlée. C’est notamment l’objet d’un récent pamphlet (Invignez-vous! Editions Grasset) signé de Jacques Dupont, chroniqueur vin au magazine Le Point.

En retour, plusieurs épidémiologistes, spécialistes de santé publique et alcoologues, refusent, avec plus d’énergie encore que par le passé, de faire une distinction entre les boissons alcooliques. Ils estiment que les dangers sont équivalents dès lors que la boisson consommée contient des molécules d’alcool. 

C’est ainsi par exemple que l’Institut national du cancer (Inca) a publié en 2009 une brochure destinée aux professionnels de santé expliquant que les risques de cancer commençaient à augmenter à partir de la consommation d’un verre de vin quotidien. Ce qui est apparu en opposition radicale avec les assurances sanitaires données par le «régime méditerranéen», un mode d’alimentation qui inclut, précisément, une consommation raisonnée de vin. Des assurances sanitaires confortées, qui plus est, par le célèbre «paradoxe français». 

J.-Y.N.


A votre santé! – Slate.fr

Les Français ont inhalé moins de particules fines issues du diesel en 2012

Les dangers du diesel sur la santé demeurent incalculables. En revanche, un nouveau bilan de la qualité de l’air en France, publié jeudi 26 septembre, indique que les particules émises (entre autres) par les moteurs qui utilisent ce carburant se sont moins attaquées à nos poumons que l’année précédente. Un bilan annuel du ministère de l’Ecologie a révélé que les Français ont inhalé moins de particules en 2012 qu’en 2011.

Une bonne nouvelle à relativiser. Il n’y a « pas de tendance à la baisse » de leurs émissions depuis 2000, explique le ministère, pour qui ces résultats s’expliqueraient par des conditions météo plus favorables (vent, pluie), qui ont permis de davantage disperser les particules.

En 2012, seize agglomérations de plus de 100 000 habitants ont dépassé la valeur limite européenne pour les PM10, le nom donné à ces petites particules qui pénètrent profondément dans les poumons, contre 24 en 2011. Cette limite se situe à 50 microgrammes par m3 d’air en moyenne journalière, à ne pas dépasser plus de 35 jours par an.

Les régions les plus touchées par cette pollution, émise majoritairement en ville par la circulation automobile, mais aussi par le chauffage au bois, l’industrie et l’agriculture, sont la Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Nord-Pas-de-Calais, l’Ile-de-France et la région Rhône-Alpes.

En France, les pouvoirs publics mettent en avant le chiffre de 42 000 « morts prématurées » par an attribuables aux particules, qui peuvent provoquer des affections respiratoires et une surmortalité chez les personnes souffrant de maladies respiratoires et cardiovasculaires.

« La réduction drastique de la pollution atmosphérique est un objectif impérieux et urgent compte tenu de l’impact important des particules sur la santé (maladies cardio-vasculaires, cancers) et du contexte règlementaire », rappelle (…) Lire la suite sur Francetv info

VIDEO. Ed Houben, donneur de sperme, est le père génétique de 102 enfants
VIDEO. La ministre prescrit la vente des médicaments à l’unité, les pharmaciens toussent
Les objectifs de Marisol Touraine pour réduire les dépenses d’assurance-maladie
Etes-vous prêt à acheter vos médicaments à l’unité ?
VIDEO. Les dépassements d’honoraires des spécialistes flambent, selon l’UFC-Que Choisir


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

Cancer : le cancer se soigne de mieux en mieux, estiment les Français

Cancer : le cancer se soigne de mieux en mieux, estiment les Français

Share Button

Deux Français sur trois considèrent que le cancer se soigne de mieux en mieux, un optimisme particulièrement fort chez les seniors qui sont 79 % à estimer qu’une fois guéri, il est possible de retrouver sa vie antérieure. Telles sont les conclusions d’une étude ViaVoice réalisée pour l’Institut Curie.

En ce qui concerne les chances de guérison, l’après-cancer et le fait de retrouver une vie normale après la maladie, ce sont les seniors comparativement aux jeunes qui sont les plus optimistes. Ils sont ainsi 79 % (contre 72 % de l’ensemble des personnes interrogées) à déclarer qu’il est possible de retrouver sa vie d’avant suite à la maladie.

Parmi les difficultés évoquées pour le retour à la vie quotidienne, les Français citent en premier la réinsertion professionnelle (30 %), la reprise d’une vie sociale (21 %) ou encore les difficultés psychologiques (21 %) liées à la peur d’une rechute.

Ils sont 59 % à accorder de l’intérêt à la prise en charge psychologique des malades et sont également 70 % à revendiquer d’avoir de l’information concernant la maladie. L’information est en effet considéré comme un facteur clé (41 %) pour améliorer la qualité de vie des patients. Pour échanger autour de la maladie, et obtenir certains renseignements sur le cancer, les Français estiment à 61 % que le partage d’expériences avec d’anciens malades est important, mais également la fréquentation des associations de patients (52 %).

Concernant les attentes des patients en terme de traitement et de prise en charge, ils sont nombreux à préférer (79 %) l’hospitalisation de jour, les femmes sont encore plus que les hommes favorables à cette approche de la médecine ambulatoire. La motivation pour ce choix est portée à 55 % par la volonté de ne pas être seuls et de rester près des siens (53 %) et de conserver un mode de vie normal dans un environnement connu (27 %).

L’Institut Curie a répondu %

Google+

Commentaires


Top Actus Santé